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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Les pumas, ingénieurs de leur écosystème ?
Selon une étude récente, les pumas jouent un rôle surprenant dans le développement de leur écosystème.
Lorsqu'un puma s'abat sur un animal aussi imposant qu'un l'élan, c'est une vie qui semble disparaître mais en réalité, c'est un commencement pour une centaine d'autres espèces. Même si ces grands félins peuvent facilement atteindre les 50 kg, ils ne sont certainement pas capables d'engloutir l'intégralité de la viande d'un élan de 300 kg.
Une étude récente révèle que la carcasse cédée par les félins offre des ressources étonnamment variées à d'innombrables organismes dont la survie repose sur la consommation de chair en décomposition. En 2016, au sud du Greater Yellowstone Ecosystem, des scientifiques ont utilisé des pièges à fosse pour recueillir des spécimens de coléoptères sur 18 animaux abattus par les pumas. Après avoir dénombré les coléoptères et identifié les différentes espèces, l'équipe de scientifiques a comparé ces données à celles recueillies sur des sites témoins situés une vingtaine de mètres plus loin. Les résultats étaient époustouflants.
En tout, l'équipe avait collecté plus de 20 000 coléoptères sur les sites contenant les carcasses contre à peine plus de 4 000 pour les sites témoins. Plus de la moitié de ces insectes ont été identifiés comme appartenant à la famille des silphes d'Amérique (Necrophilia americana) mais les chercheurs ont recensé 215 espèces de coléoptères appartenant au total à 8 familles. « Cela montre bien la complexité des événements qui prennent place sur ces sites, » indique le co-auteur de l'étude Mark Elbroch, responsable des pumas pour le groupe de conservation Panthera. Un coléoptère de la famille des silphes d'Amérique pond ses œufs dans la chair en décomposition.
« Nous avons découvert bon nombre d'espèces dont j'ignorais totalement l'existence, » indique Elbroch, qui est également un explorateur de la National Geographic Society.
UN FOYER DE CHAIR EN DÉCOMPOSITION
La majorité des recherches sur les proies des pumas étaient jusque là concentrées sur des animaux plus gros. Une étude précédente réalisée par Elbroch avait révélé que 39 espèces d'oiseaux et de mammifères visitaient également ces sites d'abandon des carcasses, y compris des ours noirs, des souris sylvestre ou des geais de Steller. Cette fois, les scientifiques ont décidé de cibler les coléoptères, faciles à capturer et à identifier, afin d'avoir une idée de ce qu'il se passe à une plus petite échelle.
Curieusement, les scientifiques ont identifié des coléoptères de la famille des Curculionidae, considérés avant tout comme des herbivores. Cet insecte végétarien était peut-être venu se nourrir du contenu des estomacs des élans ou des cerfs. Ils ont également découvert des coléoptères chasseurs invétérés de limaces et d'escargots, des mollusques qu'il est possible de trouver en abondance sous la carcasse.
D'autres insectes ont également été recueillis : « Si c'est la saison chaude, ces carcasses peuvent être recouvertes d'une couche d'asticots épaisse de plusieurs centimètres, » nous informe Elbroch. Tout cela indique que ces carcasses ne sont pas uniquement une source de nourriture, mais bien des écosystèmes entiers pour les invertébrés.
« Ces carcasses sont leurs foyers. Les endroits où ces insectes trouvent un partenaire, où ils élèvent leur progéniture et où ils se cachent des prédateurs, » explique Elbroch, dont l'étude a récemment été publiée dans le journal Oecologia.
QUAND LE CHAT N'EST PAS LÀ, LES INSECTES DANSENT
Tout cela nous amène à un point très intéressant. Si la chasse des pumas crée des habitats pour les coléoptères, il serait alors peut être temps de classer les prédateurs parmi les espèces ingénieurs, un terme habituellement réservé aux animaux qui modifient physiquement leur environnement, comme les castors, les termites et les éléphants. Justin Wright, biologiste à l'université Duke dont les travaux se sont depuis des dizaines d'années intéressés aux espèces ingénieurs, déclare que les résultats de l'étude sont fiables. Toutefois, il ne souhaite pas se prononcer sur ce qu'est ou n'est pas une espèce. Il trouve qu'il est plus important de continuer à sonder les relations entre des espèces qui, à priori, n'ont rien en commun, comme l'a fait cette étude.
