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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Avec la chaleur annoncée pendant que vous gambaderez dans le zoo, votre crème glacée coulera entre vos doigts... Lui avec cette chaleur, il devra supporter une température qui dépassera de presque 40° , la température de son biotope.... Je hais profondément les directeurs de zoos et les badauds qui s'y rendent.... Si lui infliger ça n'est pas un cas sévère de maltraitance, il faut que l'on m'explique..
Accueil Chirurgie de l’obésité : les médecins alertent sur les dérives !
Alors que la chirurgie de l’obésité est de plus en plus pratiquée. Dans le même temps, les plus grands chercheurs, chirurgiens, médecins et psychologues, tous spécialistes de l’obésité sont de plus en plus réservés.
Avec 45 000 opérés en 2014, il devient pour eux urgent d’alerter. Think Tank obésité, un groupe de spécialistes de la chirurgie de l’obésité qui réfléchissent ensemble
Le Think Tank Obésités : « poursuit l’objectif de sensibiliser les professionnels de la santé, les patients, les pouvoirs publics et les médias à la réalité de l’obésité.
Agir et réagir face à différentes situations ou positions, avec une justesse des propos, pour le service des patients, primum non nocere, est son état d’esprit. »
Il regroupe un grand nombre d’illustres spécialistes de l’obésité dans divers domaines. Il lance une mise en garde sur la chirurgie de l’obésité qui ne serait pas toujours pratiquée à bon escient ni dans les règles.
Ainsi, Patrick Bergevin, chirurgien, n’hésite pas à interpeller les candidats à la sleeve ou au bypass :
Certains chirurgiens peuvent se lancer dans ce créneau sans retenue, poussés par leur égo ou l’appât du gain. Il faut que les personnes obèses le sachent : ce n’est pas sur des critères de volume d’activité ou sur des rumeurs, le bouche-à-oreille, qu’il faut orienter son choix. Mieux vaut s’adresser aux équipes qui exposent clairement avantages et inconvénients, mettent en garde contre les risques, organisent des réunions d’information, s’attachent à une préparation correcte avant l’intervention, même si ça doit prendre du temps.
Sleeve et bypass : Est-ce que cela va améliorer la santé du patient ?
Pour Solenn Carof, sociologue et enseignante à Sciences Po Paris, il n’est pas si simple pour un patient cherchant à subir une sleeve ou un bypass de s’y retrouver…
Mais il n’est pas non plus facile pour le chirurgien de savoir comment lui répondre. En effet, selon elle la chirurgie de l’obésité (ou chirurgie bariatrique) a été mise au point afin d’améliorer la santé des patients obèses. Il convient donc de se poser systématiquement la question du bénéfice/risque.
La seule question que l’on devrait donc systématiquement se poser devrait être : est-ce que cela va améliorer la santé du patient ? Elle rappelle que : Si l’anneau peut être retiré, la Sleeve conduit à l’ablation des deux tiers de l’estomac, quand le By-pass produit un court-circuit gastrique, ces deux dernières opérations étant irréversibles.
Si l’anneau a pour conséquence des difficultés à manger et des douleurs diverses, la Sleeve et le By-pass conduisent également à des carences nutritionnelles, à une prise de médicaments à vie, sans parler des éventuelles conséquences dramatiques et des décès.
Dès lors, compte tenu des conséquences et des risques de la chirurgie de l’obésité, la décision d’opérer ne devrait intervenir que si le patient est bien informé des conséquences négatives et s’il a bien conscience que cela devra entraîner une modification de son quotidien à vie. Elle rappelle également qu’il s’agit d’une intervention devant résoudre des problèmes médicaux et réservée aux patients à la fois obèses et ayant des pathologies associées.
Les chirurgiens ne devraient avoir que cet objectif en tête, même si pour certaines personnes la demande est ailleurs et que l’on peut la comprendre. Notre société véhicule des images ultra négatives et dévalorisantes sur les personnes obèses que l’on imagine
« sans volonté, fainéantes moches et ne sentant pas très bon »…
Il convient donc de bien faire la différence entre ce qui serait de l’ordre d’une injonction de notre société à entrer dans « la norme » et ce qui relève du domaine purement médical. Pour faire simple, la demande de bypass ou de sleeve est-elle motivé par des questions de santé ou car il est difficile d’être gros dans une société si stigmatisante pour les personnes obèses ?
Face à l’augmentation du nombre de chirurgie de l’obésité, elle nous interroge collectivement : La chirurgie bariatrique pose autant de questions techniques et éthiques qu’esthétiques. Elle nécessiterait un débat plus large dans l’espace public, non pas pour la condamner « par principe » mais pour questionner le difficile équilibre entre risques pour la santé et qualité de vie.
Sans partir du principe que maigrir résoudra toutes les difficultés… Décidément, la chirurgie de l’obésité ou chirurgie bariatrique ne cesse de faire débat. Faut-il ou pas opter pour une sleeve ou un bypass ?
