Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
19.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
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Les Mondes engloutis est une série télévisée d'animation
française en 52 épisodes , créée par Nina Wolmark qui en a écrit la plupart des scénarios et dialogues .
Le Shagma , soleil artificiel indispensable à la vie des gens du dessous dans la cité d'Arkadia
tombe malade . Guidés par Shagshag , vaisseau conscient doté de pouvoirs magiques ,
les enfants d'Arkadia entrent alors dans le musée interdit et lisent les archives secrètes.
Ils apprennent alors que leur peuple vivait au-dessus jusqu'au grand cataclysme ,
dont Shagshag a été témoin , qui a précipité leur île sous la surface de la Terre .
Ils créent Arkana , une créature ressemblant à une humaine , et l'envoient avec Shagshag
vers la surface pour chercher de l'aide .
Elle est accompagnée de Bic et Bac , deux pangolins , créatures étranges et bienveillantes ...
La bande dessinée érotique est un genre de bande dessinée consacré à l'érotisme et, par extension, la pornographie. Elle est parfois appelée bande dessinée pour adultes.
Originellement confinée à l'illégalité ou à un érotisme très surveillé, elle se développe vraiment à partir du milieu des années 1960 aux États-Unis (via l'underground) et en France (via des publications luxueuses d'éditeurs d'art). L'affirmation croissante de la liberté d'expression permet son fort développement dans les années suivantes, derrière des auteurs comme Georges Pichard ou Guido Crepax. Elle tend cependant à disparaître en tant que telle au début des années 1980, l'érotisme devenant en Europe partie intégrante d'une grande partie de la production destinée aux adultes, tandis la bande dessinée pornographique prend son essor. C'est également à cette époque que naît vraiment la bande dessinée pornographique au Japon. Avec l'arrivée d'internet et la pénétration des bandes dessinées asiatiques en occident, la bande dessinée pornographique connaît un nouvel essor, tout en restant un genre de bande dessinée assez mineur.
En France dans les années 1960, la bande dessinée érotique s'illustre au grand jour grâce à une nouvelle héroïne, Barbarella de Jean-Claude Forest, qui mêle la sensualité et la science-fiction. Elle parait tout d'abord par épisodes en 1962 dans V magazine, revue coquine de l'époque qui publiait trimestriellement, humour, photos et nouvelles érotiques. Si cette publication demeure d'abord relativement inaperçue, il n'en est pas de même de l'album publié aux éditions Eric Losfeld en 1964 qui crée l'évènement et le scandale en révélant au public une bande dessinée dépourvue de mièvrerie et réservée aux adultes. Mis en exergue par la presse, le personnage de Barbarella devient ainsi une sorte de symbole de la libération sexuelle en bande dessinée.
À compter de janvier 1970, Georges Pichard crée le personnage de la pulpeuse Paulette dans les pages de la revue Charlie Mensuel dirigée par Georges Wolinski. Cette revue est la première à s'avouer ouvertement destinée aux adultes. D'autres titres suivront : L'Écho des savanes, Fluide glacial, Circus.
Valentina de Guido Crepax (en 1965). Puis elle a élargi son audience grâce aux initiatives de certains journaux comme France Soir, qui publia Hypocrite de Jean-Claude Forest (1971) ou Blanche Épiphanie de Jacques Lob et Georges Pichard (1976).
Des magazines de BD comme Métal hurlant ou L'Écho des savanes ont contribué à faire connaître de nouveaux auteurs et illustrateurs du genre. Aujourd'hui devenu un genre à part entière, la bande dessinée pour adultes est surtout présente dans des revues spécialisées comme Bédéadult' ou BD X, avec des auteurs phare comme Robert Hugues.
En parallèle sont publiés à partir de 1968 les premiers ouvrages sur la bande dessinée érotique. Ceux-ci, signés Jacques Sadoul, ou Michel Bourgeois s'intéressent avant tout à l'accumulation d'informations, aux typologies, aux symboles, plutôt qu'à l'esthétique même ou à l'histoire du genre
Betty Boop est l'héroïne d'une série de dessins animés américains créée par les Fleischer Studios entre 1930 et 1931.
Elle apparaît le 9 août 1930 dans le dessin animé Dizzy Dishes (en) puis dans une douzaine de dessins animés, comme personnage secondaire anonyme, notamment aux côtés du chien vedette Bimbo, lequel aura en définitive une renommée plus modeste. À ses débuts, dotée de longues oreilles tombantes mais déjà très maniérée, elle hésite entre une identité de chienne anthropomorphe et de jeune femme cabotine et délurée. C'est à partir de 1931 qu'elle est la vedette de plusieurs aventures sous le nom de Betty Boop.
