Fandeloup

L’éternité, dans un instant. Et c’est comme un autre monde ouvert. Y avez-vous déjà songé ?

Je t'enverrai un baiser avec le vent et je sais que tu l'entendras, tu te retourneras et, sans me voir , je serai là

L'imagination, c'est libre comme l'oiseau, et vaste comme la mer. Personne ne peut l'arrêter.

"Les champignons, c'est comme les gens ... Rares et modestes, les cèpes se cachent sous les fougères et recherchent l'ombre des sous bois, pressentant l'arrivée des infatigables cueilleurs qui vont les déraciner. D'une divine saveur, très recherchés par les cueilleurs, qui ne sont pas bavards, ne comparent pas leur trouvaille, mais passent leur butin discrètement de la main à la poche ... tout un cérémonial ... D'autres, venus en masse piétinent les lieux prédateurs des sous bois, à l'affût; oubliant la patience et cette naiveté qui donne un goût particulier à ce qui est sauvage et gratuit. ...une course contre la montre ... Préserver l'âme de chacun, et ne pas oublier que les meilleurs champignons poussent parfois sur le fumier

Je crois qu'il y a tellement de mystère dans la vie qu'il y a forcément autre chose que ce qu'on voit."

L’animal qui ressemble à Muriel ?

La chèvre sauvage. Une chèvre des montagnes, qui comme la petite chèvre de Monsieur Seguin, ne supporte pas le manque de liberté. Pour être heureuse, Muriel a besoin d’indépendance et d’espace. Muriel peut se faire apprivoiser et aimer , mais elle souffrira si on lui passe la corde au cou avec un nœud trop serré. Muriel est observatrice. Elle prête attention au moindre détail. Mais elle préfère se tenir à distance. Sans doute parce qu’inconsciemment, elle associe l’être humain à un loup.

POUR VOUS

Je voudrais que tu sois là , que tu frappes à la porte et tu me dirais c’est moi,devine ce que j’apporte et tu m’apporterais toi.

qui a la loi

Je suis triste, et je voudrais m’éteindre. Les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau. J’ai refermé mes bras qui ne peuvent t’atteindre,au fond de ton absence écouter que tu m’aimes, c’est entendre le ciel sans y monter jamais.J’ai peur de ma mémoire ; Elle a gardé ta voix qui m’appelle souvent.N’écris pas ces doux mots que je n’ose plus lire : Il semble que ta voix les répand sur mon cœur ; Que je les vois brûler à travers ton sourire; Il semble qu’un baiser les empreint sur mon cœur.