aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Budget 2016 : des députées veulent réduire la «taxe tampon»
Un amendement sur la «taxe tampon» a été déposé dans le projet de loi de finance 2016, examiné ce mercredi soir à l'Assemblée nationale.
L'objectif ?
Faire inscrire les produits hygiéniques dans la catégorie des produits de première nécessité, soumis à une TVA réduite de 5, 5% et non de 20 %.
L'Assemblée nationale pourrait adopter ce soir un amendement qui établirait à 5.5 % la TVA sur les produits hygiéniques. Flickr/Aaron Fulkerson Le projet de loi de Finance 2016 dont l'examen en séance publique a débuté ce mardi recèle quelques surprises.
L'une d'entre elles et non des moindres est un amendement soutenu en commission parlementaire sur les produits de protection hygiénique féminine. Plus exactement sur la taxation de ses produits, plus connu sous le nom de «taxe tampon». Une trentaine de députés dont Sandrine Mazetier et Catherine Coutelle du Parti socialiste portent cet amendement qui vise à rétablir une anomalie du code général des impôts.
Les protections périodiques taxées à 20% «Dans son article 278‑0 bis, le code général des impôts précise la liste des biens et services sur lesquels est appliqué un taux réduit de 5,5 % de TVA.
Il est actuellement mentionné que ce taux réduit s’applique pour l’eau et les boissons non alcooliques ainsi que les produits destinés à l’alimentation humaine (sauf exceptions explicitement mentionnées dans ce même article).
Produits de « première nécessité », les protections périodiques (tampons, serviettes et coupes menstruelles) sont quant à elles encore soumises à une TVA de 20 %.» précise cet amendement dont le but est d'établir «la première nécessité» des produits de protection périodique pour les femmes et donc d'y appliquer une taxe de 5.5 % comme pour les rasoirs dans le cas des hommes... La vigilance des associations
C'est le collectif Georgette Sand qui a porté ce projet de rééquilibrage du code des impôts. Du côté de Osez le féminisme on applaudit l'initiative.
«On va enfin prendre en considération ce qu'est un cycle menstruel pour les femmes ! Les produits périodiques ne sont pas des produits de luxe. Pour des femmes qui sont au RSA, par exemple, c'est un budget important. Il faudra toutefois être vigilants pour que la baisse de la TVA soit répercuté sur les prix et que les fabricants n'augmentent pas leurs marges au passage.» explique Claire Serre-Combe porte-parole de l'association féministe.
«Ce sera aussi intéressant de voir si le Sénat composé à 74 % d'hommes vote cet amendement» ironise la féministe. Le collectif Georgette Sand chiffre la dépense en protections hygiéniques dans une vie à une somme située entre 1500 et 2000 euros. Une baisse de la TVA serait donc significative pour plus de 14, 7 millions de femmes concernées...
«Les règles ne sont pas un choix pour les femmes» L'amendement pourrait même être voté dès ce mercredi soir, au vu de la vitesse des débats à l'Assemblée.
«On parle de taxes roses. Ces produits qui sont vendus aux femmes plus chers que l'équivalent pour les hommes. Le gouvernement avait proposé de réaliser une étude, avec d'autres députés on a devancé l'appel. Les règles ne sont pas un choix pour les femmes, il fallait donc que les produits périodiques soient déclarés comme un produit de première nécessité» renchérit Catherine Coutelle, députée de la Vienne.
«C'est très bien que des femmes comme les blogueuses de Georgette Sand débusquent les inégalités qui se nichent partout» conclut la parlementaire toujours en première ligne pour défendre les droits des femmes.
Le militaire jette son chien du 3e étage
Arrêté lundi soir par la police, un militaire de la garnison de Montauban a été placé en garde à vue au commissariat pour avoir consécutivement commis une violation de domicile, des violences contre sa compagne et un acte de cruauté envers un animal.
Il escalade la façade et pénètre par une fenêtre Il était près de 18 heures, ce lundi, lorsque ce militaire âgé de 31 ans quitte son casernement pour se rendre au domicile de sa compagne.
Une femme avec qui, les relations sont tendues, cette dernière lui aurait, en effet, demandé quelques jours auparavant de débarrasser ses affaires de son appartement.
Parmi celles-ci, un chien de berger belge, plus connu sous le nom de malinois que cette Montalbanaise lui aurait réclamé de venir récupérer au plus vite.