Première héroïne de dessin animé, représentée sous les traits d'une petite femme brune aguicheuse et sensuelle (qui n'est pas sans rappeler Marilyn Monroe — laquelle reprendra avec un grand retentissement le fameux gloussement affecté poo-poo-pee-doo de la reine du glamour de celluloïd —, bien que ce soit la chanteuse Helen Kane qui ait été utilisée comme modèle), elle est devenue un sex-symbol de l'âge d'or de l'animation américaine. Mais, à cause de sa jupe trop courte et de certains épisodes avec ses compagnons, Betty Boop a été censurée pendant quelque temps (le temps que le studio rallonge sa robe).
Elle a chanté dans plusieurs films mêlant parfois prises de vues et animation dotés d'un sous-titrage avec bouncing ball, véritable ancêtre du karaoké, adaptant des chefs-d'œuvre de la chanson réaliste et du jazz, comme Minnie the Moocher de Cab Calloway, dans des animations d'une grande fantaisie.
Sa voix était doublée par Margie Hines et Mae Questel dans les années trente. Mae Questel doubla encore Betty Boop en 1988 dans Qui veut la peau de Roger Rabbit.
Elle a fait connaître Popeye le marin dans les années 1930. Celui-ci avait fait une apparition dans l'un des dessins animés dont elle était la vedette et, le grand public l'ayant beaucoup apprécié, il naviguera dès lors de ses propres voiles.
Francisque Poulbot, né à Saint-Denis le 6 février 1879 et mort à Paris le 16 septembre 1946, est un affichiste, goguettier, dessinateur et illustrateur français.
Né dans une famille d'enseignants – ses parents sont instituteurs –, Francisque Poulbot est l'aîné de sept enfants. Doué pour le dessin, il n'ose cependant pas se présenter à l'École des beaux-arts. À partir de 1900, ses dessins commencent à être publiés dans la presse. Il s'installe à Montmartre et épouse, en février 1914, Léona Ondernard, avant de partir pour le front ; il est cependant réformé l'année suivante. Durant la Grande Guerre, il signe des affiches et des cartes postales patriotiques, ce qui lui vaudra, pendant la Seconde Guerre mondiale, sous l'occupation allemande, d'être assigné à résidence.
Francisque Poulbot en 1927
Très attaché à la vie montmartroise, Poulbot s'associe, en 1920-1921, à la création de la « République de Montmartre » avec ses amis Adolphe Willette, Forain et Maurice Neumont. Il est à leur côté membre de la goguette du Cornet. En 1923, pour venir en aide aux enfants nécessiteux de Montmartre, il ouvre un dispensaire rue Lepic.
Il meurt à Paris le 16 septembre 1946 et est inhumé au cimetière de Montmartre.
La nièce de Francisque Poulbot, Paulette dite « Zozo », fille de son frère Paul, et qui perdit sa mère alors qu'elle n'avait pas trois ans, fut probablement élevée par lui. Elle est souvent présentée comme sa fille adoptive. Elle épousa le dessinateur Jean Cheval, fils d'Adrien Cheval, un de ses amis (il y a par ailleurs eu des séries de cartes postales de Poulbot et de Cheval).
Le néologisme « poulbot » a été créé en référence à ses nombreuses illustrations représentant des titis parisiens : les gamins des rues. Une illustration de Gavroche, le célèbre personnage du roman Les Misérables de Victor Hugo, en est le parfait exemple.
Erich Sokol (Vienne, 31 mars 1933 - Mödling, 20 février 2003) est un dessinateur et caricaturiste autrichien ayant effectué l'essentiel de sa carrière aux Etats-Unis.
En 1972
Après ses études en Autriche, Sokol travaille à l'Arbeiter Zeitung de Vienne. Mais un de ses dessins illustrant Malenkov, l'un des dirigeants soviétiques d'alors, déclenche l'ire de l'URSS qui interdit l'importation du numéro dans le pays. La crise du canal de Suez et l'insurrection de Budapest ont tendu les relations entre les deux grands et Sokol ne se sent plus soutenu par sa rédaction. Il livre quelques dessins au magazine britannique Punch et part se perfectionner en 1957 à l'Institut of Design of Chicago. C'est dans cette ville qu'est implanté le siège de Playboy et Sokol propose tout naturellement des dessins d'humour au mensuel.
Ses premiers cartoons paraissent dans la revue en 1958. Au même moment ou presque, Jack Cole (en), l'un des meilleurs et plus prolifiques cartoonistes du journal et ami personnel de Hugh Hefner se suicide. Sokol va donc livrer davantage de dessins et devenir l'un des collaborateurs attitrés du journal.
