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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Des bébés siamois séparés à l'hôpital Necker Hassan et Boubacar, des frères siamois, ont été séparés à l'hôpital Necker
Hassan et Boubacar sont nés reliés par l'abdomen à Conakry, début janvier.
Les deux enfants ont été séparés le 26 mai 2015, à l'hôpital Necker. Une opération aussi impressionnante que risquée.
Le 26 mai 2015, des bébés siamois guinéens de quatre mois, reliés au niveau de l'abdomen, ont été séparés à l'hôpital Necker, révèle ce lundi Le Figaro.
L'équipe chirurgicale dirigée par le Pr Yves Aigrain et composée de sept praticiens a séparé les organes partagés - foie et trente centimètres d'intestin grêle.
L'opération a commencé aux alentours de 8 heures du matin et s'est terminé vers 18H30.
Hassan et Boubacar, nés au CHU de Conakry fin janvier, étaient reliés au niveau de l'abdomen. Ce n'est que lors de l'accouchement que l'équipe médicale - qui s'attendait à une simple naissance de jumeaux - s'est rendue compte de cette anomalie.
Les enfants, qui pesaient 5,4 kg à la naissance, sont nés par voie basse. Ils ont pu bénéficier de soins médicaux en France grâce à l'association la Chaîne de l'espoir.
Cette naissance a été un événement en Guinée. "Il faut bien comprendre que c'était la première fois que des enfants siamois naissaient vivants dans notre pays", a confié au Figaro le Dr Daniel Agbo-Panzo, chef du service de chirurgie pédiatrique du CHU de Conakry.
Les enfants retourneront bientôt à "Kilomètres 36", une commune dans la banlieue de la capitale guinéenne, retrouver leurs trois frères et soeurs.
Huit animaux massacrés par des jeunes de 10 ans : l'attaque de trop à la bergerie d'En-Vieu
Une partie des brebis torturées, battues à coups de barre de fer. Une partie des brebis torturées, battues à coups de barre de fer.
Lundi, à 18 h 30, deux jeunes individus se sont introduits dans la bergerie du Causse et ont frappé des brebis.
Au total, 7 agneaux et une brebis en gestation sont morts. C'est un appel à l'aide plein de désespoir que veulent lancer les propriétaires de la bergerie d'En-Vieu, sur le Causse.
Un message comme dernier recours après le «massacre» de plusieurs de leurs brebis et agneaux. Jean-Marc Cousinié et ses deux filles, Magalie et Aude, ont repris l'exploitation qui appartenait à la Ville de Castres en janvier 2011.
Aujourd'hui, ils ont près de 1 300 ovins mais ils sont lassés, apeurés, désemparés face à cette énième attaque. Celle de lundi soir vers 18h30, la quinzième de l'année, est celle de trop.
Jean-Marc venait vérifier que tout allait bien lorsqu'il a surpris deux jeunes individus, âgés de 10 ans à peine, versant de l'essence dans les abreuvoirs des pauvres bêtes.
Il les a ensuite poursuivis mais les fuyards ont sauté la clôture, traversé la nationale puis rejoint les caravanes de gens du voyages installés illégalement près de l'aéroport depuis des mois sur un terrain appartenant à la communauté d'agglomération de castres-Mazamet.
En revenant à la ferme, Jean-Marc découvre deux puis quatre,puis six et au final huit brebis et une barre de fer que ces très jeunes adolescents auraient utilisés pour frapper les bêtes.«C'est malheureux pour eux de se distraire un 14-Juillet en faisant souffrir ces animaux», déplore Dany, la mère des exploitantes, venue les soutenir. «On ne se déplace plus seule et on n'ose pas venir ici sans les chiens», regrette Magalie.
60 hectares inutilisables
C'est tout un projet de vie qui est perturbé. «Même si les gendarmes de Labruguière sont très compétents, le système judiciaire est trop long et les coupables connus sont non solvables», désespère Aude. Les sept agneaux torturés puis abattus partaient à la boucherie, chacun devait rapporter environ 200 €. Les dommages et pertes s'entassent et les actes de vandalismes s'intensifient.
