Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article base bébé belle bonne

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

merci

Publié à 14:37 par fandeloup Tags : nature demain photos prix monde sur voiture
merci

Chaque jour nous sommes confrontés à l’horreur , c’est notre quotidien…

 Chaque jour nous sommes confrontés à l’horreur et les photos comme celles-là sont devenues notre quotidien. Des appels au secours nous en avons tous les jours de toute l’Espagne mais malheureusement nous ne pouvons venir en aide à tout le monde sans pénaliser nos propres refuges et bien sûr c’est un crève-cœur à chaque fois

D’habitude la période d’été est plutôt calme mais cette année les galgos continuent d’affluer dans nos différents refuges. En effet les chasseurs commencent les sélections et se débarrassent des plus faibles et des moins performants.

Souvent ils les laissent dans la nature alors les Galgos divaguent durant des semaines et finissent par se faire taper par une voiture. Alors il faut les opérer ce qui engendre des coûts énormes pour les refuges si les associations qui prennent ces chiens en charge n’aident pas financièrement.

Beaucoup de Galgos sont emmenés dans les perreras (fourrières) et bien sûr ils y sont euthanasiés, alors les refuges vont les récupérer dans la mesure des places disponibles.

Oreo et Galaxy vont grossir le nombre des fracturés à l’hôpital de la FBM et demain il y en aura d’autre et ainsi de suite…. les chiens s’entassent.

LSF va financer des travaux d’extension car la clinique est devenue bien trop exiguë. Nous allons également aménager la salle de réhabilitation, il va falloir acheter du matériel, peut être une baignoire de balnéo suivant le prix.

Lorsque vous adoptez un Galgo fracturé, vous ne payez que 280 euros, le montant d’une adoption normale (vaccins, stérilisation, tests MM et transport), tout le reste est financé par LSF.

https://www.levriers-sans-frontieres.com/

Vous pouvez nous aider en faisant un don, soit par paypal sécurisé via notre site, soit par chèque à envoyer à LSF 43 rue de paris 10700 Villette sur Aube. Les dons sont déductibles de vos revenus un reçu fiscal vous sera envoyé.



nature

Publié à 11:16 par fandeloup
nature

Les roches prient parfois Pour devenir humaines



loups

Publié à 11:02 par fandeloup
loups

Nos crocs nous servent à déchiqueter nos proies ..... Dommage , m'en serais bien servi pour leurs mordre le culs à ces tueurs



humour

Publié à 10:37 par fandeloup Tags : humour

horreur

Publié à 10:33 par fandeloup Tags : voiture jardin animal mort france sur chien
horreur

Ajaccio : un chiot meurt de chaleur dans une voiture alors que son maître fait ses courses

Le chiot avait été laissé pendant plus d’une heure enfermé dans la voiture stationnée sur le parking d’une grande surface.

L'imprudence d'un automobiliste a été fatale à un chiot. Un jeune boxer délaissé par son maître à l'intérieur d'une voiture en plein soleil est mort mercredi à Ajaccio en raison des fortes chaleurs, rapporte Corse Matin.

L'automobiliste qui stationnait sur le parking d'une grande surface, à Ajaccio, avait laissé son chiot dans le véhicule pendant plus d'une heure pour aller faire tranquillement ses courses.

Le petit chien a suffoqué et n'a pas survécu à la chaleur. En, effet, le chien est un animal qui thermorégule très mal et qui a énormément de mal à évacuer la chaleur.

Il faut savoir que les services de Météo France indiquaient une température extérieure avoisinant les 30° mercredi dans la région d'Ajaccio. Dans ce contexte, à l'intérieur d'une voiture la température monte à 40° au bout de dix minutes, puis à 50° au bout de vingt minutes pour atteindre les 80° après une heure.

A chaque pic de chaleur, des drames se produisent avec les voitures garées en plein soleil : celle-ci se transforment très rapidement en véritable four, même avec une fenêtre laissée entrouverte.

 La direction départementale de la sécurité publique a relevé l'infraction de mauvais traitement exercé sur un animal. Pendant la période estivale et particulièrement pendant les périodes de fortes chaleurs, la SPA rappelle de ne pas laisser votre animal dans une voiture ou dans une véranda (ou tout espace accumulant la chaleur) ou dans un jardin sans ombre.



humour

Publié à 10:05 par fandeloup Tags : humour

Renard

Publié à 18:19 par fandeloup Tags : bonne sur france animaux nature chien chat
Renard

Lettre ouverte à F. De Rugy : le Renard n’est pas un « nuisible » !

