Fandeloup

Adoption responsable plutôt qu’acquisition

30millionsdamis.fr vous guide pour adopter un chien ou un chat de manière responsable.

POURQUOI ADOPTER ?

Adopter un animal est un acte fort. Vous aurez le sentiment d'avoir accompli un acte utile en adoptant un animal qui patiente dans une structure d’accueil plutôt qu'en achetant votre chien ou votre chat dans un élevage ou dans une animalerie. L’origine des animaux peut se révéler, dans ces dernières, douteuse

car parfois issue de trafic. Pour ne encourager, même indirectement, ce véritable fléau, rendez-vous dans les refuges où l’origine et l’histoire des pensionnaires sont souvent connues par leur personnel.

A éviter à tout prix :

les petites annonces sur internet, qui encourage la reproduction sauvage des animaux. Lui offrir son droit au bonheur et le voir s'épanouir dans votre foyer vous procureront des joies immenses. Un animal adopté, une fois en confiance, vous sera éternellement reconnaissant du geste que vous aurez fait envers lui, et il sera d'autant plus proche de vous.

Vous allez créer un lien tout à fait spécial avec votre animal. Bien souvent, le fait d’ouvrir votre cœur et votre foyer à un « orphelin » jettera les bases d’une relation extrêmement intense.

Autre avantage non négligeable:

la majorité des chiens de plus d’un an sont propres, savent s’asseoir et obéissent au rappel (action de revenir vers le maître à son signal, NDLR).

QUEL PRIX ?

Adopter un chien ou un chat, c’est accepter d’avoir des frais. Notamment les frais d’entretien quotidien de l'animal : nourriture, vétérinaire, toilettage... Un coût non négligeable, qui doit être anticipé. Ne pas hésiter à faire une estimation annuelle de ce que cela va vraiment coûter. Lors de l’adoption, vous devrez régler une contribution au refuge. Elle permet de responsabiliser le futur maître et ainsi empêcher toute adoption compulsive ; elle couvre la vaccination et l’identification de l’animal, parfois la stérilisation. Ne pas oublier que de nombreux refuges fonctionnent sans subvention ni aide financière et que les frais d’adoption permettront de prendre également soin de nouveaux pensionnaires.

COMMENT TROUVER UN REFUGE ?

De très nombreux refuges, dont certains soutenus par la Fondation 30 Millions d’Amis, proposent des chiens et des chats à adopter. Le mieux est de trouver un refuge près de chez soi : cela permettra, le cas échéant, de maintenir des liens avec le personnel du refuge qui peut vous prodiguer des conseils et assurer un suivi personnalisé les premières semaines qui suivent l’adoption. Leurs coordonnées sont répertoriées dans les annuaires et chez les vétérinaires et de nombreux refuges disposent de leur site internet et/ou de leur page Facebook.

Quelques mots pleins d’ombre peuvent changer une vie. Un rien peut vous donner à votre vie, un rien peut vous en enlever. Un rien décide de tout.

4 NOVEMBRE INCENDIE AU REFUGE DANYFLOR :Un fourrière a brûlé hier en Roumanie ( Timisoara), 216 chiens sauvés mais sans abri, + de 40 loulous morts, Il y a eu 49 chiens tués dans l'incendie de Timisoara hier après-midi. Une quarantaine de chiens blessés.

L'incendie a duré 3 heures, 3 camions de pompiers sont intervenus,et tous les bénévoles de la région étaient présents pour aider. Romulus et d'autres ont fait des appels aux dons : toute la nourriture a brûlé...

Il y a un évènement sur FB, des Allemands sont en route pour porter de la nourriture et il y a une cagnotte sur le "Pot commun" :

https://www.lepotcommun.fr/pot/0h52fco0

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Le jour s'ouvre aux silences de mon ♥ , sur mes paupières reposées, des mots réveillés, ou s'éveillent aussi des rêves fleuris gorgés de promesses. Que rien ne change, que les instants se figent à jamais, que le ciel se taise aux pieds de mes songes.

