Date de création : 09.04.2012
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11.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
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Célébrités nues dans Lui
Lui est un magazine masculin français créé en novembre 1963 et paru jusqu'en 1994.
Liste des célébrités ayant posé nues pour la revue LUI
Numéro
(Photographe)
Avril 1968 - N°52
Ursula Andress (John Derek) 32 ans
Brigitte Bardot (Sam Levin) 33 ans
Novembre 1968 N° 58
Pascale Petit 30 ans
Décembre 1968 N° 59
Mireille Darc (Francis Giacobetti) 30 ans
Janvier 1969 N° 60
Brigitte Bardot ? 34 ans
Mars 1969 N° 62
Jane Fonda (Francis Giacobetti) 31 ans
Juin 1969 N° 65
Brigitte Bardot ? 34 ans
Mireille Darc ? 31 ans
Sophie Agacinski (Frank Gitty) 25 ans
Septembre 1969 N° 68
Brigitte Bardot (Dussart/Vigeveno/Sauer) 35 ans
Novembre 1969 N° 70
Catherine Rouvel ( Frank Gitty/Giancarlo Botti) 30 ans
Décembre 1969 N° 71
Jane Birkin (Frank Gitty) 23 ans
Juin 1970 - N° 77
Marie-France Boyer (Francis Giacobetti) 31 ans
Octobre 1970 - N° 81
Patti D'Arbanville (Frank Gitty) 20 ans
Décembre 1970 N° 83
Nathalie Delon (Francis Giacobetti) 30 ans
Janvier 1971 N° 84
Marisa Berenson (Arnaud de Rosnay) 23 ans
Mars 1971 N° 86
Elke Sommer (Joe Hyams) 30 ans
Mai 1972 N° 100
Marlène Jobert ( J.P. Bonnotte) 28 ans
Octobre 1972 N° 105
Karin Schubert ( Frank Gitty) 27 ans
Novembre 1972 N° 106
Marie-Christine Barrault (André Valmont) 27 ans
Janvier 1973 N° 108
Catherine Deneuve (David Bailey) 29 ans
Maria Schneider (Raymond Depardon) 20 ans
Octobre 1973 N° 117
Lisette Malidor (François Trojani) 28 ans
Décembre 1973 N° 119
Romy Schneider (Emil Perauer) 35 ans
Mai 1974 N° 124
Sydne Rome (Emilio Lari) 23 ans
Sylvia Kristel (Arthur Dorka) 21 ans
Octobre 1974 N° 129
Christine Boisson (Vernon Matisse) 18 ans
Décembre 1974 N° 131
Jane Birkin (Frank Gitty) 28 ans
Janvier 1975 N° 131
Elisa Servier (Michel Van Bever) 19 ans
Fevrier 1975 N° 133
Dani (Benjamin Auger) 30 ans
Mars 1975 N° 134
Sylvia Kristel (Francis Giacobetti) 22 ans
Mai 1975 N° 136
Anicée Alvina (Sacha) 22 ans
Juin 1975 N° 137
Corinne Cléry (Frank Gitty) 25 ans
Décembre 1975 N° 143
Emmanuelle Arsan (Léonard De Remy)
Sylvia Kristel (Francis Giacobetti) 23 ans
Janvier 1976 N° 144
Ursula Andress ( Angelo Frontoni) 39 ans
Avril 1976 N° 147
Dayle Haddon (Alberta Tiburzi) 26 ans
Décembre 1976 N° 155
Tina Aumont (S. Carter) 30 ans
Février 1977 N° 157
Joëlle (du groupe Il était une fois) (Francis Giacobetti) 24 ans
Mars 1977 N° 158
Stone (de Stone et Charden) (G. Lombardi) 29 ans
Novembre 1977 N° 166
Amanda Lear (Richard Schroeder) 31 ans
Sydney Rome (Emilio Lari) 26 ans
Août 1978 N° 175
Odile Michel (André Valmont) 19 ans
Octobre 1978 N° 177
Marie-Hélène Breillat (H. Zuber) 31 ans
Janvier 1979 N° 180
Marlène Jobert(Fabian) 35 ans
Avril 1979 N° 183
Herma Vos (Frank Gitty) 22 ans
Mai 1979 N° 184
Dani (H. Zuber) 34 ans
juin 1979 N° 185
Grace Jones (Jean-Paul Goude, Torkil Gudnarsson, Jeb) 31 ans
Décembre 1979 N° 191