Le 12 mars 2019, l’ASPAS a adressé une lettre au ministre de la Transition écologique François de Rugy, co-signée par les associations Anymal et One Voice, lui exhortant de ne pas classer le renard dans cette triste liste des animaux« susceptibles d’occasionner des dégâts » (la nouvelle terminologie pour désigner les « nuisibles »).

L’ASPAS se bat depuis presque 40 ans pour les animaux sauvages en France. La nouvelle liste des animaux toujours traités comme des »nuisibles », établie tous les 3 ans, sera très prochainement rendue publique par le ministère de la Transition écologique.

Nous craignons fort que le renard figure à nouveau dans ce triste classement, malgré les nombreuses études scientifiques qui démontrent l’utilité écologique et sanitaire de ce petit canidé sauvage. Certains agriculteurs l’ont bien compris (chaque année les renards chassent des millions de campagnols, qui déciment les cultures).

Mais le lobby de la chasse continue à véhiculer les contre-vérités sur Goupil pour défendre ses intérêts – il est vu par les chasseurs comme un concurrent, puisqu’il peut s’attaquer aux faisans et perdrix semi-sauvages, élevés par millions puis relâchés à chaque début de saison de chasse, dans le seul but d’être tirés avec du plomb !

 

Monsieur le Ministre, Vous allez prochainement établir la nouvelle liste des espèces animales jugées « susceptibles d’occasionner des dégâts », en France, nouvelle terminologie adoptée en 2016 pour désigner ceux que l’on qualifiait jusqu’à récemment de « nuisibles ».

Si la sémantique a évolué, le traitement réservé à ces espèces reste cependant le même. Cette étiquette, imposée à des êtres sensibles, permet en toute légalité aux chasseurs et aux piégeurs de s’acharner sur leurs populations sans répit, à longueur d’année, avec le recours de pratiques parfois barbares et d’une grande cruauté ; des pratiques qui sont paradoxalement punies par la loi quand elles sont appliquées aux animaux d’élevage ou de compagnie.

Accusé de tous les maux, le Renard roux figure encore aujourd’hui sur cette triste liste d’êtres indésirables, alors que de très nombreuses études scientifiques démontrent l’utilité de ce canidé proche du chat et du chien dans la chaîne alimentaire et l’équilibre des milieux naturels.

Redoutable prédateur, le renard joue également un rôle écologique apprécié des agriculteurs, en chassant les micromammifères ravageurs de récoltes. Dans un modèle agricole qui veut se passer de pollution chimique, le renard a un rôle de tout premier ordre à jouer.

Opportuniste, le renard joue notamment un rôle sanitaire, en s’attaquant prioritairement aux proies faibles et malades, ainsi qu’aux charognes. Et surtout, selon une étude récente, sa présence aurait tendance à naturellement freiner la propagation de la maladie de Lyme.

Omnivore, le renard se nourrit à la bonne saison de fruits et de baies sauvages, et participe ainsi, par ses laissées, à la dissémination des graines et au repeuplement des arbres fruitiers et autres arbustes dans nos campagnes. Peu d’animaux sauvages ont été autant pourchassés et détruits, par tir, piégeage, déterrage, enfumage, et même gazage et empoisonnement, que le Renard roux en France.

Actuellement, des chiffres annuels stupéfiants sont encore évoqués (jusqu’à un million de renards tués !) et l’on peine à comprendre comment l’espèce parvient à survivre à l’ampleur de ces massacres, dont la raison et la finalité heurtent le bon sens. Les études le montrent, cette « gestion » cynégétique, coûteuse, ne sert strictement à rien ; en effet, le territoire libéré par un renard sera immédiatement occupé par un autre renard.

Quant à leur prolifération supposée, nullement démontrée, elle relève du pur fantasme : les populations de renards se régulent d’elles-mêmes, comme il a été démontré dans certains pays où sa chasse est interdite (par exemple le Luxembourg), ou strictement encadrée.

Les 12 et 13 mai 2017, à Paris, le colloque « Renard » organisé par l’ASPAS qui a rassemblé scientifiques, chercheurs, agriculteurs ou encore agents de l’État, a permis de mettre en lumière de nombreuses données sur le renard. Compilées dans des actes rendus publics sur aspas-nature.org, toutes aboutissent au même constat : le renard n’est pas un nuisible !

