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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le triste destin d’un pauvre chien qui s’appelle Osaba et qui n’espère plus rien…
Le 26 décembre, Osaba faisait une prière au Père Noël , celle d’un pauvre chien qui n’espérait plus rien mais elle n’a pas été exhaussée.
Chaque jour, il voit ses compagnon d’infortune partir et lui reste là, on n’ose même plus le regarder tant il fait peine à voir, On n’ose même plus rien lui promettre tant on a déjà tout essayé pour le faire adopter. Victime de son ancien maître, il n’a connu que la misère au bout d’une chaîne durant ces 9 dernières années, le goulag, la lutte contre la mort, la faim, le froid, le cagnard, l’oubli, et les regards qui se tournent…
Il était dans un bien triste état quand il a été emmené à la FBM ,maintenant il doit payer cher le fait d’être un vieux clebs, un clebs dont tout le monde a eu pitié et qui a fait couler beaucoup d’encre sur la toile. Il y a un an, il a eu son heure de gloire, on s’est apitoyé devant les photos de ce pauvre chien mais depuis rien, il ne se passe rien pour lui.
C’est comme ça, la caravane passe avec son lot de martyrs Ne doit-il connaître que la souffrance ? Il est gentil, c’est le genre qui se contente de pas grand chose, un regard, une caresse et il remue la queue , toujours heureux qu’on s’intéresse à lui. Si je pouvais le monter dans mon camion et le ramener avec moi le 7 septembre, ce serait le plus beau cadeau que nous puissions lui faire et faire à tous ceux qui se sont mobilisés pour le sauver. Si vous désirez l’adopter, n’hésitez pas à remplir notre formulaire de demande d’adoption en ligne sur notre site, pour plus d’infos un seul n° 0660153750.
Il est présenté dans notre rubrique « podencos et autres races » https://www.levriers-sans-frontieres.com/category/podencos-autre-races/
Il est né en 2010, c’est un senior au tarif senior ou contre bons soins du moment qu’il sera bien, il n’y a que ça qui nous intéresse , qu’il soit aimé quelques années, ce sera toujours ça. Il aura besoin d’un copain chien et d’un petit bout de jardin. Allez on y croit dur comme fer OSABA, à bientôt.
Le monstre humain est un virus sur terre ,mais il n'est pas à l'abri du retour de KARMA
Le paon et le palais.
Un jeune paon, imbu de son plumage
Fût pris dès son plus jeune âge
En mains par une vieille pintade
Qui laissa son vieux coq en rade.
Lors, notre jeune volatile
Qui se trouvait fort volubile
Ne fût plus satisfait de son habitat
Et se rêva en costume d’apparat.
Pourquoi, se disait-il, se contenter
D’un simple poulailler, fût-il doré,
Alors que, sans travailler,
Je puis demeurer au palais.
Il me suffit, si mes calculs sont bons,
De prendre mes congénères pour des pigeons
Et, pour les prochaines élections,
De bien jouer les trublions.
Ainsi fût fait, et contre toute attente,
Il prît la place laissée vacante
Par tous les vieux coqs déplumés
Dont tout le monde s’était lassé.
Pour constituer sa basse-cour
Il fit appel à des vautours
Aptes à tondre la laine,
A amasser toutes les graines.
Ses anciens congénères
Qu’il jugeait fort vulgaires
Virent enfin, mais un peu tard,
Qu’on les prenait pour des bâtards.
Fort de son plébiscite aux élections,
Notre dieu-paon, tel Pygmalion,
Favorisa un jeune sardouk
Dont il se servait comme bouc.
Grisé par ses nouvelles prérogatives,
Celui-ci, de manière fort hâtive,
Se crût par son maître autorisé
De jeunes oisons brutaliser.
Las, malgré la volonté manifeste
De celer ces faits funestes,
L’histoire vînt à transpirer
Hors de murs du Palais.
Devant ce gros scandale,
Notre apprenti Sardanapale
Dût rétropédaler
A son grand regret.
Il envoya ses janissaires
Désigner un bouc émissaire
Mais la sauce ne prît pas
Et l’oisillon resta sans voix.
Moralité : Même les rois de l’enfumage, Ceux mêmes qui se voulaient rois mages, Tombent un jour de leur piédestal Et devront quitter leur habit royal.
Fable de Jean De La Fontaine (1621-1695) revisitée par un auteur inconnu que l'on félicite au passage pour son talent et le régal de cette lecture d'actualité .
Il tournait sur un cheval de bois, il chantait c'était lui l'enfant roi, il éssayait d'attraper la fibre du pompon, qu'envoyait l'Homme qui jouait de l'accordéon
Cuba : des chiens et chats géants pour demander une loi sur les animaux errants
Le photographe cubain souhaite "rendre visible les invisibles" et agit en faveur des animaux errants.
L’artiste cubain Gabriel Guerra Bianchini sort une série de photographies dans laquelle il pratique le gigantisme des animaux errants. Le but ? Avec ce projet intitulé « Cette fois-ci ils vont nous voir », le photographe espère initier une loi sur la protection animale sur l'île.