Bernadette, Pauline et Élisabeth Lafont (Frank Gitty) 41, 16 et 19 ans
Avril 1980 N° 195
Nastassja Kinski (Sygma) 20 ans
Mai 1980 N° 196
Bo Derek (John Dereck) 23 ans
Décembre 1980 N° 203
Anicée Alvina (Frank Gitty) 26 ans
Mars 1981 N° 206
Clio Goldsmith (Sygma) 23 ans
Petra Nussbaum (Frank Gitty) 24 ans
Mai 1981 N° 208
Véronique Genest (Frank Gitty) 24 ans
Juillet 1981 N° 210
Sylvia Kristel (Francis Giacobetti) 28 ans
Août 1981 N° 211
Sophie Favier (couverture uniquement) ? 17 ans
Septembre 1981 N° 211
Sophie Favier (Eric Hérak) 18 ans
Décembre 1981 N° 215
Isabelle Huppert (Giovanni Da Ponte) 28 ans
Janvier 1982 N° 216
Aurore Clément (Marianne Hass) 36 ans
Février 1982 N° 217
Bambou (Serge Gainsbourg, Richard Schroeder) 22 ans
Avril 1982 N° 219
Catherine Alric (Frank Gitty) 28 ans
Mai 1982 N° 220
Ariane Lartéguy ?
Juin 1982 N° 221
Valérie Kaprisky(Raoul Ahoup) 19 ans
Septembre 1982 224
Herma Vos (Marc Robin, Aldo Martinez ) 26 ans
Novembre 1982 N° 226
Sophie Duez (Frank Gitty) 20 ans
Décembre 1982 N° 227
Nicole Calfan (Mireille Darc) 35 ans
Janvier 1983 N° 228
Christine Boisson (Irina Ionesco) 26 ans
Mars 1983 N° 230
Anaïs Jeanneret ( Frank Gitty) 15 ans
Avril 1983 N° 231
Anne Parillaud (Michel Ginfray) 22 ans
Juin 1983 N° 233
Pauline Lafont (Richard Schroeder) 20 ans
Juillet 1983 N° 234
Amanda Lear (Rocky/Frontoni/Sipa) 36 ans
Août 1983 N° 235
Valérie Kaprisky (Raoul Ahoup) 21 ans
Octobre 1983 N° 237
Anne Parillaud (F.F.C.M) 23 ans
Avril 1984 N° 243
Fiona Gélin (Mireille Darc) 21 ans
Juin 1984 N° 245
Florence Guérin (Elvis Conti) 19 ans
Septembre 1984 N° 248
Herma Vos (Marc Robin, Aldo Martinez) 28 ans
Novembre 1984 N° 250
Sophie Duez (Francis Giacobetti) 22 ans
Décembre 1984 N° 251
Bo Derek (John Dereck) 28 ans
Janvier 1985 N° 252
Sophie Favier (Raoul Ahoup) 21 ans
Mars 1985 N° 254
Florence Guérin (Elvis Conti) 19 ans
Avril 1985 N° 255
Anaïs Jeanneret (Martin Kruger) 17 ans
Juillet 1985 N° 258
Dalila Di Lazzaro (Frontoni) 32 ans
Septembre 1985 N° 260
Bambou ? 26 ans
Décembre 1985 N° 263
Agnès Soral (M. Haas) 25 ans
Mai 1986 N° 268
Amanda Lear (Rocchi) 39 ans
Juillet 1986 N° 270
Valérie Steffen (Jean-Pierre Bourgeois) 22 ans
Décembre 1986 N° 275
Samantha Fox (Philip Raymond ) 20 ans
Juillet 1987 N° 282
Florence Guérin (Eric Neveu) 22 ans
Août 1987 N° 283
Olivia Dutron (Michel Moreau) 30 ans
Septembre 1987 N° 284
Jeane Manson (Francis Giacobetti) 36 ans
Décembre 1987 N° 2 (Nouvelle série)
Géraldine Danon (Jeanloup Sief) 19 ans
Janvier 1988 N° 3
Fiona Gélin (Byron Newman) 25 ans
Février 1988 N° 4
Danièle Gilbert (Thierry De Héry ) 44 ans
Avril 1988 N° 6
Sabrina ( Mimmo Cattarrichi) 20 ans
Août 1988 N° 10
Florence Guérin ? 23 ans
Novembre 1988 N° 13
Véronique Mourousi (Francis Giacobetti) 27 ans
Gloria Lasso (Gilbert Moreau) 66 ans
Avril 1990 N° 30
Sophie Marceau23 ans
Mai 1990 N° 31
Julie Pietri 33 ans
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Hélène Boucher (Paris, 23 mai 1908 - Guyancourt, 30 novembre 1934) est une aviatrice française. Elle a battu de nombreux records de vitesse.
