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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
J'écris l'amour jamais trouvé ou retrouvé
J'écris l'amitié trahie par les années
J'écris l'enfance fâchée mais jamais fauchée
J'écris les années perdues à courir derrière le temps qu'on rattrapera jamais
J'écris les promesses non tenues, qu'on aurait pu ne pas croire si on avait su
J'écris le ciel qui pleure sur le mal que les gens font
J'écris la lune tant convoitée par les étoiles qui l'auront jamais
J'écris les mots qui me viennent à l'esprit
J'écris pour dire tout ce que la parole ne me permet jamais...
Pétition à signer SVP ✍️ https://www.mesopinions.com/…/liberez-polaire-cirque…/72508…
Libérez l'ours polaire du Ivanovo Circus ! Yulia Denisenko, dresseuse chez Ivanovo Circus avoue sans aucune honte avoir battu les ours, affirmant qu'il est nécessaire de les apprivoiser pour qu’ils chantent, pour qu’ils dansent, et pour qu’ils patinent. Les dresseurs brûlent ces ours avec des cigarettes et les frappent avec des barres de métal, pour les garder constamment dans la peur.
LE TIGRE DE L'HERBE. Mante religieuse
Mon joli modèle a disparu, grand bien lui fasse, elle est certainement repartie dans ses pénates ? Pourquoi avait elle élu domicile chez moi, mystère ? J'ai été ravi de l’accueillir, fut un temps je me baladais accroupi ou à quatre pattes pour la trouver, ce n'est plus de mon âge, alors sa visite m'a grandement facilité la tâche. J'ai toujours aimé cet insecte, sa tête est vivante, elle vous suit du regard c'est fascinant, je lui trouve une grande élégance, une classe, je vois peu d'insectes aussi distingués qu'elle à part les papillons. J'espère arriver à la faire aimer aux récalcitrants ?
Association CSFL: Centre de Sauvegarde de la Faune Lorraine
Hérisson : un nombre d’accueils en hausse Le Hérisson est l’espèce que nous accueillons le plus et nous venons déjà de dépasser à ce jour le nombre de l’an passé. Bien que nous soyons à quelques jours de l’automne, nous enregistrons encore des jeunes à élever.
A cette époque, les Hérissons cherchent à prendre du poids pour passer l’hiver en hibernation. Mais depuis quelques années, nous connaissons des périodes automnales et hivernales assez douces et le Hérisson semble profiter de ce changement climatique pour étaler sa période de reproduction.
Insectivore mais aussi opportuniste, il a besoin d’un territoire où il peut trouver insectes, vers et toute autre faune se trouvant au sol. Il ne dédaignera pas d’aller se nourrir dans des gamelles de chats ou de chiens mais cela ne doit être qu’un substitut de nourriture et non pas une habitude.
Car le Hérisson, par son régime alimentaire, qui doit être le plus varié possible, ne peut survivre que dans un environnement sain et très varié. Sa présence est donc un excellent indicateur de qualité environnementale. Les périodes de canicule ont certainement impacté les mères qui allaitaient et nous avons recueilli plusieurs jeunes très amaigris. La sécheresse repousse de nombreux vers de la surface du sol.
Alors, feuilles tombées à terre, fruits laissés au sol pourront attirer et abriter de nombreux insectes qui eux aussi cherchent de la nourriture et des caches pour l’hiver. Une aubaine pour notre mammifère ! Ainsi, privilégiez un environnement propice aux Hérissons en intégrant haies, vergers et pelouses non fauchées. La présence de Hérissons vous confirmera l’intérêt et la richesse de ce biotope !
Petit conseil : Un Hérisson observé en pleine journée ou ne fuyant pas l’Homme est en détresse.
Pensez à nous contacter rapidement dans ce cas au 09 70 57 30 30 afin d’envisager une solution.
AIMER , C'est effleurer , La peau de l'autre , Et y déposer des envies d'encore...
La nourriture des loups change ...tout au long de l'année et determine leur position...