Je vous laisse veiller sur la maison, partager, découvrir ou redécouvrir... Merci de votre présence quotidienne, de vos partages qui donnent la vie a cette page, et bienvenue aux nouveaux rêveurs qui nous suivent dans ce voyage a travers les mots et les rêves.. et apaisent nos maux le temps d'un instant

L'ado qui veut nettoyer les océans a atteint son premier objectif

Boyan Slat a atteint son objectif. Ce jeune inventeur néerlandais de 20 ans est parvenu à récolter deux millions de dollars (environ 1,54 millions d'euros), soit la somme dont il avait besoin pour développer un projet pilote.

Ce sont les internautes qui ont permis de financer ce projet de "nettoyage des océans" grâce à une campagne de crowdfunding.

Le projet-pilote devrait être composé de barrages flottants de cinq à dix kilomètres maximum. Alors qu'il ne restait que deux jours pour atteindre l'objectif des 2 millions de dollars, la campagne de financement participatif battait de l'aile et stagnait à 1,7 million.

Mais cette échéance approchant, la mobilisation des internautes a redoublé : nombreux sont ceux qui ont envoyé de l'argent dans ces derniers moments.

En tout, quelque 38 000 personnes ont ensemble apporté les 2 millions de dollars nécessaires au projet de Boyan Slat. Son projet, il l'avait présenté en 2012.

Il consiste à déployer d'immenses barrages flottants contre lesquels viendraient se coller les plastiques, récupérés ensuite dans une tour flottante de 11 mètres de largeur et 58 mètres de haut.

Cette tour peut contenir 3000 m3 de plastiques flottants récupérés, puis évacués au bout de quelques semaines. Leur traitement ultérieur fait appel à des traitements physiques (fonte, compression) ou chimiques. Via une réaction facilitée par un catalyseur, il serait possible de refabriquer un carburant liquide.

Le procédé fonctionne comme un entonnoir qui se met en action grâce aux courants marins. Selon les projections de Boyan Slat et de sa fondation "The Ocean Cleanup", la moitié des déchets de l'Océan Pacifique pourrait être récupérée en moins de dix ans.

300 millions de dollars pour l'ensemble du projet Le projet-pilote, qui pourra être mis en place dans les quatre ans grâce à l'argent récolté aujourd'hui, devrait être composé de barrages flottants de cinq à dix kilomètres maximum.

Mais, pour que la totalité du projet aboutisse, c'est-à-dire le nettoyage de l'ensemble des océans, il faudrait 300 millions de dollars... L'étudiant aimerait en effet déployer quelque 100 kilomètres de ce dispositif.

Ce projet lui demandant désormais beaucoup de temps, Boyan Slat a abandonné ses études à l'université. "Ce que je fais maintenant est bien plus instructif que d'étudier, dit-il. Je ne peux rien imaginer de mieux que de développer une solution à ce problème mondial.

Ensuite, grâce à l'appui de dizaines de milliers de personnes, il s'agira de le mettre en pratique."

Le mouton dans le coffre n’a pas passé la frontière

Confort assez moyen, mais le conducteur, qui n’est pas qu’à moitié prévoyant, avait installé son petit sapin désodorisant (en haut à gauche de la photo) car le mouton dans le coffre peut sentir un peu fort...

Garde-frontière est un métier où l’on voit de tout dans les véhicules : des cigarettes de contrebande, parfois de la drogue et de temps à autre... un mouton.

C’est ce qu’a découvert une patrouille suisse du côté de la douane de Veyrier entre le Pas-de-l’Échelle en Haute-Savoie et Genève lors du contrôle de routine d’une Golf blanche immatriculée dans le canton.

Les garde-frontières se sont d’abord rendus compte que le passager, un ressortissant mongol, était sous le coup de deux mandats de recherche, notamment une infraction à la Loi sur l’asile.

Mais c’est le deuxième “passager” qui allait provoquer la surprise de la patrouille. En fouillant dans le coffre, elle tombait en effet sur un mouton, victime d’un garrot en raison de ses pattes entravées et trop serrées par la ficelle.

Après l’intervention d’un inspecteur des services vétérinaires cantonaux, qui constatait que l’ovin n’a pas été blessé, celui-ci a donc été restitué à son éleveur de Haute-Savoie. Et a pu raconter son expédition de tous les dangers à toute la bergerie...

3 chiffres à retenir sur la pauvreté en Bourgogne

Le Secours catholique a rendu son rapport sur la pauvreté en France et il est alarmant. L'association a apporté son aide à près de 1,5 million de personnes l'an dernier. Une situation qui s'aggrave depuis 10 ans, le point en Bourgogne

En 2013, 13 800 ménages ont été accueillis par le Secours Catholique en Bourgogne dont plus d’un tiers (37 %) était déjà connu des équipes.