Escaladant la façade du domicile de sa compagne, le trentenaire parvenait à se hisser jusqu'à un balcon donnant sur la cuisine de l'appartement de la jeune femme.
Cette dernière étant absente, le militaire s'introduisait par une fenêtre restée ouverte. À l'intérieur, il ramassait ses affaires et décidait de quitter les lieux. C'est au moment où il s'apprêtait à pénétrer dans l'ascenseur qu'il tombait finalement nez-à-nez avec sa concubine.
Visiblement énervée par l'intrusion de ce son «ex» à son domicile, la Montalbanaise ne manquait pas de lui lancer une volée de bois vert. Les insultes fusaient, le militaire s'en serait alors pris à elle en la projetant contre un mur.
Revenu dans l'appartement avec la propriétaire des lieux, l'homme qui était vraisemblablement excédé par la situation et les demandes de son «ex» de reprendre son chien, s'en prenait à l'animal.
Après avoir ouvert une fenêtre de l'appartement situé au troisième étage d'un immeuble du centre-ville, le militaire s'emparait du malinois pour le jeter par l'ouverture.
L'animal s'écrasait au sol plusieurs mètres plus bas. Grièvement blessé, l'animal qui était conduit dans un cabinet vétérinaire de la cité d'Ingres souffrirait d'hémorragies et de fractures.
Interpellé, l'individu a passé la nuit au commissariat où il a finalement été relâché, hier à 14 heures.
Joint le substitut du procureur, Mathias Marchand confirmait que le militaire serait prochainement poursuivi devant le tribunal correctionnel tant pour la violation de domicile que les violences sur concubin (sans ITT) et plus lourd pour le mis en cause, d'acte de cruauté envers un animal.
Une dernière accusation qui pourrait lui valoir d'être poursuivi par les associations de protections animales…
Argenteuil : elle tuait les moutons à la scie circulaire
Archives. Déjà condamnée pour la détention illégale de 38 moutons, une femme de 46 ans a été jugée pour avoir tué clandestinement des moutons en septembre 2014.
L’abattage clandestin de moutons l’a déjà conduit plusieurs fois devant un tribunal. Aïcha Z., 46 ans, condamnée pour des faits similaires par le passé, était à nouveau jugée devant le tribunal correctionnel de Pontoise ce mercredi, en récidive.
Cette fois pour des faits datant du 26 septembre 2014 révélés… par un banal incendie de cuisine. Express 7 mouton entassé. Plus loin, sur le terrain du pavillon de l’avenue Jean-Jaurès, à Argenteuil, le cadavre d’une chèvre, tuée visiblement par les émanations de fumées.
Les constatations effectuées par la police et par les agents de la DDPP (les anciens services vétérinaires) ne s’arrêtent pas là : trois sacs poubelles sont retrouvés contenant les restent de moutons égorgés et dont la viande a été ôtée.
Le sang s’écoule encore, signe que l’abattage était récent. La peau est également présente, dans les sacs ce qui exclue l’abattage dans un abattoir. Une scie circulaire encore sanguinolente est également repérée, avec, à proximité, des déchets animaux, un croc de boucher…
Outre l’abattage clandestin, les poursuites visent également la privation de nourriture ou d’abreuvement, la privation de soin. « Il y avait de l’herbe, de l’eau. Jamais je ne ferai du mal à un animal. Je n’ai jamais tué de mouton ! » Aïcha Z.conteste fermement l’abattage. L’explication de leur présence : « J’ai rendu service à une personne dont la bétaillère était en panne.
C’était pour une heure et demi.Rendre service ce n’est pas illégal ! » Quant aux sacs de cadavres : « Ils ne sont pas à moi, je les ai récupérés.Il m’arrive de faire pareil pour les chats morts. » Le procureur a requis six mois de prison avec sursis mise à l’épreuve avec l’obligation de payer les amendes dans un délai de 18 mois. Plusieurs amendes de 450 € et 750 € ont été demandées par le parquet.
La SPA, l’Association nationale de défense des animaux et l’association Stéphane Lamart ont demandé au total 5 000 € de dommages et intérêts. Le tribunal rendra sa décision le 9 décembre prochain.
De la neige en Belgique mi-octobre, du jamais vu depuis 1975
Il a neigé en Belgique ce mercredi. Une première si tôt dans la saison depuis 1975 !