Hélène Antoinette Eugénie Boucher est la fille de Léon Boucher, architecte parisien, et de Élisabeth Hélène Dureau. Dès son enfance, elle reçut le surnom de Léno qu'elle gardera toute sa vie. À 22 ans, Hélène Boucher décide de devenir aviatrice et deviendra l'élève de Henri Farbos, pilote français (fondateur de l'aéroclub des Landes de Mont-de-Marsan en 1928). Elle passe son baptême de l'air le 4 juillet 1930, à l'âge de 22 ans.
En 1934, elle s'engage avec les aviatrices Maryse Bastié et Adrienne Bolland dans le combat féministe et devient militante pour le vote des Françaises au côté de Louise Weiss.
Elle prend son premier cours de pilotage en mars 1931 et obtient son brevet de pilote en juin 1932. Dès juillet 1932, elle participe au rallye aérien Caen - Deauville, son avion mal préparé tombe en panne et elle doit dans l'urgence se poser. L'avion reste accroché dans les branches d'un arbre, mais Léno s'en sort sans blessure.
Elle poursuit ses participations aux manifestations : le raid Paris - Saïgon au début de l'année 1933, les 12 heures d'Angers en juillet 1933 (avec Edmée Jarlaud comme passagère5) et le 2 août premier record du monde, celui d'altitude féminin, avec 5 900 mètres.
En septembre 1933, elle se lance dans l'acrobatie aérienne. Michel Détroyat, son moniteur, déclare au terme de sa formation : « Dans quelques mois, elle sera la meilleure acrobate du monde ! »
En juin 1934, Hélène Boucher signe un contrat avec la nouvelle société Caudron-Renault. C'est François Lehideux, patron de Renault de l'époque, qui décide de son embauche. Avec ce contrat elle obtient, outre un salaire assurant son indépendance financière, des moyens techniques lui permettant de donner le meilleur d'elle-même.
Le 8 août 1934, aux commandes d'un Caudron-Renault, Hélène Boucher enlève d'une part le record de vitesse sur 100 km à 412 km/h et d'autre part le record des 1 000 km à la moyenne de 409 km/h (Maurice Arnoux détenait l'ancien record avec 393 km/h). Le 11 août, elle s'adjuge le record du monde féminin à 445 km/h.
Par ailleurs, la société Renault est sous contrat avec Hélène Boucher pour promouvoir sa voiture sport de prestige, la Vivasport 6 cylindres. C'est Marcel Riffard, chef du bureau d'études Caudron-Renault et concepteur du Caudron Rafale, qui a dessiné la Renault Viva Grand Sport (appelée « Vivastella Grand Sport » avant 1935).
Le 30 novembre 1934, Hélène Boucher se tue lors d'un vol d'entraînement sur l'aérodrome de Guyancourt aux commandes d'un Caudron C.460 Rafale. La presse évoque une perte de vitesse à l'atterrissage, l'avion accroche la cime des arbres au-dessus du bois de la croix de Magny-les-Hameaux et s'écrase.
Ce sont les pilotes Raymond Delmotte, Fouquet et Goury, témoins de l'accident, qui arrivent les premiers sur les lieux. Hélène Boucher, gravement blessée, est évacuée vers l'hôpital de Versailles. Elle décède dans l'ambulance dans la côte de Satory à Guyancourt.
Première femme à recevoir un tel honneur, une cérémonie a lieu dans la chapelle Saint-Louis-des-Invalides où son cercueil est exposé pendant 2 jours. Hélène Boucher est décorée, à titre posthume, de la Légion d'honneur avec la citation suivante :
« Pilote aviatrice : 3 ans de pratique professionnelle. »
« Pilote de haute classe, a mis au service de l'aviation française sa foi ardente et son audace réfléchie. »
« A donné toute sa mesure au cours de sa brève carrière. »
« Victorieuse de nombreuses compétitions, a ramené six records à la France, en particulier le record international vitesse toutes catégories sur 1 000 km avec 409 km/h. »
« A donné sa vie à la cause qu'elle avait vaillamment défendue. »
« A été citée à l'ordre de la nation. »
Elle repose au cimetière de Yermenonville, où elle passa sa jeunesse.