Après les vols divers, les dégradations, les tortures d'animaux, les menaces, la famille craint à présent la prochaine action. «On a peur qu'ils nous mettent le feu à la ferme», s'inquiète Aude. «On ne veut pas qu'il arrive un drame», assure pourtant Magalie. Rien qu'en 2014 l'entreprise a porté plainte neuf fois.
«À chaque fois que l'on compte, il manque des brebis. On a écrit à la préfète mais c'est pour le moment sans effet, souligne Aude. La famille regrette surtout que «ces enfants soient délaissés, c'est inhumain et irresponsable» ajoute Dany, qui est enseignante à la retraite. En attendant, à la ferme d'En-Vieu, on n'envisage pas de mettre ses brebis à paître sur une surface de 60 hectares proche du camp. Le chiffre : 134 Brebis >perdues.
Depuis avril 2013, 134 ovins ont été blessés, volés, tués ou disparues. «Les services de l'Etat sont mobilisés»
«On comprend l'exaspération de ces exploitants agricoles mais on ne peut pas laisser dire que l'on ne fait rien. Cela fait plus d'un an que ce dossier est traité, lâche Yves Mathis, le directeur de cabinet de la préfète du Tarn. Les services de l'État sont mobilisés et font le maximum pour leur venir en aide».
Et le directeur de cabinet de rappeler que plusieurs opérations de gendarmes ont eu lieu sur ce site d'implantation de gens du voyage et en coordination avec les services sociaux et les services vétérinaires pour s'assurer du bon traitement des animaux qui y sont présents.
«Encore ce matin (hier, NDLR), une trentaine de gendarmes est intervenue sur le site», indique le représentant de l'État qui affirme que le sous-préfet de Castres s'est rendu à plusieurs reprises sur la bergerie pour écouter les doléances des propriétaires.
«On en fait plus pour cette exploitation que pour n'importe quelle autre du département», indique encore Yves Mathis qui rappelle que les gendarmes avaient «planqué» plusieurs nuits dans la bergerie il y a quelques mois pour interpeller en flagrant délit un voleur de brebis qui y sévissait.
«Et il ne s'agissait pas du tout d'un membre de la communauté des gens du voyage», précise le directeur de cabinet qui refuse «les a priori et les clichés». S'il ne nie pas un problème avec quelques membres de cette communauté, il ne veut surtout pas mettre tout le monde dans le même sac (voir encadré).
«Il faut se méfier des idées reçues», explique-t-il. Enfin en ce qui concerne, les faits de lundi, il assure que les gendarmes vont mener leur enquête et que les contrôles du site continueront. «Il faut du temps pour mener une enquête et cela se fait dans le respect de la règle de droit et des moyens qui sont les nôtres», indique enfin Yves Mathis.
Un casse-tête pour les autorités Ce parking près de l'aéroport sert provisoirement d'aire de grand passage pour les communautés évangélistes des gens du voyage le temps que le sud du Tarn se dote d'un site réglementaire.
Mais depuis plusieurs mois, une poignée de gitans «sédentarisés» y demeurent après avoir été interdits d'aire d'accueil de la Vivarié par le maire de Castres pour ne pas respecter le règlement intérieur. Des gens du voyage qui jouent depuis au chat et à la souris avec les autorités en sautant de ce site à celui près de la gare SNCF à chaque mesure d'expulsion décidée par la justice suite aux recours à répétitions de la communauté d'agglomération ou de la mairie.
En attendant, policiers et gendarmes collectionnent les procédures à leur encontre, notamment pour actes de barbarie sur animaux . Mais quand il s'agit d'enfants de 10 ans, la justice est impuissante
JUSTICE Malgré la gravité des faits, le conducteur ne sera pas poursuivi en justice…
Nord: Contrôlé à 3,34g, l'automobiliste ne perdra pas son permis Une automobiliste subit un contrôle d'alcoolémie à l'aide d'un alcootest numérique.