Face au changement climatique et à l’effondrement catastrophique de la biodiversité, deux réalités intimement liées, l’urgence de la transition écologique passe aussi et surtout par un meilleur respect, une meilleure compréhension de la nature qui nous entoure. En 2019, il n’est plus acceptable d’autoriser le massacre continu des renards, et en premier lieu l’horrible pratique de la vènerie sous terre, dès lors que l’utilité écologique et sanitaire de l’animal est reconnue par la communauté scientifique.

Et quand bien même l’utilité des renards ne serait pas démontrée, rien ne justifierait qu’on les massacre à ce point. Avant d’être utiles ou nuisibles, ils sont, tout simplement, et ils obéissent à leur nature intrinsèque, que cela nous plaise ou non. Si nous ne voulons pas courir à notre perte, le 21e siècle se doit d’être celui de la protection, et non plus de la destruction : face au cataclysme écologique annoncé, la sagesse voudrait que nous travaillions avec la nature, et non plus contre elle.



justice

Publié à 16:56 par fandeloup Tags : enfants saint photo travail argent nuit cadre carte
justice

Saint-Martin-d'Hères : ils avaient déshabillé et roué de coups un jeune pour le voler, six mineurs interpellés

La violente agression s'est déroulée devant à l'entrée du domaine universitaire de Saint-Martin-d'Hères.

Six mineurs âgés de 13 à 17 ans ont été interpellés mercredi dans le cadre d'une enquête pour vol aggravé et escroquerie, le 15 mai 2019. Un étudiant de 21 ans avait été roué de coups et déshabillé à l'entrée du campus, entraînant 5 jours d'ITT.

La bande de malfrats mise en cause a été interpellée mercredi, après identification par la victime des six individus. L'aggression a eu lieu le 15 mai, à l'entrée du campus de Saint-Martin-d'Hères. Six jeunes mineurs de 13 à 17 ans avaient suivi un étudiant de 21 ans à la sortie du tramway B par une bande de six mineurs.

Ce dernier avait simulé un malaise puis pris la fuite en courant pour tenter d'échapper à la bande de malfrats. A l'entrée du domaine universitaire, les mineurs avaient violemment roué de coups et déshabillé partiellement la victime, lui retirant même ses chaussures.

Ils avaient dérobé le portable, la montre, la carte bancaire et des papiers de la victime et tenté de lui faire retirer de l'argent à un distributeur automatique, mais l'étudiant a donné un faux code.

L'étudiant avait été transporté au CHU de Grenoble et gardé en observation la nuit par crainte d'un saignement intercânien. Il s'était vu attribuer 5 jours d'ITT (incapacité totale de travail).

Les six mineurs, dont certains reconnaissent partiellement les faits, vont être présenté devant un juge pour enfants en vue d'une mise en examen le 22 octobre 2019.



éléphants

Publié à 16:12 par fandeloup Tags : afrique sur photos animal
éléphants

Les clichés de l’éléphant, que vous pouvez découvrir ci-dessous, sont aussi rares que sublimes et montrent à quel point cet animal- qui apparaît affaibli et amaigri sur les photos - était hors normes en tous points, à commencer par ses fameuses défenses géantes qui flirtaient avec le sol.

Pour rappel, il ne reste plus qu’une trentaine de ces pachydermes, qui ressemblent à s’y méprendre à des mammouths préhistoriques, en Afrique.



Parkinson

Publié à 15:44 par fandeloup Tags : sur vie chez base mode 2010 nature internet
Parkinson

Espoir pour la maladie de Parkinson : un bioproduit riche en L-Dopa, sans effet secondaire et neuro-protecteur

Enfin! Une équipe Européenne, spécialisée dans les maladies neurodégénératives, a publié des études précliniques et cliniques d’un complément alimentaire d’origine naturelle, commercialisé sous le nom AtremoPlus.

Les résultats exceptionnels des études démontrent que le produit augmente significativement le niveau de dopamine et de noradrénaline dans l’organisme et améliore par la même occasion les symptômes de la maladie. Aucun effet secondaire indésirable n’a été constaté. Les études révèlent également un fort potentiel neuro-protecteur qui pourrait aider dans le domaine de la prévention et du ralentissement de la progression de la maladie.

S’agirait-il enfin d’une avancée majeure dans la lutte contre la maladie de Parkinson ?

Origines de la maladie de Parkinson

La maladie de Parkinson, trouve son origine dans la dégénérescence progressive des neurones dopaminergiques. Les symptômes majeurs sont bien connus : raideur, tremblements, lenteur des mouvements et dépression. Se rajoutent une multitude d’autres symptômes qui rendent cette maladie extrêmement handicapante et douloureuse à vivre au quotidien sur le plan physique, psychologique et social pour les malades comme pour leur entourage. Les neurones dopaminergiques captent la L-dopa et la transforment en dopamine.