En 1934, elle fut lauréate du Prix Monique Berlioux de l'Académie des sports, en tant que femme à la performance sportive la plus remarquable de l'année écoulée.
La Poste française a émis, en 1972, un timbre à l'effigie d'Hélène Boucher et de Maryse Hilsz (Prix Monique Berlioux de l'Académie des sports en 1936).
De nombreux équipements publics, voies, établissements d'enseignement portent son nom.
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Maryse Bastié, née Marie-Louise Bombec, aviatrice française née le 27 février 1898, à Limoges (France), morte le 6 juillet 1952 à Bron. Elle fut la première aviatrice française à décrocher de nombreux palmarès. Ses exploits furent très rapidement médiatisés. Nombre d'établissements scolaires, rues et avenues portent aujourd'hui son nom.
Orpheline de son père à l'âge de 11 ans, la petite Marie-Louise Bombec fut une enfant difficile. Adolescente, elle est ouvrière dans une usine de chaussures comme piqueuse sur cuir. Elle se marie une première fois et a un fils qui meurt très jeune. Divorcée, elle se remarie avec son filleul de guerre, le lieutenant pilote Louis Bastié, originaire de Fiac, petit village proche de Toulouse. C'est à ses côtés qu'elle se découvre une passion pour l'aviation. Le 29 septembre 1925, elle obtient son brevet de pilote sur la station aérienne de Bordeaux-Teynac, qui deviendra plus tard l'aéroport de Bordeaux-Mérignac. Une semaine après, elle passe avec son avion sous les câbles du pont transbordeur de Bordeaux. Mais l'année suivante, son mari Louis Bastié, trouve la mort dans un accident d'avion. Loin de se décourager, Maryse Bastié devient monitrice de pilotage : l'aventure dure six mois et s'arrête avec la fermeture de son école de pilotage.
Affiche d'une réunion en faveur du droit de vote pour les femmes avec projection d'un film où Maryse Bastié apporte son concours à la campagne féministe.
Montée à Paris, elle donne des baptêmes de l'air et fait de la publicité aérienne. Elle décide d'acheter son propre avion, un Caudron C.109 à moteur de 40 ch. Comme elle n'a pas d'argent pour le faire voler, le pilote Drouhin va l'aider à financer sa passion. Le 13 juillet 1928, il lui offre le poste de premier pilote. Elle établit alors avec lui un premier record féminin homologué de distance (1 058 km) à Treptow, en Poméranie.
En 1929, elle établit un nouveau record de France féminin de durée de vol, de 10 h 30, et un record international féminin de durée avec 26 h 44. Ce record lui est repris le 2 mai 1930 par Léna Bernstein 35 h 45). Bien décidée à le récupérer, elle décolle le soir du 2 septembre 1930 et se pose le 4 après 37 h 55 de vol. Elle a lutté jusqu'à l'épuisement contre le froid et le manque de sommeil. Elle établit ensuite un record de distance avec 2 976 km sur le parcours Paris - Uring (URSS). Pour cet exploit, à son retour, elle reçoit la croix de chevalier de la Légion d'honneur et le Harmon Trophy (en) américain décerné, pour la première fois, à une Française.
En 1935 elle crée, à Orly, l'école « Maryse Bastié Aviation ». Encouragée par Mermoz, qui lui a fait faire avec lui un aller-retour, elle s'attaque à la traversée de l'Atlantique Sud. Un mois à peine après la disparition de Mermoz, le 30 décembre 1936, elle traverse l'Atlantique de Dakar à Natal, seule à bord d'un Caudron Simoun.
Dès 1934, elle s'engagera avec Hélène Boucher et Adrienne Bolland dans le combat féministe et devient militante pour le vote des Françaises, en soutenant Louise Weiss qui se présentait aux élections législatives de 1936 dans le 5e arrondissement de Paris.
Lors de l'offensive allemande de mai 1940, elle offre ses services à la Croix-Rouge, notamment auprès des prisonniers français regroupés au camp de Drancy. Lors du départ d'un train vers l'Allemagne, elle est bousculée par une sentinelle allemande et se fracture le coude droit. Elle en garde une invalidité et ne pilote plus. Sous couvert de son activité à la Croix-Rouge, elle recueille des renseignements sur l'occupant.