- Incroyable, mais vrai. Vendredi, un automobiliste qui comparaissait au tribunal pour une très forte alcoolémie au volant a été relaxé révèle La Voix du Nord. Les faits remontent au mois de novembre 2014.
Un habitant de Bourbourg, près de Dunkerque, était contrôlé par les gendarmes au volant de son véhicule avec une alcoolémie de 3,34 g/litre de sang (le taux légal est de 0,5g/l).
En plus de l'alcool, le nordiste était déjà sous le coup d'une suspension de permis. L’homme était, bien sûr, placé en garde à vue et la procédure judiciaire était lancée.
Erreur de procédure
L’automobiliste comparaissait, vendredi, au tribunal de Dunkerque. Là, la magistrate faisait remarquer qu’une pièce (très) importante manquait au dossier. L’officier de police judiciaire chargé de la procédure avait tout simplement oublié de rédiger le procès-verbal de saisine.
Forcée de reconnaître que, de fait, la procédure était caduque, la magistrate a dû se résoudre à relaxer l’automobiliste.
L’homme s’en sort donc plutôt bien.
Selon la législation en vigueur, il encourait une annulation de son permis de conduire, une peine de 2 ans de prison et une amende de 4 500 euros.
VIDEO. Kazakhstan : décès mystérieux de 120 000 antilopes en voie d'extinction
Plus de 120 000 saïgas, des antilopes menacées d'extinction, ont été trouvées mortes ces deux dernières semaines au Kazakhstan, ex-république soviétique d'Asie centrale.
Le décès mystérieux de ces antilopes suscite de vives craintes pour l'avenir de cette espèce rare. «Plus de 120 000 saïgas sont mortes dans la partie centrale du Kazakhstan, soit plus d'un tiers de la population globale», s'alarme le Programme des Nations unies pour l'environnement (Unep).
Il s'agit d'un phénomène «catastrophique» pour ces antilopes facilement reconnaissables par leur museau allongé qui a l'aspect d'une courte trompette, souligne-t-il.
La mort était inattendue et rapide:
«Les premiers 117 cadavres de saïgas ont été découverts le 10 mai. Onze jours plus tard, il y en avait déjà 28.000», selon l'antenne russe du Fonds mondial pour la nature(WWF).
«Cette perte est un coup majeur porté aux efforts de préservation des saïgas au Kazakhstan et dans le monde entier, dans la mesure où 90% de la population globale des saïgas vit dans notre pays, déplore le vice-ministre kazakh de l'Agriculture, Erlan Nyssanbaïev.
«Nous sommes résolus à identifier la cause de ces décès et prendre toutes les mesures possibles pour empêcher la répétition de tels évènements, assure t-il.
Les saïgas apparemment tuées par une maladie infectieuse Le Premier ministre Karim Massimov a ordonné de créer une commission gouvernementale et sollicité l'aide d'experts internationaux afin d'éclaircir la raison de la mort des antilopes, qui s'est produite en même temps dans trois régions du pays.
Ces morts en masse sont dues à une «combinaison de facteurs biologiques et écologiques», selon les experts du Secrétariat de la Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS) qui a dépêché une mission au Kazakhstan.
VIDEO. Kazakhstan : les antilopes saïgas victimes d'un mystérieux mal
Les animaux ont apparemment été tués par une maladie infectieuse causée par des bactéries du type Pasteurella ou Clostridium, expliquent les experts de la CMS dans un communiqué.
Mais ces «bactéries sont mortelles uniquement pour un animal dont le système immunitaire est déjà affaibli» par des facteurs écologiques comme les pluies abondantes survenues en mai au Kazakhstan, qui auraient pu influer de manière néfaste sur la qualité de l'herbe, précisent-ils.