Prédation Les loups s'attaquent principalement au wapiti à toutes les saisons, lorsque nous surveillons la prédation par le loup dans la chaîne du Nord (figure 5a).
Parmi les wapitis, les loups s'attaquent principalement aux veaux nouveau-nés pendant l'été, continuent de le faire au début de l'hiver et s'attaquent surtout aux wapitis adultes à la fin de l'hiver et au printemps, alors que les wapitis adultes tués par les loups ont tendance à être pauvres état nutritionnel .
En plus de comprendre comment la composition des proies change au fil des saisons, nous avons également commencé à comprendre comment le taux d'abattage change. Le taux de destruction est une statistique qui décrit la fréquence à laquelle un prédateur tue et qui peut être exprimé de deux manières.
Premièrement, le taux de mortalité peut être exprimé en nombre de proies par prédateur par unité de temps (jour, mois ou année). Nos travaux ont montré que l’impression de l’évolution du taux de mortalité tout au long de l’année peut être très différente selon que le taux de mortalité est exprimé en nombre de proies ou en biomasse de proies.
Cette observation est due à la taille moyenne d’une carcasse qui diffère entre l’été et le reste de l’année et au fait que les loups ne sont pas en mesure de tuer suffisamment de petites proies (veaux nouveau-nés, par exemple) pour compenser cette différence de taille saisonnière des proies qu'ils tuent.
En fin de compte, notre travail montre que l'été est la période de l'année la plus difficile pour le loup. Par conséquent, comprendre les différences entre les taux de mortalité estivale d’une année à l’autre pourrait nous aider à mieux comprendre les variations annuelles de la population de loups.
[PRÉVENTION] C'est la rentrée... ... et une nouvelle réglementation va préciser les règles de circulation pour les trottinettes électriques, monoroues, gyropodes et autres hoverboards ...
Préparez-vous !
Trottinettes électriques, monoroues, gyropodes, hoverboards… Les nouveaux engins de déplacement personnels (EDP) motorisés apportent de nouvelles solutions pour se déplacer au quotidien. Leur présence de plus en plus forte dans les rues et l’espace public n’est cependant pas encore réglementée et pose des questions croissantes de sécurité.
Le Gouvernement s’est donc engagé à faire évoluer le code de la route, afin de prendre en compte l’existence de ces nouveaux engins et de définir des règles d’utilisation dans l’intérêt de tous. Après plusieurs mois de travail et de concertation avec l’ensemble des acteurs concernés, les ministères de l’Intérieur (Délégation à la sécurité routière) et des Transports viennent de finaliser un projet de décret modifiant le code de la route. Il vient d’être notifié à la Commission européenne et sera présenté au Conseil national d’évaluation des normes (CNEN) puis au Conseil d’Etat. Cette nouvelle réglementation entrera en application à la rentrée 2019.
Trottinettes : bientôt de nouvelles règles de sécurité, préparez-vous !
L’évolution de deux espèces de lézards observée par des robots
Sur l’île Dominique, dans la mer des Caraïbes, deux espèces de lézards dont l’une est endémique et la seconde invasive sont étudiées minutieusement. Le but : de comprendre leurs évolutions et interactions après le passage de l’ouragan Maria.
L'Anolis oculatus, lézard endémique de l'île Dominique, cohabite avec une autre espèce d'anoles intrusive, l'Anolis cristatellus. Cette seconde espèce s'adapte mieux aux territoires urbains, au contraire de l'espèce native qui préfère les endroits boisés.
Avec près de 400 espèces différentes, la famille Anolis est l’amniote le plus riche en espèces et, par conséquent, un véritable cas d’école pour observer en direct leurs formes d’adaptation sur un temps court ; depuis quelques années, certaines sont les sujets de diverses études. Des chercheurs en Floride par exemple analysent l’évolution ultra-rapide de plusieurs espèces d’anoles sur le territoire, quand d’autres étudient l’influence des ouragans Irma et Maria sur l’adaptation des anoles dans les îles Turques-et-Caïques.
