Fandeloup

Vous souvenez-vous des Crados?

Version française de Garbage Pail Kids? Une véritable parodie des poupées bout'choux (Cabbage patch kids) qui faisait fureur à la fin des années 80.

Une des parodie de poupées les plus ''gore'' jamais vu à l'époque. Les Crados fut créé par Art Spiegelman, auteur et illustrateur américain. Il s'agissait de divers autocollants et paquets de cartes à collectionner représentant des personnages enfantins obscènes et choquants. Elles étaient disponibles chez les marchands de journaux.

Un album permettait de les coller et d'avoir une légende pour chaque personnage, la liste des chefs de chaque famille (Degueulos, Animos, Gravos ...) ainsi que des jeux.

Toutes les cartes françaises sont extraites de l'énorme bibliothèque de cartes US, les Garbage Pail Kids de la société Topps (1240 cartes au total). Au dos de chacune des cartes, se trouvent des diplômes, des certificats, des permis ou des avis de recherche (etc).

L'album comportait au total 177 cartes. On pouvait y trouver des personnages tels que : GASTON Bouton, LIONEL poubelle, JEAN-LOUIS dégueulis, GUDULE pustule, LAETITIA pudébras et encore plusieurs autres tous aussi scabreux les uns que les autres.

Un film basé sur les Garbage Pail Kids fut produit en 1987 mettant en scène des comédiens de petite taille portant des costumes à l'effigie des petits monstres.

La vie a une fin, le chagrin n'en a pas

Une femme déclarée morte, elle met au monde un bébé 54 jours plus tard

Depuis toute petite, Karla Perez est atteinte de polyarthrite rhumatoïde juvénile.

Les médecins lui ont toujours dit qu’elle ne pourrait jamais avoir d’enfants.

Pourtant, elle a mis au monde une petite fille sans difficultés. Les parents ont alors décidé d’avoir un deuxième bébé .

La jeune femme, âgée de 22 ans, est tombée enceinte mais, cette fois ci, elle n’a pas survécu.

Le 8 février, elle a été victime d’une hémorragie intracrânienne. Karla Perez a été transportée à l’hôpital où elle a été déclarée en état de mort cérébral.

Mais, il était encore possible de sauver la vie du foetus, âgé alors de 22 semaines.

Et le 4 avril 2015, 54 jours plus tard, la maman, morte cliniquement, a donné naissance à Angel. Le petit garçon se porte bien, même s’il est relié à un tube d’alimentation.

Karla Perez est décédée deux jours plus tard.

Aniko Kolesnikova est une artiste qui aime créer des couvertures pour livres, elle se base sur les animaux et sur la végétation... Et de ces beaux mélanges ressortent de très beaux motifs.

Risques d'étouffements liés aux saucisses "knack" : 

alerte les parents L'association de conseil aux consommateurs appelle les parents à la plus grande prudence après le décès d'un enfant de 3 ans en août dernier.

A l'origine du décès, un morceau de peau d'une saucisse de type "knack" resté collé aux voies respiratoires de l'enfant qui a fini par succomber en étouffant.

Pour éviter de nouveaux drames, Ouest France rapporte l'initiative de l'association qui a décidé d'alerter les parents d'enfants de moins de quatre ans et de demander aux industriels de faire figurer sur leurs produits une note recommandant aux parents de « couper la saucisse dans le sens de la longueur, puis en tout petits morceaux, afin de prévenir les risques d’étouffement ».

Une recommandation qui existait déjà pour les saucisses cocktails par exemple.

Pendant ses vacances, elle a trouvé un chien blessé sur la plage. Elle a pris une grande décision. Je suis impressionné!

En vacances en Thaïlande, Jamie Smith ne s’attendait pas à ramener un souvenir qui allait changer sa vie! En se promenant sur la plage, elle a aperçu un pauvre petit chien, qui traînait son corps paralysé sur le sable…

Il avait probablement été percuté par une voiture. L’animal était dans un état épouvantable. Sans l’aide de Jamie, il n’aurait pas survécu beaucoup plus longtemps.