Seules les questions de santé devraient être en jeu !
Soleil : déjà trois chiens morts dans des autos surchauffées
Il n’aura hélas pas fallu attendre l’été : trois chiens sont morts cette semaine après avoir été laissés dans des voitures surchauffées.
On ne le rappelle jamais assez : la hausse des températures transforme les voitures en véritables fours pour les chiens, et entrouvrir les vitres ne suffit pas à évacuer la chaleur.
Un chien en est mort en Bavière :
son propriétaire l’avait laissé dans sa voiture sur un parking de supermarché. A l’heure du déjeuner un passant s’est inquiété en remarquant l’état de détresse du chien et a appelé la police qui a brisé une vitre.
Mais malgré tous leurs efforts pour le sauver, le pauvre chien de chasse n’a pas survécu aux deux heures et demi passées dans l’habitacle surchauffé de la voiture . Le propriétaire sera poursuivi pour maltraitance animale.
Un autre chien a été découvert mort dans une voiture à Hambourg :
toutes les vitres étaient fermées. Appelée sur place la police a brisé une vitre mais il était trop tard pour le chien : le vétérinaire présent sur place n’a pu que constater sa mort.
Après l’ouverture des portes, un thermomètre placé à l’intérieur de la voiture indiquait presque 60°. La propriétaire de la voiture qui n’avait pu être localisée encourt des poursuites pénales.
Un troisième chien est mort près de Stuttgart dans des conditions identiques :
la propriétaire d’un jeune chien Labrador l’avait laissé enfermé dans une voiture au vitres fermées. A l’ouverture de l’auto, le chien était mort. La propriétaire fera également l’objet de poursuites pénales. Trois autres petits chiens ont été sauvés in-extremis en Moselle : ils étaient enfermés dans le coffre de toit d’une voiture stationnée en plein soleil sur le parking d’un parc de loisirs.
Ce sont des jappements émanant du coffre de toit qui ont attiré un personnel de sécurité du parc de loisirs. Une fois la serrure forcée, le coffre de toit livrait son contenu : une femelle Jack Russel et deux chiots de six semaines. Les propriétaires des chiens ont été entendus par la gendarmerie et feront l’objet d’un suivi régulier par la SPA. Ces tristes histoires peuvent se répéter et arriver n’importe où avec un soleil de printemps.
Tout le monde ne sait pas à quel point la température monte vite à bord d’une voiture au soleil. N’hésitez pas à rappeler à vos amis propriétaires de chiens à quel point il est dangereux de laisser un chien dans une voiture.
Nous sommes tous différents, mais nous avons tous le droit d’être aimés.. L’abus de tendresse n’est pas dangereux pour la santé.
Uporny est un tigre de l'Amour de 3 ans. L'animal a été maintenu 6 mois dans le centre de réhabilitation d'Utyos. Aujourd'hui, il est réintroduit dans la nature.
Uporny vivait autrefois dans la région russe de Khabarovsky qui s’était au fil du temps trouvée dépourvue de ses proies habituelles. Le jeune mâle avait été relevé comme "à risque".
Retrouvé dans une zone habitable, il se nourrissait de chiens mais n'avait jamais attaquer l'homme. Néanmoins, ces conflits avec le monde des humains lui ont valu d’être capturé en novembre dernier.
Plutôt que de le condamner à une vie de captivité, le gouvernement à décider de lui donner une seconde chance. Le tigre, surnommé "Uporny", mot russe signifiant "têtu", avait été emmené à un centre de réhabilitation où il avait suivi différents examens médicaux.
Il a été vacciner contre les maladies habituelles, ses capacités de chasseur et ses instincts de survies ont été vérifiés. Retour à l'état sauvage Aujourd’hui, ce mâle vient de retrouver la liberté et un nouveau territoire riche en proies potentielles :
"La maison des tigres".
Ce territoire se situe à 200 kilomètres du centre de réadaptation, au niveau de la frontière avec le Parc national Anyuisky. "Ce tigre est prêt à retourner dans son environnement naturel. Il a reçu les substances nutritives nécessaires" a expliqué Eduard Kruglov, le directeur du Centre de Réadaptation d'Animaux Sauvage d'Utyos.
"Le contact humain avec le tigre a été réduit au minimum, l'animal a préservé tous ses instincts sauvages - il chasse, cache sa proie et est terrifié par les humains."
La survie de l'espèce La bête est équipée d’un collier émetteur afin de pouvoir livrer aux scientifiques un certain nombre de données. Un fait rare puisque l'espèce est aujourd'hui menacée.
En effet, cette race, aussi appelée tigre de Sibérie, est représentée par seulement 450 individus, repartis dans les forêts du grand nord de la Russie, de la Chine et de la Corée.