Il s’est confié sur son objectif à 30millionsdamis.fr. Des chiens et des chats géants près des monuments de La Havane. C’est l’idée originale de Gabriel Guerra Bianchini (34 ans), un photographe cubain particulièrement attaché à la cause animale. Dans sa série « Tal vez ahora pueden vernos » (Cette fois-ci ils vont nous voir), l’artiste cherche à sensibiliser le public à la condition de milliers d’animaux errants sur l’île.
Il exhorte le gouvernement de Miguel Diaz Canel à enfin plancher sur une loi de protection animale.
Un amoureux des animaux « Cela fait longtemps qu’on lutte pour une loi de protection animale à Cuba, précise l’artiste. En les rendant géants, le but est de montrer qu’ils existent. Je pense que le message est clair à partir du moment où vous voyez la photo. Donner le poids qu’ils méritent à ces petits êtres invisibles qui errent dans nos rues… »
Le natif de La Havane aime les animaux depuis qu’il est tout petit. « Ma mère a toujours été un exemple, sourit-il. On a accueilli 5 chats et 2 chiens venant de la rue. Ma chienne Mila est un trésor : un jour, alors qu’elle vivait dans la rue, elle s’est approchée de ma mère, elle l’a séduite... et là voilà ! C’est une bénédiction au quotidien. » « Une loi est nécessaire pour les protéger » Par son art de la photographie, le cubain espère parvenir à contribuer à un changement significatif en faveur de ces laissés-pour-compte.
« L’art a cette capacité de rendre réel l’imaginaire et, effectivement, c'est l’effet recherché, justifie Gabriel Guerra Bianchini. A Cuba, les abandons sont nombreux, comme les maltraitances et les sacrifices. De l’homme ivre qui a pendu son animal pour faire rire des amis au garçon qui a attaché son chien sur les rochers sans qu'il puisse jamais atteindre le rivage… Sans parler des combats de chiens… C’est pourquoi une loi est nécessaire pour les protéger.» Le gouvernement semble montrer de l’intérêt à cette démarche Le succès de sa série est au rendez-vous et le photographe s’en émeut.
« Cela m’a surpris de voir que beaucoup de gens s’intéressaient à mon travail, évoque-t-il. Je suis témoin de l’effet que procure une image aussi impossible que celle d’un chien errant plus grand que le Capitole de La Havane. Cet imaginaire est une réalité qui émeut notre pays et qui sert la cause. » Par la suite, Gabriel Guerra Bianchini va poursuivre l’extension de cette série en espérant avoir davantage d’exposition. Et pour cause, l'artiste a sollicité un permis pour réaliser une "gigantographie" sur un bâtiment public pour sensibiliser le public. Cela tombe bien, « le gouvernement semble montrer de l’intérêt » au projet.
La Fondation 30 Millions d'Amis met régulièrement en avant des artistes se consacrant aux combats en faveur du bien-être animal comme c'est le cas des photographies contre l'abandon de Pamela Chemla ou des projections sur les monuments de Julien Nonnon en faveur des animaux en danger d'extinction.
Etats-Unis : une trentaine de personnes hospitalisées après avoir fumé des cigarettes électroniques
Trente cas en lien avec des maladies au poumon ont pour le moment été recensés dans trois Etats du nord des Etats-Unis.
Environ 3,6 millions de collégiens et lycéens ont fumé une cigarette électronique en 2018 aux Etats-Unis.
Ces dernières semaines, des dizaines de personnes, principalement des adolescents, ont été hospitalisées aux Etats-Unis pour des maladies au poumon. Le point commun entre ces patients : le vapotage, même s'il n'est pas prouvé que la cigarette électronique soit bien la cause de leurs problèmes. Les services de santé de l'Illinois, du Minnesota et du Wisconsin, trois Etats situés dans le nord du pays, ont fait état de cas de toux, gênes respiratoires, fatigue ou étourdissements.
Une fois à l'hôpital, les patients ont dû être intubés. Trente cas ont été recensés, et 22 autres font l'objet d'une enquête. Des cigarettes très populaires chez les jeunes Américains Selon les responsables de ces trois Etats, il est trop tôt pour déterminer si ces maux sont liés.
« Pour l'instant, le vapotage est le seul point commun entre toutes ces affaires, mais nous essayons d'étendre nos recherches pour déterminer avec certitude que nous n'oublions rien », a expliqué à l'AFP Thomas Haupt, spécialiste des problèmes respiratoires du service de Santé du Wisconsin. Certains des jeunes ont également vapoté du cannabis.
Les cigarettes électroniques sont disponibles depuis 2006 aux Etats-Unis et les scientifiques estiment jusqu'ici qu'elles sont moins toxiques que les cigarettes traditionnelles.
Outre-Atlantique, elles sont très populaires auprès des jeunes : 3,6 millions de collégiens et lycéens les ont fumées en 2018, selon les Centres de contrôle des maladies.