En 1951, elle entre au service de relations publiques du Centre d'essais en vol. Lors d'une de ses missions, elle trouve la mort dans l'accident d'un Noratlas, après un meeting aérien à l'aéroport de Bron près de Lyon, le 6 juillet 1952.
Maryse Bastié est enterrée à Paris, au cimetière du Montparnasse. Elle était capitaine de l'armée de l'air et totalisait 3 000 heures de vol. De nombreux établissements scolaires français portent son nom. Un timbre-poste à son effigie a été émis. Elle s'est déclarée convaincue de l'utilité de l'espéranto dans l'aviation
Quelques records
En 1930, elle bat le record de durée féminin international en 37 heures 55 minutes.
En 1931, elle s'empare du record féminin international de distance, avec 2 976 kilomètres.
En 1936, elle réalise la traversée féminine de l'Atlantique Sud en 12 heures 5 minutes.
Honneurs
Croix d'honneur du Mérite Civique (1931)
Ordre de l'Étoile rouge (URSS, 1931)
Chevalier de l'ordre de la Croix du Sud (Brésil, 1937)
Officier de l'ordre national du Mérite (1937)
Médaille d'or du Progrès (ou médaille des pionniers, 1937)
Plaque de vermeil de l'Aéro-Club de France (1937)
Ordre de l'Étoile de Roumanie (1937)
Médaille d'or de l'éducation physique (1937)
Commandeur de l'ordre de l'éducation nationale (Palmes académiques, 1937)
Croix du Mérite du Chili (1938)
Croix de l'Aviation (Pérou, 1938)
Ordre de Simon Bolivar (Venezuela, 1938)
Croix de saint Olaf (Norvège, 1940)
Commandeur de la Légion d'honneur (1947, chevalier en 1931)
Croix de guerre 1939-1945 avec palme
Médaille de la Résistance
Médaille de l'Aéronautique
Commandeur de l'ordre royal du Cambodge
Citation à l'ordre de la Nation
Son nom est donné à un lycée de Limoges, à un collège de Nantiat et à un collège de Dole.
Un monument de Félix Joffre en son honneur est dressé dans le square Carlo Sarrabezolles à Paris.
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Le reçu pour solde de tout compte est un document remis, en France, par l'employeur à un salarié à la fin de son contrat de travail, et en même temps que le certificat de travail et l'« attestation pôle emploi ». Ce document récapitule les sommes qui restent à payer à l'employé avant son départ (salaire, heures supplémentaires, indemnités de congés payés...). Il est signé après avoir reçu les sommes qui y figurent ; les sommes étant versées après la notification de rupture du contrat.
Aspects juridiques
Selon le ministère du travail, le reçu pour solde de tout compte est obligatoire. Cette interprétation est contestable, et n'est pas partagée par tous. Le solde de tout compte, établi par l'employeur, et dont le salarié lui donne reçu, « fait l'inventaire des sommes versées au salarié lors de la rupture du contrat de travail. » . Ce reçu peut être dénoncé dans les six mois qui suivent la signature, délai au delà duquel il devient libératoire pour l'employeur des sommes qui y sont mentionnées, ce qui veut dire que le salarié considère que les sommes figurant sur le reçu à titre de salaires ou d'indemnités correspondent à ce qui lui est dû. Aucune réclamation n'est plus possible à ce titre après ce délai. Bien qu'aucune jurisprudence ne semble être encore intervenue sur ce point, il est vraisemblable que le salarié puisse encore réclamer après l'expiration du délai de six mois des sommes ne figurant pas sur le reçu (indemnisation de la clause de non-concurrence, indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse...).
Selon l'article D. 1234-7, le reçu pour solde de tout compte est établi en double exemplaire. Mention en est faite sur le reçu. L'un des exemplaires est remis au salarié.
Si le reçu pour solde de tout compte est dénoncé, il doit l'être par lettre recommandée D. 1234-8.
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Émile Gallé, né à Nancy le 4 mai 1846 et décédé dans la même ville le 23 septembre 1904, est un industriel, maître verrier, ébéniste et céramiste français. Il est fondateur et premier président de l'École de Nancy en 1901.