Une mortalité de 100 % pour les troupeaux affectés Le fait qu'aucun animal n'ait survécu dans les troupeaux affectés rend perplexes les scientifiques qui étudient depuis des années le mode de vie et le comportement de ces antilopes dont les ancêtres vivaient déjà dans cette région à l'ère glaciaire.
«La mortalité de 100% pour les troupeaux affectés est tout à fait extraordinaire», estime Richard Kock, professeur au Collège vétérinaire royal à Londres, qui s'est rendu récemment au Kazakhstan. Même si les antilopes saïgas, dont la durée de vie oscille en général entre six et dix ans, sont des «créatures avec une résistance très faible», ajoute-t-il.
En 1993, la population des saïgas, qui vivent dans les steppes du Kazakhstan, dans l'ouest de la Mongolie et en Russie près de la mer Caspienne, était estimée à un million d'individus, avant de chuter de manière catastrophique.
Les autorités du Kazakhstan se vantaient jusqu'ici d'avoir réussi à porter la population de cette antilope de quelque 20 000 têtes en 2003 à plus de 250 000 en 2013. Avant le début de l'épidémie à la mi-mai, le Kazakhstan comptait déjà plus de 300 000 saïgas, selon un récent rapport de l'Association kazakhe pour la préservation de la biodiversité.
Mais désormais, il faudra au moins une décennie pour que la population de ces antilopes puisse se rétablir après la maladie, estiment des scientifiques. Le secrétaire exécutif de la CMS, Bradnee Chambers, se montre toutefois plus optimiste.
«Les autorités au Kazakhstan réagissent rapidement à ce désastre et travaillent dur pour résoudre le mystère de ces morts en masse», affirme-t-il dans un communiqué.
«Les antilopes saïgas donnent souvent naissance à des jumeaux et leur population est capable de se reproduire rapidement», souligne-t-il. Qui plus est, la chasse aux saïgas est interdite au Kazakhstan jusqu'en 2021 et les braconniers risquent des peines allant jusqu'à 5 ans de prison.
Qui veut jouer dans un téléfilm cet été ?
La place Puvis-de-Chavannnes sera fermée durant le tournage. Photo P. F. (CLP)
Un membre du Palmashow va tourner un film cet été à Cuiseaux. Des figurants, enfants et adolescents, sont recherchés.
Le maire Daniel Bertin vient d’être contacté par un producteur de films : Cuiseaux a été choisi pour servir de cadre à quelques scènes du tournage d’un long-métrage dans le bourg ancien, tournage qui aura lieu entre le 8 et le 13 août.
Il s’agit d’une histoire qui se passe durant la Seconde Guerre mondiale, intitulée La folle histoire de Max et Léon , un film de Jonathan Barré et du Palmashow, que l’on connaît pour ses prestations télévisées sur D8.
Le tournage se déroulera en particulier sur la place Puvis-de-Chavannes et ses rues adjacentes, qui devront donc être fermées durant quelques jours « puisqu’aucun bruit ne doit venir perturber le tournage quand tourne la caméra ! »
Bien sûr, les travaux de la rue Vuillard ne seront pas achevés et ils seront même suspendus durant les trois premières semaines d’août en raison des vacances d’été des entreprises intervenantes, ce qui pose quelques difficultés :
« La partie basse sera finie, relevait le maire mercredi lors du conseil municipal, mais pas la partie haute, par contre il est impératif qu’elle soit praticable à ce moment ».
Recherche figurants Le film nécessite d’embaucher des figurants : des filles et des garçons entre 4 et 15 ans et des ados de 15 à 18 ans, ainsi que des adultes, photos à l’appui, sont appelés à se faire connaître s’ils sont intéressés.
Contact castingmaxetleon@gmail.com
La belle histoire du jour : un chien donne son sang et sauve la vie de son ami
HEROS
- Grâce à un appel lancé sur Facebook, une maîtresse a pu sauver la vie de son animal en trouvant un chien donneur de sang. Un appel sur Facebook a permis à une maîtresse de sauver la vie de son chien.
