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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Bar-le-Duc (prononcé [baːʁlədyk]) est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est. Elle se trouve dans la région historique et culturelle de Lorraine.
L'existence de l'agglomération remonte à l'Antiquité où elle est un relais le long de la voie romaine reliant Reims à Metz. Capitale du comté puis du duché de Bar, Bar-le-Duc devient l'une des principales citadelles lorraines, se développant à la fois au fond de la vallée, le long des berges de l'Ornain, et sur le plateau du versant gauche, autour du château du Moyen Âge. Après son rapprochement avec le duché de Lorraine à la fin du XVe siècle, elle connaît une période culturelle et architecturale prospère durant toute la Renaissance. Mais à cause des positions anti-françaises de son duc, la ville se voit dépouillée en 1670 d'une partie de ses fortifications et de son château par le roi de France Louis XIV, et le duché finit par être rattaché au royaume de France en 1766. Ancien chef-lieu de bailliage, la ville est également le point de départ de la « Voie sacrée », route stratégique qui, lors de la Première Guerre mondiale, permet de ravitailler Verdun lors de la bataille homonyme de 1916.
Située à l'écart des grands axes routiers, Bar-le-Duc n'a pas autant bénéficié de la révolution industrielle que les autres communes lorraines, elle est devenue au XXIe siècle une ville administrative. Deuxième ville du département après Verdun en termes de population, elle ne cesse de voir diminuer son nombre d'habitants depuis les années 1980, et se retrouve dans la diagonale du vide. Depuis plusieurs années, la commune a donc choisi de développer son tourisme grâce au riche patrimoine hérité de son histoire. Elle est la seule « Ville d'art et d'histoire » de Lorraine avec Metz, plusieurs édifices sont répertoriés aux monuments historiques, et le secteur sauvegardé de la Ville Haute possède un remarquable quartier de style Renaissance.
Surnommée en conséquence la « Belle Endormie », elle reste cependant le pôle urbain principal du sud meusien, chef-lieu du pays Barrois et de la communauté d'agglomération Bar-le-Duc Sud Meuse.
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La Tour Heyblot est une ancienne tour fortifiée située à Bar-le-Duc dans le département de la Meuse en région Lorraine.
Construite au Moyen Âge (XIVe siècle), elle est l'un des rares vestiges des fortifications de la Ville Haute.
Elle est classée aux monuments historiques depuis le 25 juin 1930.
La Tour Heyblot est une ancienne tour fortifiée demi-circulaire construite en pierre calcaire, et située à la Ville Haute, à l'ouest du quartier Renaissance. Ses murs sont épais de 70 à 95 centimètres. Ses ouvertures rectangulaires sont garnies de corbeaux, et une amorce de courtine lui est accolée. La tour est aujourd'hui plus basse qu'elle ne l'a été.
Son nom est tiré de celui de la famille qui en a été propriétaire pendant plusieurs générations
Historique
La Tour Heyblot est construite au XIVe siècle durant le Moyen Âge, et fait alors partie du mur d'enceinte de la Ville Haute.
En 1670, le roi de France Louis XIV ordonne le démantèlement des fortifications du château et de la ville. La tour est l'un des rares édifices à être épargnés avec la Tour de l'Horloge et le Neuf-Castel.
La Tour Heyblot et l'amorce de courtine sont classées monuments historiques le 25 juin 1930.
En 1962, elle est sauvée de la démolition par une souscription publique
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Meuse : les feux de la colère des paysans
France 3 Lorraine" /> Les agriculteurs meusiens à nouveau mobilisés contre les accords internationaux et l'agribashing. / © Lodoïs Gravel - France 3 Lorraine
Le ton monte chez les agriculteurs meusiens. Deuxième mardi d’action ce 15 octobre 2019 au soir avec 13 feux allumés dans 13 cantons meusiens. Et une banderole, #sauvetonpaysan.
Publié à 19:43
D’un autre côté, on a l’Etat qui nous demande via les Etats généraux de l’Alimentation, de monter en gamme, en faisant de bons produits, en soignant nos animaux, tout en préservant l’environnement, avec beaucoup de contraintes par rapport à d’autres pays. En même temps, l’Etat signe les accords du CETA (libre-échange avec le Canada) ou du Mercosur (importations d’Amérique du Sud) pour lesquels on va importer une agriculture que les français ne veulent pas.On a d’un côté des associations anti-tout qui nous font passer pour des pollueurs, des empoisonneurs, des gens qui maltraitons nos animaux.
- Hubert Basse, Président des Jeunes Agriculteurs de Meuse
France 3 Lorraine" src="src" /> On demande juste à vivre dignement, Hubert Basse, Président des Jeunes Agriculteurs de la Meuse / © Lodoïs Gravel - France 3 LorraineCe qu’il nous manque, c’est une feuille de route claire. Aujourd’hui, moi je suis jeune agriculteur. Je me suis installé parce que j’avais envie d’être chef d’entreprise, de mener mon exploitation comme je veux, de produire des aliments de qualité.
- Hubert Basse
Le vrai prix pour nos produitsOn demande à l’Etat d’ajuster la copie. Soit on produit sur les mêmes normes que les autres pays européens et internationaux pour avoir de la nourriture pas chère et dans ce cas là, on nous retire toutes les contraintes comme entre autre, les zones d’épandage de pesticides.
Soit on veut alimenter les consommateurs avec de la qualité, garantir une traçabilité, et là : il faut nous préserver un peu de ce marché mondial comme avec les accords du CETA et du Mercosur, auxquels on est confronté tous les jours et qui sont totalement injustes, précise Hubert Basse.