Parallèlement, Wright se demande ce qui adviendrait des coléoptères si, pour une raison quelconque, les pumas venaient à disparaître. Après tout, les élans, les cerfs et les autres animaux de taille comparable finiraient toujours pas mourir, n'est ce pas ? Selon Elbroch, il existe une différence. En effet, alors que les ongulés de grande taille meurent bien évidemment tout au long de l'année, la plupart d'entre eux trouvent la mort en hiver, époque à laquelle les insectes se font rares.
D'un autre côté, les pumas produisent un type de carcasse unique en son genre car ils ne consomment pas l'intégralité de l'animal, comme pourrait le faire un ours, et ne démembrent pas leur proie, comme c'est le cas avec les loups. Elbroch nous fait part de son désir de changer la façon dont sont perçus les pumas :
« On peut dire que ce sont de redoutables animaux car ils tuent beaucoup de cerfs, ou alors que ce sont des animaux incroyables car ils soutiennent le développement de cette biodiversité. »
L'Amazonie est depuis 17 jours en feu !! Et personne n'en parle... Quand notredame a été brûlé, tout le monde en a parlé en moins de trois heures !
São Paulo est plongée dans le noir. En pleine journée. À l'origine de ces images frappantes : d'immenses incendies qui consument l'Amazonie, depuis plusieurs jours. Depuis début juillet 2019, des foyers d'incendies s'accumulent dans les États d'Amazonas et de Rondônia, au cœur de la forêt amazonienne. Face à la crise, plusieurs milliers de personnes se sont mobilisés sur les réseaux sociaux avec les hashtags
Plusieurs facteurs Ces incendies sont causés par plusieurs facteurs, d'origine naturelle mais aussi humaine. Pour défricher les terres, certains agriculteurs utilisent en effet des feux, parfois laissés hors de contrôle.
"Ce à quoi nous assistons est la conséquence de l'accroissement de la déforestation, révélée par des chiffres récents", explique Ricardo Mello du programme Amazonie, WWF-Brésil
. Des chiffres vertigineux
En juillet 2019, le taux de déforestation au Brésil était près de 4 fois supérieur à juillet 2018. Certains activistes et hommes politiques accusent directement la politique menée par Jair Bolsonaro.
Au Brésil, les feux de forêt ont bondi de 83 % en 2019 par rapport à 2018 sur la période allant du 1er janvier au 19 août.
Selon le WWF, l'Amazonie abrite de 50 à 70 % de la biodiversité mondiale.
Le "poumon de la Terre" fume. La forêt amazonienne brûle sans discontinuer depuis le mois de juillet. Selon des données publiées par l'Institut national de recherche spatiale (INPE) – un organisme brésilien qui observe notamment l'évolution de la forêt au Brésil –, les feux ont augmenté de 83 % depuis le début 2019. Une hausse dramatique attribuée à la sécheresse mais aussi à l'augmentation de la déforestation, impulsée notamment par la prise de pouvoir du président d'extrême droite Jair Bolsonaro.
Certaines personnes m'appellent une activiste, mais pour être honnête, quand vous regardez dans les yeux d'un loup à partir de 20 mètres et que vous écoutez leurs hurlements hante et tristes, comment ne pas faire le vœu de protéger tout ce qu'ils sont et tout çe qu'ils représentent. Si prendre soin de la faune et de la nature fait de moi une activiste, alors je suis fiere de m'en appeler une. Si je ne suis pas actif, alors je suis inactif et il n'y a pas de temps pour ce dernier. Pour ceux qui soutiennent cet animal
Charente-Maritime : un maire prévient, attention cloches et coqs bruyants !
Hervé de Changy à côté du panneau à l’entrée du village A. B.