Un appel sur Facebook a permis à une maîtresse de sauver la vie de son chien.
Elle a bien cru que son chien aller la quitter. L'habituelle promenade d'Ace, un labrador noir de deux ans, avec sa maîtresse Chloe Muir-Smith, habitante de Canterbury en Angleterre, a failli bien mal tourner, raconte le Daily Express.
Comme cela peut parfois arriver, le toutou avait en effet mangé de la mort aux rats sur le chemin. Très malade dès le lendemain, il a rapidement été amené par sa maîtresse dans une clinique vétérinaire, où le diagnostic n'était pas très encourageant.
En raison d'une hémorragie interne, le chien n'avait ainsi d'autre choix que de recevoir une transfusion sanguine dans les plus brefs délais. L'appel sur Facebook change tout La maîtresse n'a alors pas traîné pour demander de l'aide à tous ses amis par téléphone à 23h, sans réussite.
N'ayant d'autre choix que de jeter une bouteille à la mer, elle tente le coup sur son Facebook, pour garder un espoir de sauver son cher animal. Miracle des réseaux sociaux, une amie, Stacey Gott, quittait au même moment son travail, et a pu voir l'appel au secours.
Par chance, cette amie d'enfance avait l'habitude de promener avec elle sa chienne Grace, un autre labrador noir, s'est alors rendu à la clinique.
"Tout s'est passé très vite" Belle histoire oblige, la transfusion a bien sûr été un succès. Son état s'améliorant après à peine quatre heures, Ace a finalement pu rejoindre sa maison deux jours plus tard. Heureuse, sa maîtresse avoue que "tout s'est passé très vite", et que son chien était "à l'article de la mort".
Déjà amis, Grace et Ace sont désormais liés par le sang. Tout le monde ne le sait pas forcément, mais le don de sang n'est pas réservé aux humains. Comme le rappelle Nosamisleschiens, de nombreux chiens meurent chaque année dans l'absence de sang pour les transfuser.
Si vous souhaitez aider, il est possible d'en parler à votre vétérinaire.
Incendie dans l'Hérault : le père de famille meurt après avoir sauvé ses filles
Un père de famille est mort des suites de ses blessures après l'incendie de la maison familiale, dimanche, à Bélarga.
Le père d'une famille dont la maison à brûlé, dimanche, à Bélarga, est mort. La mère est dans un état désespéré.
Il était en état de mort cérébrale depuis dimanche après-midi. Le père de famille dont la maison a brûlé, tôt dimanche, dans le village de Bélarga (Hérault), est mort dans la soirée, selon le quotidien «Midi libre». Hérault : dans un état critique après avoir sauvé leurs fillettes du feu Hérault : dans un état critique après avoir sauvé leurs fillettes du feu Transféré à l'hôpital Lapeyronie de Montpellier, il est décédé vers 21 heures.
Son épouse qui, comme lui, avait été découverte en arrêt cardiaque, serait dans un état désespéré. Leurs deux filles de 3 ans et 5 ans sont, elles, sorties de l'hôpital dimanche. Une fois qu'ils ont pris conscience que leur maison était en feu, les parents ont d'abord récupéré leurs filles mais n'ont eu d'autres choix que de s'enfermer dans la salle de bains, au 1er étage.
Sans courant, impossible d'ouvrir les volets électriques de la pièce, qui était de plus munie de barreaux. Les pompiers sont parvenus à secourir les enfants, mais ont dû attendre un quart d'heure avant de venir en aide aux parents, âgés de 39 ans et de 31 ans.
Une enquête va déterminer si les pompiers auraient pu revenir plus tôt les chercher. La chaleur était telle, selon eux, que leurs casques cloquaient et qu'il a fallu d'abord aérer et arroser la maison avant de pouvoir intervenir de nouveau. La maison n'aurait, par ailleurs, pas été équipée de détecteur de fumée.