Ceci est possible, tant qu’il y a suffisamment de neurones dopaminergiques pour assurer la capacité de synthèse, de stockage et de relargage progressive de la dopamine : un neurotransmetteur qui joue un rôle modulateur essentiel dans une multitude de processus psychomoteurs.

Elle intervient entre autres dans la coordination des mouvements, l’apprentissage, la motivation et le processus de récompense. Ces neurones diminuent naturellement et progressivement avec l’âge auprès de l’ensemble des populations.

En revanche, chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson cette dégénérescence se produit plus rapidement. Le phénomène héréditaire semble jouer un rôle mineur (environ 10%).

Par ailleurs, même si ce n’est pas encore complètement élucidé, l’exposition aux agents toxiques (pesticides, toxines, additifs et autres) et à la pollution en général, combinés à des habitudes nutritionnelles inappropriées et un mode de vie sédentaire, semblent jouer un rôle majeur dans le développement de la maladie.

Lorsque la perte de ces neurones dopaminergiques atteint le seuil critique de 60 à 80%, les symptômes connus de cette maladie apparaissent progressivement. Diminution des effets de la L-dopa synthétique dans le temps Pour produire la dopamine, l’organisme a besoin de son précurseur, la L-dopa. Si l’organisme ne peut plus produire assez de dopamine en raison d’un trop grand nombre de ses neurones dopaminergiques détruits, le traitement standard est alors la prescription de médicaments composés de L-Dopa synthétique.

Cette prise en charge fonctionne très bien pour la majorité des malades pendant la phase initiale de la maladie qui dure en moyenne 3-5 ans. Passés cette phase, les médicaments font souvent de moins en moins d’effets, ce qui provoque chez les patients des phases dites « off » et de « Freezing » qui se caractérisent par un blocage involontaire des mouvements.

Il est observé fréquemment que les effets indésirables se multiplient avec l’augmentation successives des doses des médicaments. Un autre symptôme très invalidant qui apparaît régulièrement à ce stade plus avancé de la maladie sont les dyskinésies, caractérisées par des mouvements involontaires. Les malades sont contraints d’assister impuissants à ce déclin plus ou moins rapide et souvent le moral est bien atteint par ce manque de perspectives.

Il est d’autant plus difficile de se mobiliser et se battre face à la maladie que la dopamine joue aussi un rôle moteur pour la motivation. En manquer, peut provoquer tristesse et dépression observées chez près de 30% des personnes atteintes de la maladie de parkinson.

Recherches pour une solution naturelle sans effet secondaire

Depuis 2010, une équipe scientifique européenne a travaillé sur l’élaboration d’un produit d’origine naturelle pour donner des solutions concrètes dans la lutte contre la maladie de Parkinson.

L’objectif était également d’inclure dans ce développement une véritable stratégie de prévention et d’action sur le ralentissement de la progression de la maladie, largement absente à ce jour dans la prise en charge des patients. Le résultat de ces recherches est un complément alimentaire, riche en L-dopa d’origine naturelle très bien tolérée.

Selon les analyses nutritionnelles de référence mentionnées dans l’étude scientifique, l’élaboration complexe du produit permet également l’extraction et la préservation d’une multitude d’éléments bio-fonctionnels à l’état de trace extrêmement bénéfiques.

Parmi la variété de composantes on peut citer : l’acide gras oméga-3 (acide alpha-linoléique), les protéines (albumine, gluténine, tyramine), les vitamines (Vitamine A, Vitamine C, Vitamine E, Vitamines B1, B2, B3, B5, B6, B9), les acides aminés essentiels (acide aspartique, sérine, tyrosine, phénylalanine, cystéine et histidine), les minéraux (manganèse, magnésium, phosphore, fer, zinc, cuivre, potassium, calcium, sodium et sélénium) et les facteurs (bêtacarotènes, quercétines, kaempférol, lécithines, lectines, saponines, inhibiteur de l’alpha-amylase, alpha-galactosidase et acide phytique). Beaucoup de ces éléments ont été reconnus comme bénéfiques dans les maladies neuro-dégénératives, comme en témoignent les nombreuses études.

Cet ensemble de composants naturels a démontré dans les études sur le complément alimentaire d’excellents résultats et un fort potentiel aussi bien pour la diminution significative des symptômes de la maladie que pour la partie neuroprotectrice permettant de ralentir la progression de la maladie. Étant donné que le produit est très bien toléré, une véritable stratégie de prévention serait également envisageable.