Son départ pour l'Autriche en 1975 interrompt pour plusieurs années son travail avec le magazine américain. En Autriche, il livre essentiellement des caricatures et des dessins politiques pour la presse de son pays.
En 1992, il reprend sa collaboration avec Playboy, qu'il poursuit jusqu'à sa mort d'un cancer le 20 février 2003.
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Barbarella est une héroïne de bande dessinée créée en 1962 par Jean-Claude Forest.
Voyageant de planète en planète, Barbarella est une héroïne de science-fiction dessinée sur le modèle de Brigitte Bardot. Peu farouche, elle incarne pour son créateur la femme moderne à l'ère de la libération sexuelle. Elle rencontre des extraterrestres souvent séduisants et expérimente la « machine excessive » : l'orgasmotron.
Barbarella apparaît d'abord dans les pages de V Magazine au printemps 1962 avant de sortir en album en 1964 aux éditions Eric Losfeld. Cette publication fait scandale et consacre Barbarella comme première bande dessinée pour « adultes », alors qu'elle n'est que légèrement érotique et que les Tijuana bibles existaient bien avant. Que l'album soit publié par un éditeur traditionnel anticipe cependant la révolution sexuelle. Le trait sensuel et l'imagination de Forest ont assuré son succès, relayé en 1968 par le film.
Après la sortie du film, Eric Losfeld réédite Barbarella avec en première et quatrième de couverture deux photos extraites du film.
Albums
Quatre albums sont apparus chez des éditeurs différents:
Barbarella, Le Terrain vague, 1964 et 1966, Interdiction par
la censure.
Barbarella, Le Terrain Vague, 1968. Édition avec les photos du film en couvertures. Barbarella est habillée.
Barbarella, Livre de poche, 1974. Forest gouache les modifications de 1968, en n&b.
Barbarella, Dargaud, 1984. Barbarella est changée encore et elle apparaît plus vieillie, en couleur.
Barbarella, J'ai lu, 1988.
Les Colères du mange-minutes, Kesselring, 1974.
Les Colères du mange-minutes, Livre de poche, 1975, en n&b.
Les Colères du mange-minutes, Narval coule à pic et Adieu spectra, Dargaud 16/22, 1980/1981/1982, en couleur.
Les Colères du mange-minutes, Dargaud, 1985, édition de 1974 en couleur.
Le Semble Lune, Pierre Horay, 1977, en couleurs.
Le Semble-Lune et Les compagnons du Grand Art, Dargaud 16/22, 1979/1980, en couleur.
Le Miroir aux tempêtes, illustré par Daniel Billon, Albin Michel, 1982, en couleur.
Barbarella, intégrale en deux tomes, Les Humanoïdes associés, 1995, à date qu'un tome est apparu. C'est les deux tomes de l'édition de Dargaud 1984/1985 mais en n&b.
Autres personnages
Duran vieillard borgne qui aide Barbarella. C'est à ce personnage qu'un célèbre groupe pop britannique des années 1980 empruntera son nom : Duran Duran. Pygar l'ange, le dernier des ornithanthropes (homme-oiseau). Aveugle, il est guidé par Barbarella. La Reine noire maléfique, elle règne sur la ville de Sogo entourée d'un labyrinthe, sur la planète Lythion. Lio brune adolescente sauvée par Barbarella, elle doit sauver la ville gouvernée par son père dans Les Colères du mange-minutes.(la chanteuse Lio en a tiré son nom de scène) Mado robot prostituée (gynoïde). Barbarella répare sa "panne". Narval un aiguiote (homme aquatique), venu de Citerne IV pour achever ses expériences scientifiques dans Les Colères du mange-minutes. L'artiste autoportrait de Jean-Claude Forest. Dans le monde onirique du Semble Lune, il a un enfant avec Barbarella.
Adaptations
Roger Vadim adapte le premier volume de Barbarella au cinéma en 1968 : Barbarella, avec Jane Fonda dans le rôle-titre. L'affiche italienne a été réalisée par Mario De Berardinis (MOS).
Le film inspire à son tour une comédie musicale en 2004.
Apparitions
« Barbarella garde tes bottines/Et viens me dire une fois pour toutes/Que tu m'aimes, ou sinon/Je te renvoie à ta science-fiction », chante Serge Gainsbourg dans « Qui est in qui est out » en 1966.
Barbarella est apparue dans une publicité pour Perrier.
Barbarella apparaît également dans Mystérieuse matin, midi et soir.
Dans l'album de Gotlib Rhââ GnaGna, une petite fille rêve qu'elle est un mélange de Barbarella et d'Alice au pays des merveilles, vivant des aventures érotiques. Cette aventure fut publiée dans le premier numéro de Fluide glacial (réédité à l'occasion des 25 ans du magazine dans le n°286).