Selon une étude, les litières pour chats, dangereuses pour la santé, participeraient à la pollution de l'air.
Un chiffre : 26% des foyers français possèdent un chat comme animal de compagnie.
Combien sommes-nous alors à respirer, au quotidien, des poussières dégagées par sa litière ?
Ces poussières pourraient aggraver ou même provoquer des pathologies inflammatoires pulmonaires, révèle une étude réalisée par le laboratoire du centre hospitalier Saint-Joseph-Saint-Luc de Lyon qui me,t en garde contre leurs effets néfastes pour la santé humaine, après avoir étudié le cas d'une patiente.
Cette dernière souffrait de sarcoïdose (maladie inflammatoire pulmonaire qui touche généralement les poumons) et avait l'habitude de manipuler de la litière pour chat. Les mesures réalisées au cours de l'étude ont mis en relief un taux important de particules fines PM10, particulièrement nocives.
Alors qu'elles ne devraient pas dépasser les 100 ?g/m³, les valeurs ainsi mesurées ont frôlé les 20 000 ?g/m³ dans certaines litières. Selon le Dr Michel Vincent, pneumologue du laboratoire du centre hospitalier, nous sous-estimons encore les risques des poussières cachées.
L'étude avance que les présences d'argile et de poussières de silice sont les plus problématiques. Un désastre écologique Les litières pour chats ont également un impact sur l’environnement. Elles consomment des ressources non renouvelables comme de l'argile extraite de carrières, produisent des poussières dangereuses pour l'environnement et la santé lors de leur fabrication, dans le cas de litières blanchies, parfumées ou traitées au fongicide ou au pesticide, et forment trop de cendres lors de leur incinération.
Selon le Dr Vincent, la solution pour limiter les risques reste « de changer la litière à l'extérieur ou de privilégier une litière végétale donc écologique ».
Choisir la bonne litière biodégradable Au vu des 280 000 tonnes par an de litières utilisées en France, il est important d'en privilégier une moins polluante. Car la version écologique existe. Elle est un peu plus chère dans le commerce mais peut être fabriquée « maison » et a une durée de vie plus longue, une odeur plus agréable, est biodégradable (vous pouvez la jeter dans les toilettes) et plus confortable pour les pattes du chat.
Sachez aussi qu'elle doit absorber les odeurs (le pouvoir absorbant doit dépasser 80 % pour les litières NF environnement) et hydrophile. Elle ne doit pas contenir de produits toxiques (traitement fongicide ou pesticide) qui peuvent nuire à l'animal. Il existe en magasins spécialisés plusieurs types de litières végétales, biodégradables, absorbantes, non toxiques et économiques.
A base de chanvre, de bois, de pin, du sapin ou du peuplier, à vous de choisir celle qui séduira le chat... et le maître ! Bon à savoir : En France , les 10 millions de chats domestiques produisent environ 400 000 tonnes de déchets par an, soit 13 kg de litière chaque seconde. L’empreinte écologique d’un chat est de 0,15 ha par animal soit l'équivalent... d'une grosse voiture.
Selon une étude Euromonitor, le marché français de la litière pour chat était estimé en 2010 à 117 millions d’euros/an (+ 5% en 20 ans), soit au 4e rang mondial derrière les Etats-Unis (la plus forte population féline avec près de 94 millions de chats), l'Allemagne (8,2 millions de chats) et le Japon (15 millions de chats).
Perpignan : « Agression sauvage de mon papa 83 ans » Par Francois
Un octogénaire a été violemment agressé ce samedi, en fin de matinée, dans le quartier Porte d’Espagne, au sud de Perpignan. Un inconnu d’une trentaine d’années l’aurait frappé.
Et ça n’a pas ému grand monde. Un homme de 83 ans a été très violemment agressé ce samedi, en fin de matinée dans le quartier Porte d’Espagne à Perpignan.