Étude clinique et champs d’application possibles du complément alimentaire Pour l’étude clinique, les participants ont été divisés en deux groupes : d’un côté, des personnes malades de Parkinson en traitement longue durée avec des médicaments antiparkinsoniens classiques ; de l’autre côté, des personnes également malades de Parkinson mais qui n’avaient jamais été traitées avec des médicaments antiparkinsoniens, et dont 100% montraient une hypodopaminergie dramatique avec des niveaux de dopamine dans le plasma en dessous de 20pg/ml.

L’étude clinique a ainsi révélé 5 bénéfices majeurs du complément alimentaire : L’augmentation considérable des niveaux de dopamine dans l’organisme grâce à sa concentration naturelle en L-DOPA (20mg/g). La durée des effets a pu être mesurée jusqu’à 12h après la prise. La tolérance du produit : 100% des participants de l’étude clinique ont bien toléré le produit sans aucun effet secondaire indésirable constaté.

L’augmentation significative de la noradrénaline qui joue un rôle essentiel dans la régulation de l’humeur. La réduction possible des doses des médicaments antiparkinsoniens. Une prise de 5g du produit augmente de 200% au moins les niveaux de dopamine dans les 30-60 minutes, avec une durée d’action allant jusqu’à 12 heures, améliorant parallèlement les symptômes cardinaux de la maladie de Parkinson : bradykinésie (lenteur des mouvements), tremblements et hypertonie (rigidité).

En vue des résultats positifs, les auteurs de l’étude clinique suggèrent que ce complément alimentaire à base de plantes pourrait être une solution, pour : Réduire le phénomène « Wearing off » ou « détérioration de la fin de dose » (observé essentiellement dans les phases intermédiaires et avancées); Réduire des dyskinésies (phases intermédiaires et avancées); Aider à potentialiser l’effet thérapeutique des médicaments conventionnels antiparkinsoniens et retarder le phénomène de « manque de réponse » à long terme par l’aspect neuro-protecteur (dès la phase initiale jusqu’à la phase avancée de la maladie);

Réduire en même temps les effets secondaires négatifs de courte et longue durée des médicaments conventionnels antiparkinsoniens (dès la phase initiale jusqu’à la phase avancée de la maladie). L’étude révèle que la co-administration du complément alimentaire avec des médicaments antiparkinsoniens, permet de réduire les doses des traitements conventionnels de 25-50%, avec des effets cliniques avantageux et une réduction des effets secondaires indésirables de ces médicaments. Ainsi, ce complément alimentaire serait utile à toutes les phases de la maladie de Parkinson (initiale, intermédiaire et avancée).

Les malades qui ont dès le départ d’importantes réactions indésirables face aux traitements antiparkinsoniens conventionnels pourraient pleinement en bénéficier, ainsi que ceux qui tolèrent bien les produits naturels en général. Protection sélective des neurones dopaminergiques Les études précliniques ont démontré un fort potentiel pour la protection des neurones dopaminergiques qui favorisent ainsi le ralentissement de la progression de la maladie.

Cette caractéristique, combinée à son excellente tolérance sans effet secondaire, laisse penser que le produit a un excellent profil également pour son utilisation dans la prévention de la maladie. Il a été démontré, que les principes actifs contenus dans le produit permettent de protéger les neurones dopaminergiques de manière sélective. Cette caractéristique du produit pourrait en effet être une clef quelle que soit la phase de la maladie.

Elle permettrait de préserver les neurones dopaminergiques restants et par conséquent, ralentir le processus de dégénérescence. Une mise sur le marché déjà effective Les conclusions de ces études scientifiques suggèrent que le complément alimentaire, déjà en vente sur internet, pourrait contribuer à améliorer significativement la qualité de vie des malades, sachant que ces derniers ont besoin de solutions et résultats pour maintenant vu leur situation souvent dramatique.

Serait-ce une fois de plus la nature qui nous ouvrirait des chemins complémentaires en nous offrant des avancées majeures pour une meilleure qualité de vie des personnes concernées ?

Il est en tout cas fort intéressant de voir la recherche se pencher à nouveau sur l’élaboration de produits naturels, même si les composants de la nature ne sont pas brevetables et que les profits potentiels sont mineurs comparés aux molécules synthétiques…

Mieux vivre Parkinson



Première page | <<< | 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 | >>> | Dernière page