Neige dans les Hautes Fagnes ce mercredi.
La neige est tombée ce mercredi en Belgique. Ce devrait encore être le cas ce jeudi. Quelques flocons, pas de quoi faire de la luge ou du ski mais quelques petits centimètres qui ont surpris tout le monde chez nos voisins.
Ces chutes de neige sont exceptionnelles, si tôt dans l'année. Selon l'Avenir, c'est la première que cela arrive depuis 1975. Bien sûr, ces chutes de neige ont eu lieu dans les parties les plus hautes de la Belgique, à l'Est (autour de 400-500 m d'altitude) : Bastogne, Vielsalm, Baraque de Fraiture...
La chaîne de télévision RTL a tourné un reportage dans les Hautes Fagnes. En fin de matinée, la température était de 0 degré dans ce secteur de la Belgique. Mais ça n'a duré que quelques heures, l'hiver ce n'est quand même pas pour tout de suite.
Si vous trouvez la sérénité et le bonheur, la jalousie en rongera peut-être certains.
Soyez néanmoins heureux . Le bonheur n'est pas un outil, c'est une fin en soi. Si vous fondez votre existence sur les réactions des autres, vous déléguez votre bonheur à ces personnes.
Le bonheur, c'est un travail intérieur. Rien ni personne ne vous l'apportera ; vous l'apporterez en revanche à tous et aux événements de votre vie.
Prévenez la contamination en vous rappelant que vous êtes le gardien de vos champs énergétiques. La jalousie, les reproches et la médisance ne doivent pas spolier votre droit au bonheur.
D'ailleurs, votre réponse sereine à ces attaques influera graduellement sur leur champs énergétiques malsains et votre bonheur triomphera de leur jalousie.
L'émouvante histoire d'une maman qui a engagé un combat à vie contre la maladie de son enfant.
Eglantine Eméyé, auteur du documentaire "Mon fils, un si long combat" dont la diffusion sur France 5 avait ému plus d'un. Elle nous revient avec son œuvre "Le Voleur de brosse à dents" en donnant des nouvelles de son fils Samy, âgé de 10 ans et polyhandicapé sévère.
Désormais, il vit dans un hôpital à Hyères où on prend bien soin de lui. Son livre est très émouvant, mais il démontre la capacité de résistance et sa détermination à se battre pour rendre heureux son fils.
Elle en parle dans cette interview réalisée par Métronews.fr. Pourquoi revenir sur l'histoire de votre fils Samy dans un livre ?
L'idée ne m'est pas venue naturellement, mais à l'époque du documentaire, Mon fils, un si long combat, j'ai reçu beaucoup de messages de soutien. De nombreux parents me remerciaient notamment d'avoir ouvert la fenêtre sur ce type de handicap. Ils me demandaient d'aller plus loin et de donner des nouvelles de Samy. J'ai finalement rencontré une maison d'édition et je me suis lancée. C'est peut-être utopique, mais j'aimerai que mon livre soit utile. J'espère aussi qu'il aidera mon fils aîné Marco, qui a 13 ans aujourd'hui, à comprendre comment j'ai vécu les choses.
Ce livre, je l'ai aussi écrit pour lui. Samy est très lourdement handicapé depuis sa naissance. Il ne parle pas, ne dort pas, pousse des hurlements et s'automutile. Votre quotidien a longtemps été marqué par une violence inouïe...
C'est vrai que je n'ai pas eu de bol car les enfants handicapés et autistes ne sont pas tous comme Samy. Un jour, un médecin m'a dit que j'avais eu droit à tous les pires trucs (Rires).
Samy est polyhandicapé, épileptique et il a des troubles autistiques. Il a même fait un AVC quand il était bébé. Le plus difficile a été de me battre physiquement avec mon enfant. C'est épouvantable.
Comment peut-on laisser des parents vivre ça seuls ?
La société est hyper mal fichue, égoïste et monstrueuse. Quand on entend des histoires de parents à bout de nerfs qui finissent par tuer leur enfant, je me dis qu'au fond, ce n'est pas de leur faute... Dans la plupart des articles, on vous qualifie de "mère courage".
Qu'en pensez-vous ?