« J’ai emmené ma voiture au garage, et je suis parti me promener le long du chemin des Arcades. Là, un homme m’a interpellé et m’a frappé au visage » raconte la victime.
« Je suis tombé à terre et il a continué à me frapper. J’étais sonné, il est parti avec ma sacoche dans laquelle j’avais mes papiers et mon porte-feuille ».
« Je suis tombé à terre, et il a continué à me frapper »
- le vieil homme agressé
« Ensuite, j’ai repris mes esprits, un jeune homme m’a vu, a proposé de m’emmener chez lui pour porter plainte, mais en arrivant devant la maison, sa mère n’était pas là. C’est elle qui avait le téléphone portable et nous n’avons pas pu appeler la police. Je suis donc reparti prendre ma voiture et suis rentré chez moi pour appeler ma famille » précise l’octogénaire.
Sa fille, arrivée sur place, l’emmène alors à l’hôpital de Perpignan. L’homme a le visage ensanglanté et plein de contusions. Il doit être suturé à la tête, il porte le bras en écharpe car sa clavicule serait cassée. Indignée par cette violence gratuite, sa fille a pris son père en photo et l’a publié sur les réseaux sociaux.
Elle veut alerter sur la dangerosité du lieu où son père a été agressé. Mais pour la police nationale de Perpignan, « le chemin des Arcades n’est pas un lieu dangereux, c’est une agression gratuite et d’opportunité ». Ce chemin relie une partie du centre commercial Auchan à la route d’Espagne, et passe près du grand rond-point à trois voies, sur la rocade sud de Perpignan.
« Cet homme de 83 ans marchait dans un endroit hautement fréquenté, le visage ensanglanté, et personne n’a réagi ! Il y a des questions à se poser »
Il aide une fillette à témoigner d’une agression sexuelle
Confiance et protection…
Un chien policier a aidé une petite fille de 10 ans à passer au travers de son douloureux témoignage pour une présumée agression sexuelle.
Il est ainsi devenu le premier chien à soutenir un enfant durant un procès en Colombie-Britannique.
Caber, un labrador blond, est demeuré paisiblement allongé aux pieds de la fillette pendant qu’elle parlait assise dans le siège des témoins, protégée par un écran , en Cour provinciale à Surrey.
Le chien a apaisé la petite fille pour qu’elle puisse offrir un récit complet et sincère de l’agression horrible dont elle aurait été victime l’année précédente, a déclaré le procureur de la Couronne Winston Sayson.
Il a expliqué que l’enfant se penchait pour flatter le chien lors de son témoignage. Et que lorsqu’elle s’effondrait, elle se couchait près de l’animal.
Cela l’aidait à se calmer et à pouvoir compléter son témoignage, a-t-il expliqué.
temoignage
La Couronne est un spécialiste en soutien aux victimes ont déclaré que l’intégration efficace de la bête devrait être vue comme un premier pas vers un usage plus fréquent de chiens lors de certains procès. Il y aurait six chiens accrédités pour aider des victimes en cour au Canada.
Aux États-Unis, plus de 70 chiens font un travail similaire. Le Code criminel contient des dispositions qui permettent certains accommodements pour des témoins vulnérables – habituellement des enfants. Un juge a tranché que Caber pouvait être présent lors du procès, en appui au spécialiste en soutien qui peut accompagner tous les témoins de moins de 18 ans.
L’avocat de la défense ne s’était pas prononcé à ce sujet. Le chien n’était pas là pour aider la Couronne à faire sa preuve, mais plutôt pour aider l’enfant à témoigner.
Le procureur Sayson a indiqué que la fillette avait témoigné pendant 90 minutes. Seuls les chiens accrédités seront admis dans les salles de cour, a toutefois souligné M. Sayson. «On ne veut pas que les gens se présentent avec leur animal de compagnie comme un perroquet ou un boa constricteur», a-t-il dit. «Il doit y avoir une certaine dignité dans la salle de cour.»