On ne veut pas plus d’aides financières. On aimerait juste vivre de nos productions, protestent les agriculteurs avec ce deuxième mardi d'action.
Le nombre de permis de conduire invalidés en hausse de 10%
Le bilan annuel de la Sécurité routière note également une baisse du nombre d’infractions en 2018, liée aux nombreux radars vandalisés.
La baisse du nombre d’infractions routières constatées par le biais des radars et par les forces de l’ordre est spectaculaire. 19,7 millions d’infractions ont été relevées l’an passé contre 24 millions en 2017, soit une chute de 18%. Tel est le bilan communiqué ce mercredi par l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR).
Selon la sécurité routière, il s’agit d’une baisse «mécanique» qui, dit-elle, dans son communiqué «s’explique principalement par la dégradation massive subie par les radars à la fin de l’année 2018.» Ces appareils de contrôle ont été pris pour cible après que le 80 km/h a remplacé le 90km/h sur une partie du réseau secondaire le 1er juillet 2018. Ces actes de vandalisme se sont poursuivis avec le mouvement des «gilets jaunes», qui a débuté le 17 novembre 2018.
Le nombre d’excès de vitesse multiplié par quatre par endroits
Avec des centaines de radars hors service, le nombre d’automobilistes flashés a donc diminué. Ainsi, 13,6 millions d’infractions à la vitesse ont été constatées en 2018 par le contrôle automatisé contre 16,6 millions en 2017, soit une baisse de 17,6 %. Mais hors d’état de produire des messages d’infractions, ces radars vandalisés ont néanmoins continué à enregistrer les vitesses des véhicules. Et celles-ci ont décollé. Le nombre d’excès de vitesse a été multiplié par quatre dans ces zones.
D’une manière générale, la sécurité routière alerte sur la persistance d’une dégradation générale des comportements au volant. Pour preuve les délits routiers, qui constituent les infractions les plus graves, sont en augmentation de 5,9 % en 2018 (629 601 délits). «Le phénomène est d’autant plus préoccupant qu’il s’agit de la quatrième année consécutive de hausse», indique-t-on. Au palmarès de ces hausses, on trouve les refus d’obtempérer et les entraves à la circulation. Ces infractions font un bond de 36,3 % (38 087 infractions relevées l’an passé).
La conduite de véhicule après l’usage de stupéfiants (ou refus de se soumettre au contrôle) augmente aussi de 29 % (63 369 infractions relevées en 2018, soit 10,1 % de l’ensemble des délits). Cette hausse est toutefois liée à un plus grand nombre des contrôles, grâce à la généralisation depuis 3 ans d’une nouvelle méthode de dépistage plus facile d’usage. Quant aux délits de fuite après un accident, ces derniers augmentent de +1,3 %. En augmentation constante depuis 2012, ces délits s’élèvent à 174 422 en 2018.
4,9 millions de points retirés
Ce bilan indique par ailleurs que 14,9 millions de points ont été retirés en 2018 (-1,9 %). Ces retraits se partagent notamment entre les excès de vitesse (9 909 451 points retirés, soit -6 %) et les franchissements de feux rouges (1 417 064 points, soit +4,1 %). Des automobilistes ont également perdu des points pour un téléphone tenu en main (1 046 176 points, soit +11,1 %).
L’an passé, 67 963 permis de conduire ont ainsi été invalidés pour solde de points nul, soit une hausse de 10% par rapport à 2017. «Les cinq années précédentes, la tendance était orientée à la baisse».
En brassant tous les chiffres dont elle dispose, la Sécurité routière dresse le profil type de l’auteur présumé d’accident mortel: «Il s’agit le plus souvent d’un homme (83 %), ayant moins de 12 points sur son permis dans la moitié des cas, et au moins un antécédent judiciaire dans 42 % des cas, sous l’emprise de l’alcool (21 %) et la vitesse (29 %).»
Bonne nouvelle tout de même: 78 % des conducteurs disposaient l’an passé de leur capital de 12 points.
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.
En 2016, la commune comptait 161 habitants en diminution de 12,5 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
120 | 119 | 140 | 141 | 129 | 125 | 133 | 145 | 141 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
150 | 145 | 147 | 128 | 120 | 84 | 93 | 104 | 95 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
92 | 94 | 85 | 86 | 101 | 76 | 78 | 91 | 90 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2010 | 2015 |
102 | 101 | 120 | 238 | 232 | 196 | 176 | 185 | 164 |
2016 | - | - | - | - | - | - | - | - |
161 | - | - | - | - | - | - | - | - |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
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Silmont est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes et sa pointe nord touche sur quelques dizaines de mètres celui de Resson :
Longeville-en-Barrois
Loisey-Culey
Tannois
Guerpont
Silmont ne possède pas d'église.
Le monument aux morts au cimetière de Guerpont est commun aux deux villages de Silmont et Guerpont.
Mémorial de la famille Akar, morte en déportation. Inauguré le 13 juillet 2013.
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007.
En 2016, la commune comptait 751 habitants, en diminution de 6,94 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
166 | 180 | 143 | 215 | 179 | 180 | 167 | 169 | 171 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
172 | 151 | 154 | 131 | 145 | 188 | 191 | 211 | 195 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
207 | 381 | 500 | 544 | 847 | 1001 | 1075 | 1027 | 1117 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
1312 | 1124 | 1015 | 825 | 705 | 705 | 806 | 821 | 790 |
2016 | - | - | - | - | - | - | - | - |
751 | - | - | - | - | - | - | - |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
en 1905 : 381 habitants.
vers 1804 : 174 habitants.
en 1750 : à Dommary, 14 Feux, à Baroncourt, 8 feux, à Bouvigny, 7 feux.
en 1701 : 21 citoyens actifs.
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