Malheureusement, il était compliqué de trouver une aide adaptée en Thaïlande, Jamie a donc décidé de ramener le chien avec elle au Canada.Ce jour-là, lorsqu’elle a trouvé Leo, il était emmené chez le vétérinaire pour recevoir des soins appropriés.

Deux mois plus tard, il était prêt pour son voyage au Canada.

Finalement, c’était une histoire de patience!Leo semble déjà se sentir bien :). Il apprécie de prendre son temps pour s’habituer aux froides températures du Canada.

En Thaïlande, il faisait un peu plus chaud. Mais cela n’est rien! Chez soi, c’est là où se trouve le cœur :) Le chien a eu un fauteuil roulant spécial qui lui permet de se mouvoir normalement.

Sa propriétaire doit vraiment l’aimer beaucoup!

C’est une belle histoire avec une fin heureuse. Partagez-la avec vos amis !

Livre : un mafieux dégaine sa plume

Giuseppe Grassonelli, ex-parrain sicilien détenu depuis 1992, publie Malerba, un récit de ses meurtres et de sa rédemption primé en Italie. Nous l’avons rencontré en prison.

Alessandra Benedetti

La clé tourne, la porte blindée s’ouvre, laissant passer un homme élégant. Giuseppe Grassonelli est rasé de près, vêtu d’une chemise rose ajustée, un pull fuchsia noué autour des épaules.

Ce Sicilien de 50 ans est condamné à perpétuité, sans remise de peine possible, pour avoir tué, dans les années 1980, plusieurs mafieux. A la prison de Sulmona (Abruzzes), sur la côte est de l’Italie, il est considéré comme « hautement dangereux ».

Etonnamment, seul son regard, noir, perçant, évoque parfois la dureté. Giuseppe Grassonelli est un détenu peu ordinaire. Car il a aussi co-écrit, Malerba ( mauvaise herbe) –, un récit, à paraître le 6 mai en France chez JC Lattès. Il semble ému quand nous le rencontrons, peu habitué aux visites. Ses sœurs et sa mère, restées en Sicile, ne viennent que deux fois par an, le voyage coûte cher.

Une des dernières personnes extérieures qu’il a rencontrée, c’est Carmelo Sardo, le journaliste avec qui il signe son livre. Cela fait plus d’un an, et ce fut le début d’un succès littéraire inédit.

Quelques mois auparavant, la sœur du détenu avait confié un manuscrit à Sardo : le journal de bord de ce parrain, membre de la Stidda, organisation partie en guerre contre Cosa nostra, la mafia sicilienne. Joueur de poker et trafiquant de cocaïne, il y raconte comment il a basculé dans la grande criminalité le jour où des membres de sa famille ont été assassinés par des tueurs de Cosa nostra.

Animé par le seul désir de vengeance, il va abattre plusieurs autres parrains avant d’être arrêté en 1992. Le Giuseppe Grassonelli des années 1980, insouciant et sûr de lui.

– DR Il cite Hegel, Kant… Carmelo Sardo, lui, travaille depuis longtemps sur ce milieu. Et il est originaire de la même ville que Grassonelli : Porto Empedocle. Au début, il trouve l’histoire de Grassonelli classique. A Sulmona, il est pourtant saisi par l’intelligence du criminel qu’il rencontre, et qui a entamé une seconde vie. Issu d’un milieu où la culture est considérée comme une perte de temps, entré en prison analphabète, il vient d’être diplômé de l’université de Naples, en philosophie et littérature , avec félicitations du jury.