J'ai horreur de cette étiquette qu'on est en train de me coller. Tout comme je ne supporte pas tous les papiers qui ne parlent que de l'aspect négatif du handicap. Vous devriez regarder les autres parents, ils sont tous aussi forts que moi. Nous ne sommes pas exceptionnels, ou plus doués, c'est juste que nous n'avons pas le choix. Et puis, je n'ai pas l'impression de m'être sacrifiée non plus, j'ai toujours continué à vivre, à aller dîner avec des copines, à m'amuser.
Justement, malgré le sujet, il y a beaucoup d'humour dans votre livre. C'était important ?
C'est fondamental. Je voulais montrer qu'on est comme tout le monde. Même si on a un enfant handicapé, la vie ne s'arrête pas pour autant. On peut encore s'amuser et rire. On peut même se moquer de nos enfants ! Quand Samy vivait encore avec nous, j'étais épuisée, frustrée, mais je n'ai jamais été malheureuse. On n'a pas le temps de l'être (Rires).
Le fait d'avoir été déjà maman d'un petit garçon avant d'avoir eu Samy vous a-t-il aidé ?Enormément. Si je n'avais eu que Samy, je n'aurais pas eu de point de comparaison, donc j'aurais moins vite vu qu'il y avait des problèmes. Et puis Marco m'a obligée à être constamment gaie : il s'en fichait que je sois crevée et que j'ai passé la nuit à me battre avec Samy. Je devais être disponible pour jouer avec lui. Ce n'était pas facile mais ça a été drôlement indispensable. Il a aussi satisfait mon envie viscérale de contact que je n'avais pas avec Samy.
Vous racontez aussi que votre couple n'a pas survécu...
L'arrivée d'un enfant déjà c'est compliqué, alors quand celui-ci est handicapé, quel temps pouvez-vous consacrer à votre couple ? Il faut être sacrément solide pour tenir, et nous visiblement, on ne l'était pas. Il y a malheureusement beaucoup de familles monoparentales dans le handicap.
Depuis 2 ans Samy ne vit plus avec vous, mais dans un hôpital à Hyères, dans le Var. Comment va-t-il ? Samy va beaucoup mieux. C'était un enfant qui ne souriait pas beaucoup, et aujourd’hui il a même des éclats de rire. Il vient beaucoup plus vers nous également. Notre vie avec Marco a radicalement changé. J'étais tellement dans la fatigue et dans la violence, que la rupture a été salutaire.
Comment vivez-vous la séparation ?
C'est très compliqué. Je sais que c'est une chance d'avoir trouvé un endroit où il est enfin heureux, mais ça me vrille le cœur de me dire qu'il est mieux à l’hôpital qu'avec moi. Mais les choses étaient vraiment devenues impossibles.
Samy est très grand pour son âge, c'était de plus en plus compliqué pour le nourrir ou lui changer les couches.
Pensez-vous au jour où Samy sera adulte ?
Je me projette peu. Je veux bien changer ses couches à 10 ans, mais le jour où il sera grand et barbu, ça va être compliqué. Là c'est encore un gros bébé, il est attendrissant. Mais je ne sais pas s'il suscitera la même tendresse plus tard.
Comment vais-je faire si l'hôpital ne peut plus le garder un jour ? Je préfère ne pas y penser et vivre au jour le jour.
Marco, votre aîné qui a 13 ans, a-t-il lu votre livre ?
Oui, mais je ne sais pas ce qu'il en a pensé. Par contre, depuis qu'il l'a lu, il est très protecteur envers moi. Quand je rentre de tournage, il me saute dans les bras, me défait ma valise et met la table sans que j'ai besoin de lui demander !
Malgré les difficultés que vous avez rencontré avec Samy, vous avez toujours continué à travailler.
C'était essentiel ? Oui, parce qu'il fallait bien que j'assure financièrement ! Et puis j'ai suivi le conseil des infirmières de Necker qui m'ont fait promettre de ne pas faire comme certains parents et tout arrêter pour me consacrer uniquement à Samy. Ça a véritablement été salutaire. Faire un métier de représentation, où on doit toujours avoir le sourire, ça m'a aidée à ne pas m'enfermer.
Avez-vous pensé à avoir un autre enfant après Samy ?
Non, je n'aurais pas pu. J'aurais eu l’impression de retirer quelque chose à Samy. Prendre du plaisir avec un autre enfant "mieux" que lui, ça m'aurait fait culpabiliser. Sans parler du fait que j'aurais été ultra angoissée pendant la grossesse. Et puis gérer un bébé avec Samy, c'est trop compliqué !