C’est le signe d’un renforcement de l’accompagnement par les équipes du Secours Catholique, mais aussi de l’enracinement des difficultés pour un certain nombre de ménages.

La part de couples avec enfants a augmenté, elle représente plus du quart des ménages accueillis. Celle des ménages étrangers continue d’augmenter elle aussi, passant de 32 % à 34 %, avec une part importante venant d’Europe de l’Est et d’Afrique subsaharienne.

Les personnes étrangères en attente de statut sont plus nombreuses qu’en 2012 et la proportion de personnes sans papiers augmente fortement.

Il faut noter une augmentation de 9 points entre 2010 et 2013 des personnes habitant dans des squats ou des logements de fortune. En 2013, 22 % des ménages rencontrés étaient sans ressources, contre 15 % en 2010.

Cela s’explique en partie par l’augmentation de la part des ménages étrangers. 1000 euros La plupart des ménages accueillis vivent en effet avec moins de 1 000 euros par mois, et certaines familles font face à une diminution de leurs revenus, comme dans la Nièvre, où l’on observe un recul de 4 % des ressources des familles.

La préexistence d’autres dettes, la difficulté de gestion du budget familial et la mauvaise isolation des logements sont autant de facteurs aggravants. On peut aussi invoquer un hiver long et la hausse du coût de l’énergie.

Lorsque les revenus diminuent, les ménages recentrent leurs dépenses et demandes sur l’alimentation quotidienne, ce qui explique que les secours alimentaires ne faiblissent pas, jusqu’à ce que la situation énergétique devienne intenable (coupure imminente).

En Australie, il existe un hôpital entièrement réservé aux bébés chauves-souris abandonnés par leur mère...

Oubliez vos préjugés sur les chauves-souris : ces petit animaux volants sont tout simplement craquants !

D’ailleurs, en Australie, ces adorables petites boules de poils ailés ont la chance d’avoir un hôpital rien que pour elles. On vous emmène à la découverte de cet établissement hors de commun qui accueille les bébé chauves-souris abandonnés par leur mère.

Situé dans la région du Plateau d’Atherton, dans l’Est de l’Australie, le Tolga Bat Hospital est un refuge pour les bébés chauves-souris abandonnés, bien que l’établissement accueille également des adultes jugés trop vieux pour continuer leur vie au zoos.

Ici, tout fonctionne de la même façon que dans un hôpital pour humain. Ainsi, ces chauves-souris frugivores de la famille des Pteropodidae sont logées dans de grandes serres et reçoivent nourriture et soins adaptés à leur état de santé.

En général, les principales causes de l’arrivée de ces bébé chauve-souris au Tolga Bat Hospital sont soit la paralysie transmise par un tique, soit la mort de leur mère.

Fort heureusement, les médecins de ce centre animalier pas comme les autres prennent grand soin de ces adorables petites créatures dont certains ressemblent étrangement à de petits chiots tout mignon.

En effet, du biberon au lit douillet en passant par les moments de tendresse, tout les éléments sont réunis. Un véritable hôtel de luxe pour bébés chauve-souris !Cet hôpital est aussi génial que ces pensionnaires sont craquants !

Nous, on est tombés sous le charme de ces bébés chauves-souris qui ressemblent à tout sauf à de terrifiantes créatures : on dirait presque d’adorables petits chiots. Pensez-vous que tous les hôpitaux devraient bénéficier d’une section dédiée aux animaux ?

Nous faisons aujourd'hui l'expérience d'une jungle, qui en chaque instant apporte son lot de souffrances, de guerres, de difficultés, de peines.

La question que nous devons nous poser, c'est qui apporte cela ?

La réponse est bien l'homme, c'est à dire qu'il nous faut en quelque sorte nous 'prendre en faute'. Changer cela, c'est ne plus penser le 'monde' responsable, rester victime d'un 'autre', mais plutôt prendre conscience que cela vient du dedans et non du dehors.

Voir que le chaos n'est pas en dehors de nous, mais que c'est la projection de notre intérieur sur l'extérieur qui nous amène à vivre aujourd'hui tant de haine, de peurs, de souffrances, de stress, de doutes, de mensonges, de voles et de violences.