Enfant de l'Art et du commerce, il est l'une des figures les plus marquantes des arts appliqués à son époque et l'un des pionniers de l'Art nouveau. C'est également un précurseur en matière de génétique et d'évolution concernant le monde végétal, ses travaux méconnus du grand public sont d'une grande pertinence puisqu'ils précèdent ceux de Mendel et en annoncent pourtant les grandes lignes. À la porte de son atelier de Nancy on pouvait lire cette devise : « Ma racine est au fond des bois. ».
Son père, Charles Gallé (1818-1902), est déjà d'une envergure peu commune. Artiste peintre, il maîtrise l'art délicat de l'émail mais, après son mariage avec Fanny Reinemer issue d'une famille de négociants en faïences et cristaux, il lance l'entreprise familiale dans une production propre et y rencontre le succès. C'est dans cette ambiance éclectique qu'Émile recevra une éducation à la fois attentive et audacieuse.
Après des études secondaires à Nancy couronnées du baccalauréat, il va en 1865 apprendre l'allemand à Weimar et y poursuit des études de minéralogie. C'est ensuite l'apprentissage des métiers du verre et de la céramique à Meisenthal. Son approche n'est pas simplement théorique et Émile ne craint pas de s'initier au soufflage. Il adjoint à cela de bonnes connaissances en ébénisterie et surtout la passion familiale pour les sciences naturelles et plus particulièrement pour les plantes qui l'amène au dessin.
Émile Gallé mène une vie simple, voire austère. Il effectue des études sur les plantes, les animaux, les insectes. Quelques fois, il seconde son père. Le soir, il lit des recueils de poésie. Cette influence sera notable surtout vers 1882, quand il aura assimilé les différentes expériences de sa jeunesse. De 1884 à 1889, il cristallise ses idées dans son livre Écrits pour l'Art.
Gallé est moins connu pour son engagement social, notamment avec son ami, le botaniste Georges Le Monnier. Humaniste convaincu, il est un des fondateurs de l'Université populaire de Nancy et devient trésorier de la Ligue française pour les droits de l'homme. Il condamne publiquement le génocide arménien, défend les Juifs de Roumanie et, malgré les risques commerciaux, est le premier à défendre publiquement Alfred Dreyfus.
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Le sport en France est caractérisé par une tradition sportive ancienne et une grande variété de disciplines pratiquées à haut niveau. La France a un rôle prépondérant dans l'organisation du sport modernenote 35 et son palmarès, depuis la fin du xxe siècle, en fait l'une des meilleures nations au monde dans de nombreux sports. Pour l'année 2010, la France est cinquième du classement mondial établi par Havas Sports & Entertainmentnote 36 qui comptabilise plus de 1 500 événements sportifs.
Le football est le sport le plus populaire, avec plus de 2,3 millions de licenciés (dont 97 % d'hommes), une popularité accrue par la double victoire de la France lors de la coupe du monde en 1998 puis du championnat d'Europe en 2000. Le tennis (deuxième sport en termes de licenciés), l'équitation, les arts martiaux, le basket-ball, le handball et le golf sont également très pratiqués, sans oublier le rugby et la pétanque, essentiellement dans le sud du pays.
Près de sept millions de Français pratiquent le ski chaque hiver, le plus souvent en dehors de toute organisation sportive. Quant à l'escrime et au cyclisme, il s'agit des disciplines dans lesquelles la France est la plus titrée (respectivement 44 et 41 titres olympiques après les Jeux de Vancouver en 2010).
Le tournoi de tennis international de Roland Garros à la porte d'Auteuil à Paris et le Tour de France cycliste sont des événements annuels importants, ainsi que l'Euro de football attendu en 2016.
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Mélissa Lauren (pseudonyme de Barbara Masvaleix), est une actrice et réalisatrice de films pornographiques française née le 16 octobre 1984 à La Rochelle, en Charente-Maritime.
Mélissa commence par étudier la cuisine pendant trois ans au lycée hôtelier de La Rochelle puis travaille au restaurant de l'hôtel George V comme pâtissière.
En lisant un journal, elle tombe sur une annonce du réalisateur John B. Root. Elle débute dans le cinéma pornographique six jours plus tard, en juin 2003. Elle est alors âgée de 18 ans et demi.
Elle tourne ensuite dans des productions Marc Dorcel et Blue One avant de partir pour les États-Unis.