Faire un don de petits gestes d'amour, leur prix sont nuls, mais leur lumière brille dans le cœur de ceux qui les reçoivent
Lyon : un enfant en agresse un autre au couteau pour des bonbons
Un enfant de 11 ans a été entendu librement cette semaine par la police de Lyon pour une agression au couteau présumée sur un autre petit garçon âgé de 9 ans Les faits sont survenus le 10 septembre dernier, en fin d'après-midi, dans un centre commercial de Saint-Priest au sein de la Métropole de Lyon.
L'agresseur présumé, un enfant de 11 ans, s'en serait pris à un autre garçon de 9 ans qui venait d'acheter un paquet de bonbons dans un magasin de ce centre commercial.
Selon les premiers éléments de l'enquête, il l'aurait menacé à l'aide d'un couteau pour lui extorquer les précieuses friandises.
L'auteur de cette incroyable agression est poursuivi pour «extorsion sous la menace d’un couteau», indique le site 20 minutes qui cite la direction départementale de la sécurité publique du Rhône.
Il doit comparaître devant la justice le 9 décembre pour expliquer son geste.
Espagne : découverte d'un mammifère datant du temps des dinosaures
Le fossile d'une nouvelle espèce de mammifère a été découverte en Espagne.
Doté de poils mais aussi d'épines, il vivait il y a 125 millions d'années, au temps des dinosaures. Des chercheurs ont découvert une nouvelle espèce de mammifère qui vivait il y a 125 millions d'années, au temps des dinosaures: doté de poils mais aussi d'épines, il avait la taille d'un rat et des pattes fouisseuses comme celles des tatous.
Spinolestes xenarthrosu, c'est le nom d'une nouvelle espèce de mammifère découverte par les chercheurs. Doté de poils mais aussi d'épines, cet animal avait la taille d'un rat et des pattes fouisseuses comme celles des tatous.
Il vivait il y a 125 millions d'années, du temps des dinosaures. Le fossile étudié était aussi affligé de la teigne, une mycose qui affecte le pelage et existe aujourd'hui encore, ont constaté les scientifiques. Parfaitement conservé, le fossile a été trouvé en 2011 à Las Hoyas, un gisement du Crétacé inférieur (-127 millions d'années) situé en Espagne près de la ville de Cuenca.
Cette «boule de poils» vient d'être décrite par une équipe internationale de paléontologues, dans une étude parue mercredi dans la revue britannique Nature. Ils ont conclu qu'il s'agissait d'une nouvelle espèce appartenant à l'ordre des eutriconodontes, une lignée de mammifères disparus à la fin de l'ère Mésozoïque (-252,2 à - 66,0 millions d'années).
Il était de la famille des gobiconodontes. Spinolestes xenarthrosus, qui se nourrissait d'insectes et de larves, mesurait 25 cm de long. Il avait des dents acérées, une colonne vertébrale, des pattes aptes à fouiller la terre comme celles des tatous, une crinière le long du dos et des petites épines similaires à celles du hérisson.
Une grande diversité de fossiles à Las Hoyas Si cet animal possédait les caractéristiques classiques de sa famille, comme sa fourrure, la présence d'épines bien particulières «le rend unique en son genre», souligne le CNRS (Centre national de la Recherche Scientifique) français, dont un chercheur à l'Université de Rennes, Romain Vullo, a participé à l'étude.
«Son évolution s'est faite indépendamment d'espèces à épines comme les hérissons». Le fossile possède encore des bronchioles pulmonaires et des restes du foie. «Il s'agit des plus anciens organes internes de mammifères jamais trouvés», souligne Thomas Martin, chercheur à l'Université de Bonn, l'un des auteurs de l'étude.
Les chercheurs ont délimité l'emplacement du diaphragme de l'animal, «une première preuve fossile que le système respiratoire unique des mammifères était bien fonctionnel dès le Mésozoïque», relève le CNRS.
Grâce à ce fossile, «nous avons des preuves concluantes que plusieurs caractéristiques fondamentales des mammifères étaient déjà bien établies il y a 125 millions d'années, au temps des dinosaures», indique Zhe-Xi Luo, chercheur à l'Université de Chicago, un des auteurs de l'étude. Las Hoyas, unique en Europe, est un dépôt sédimentaire qui contient une grande diversité de fossiles, emprisonnés dans un ancien environnement marécageux.