Grassonelli cite les philosophes allemands Hegel et Kant ou Leonardo Sciascia, un intellectuel sicilien célèbre pour son engagement anti-mafia. « C’était la seule manière de redonner du sens à ma vie », explique le détenu. En juin 2014, Malerba paraît en Italie. Dans la petite salle anonyme où nous le rencontrons, Grassonelli parle beaucoup, de Camus, de Stendhal… de la littérature russe, d’Anna Karénine, qui lui a permis de comprendre les femmes, de Guerre et Paix, le premier livre sur lequel il mit la main dans une cellule de la prison d’Asinara, une île au large de la Sardaigne.

A l’époque, Grassonelli est jugé dans le cadre d’un procès retentissant. A la barre, une centaine de mafieux. Certains collaborent. Grassonelli, lui, refuse d’aider l’Etat, qu’il juge lié à la mafia. 22 heures d’isolement par jour Condamné à perpétuité, il est soumis au régime strict dicté par l’article de loi 41 bis, créé pour ce type de détenus : 22 heures d’isolement par jour. « J’ai cru devenir fou », raconte-t-il.

Ce sont les livres où il s’est réfugié pour passer le temps qui le sauvent. Aussi, quand en septembre dernier, Malerba a été récompensé par le prix Sciascia-Racalmare, il s’est senti heureux, comme si la société l’avait compris, à défaut de lui pardonner. Le jury populaire qui a décidé de le primer a été touché par ce parcours mêlant réflexions sur l’ignorance, violence et rédemption.

Et ce, malgré la démission d’un juré, dégoûté par la reconnaissance accordée à un criminel « qui ne s’est jamais repenti ». Grassonelli répond : « Malerba n’efface pas mes crimes, il interroge surtout sur comment l’instruction peut combattre la violence. » Cette réflexion est devenue aujourd’hui son espace de liberté. Il sourit et ajoute : « Mieux vaut manier la plume que le pistolet. »

NOUVELLE CAMPAGNE DE DIFFUSION !

Les Chiots ! À l'adresse de tous Particuliers ayant acheté un CHIOT RESSEMBLANT AUX NÔTRES À PARTIR DE FIN FÉVRIER 2015.

Sans doute en ayant l'impression de faire l'affaire du siècle car BRADÉS à la vue de leur QUALITÉ !

Je désire juste les savoir en vie !

Comprendrez - vous ma détresse si vous avez acheté un de mes bébés ? Merci de votre honnêteté et humanité !

Le reste sont des détails ! L'argent n'a aucune importance ! Votre prix sera le mien !

MERCI ! Qui dans vos proches a adopté à partir de fin février ?

Merci ! DIFFUSION SUR TOUS LES MURS ET GROUPES !!!! Ensemble !!!

Etats-Unis: Elle donne naissance à des jumelles de deux pères différents

 Mesdames, être enceinte ne vous empêche pas de retomber enceinte. C’est étrange et rare mais une Américaine, identifiée comme T.M par le Mirror, en a fait les frais.

Le Mirror rapporte que celle qui se fait appeler T.M a donné naissance à deux jumelles nées de deux pères différents. Mère célibataire de jumelles, T.M ne s’est rendue compte de la situation qu’en demandant à son ex-compagnon de payer une pension pour l’aider à joindre les deux bouts avec ses deux bébés.

Test de paternité Un test de paternité a alors été exigé comme le souligne le New York Times, et les résultats ont choqué tout le monde. Seule une jumelle a été identifiée comme l’enfant de son ex-compagnon. T.M a dû avouer qu’elle avait couché avec un autre homme à moins d’une semaine d’intervalle.

C’est un cas rare mais les bébés ont été fertilisés par deux hommes différents durant le même cycle menstruel. Les spermatozoïdes pouvant rester viables jusqu'à cinq jours, T.M. a eu une relation sexuelle avec son ex-compagnon, elle a ovulé puis a couché avec un autre homme moins d'une semaine plus tard.

Le sperme du premier a ainsi donc pu fertiliser un ovule et le second un autre. Probablement le plus étonné, l’ex-compagnon ne versera plus qu’une seule pension de 28 dollars par semaine à T.M.

BOUUUUUUUUUUUH ! Je suis un fantôme !