En janvier 2006 elle met en scène une série intitulée Hellfire Sex ; la jeune hardeuse y propose un programme extrême fait de bondages, de SM, et de sexe agressif. En aout 2006, Melissa Lauren réalise son premier film pour Combat Zone, intitulé Plucked then fucked avec Samantha Sin comme performeuse notamment. Elle devient ensuite réalisatrice pour la compagnie américaine Diabolic.
Après trois années passées dans ce pays, elle revient en France pour signer, fin mai 2007, un contrat d'exclusivité d'un an renouvelable avec Marc Dorcel, devenant ainsi la sixième Dorcel Girl de la compagnie.
En avril 2008, Mélissa Lauren est à l'affiche du plus gros budget du X français (230 000 €) : Casino-No-Limit (consacré meilleur film X aux Venus Awards de Berlin en octobre 2008), réalisé par Hervé Bodilis et produit par Marc Dorcel.
Entre ses premiers pas en 2006 et 2007, Melissa est visible sous 3 apparences différentes. On peut ainsi dater ses vidéos :
d'abord blonde, avec déjà un piercing au nombril ainsi qu'un piercing à la langue (vidéos de 2003 et 2004) ;
puis brune avec un piercing sur chaque mamelon (vidéos de 2005) ;
puis cheveux noirs avec des implants mammaires (vidéos à partir de 2006).
L'actrice possède un tatouage en latin sur son avant-bras droit : Qvod Me Nvtrit Me Destrvit (« ce qui me nourrit me détruit »).
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L'Appartement de la marquise de Pompadour est situé au château de Versailles et a accueilli Madame de Pompadour de 1745 à 1750, qui était la favorite de Louis XV.
Panneau signalant le mécénat dont a bénéficié l'appartement.
L'appartement se trouve dans l'attique surplombant le Grand Appartement du Roi, au second étage du corps central du château de Versailles. L'appartement de la marquise se situe précisément au-dessus des salons de Mercure et d'Apollon. On peut accéder à l'appartement avec le degrés d'Épernon ou un escalier semi-circulaire, qui mène directement, deux étages plus bas, à l'appartement intérieur du Roi.
Les quatre pièces principales donnent directement une vue dégagée sur le parterre du Nord du jardin de Versailles.
L'appartement a d'abord été habité, en 1743 et 1744, par la duchesse de Châteauroux, Marie-Anne de Mailly-Nesle, ainsi que par sa sœur, la duchesse de Lauraguais. Ce n'est qu'après la mort de la duchesse de Châteauroux que Louis XV donne l'appartement à Madame de Pompadour. Cette dernière l'occupe de 1745 à 1750. En effet, en 1750, elle cesse peu à peu d'être sa maîtresse, tout en restant son amie, et quitte donc son appartement pour aller s'installer au rez-de-chaussée du château.
L'appartement a été conservé en l'état depuis son occupation par la Marquise de Pompadour, mais il a cependant été remeublé et restauré grâce à des donations, des legs et au mécénat de Verel de Belval, Swarovski et Houlès.
De nos jours, l'appartement n'est ouvert au public que dans le cadre de visites conférences.
Les appartements sont peu spacieux, mais très intimes comparés à la majorité des pièces du château ; est détaillé ci-dessous leur agencement.
On entre dans l'appartement par une garde-robe depuis laquelle on pouvait accéder à une chambre entresolée où dormait Mme du Hausset, la femme de chambre de la marquise. On passe ensuite dans le Grand cabinet qui fut jusqu'en 1745 la chambre de Mme de Pompadour. Ce n'est que vers 1747-1748 qu'il devint un grand cabinet (c'est-à-dire un salon de réception). Ce dernier donne accès au Petit cabinet (au-dessus du salon d'Apollon), mais mène également à l'antichambre.
Celle-ci possède une cheminée datant de Louis XIV et possède également un accès vers le reste du château. L'antichambre et la chambre qui suit ne furent créées qu'en 1748, à l'emplacement d'une unique grande pièce qui était probablement le grand cabinet de Mme de Châteauroux.
La chambre à coucher a été installée en 1748 par Gabriel ; le lit est placé dans une alcôve, entourée de deux petits cabinets permettant un accès au lit par derrière. Elle possède toujours son mobilier original, bien que celui-ci ait été restauré.
Il y a également eu deux antichambres qui ont aujourd'hui disparu ; l'une des deux constituait alors une salle à manger.
L'appartement possédait enfin un cabinet des bains et une chaise percée.
Robe à la française des années 1740.
Dico
Dessin
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Couleur
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Noir et blanc
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Montage
Gif
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