Hervé de Changy, le maire du village de Muron, a fait installer des panneaux aux différentes entrées de sa commune, pour prévenir ceux qui ne supportent pas les bruits de la campagne. À l’image du maire de Gajac, en Gironde, pour lequel une pétition de soutien a été lancée pour inscrire le bruit des cloches de l’église, le meuglement des vaches et le chant du coq au patrimoine national, Hervé de Changy, le maire du village de Muron, près de Surgères en Charente-Maritime, a fait installer des panneaux aux entrées du village, précisant :
"Attention village français, vous entrez à vos risques et périls. Ici, nous avons des clochers qui sonnent régulièrement, des coqs qui chantent très tôt, des troupeaux qui vivent à proximité… Si vous ne supportez pas cela, vous n’êtes pas au bon endroit. Sinon, nous avons des bons produits du terroir, des artisans talentueux et heureux de vous faire découvrir leur savoir-faire et leur production"
Une décision prise par le Conseil municipal "qui en avait ras-le-bol d’être interpellé contre le bruit des cloches (seul clocher classé de Charente-Maritime), les chants des coqs aussi".
Comme à Oléron, où vit le coq Maurice qui a été jugé pour nuisances sonores à Rochefort (la décision sera rendue le 5 septembre).
"C’est incroyable une telle intolérance aux bruits de la campagne.Cinq fois, on nous a demandé de faire cesser le bruit des cloches, au point que nous nous sommes résignés à les arrêter de minuit à sept heures, raconte le maire. Si on vient à la campagne, c’est pour en apprécier les choses naturelles, sinon on ne vient pas !"
Après la pose des panneaux, le maire du village ne compte pas en rester là et veut en appeler au député de la circonscription, Didier Quentin, pour qu’il intervienne à l’Assemblée nationale afin qu’une loi soit votée "interdisant le dépôt de plainte contre les bruits de la campagne".
Affaire à suivre !
Un serpent sort du tableau de bord de sa voiture en plein milieu de l’autoroute
L’automobiliste espagnol a appelé les secours au niveau d’Orthez, sur l’A64, mais a dû repartir avec la couleuvre bien cachée dans le système de ventilation. Le conducteur a décrit le serpent à un expert, qui l’a rassuré sur la non-dangerosité de la couleuvre à collier .
Le conducteur a décrit le serpent à un expert, qui l’a rassuré sur la non-dangerosité de la couleuvre à collier .
C'est une rencontre surprise qui aurait pu très mal se terminer. Mardi, sur l'autoroute A64, un automobiliste espagnol s'est brutalement arrêté au niveau d'Orthez (Pyrénées-Atlantiques) en apercevant une petite tête sortir de l'aération entre le tableau de bord et le pare-brise.
Une couleuvre, absolument inoffensive, s'était en effet infiltrée dans le système de ventilation de son véhicule. Fort heureusement, le touriste transpyrénéen n'a pas provoqué d'accident en pilant et a pu se ranger sur le bas-côté. Un peu décontenancé, il a immédiatement appelé les secours à la borne d'urgence de l'autoroute, rapporte Sud Ouest. Plusieurs employés des Autoroutes du Sud de la France ont alors essayé de retrouver le reptile, en vain, tout comme les pompiers d'Orthez ensuite arrivés sur place.
Et ce malgré la présence d'un « conseiller technique animalier », précise le journal. Neuf kilomètres plus loin, le serpent revient Rien n'y a fait, ni le gaz réfrigérant qui aurait pu faire sortir le reptile ni les multiples tentatives pour démonter certaines parties du véhicule. Au point qu'au bout de deux heures, le conducteur espagnol s'est résigné à reprendre la route vers l'Ardèche, à 700 kilomètres de là.
Rassuré de savoir l'animal inoffensif, il a donc repris la route jusqu'à ce que, neuf kilomètres plus loin, son copilote refasse surface. Ce dernier a de nouveau sournoisement montré sa tête, effrayant le vacancier, avant de redisparaître. Agacé, l'automobiliste a alors rappelé les patrouilleurs des Autoroutes du Sud.
Ces derniers n'ont de nouveau rien pu faire, mais ont cette fois bouché toutes les aérations de l'habitable à l'aide de chiffons. Ni les patrouilleurs ni les pompiers n'ont ensuite eu de nouvelles du touriste espagnol, que l'on espère arrivé à bon port.
Bravo aux secouristes et aux autres qui sauvent des vies chaque jour dans les Alpes !!