Faire ce qu'il faut pour nous élever au dessus de notre 'petite personne', de ce 'moi', qui en nous éloignant de l'amour, nous amène à détruire notre intérieur, notre corps, nos rêves, la planète, la nature et ceux qui nous entourent.

Trouver qui nous sommes, cet être d'amour, de paix, de joie, et non plus vivre au travers de ce 'moi' qui nous étouffe et nous étrangle dans ses désirs , ses manques, ses besoins, ses peurs et ses regrets.

Il nous faut le voir ici et maintenant, en prendre conscience, prendre conscience de l'ego, et choisir notre vie, ce que nous voulons être. C'est une prise de conscience et donc un choix entre amour ou haine. Au travers de la connaissance, et du 'moi' que nous construisons, dans la division, la séparation des autres, nous ne pouvons obtenir la paix.

Dans 'je', nous sommes éloignés de la vie, de l'inspiration, de la Joie, de l'harmonie. En ces égos, nous perdons toute Joie intérieur, nous souffrons et apportons en chaque instant le résultat de cet ego.

Nous nous sentons vides d'amour, car cela ne peut être obtenu qu'en un esprit saint, libre, sans pensées, sans éloignement au travers du 'je'. Nous sentant comme éloignés de l'énergie que nous sommes pourtant, nous faisons alors tout ce qui est en notre pouvoir pour nous soi-disant remplir « d'être » et « d'amour », en vain, nous nous battons afin de ne rien perdre de ce que nous pensons que nous sommes.

Une bataille terminée, c'est toujours une autre qui recommence, non sans conséquences. En cette direction, cela est sans fin. Plus nous insisterons à attendre du dehors, à croire, à débattre, plus la souffrance augmentera.

Cela est la véritable crise aujourd'hui, celle d'un constat intérieur, que l'amour l'homme a ce besoin vital de se réveiller, de voir et entendre qui il est, de vivre selon son cœur et non plus de suivre une éducation, des habitudes, de répondre à des peurs et de reproduire sans cesse les mêmes schémas, qui, comme il le voit aujourd'hui n'apportent pas la joie.

C'est un changement à opérer en dedans et non des problèmes extérieurs à résoudre. Hors, en cette 'erreur' sur la personne, en ce faux moi, l'homme tremble, et accompli toutes les tâches possibles, se croyant en danger, pour obtenir sa vie, son droit à être. Il ne voit pas qu'il Est depuis toujours et qu'il peut se reposer en cela, dans la chaleur de son être.

Bien sur, pour 'celui' qui n'a encore rien perdu de ce qu'il possède, un tel discour est inutile, voir absurde. Car tant que ce que le 'je' veut est obtenu, alors, pourquoi irait-il se soucier de quoi que ce soit. Il est facile de crier joie quand tout va bien, mais c'est lorsque les choses se transforment alors que 'je' ne l'avais pas prévu, qu'il est alors difficile, à moins de reproduire les mêmes schémas, de rester en cette joie, cette paix, cette quiétude.

En cet ego est constamment irrité, l'homme connaît l'injustice, le bien, le mal, il juge et défend sa position en n'hésitant pas s'il le faut à se séparer de ce qui le dérange, allant même jusqu'à tuer. Il vole, manipule, ment, agit violemment s'il le faut.

Il doute et tremble, culpabilise, et se perd très vite dans sa colère, ne sachant plus qu'il s'attaque et se détruit lui-même. Il en veut à la vie, au présent. C'est cette dualité, ce 'je' de plus que le moi véritable qui apporte en ces moments la discorde.

C'est lorsque l'être n'aime pas ce qu'il Est. Hors, que pourrions-nous attendre d'amour d'un monde dont les hommes en très grande partie ne s'aiment pas, ne sont pas cet amour ?

Sachant qu'on ne peut donner que ce que l'on Est. Que pourrions-nous espérer d'un système, d'une politique, d'un mari, d'une épouse, de nos enfants devenus grands, de nous, d'amour, puisqu'en nous, nous avons oublié de le cultiver. 

Comment ce que nous sommes, c'est à dire se trouble en l'ego, ce 'je', pourrait donner de l'amour, alors qu'il n'est absolument pas possible que cela soit ?