Claire Dufour, chercheuse à l’Université d’Harvard et au Museum of Comparative Zoology et exploratrice National Geographic, étudie quant à elle depuis 2016 les anoles de la Dominique et les interactions entre l’espèce endémique de l’île appelée Anolis oculatus et une espèce invasive originaire de Porto Rico, importée par le biais du transport de bananes il y a 20 ans, Anolis cristatellus. Une étude parue dans le Journal of Zoology.
L’INVASION D’ANOLIS CRISTATELLUS, UN SYSTÈME UNIQUE
L’invasion d’une espèce dans l’aire de répartition d’une autre espèce, en l’occurrence native et proche phylogénétiquement, représente l'opportunité de comprendre et d’observer en direct les mécanismes de coexistence que celles-ci mettent en place. Claire Dufour a commencé son étude par deux premières missions de terrain.
L'une en 2016, qui a permis l’établissement d’une énorme base de données documentant les comportements de ces deux espèces ainsi que leur aire de répartition, leur morphologie ainsi que leur physiologie. Au total, près de 800 lézards répartis sur six sites de l’île ont été étudiés.
L'ANOLIS, LE LÉZARD DES CARAÏBES
Une seconde mission avait pour but d'étudier l'évolution des comportements agressifs de l'espèce endémique face aux individus de l'espèce invasive, grâce à des robots lézards, une méthode non-intrusive dans ces espaces encore préservés et qui, pour la chercheuse, sera le principal recours pour une grande partie des futures recherches. « Nous sommes ici pour étudier le comportement d’espèces dans leur milieu naturel, ce qui est impossible si on les met en cage, parce que leur comportement naturel serait perturbé » confirme Claire Dufour. « Nous avons construit un robot pour chaque espèce, imitant les traits comportementaux et morphologiques de celles-ci pour tester le comportement des lézards Anolis. »
Une troisième mission a été lancée en 2018, après l’ouragan Maria survenu dans la région en 2017. En raison du caractère imprévisible de cette tempête, le taux de survie des lézards durant cette période n’a pas pu être estimée. Celle-ci avait pour but de voir si l'ouragan avait induit une sélection naturelle sur les capacités d'accroche et la morphologie des pattes des anoles.
DES CHANGEMENTS COMPORTEMENTAUX PLUS QUE DES CHANGEMENTS MORPHOLOGIQUES ?
L’un des premiers et principaux apports de cette partie de l'étude concerne la sélection naturelle des lézards impulsée par l'ouragan. « Cette acclimatation peut être suivie par des aspects physiques et physiologiques évolutifs » affirme la chercheuse. La force d’accrochage des lézards aux arbres était par exemple dix fois plus importante après le passage de l'ouragan Maria, ce qui prouve que ce dernier a favorisé les individus avec une force d'accroche supérieure. La capacité d’adaptation étant le plus souvent inversement proportionnelle à la longévité d’une espèce, cette adaptation rapide est possible car le cycle de vie des anoles est court, en raison de leur petite taille.
Selon la chercheuse, l’intérêt de cette étude a été aussi de montrer que « les changements étaient d’abord comportementaux avant d’être physiologiques puis morphologiques. » En ce sens, l’espèce endémique, les Anolis oculatus, diffèrerait de l'espèce invasive ; la première privilégierait les espaces boisés quand la seconde préfèrerait « les environnements perturbés, détruits, chaotiques, les centres urbains. »
Si tel était vraiment le cas, cette caractéristique pourrait porter préjudice à l’espèce native, classée sur la liste rouge de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) , puisqu'elle verrait les Anolis cristatellus « prendre le dessus ». « Rien n’est fait pour empêcher la propagation [de l’espèce intrusive] » car elle ne nuit pas à l’Homme ajoute la chercheuse. La situation pourrait donc évoluer au détriment de l’espèce endémique. « Il y a de fortes chances que des projets comme celui de construire un grand aéroport en Dominique favorise l’espèce invasive » conclut Claire Dufour.