Attendre cela, c'est attendre l'impossible. Vivant au travers des histoires, de la pensée, du 'moi', donc du temps, comment pourrions-nous connaître la paix, l'amour qui provient de l'être.

Comment l'inconnu, l'éternel, ce qui est hors du temps, donc de 'moi', pourrait être vu, tant que 'moi', c'est à dire des pensées, nous voilent notre véritable nature. Pour un monde d'amour, il nous faut donc tout d'abord prendre conscience qu'aujourd'hui nos actes ne représentent pas cela, que la vie, le monde ne représente pas cela et que nous devons changer.

Ce n'est pas des autres qu'il faut attendre le changement, mais de nous-même. Nous transformer vers cet amour, c'est être à l'écoute du cœur, c'est accepter la remise en question. C'est voir que 'moi' est illusoire, que les pensées, la raison, l'éducation, les connaissances nous ont éloignées de nous-mêmes.

Que les personnes que nous sommes devenues en ces pensées, détruisent de part leurs souffrances, leurs attachements, leurs besoins, leurs jalousies, leurs manques et que nous ne sommes pourtant pas cela, mais ce qui Est, le présent, la joie, la paix, l'amour. Il nous faut faire l'effort de nous prendre en faute, de voir que tout ce mal est en nous.

Il nous faut choisir de transformer cela, de nous libérer de l'ego, du mental, et ainsi d'accéder à Soi, notre véritable Moi, qui n'est pas personnel, donc pas séparé des autres. Il nous faut voir la dualité en chaque instant et ne plus l'alimenter. Sinon, que pourrions-nous espérer puisque ne changeant rien en dedans, cela continuera de se refléter en dehors.

Il ne s'agit pas d'un autre, mais de notre responsabilité à nous réveiller et à choisir l'amour, la liberté de toutes et tous, la joie de toutes et tous. Cela se trouve hors de l'ego, cela se trouve ici, dans l'impalpable, l'invisible.

Ce n'est pas en restant attaché à ce que nous possédons coûte que coûte que nous pourrons voir plus loin, mieux, au-delà. Sinon, nous continuerons à nous blesser nous-même, à nous éloigner de l'amour et ainsi à produire la haine. Si chacun pouvait trouver cela en lui, nous n'aurions plus à souffrir de toutes ces choses de l'ego. Ainsi, dans toutes les relations sur cette terre, nous pourrions connaître l'harmonie, l'union.

Pour un grand nombre, ces messages sont souvent vus comme des messages d'illuminés, ou de la folie, de l'utopie. Il faut dormir pour penser cela. Car où est la folie sinon dans l'absence d'amour, dans la violence dans les familles, verbale ou physique, dans le jugement, dans le mensonge, dans les guerres, la manipulation, l'ordre.

La folie est bien là, aujourd'hui, mais elle n'est pas dans ces messages, elle est ici et maintenant du fait que nombreux sont ceux qui dorment et ne veulent pas voir ce qui est, ce qu'ils sont et le reflet de tout cela aujourd'hui.

C'est à chacun de nous de prendre conscience de ce qu'il est, de choisir ce qu'il veut voir en ce monde, et d'en être par ses actes, le représentant. Ainsi, petit à petit, nous pourrons voir une transformation en nous et autour de nous. Cela ne concerne pas un groupe, une idée, ce n'est pas une stratégie, une démarche, non, ce n'est rien de personnel.

En cela, Personne ne combat, il n'aura aucun vainceur, si ce n'est l'amour. C'est l'amour, choisir la Joie, choisir comme le petit enfant de vivre, de danser, de chanter, de créer, de partager, tout cela sans effort dans cette Joie de l'instant, dans cette Joie qu'est l'être. Ce n'est pas de dire, oui, cela est vrai, ou cela est faux. Ce n'est pas à approuver ou désapprouver, car c'est au-delà d'un point de vue personnel, c'est sans la personne.

C'est une écoute profonde, un silence, c'est trouver la paix, maintenant, être cela. Ce n'est pas une pensée nouvelle, une idée nouvelle, c'est tout abandonner de la connaissance pour cette confiance en la vie, l'écoute de Soi.

L'espoir, l'attente, l'accusation extérieure, le débat, cela n'apportera pas le changement. C'est en dedans, ici et maintenant qu'il faut agir. Cela est votre splendeur, votre grâce, cela est le ♥ manifesté.