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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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nature

Publié à 08:45 par fandeloup Tags : nature
nature

Namibie, le vent, le sable, la nature brute !!

l'oryx est capable de supporter des températures extrèmes, sans doute pour cela qu'on le trouve souvent dans ces régions torrides

symbole

Publié à 08:17 par fandeloup Tags : société sur vie homme chez femme travail nature femmes soi automne livre hiver
symbole

La femme est symbole de force, d’empathie, de bienveillance. C’est sa complexité qui fait sa richesse. Les cycles féminins qui rythment sa vie sont synonymes de variation d’humeur, de comportement et d’énergie, parfois mal vécues. Il est urgent de changer son regard sur ces cycles, pour mieux les comprendre et mieux les accueillir !

Mieux s’écouter pour entrer en cohérence avec notre corps Julie Cabot Nadal a écrit le livre À la recherche du féminin perdu. Dans cet ouvrage, elle considère que le féminin est partout. Elle présente les grandes civilisations qui ont mis les femmes à l’honneur et comment retrouver le féminin en soi, envers les autres, au sein des organisation et dans la nature. Elle y explique par ailleurs l’importance de l’écoute profonde de notre corps. Nous ressentons toutes des sensations, auxquelles il faut savoir être sensibles.

En allant chercher plus profondément et en s’écoutant réellement, nous pouvons transformer ces simples sensations en significations. Une colère peut révéler un besoin de justice ou de respect transgressé. La peur, elle, peut être due à un besoin de sécurité dans une situation dangereuse… Pour réellement comprendre ces émotions, il ne s’agit pas de placer notre attention sur l’image que nous extériorisons, sur ce dont nous avons l’air, mais bel et bien sur les sensations physiques, aussi subtiles soient-elles, que nous pouvons ressentir. Par exemple, lorsque vous pensez à cette soirée à laquelle on vous a invitée, vous remarquez que vous vous sentez stressée. Mais plus précisément : Votre estomac se sert-il ? Votre cœur s’accélère-t-il ? Votre gorge se noue-t-elle ? Demandez-vous d’où vient cette sensation et quel chemin elle parcourt. Observez-la avec bienveillance, sans aucun jugement.

Mieux vous comprendre, et ce avec plus de subtilité, vous apportera une meilleure concordance avec vous-même. Ainsi, vous éviterez de laisser ces émotions (négatives, notamment) se développer et se propager dans votre corps sur le long terme sans même que vous ne vous en rendiez compte.

« Ainsi accueillies comme une respiration dans son mouvement de va-et-vient, les sensations émotionnelles nous permettront de nous réunifier puis de nous réajuster en prenant des décisions, des orientations plus respectueuses de nous-mêmes » explique Julie Cabot Nadal.

Chacune de ces émotions que nous ressentons nous relie à nos besoins fondamentaux : l’amour, la sécurité, les repères, la transcendance… Il faut écouter tous ces besoins et les chérir, car ils sont l’essence même d’une énergie vitale et magnifique ! Comprendre leur présence, leur manque nous permet de se reconnecter à eux et de les activer.

Cette écoute du corps est très étroitement liée à l’intuition, cette petite voix intérieure qui nous guide. Les Maasaïs (une population de l’Afrique de l’Est) communiquent constamment avec cette partie d’eux-mêmes, qu’ils considèrent comme leur « double ».

Cette attention envers soi permet de développer son intelligence sensible, loin de l’hyper-rationalisation dont nous avons tendance à user.

Prendre conscience des variations causées par le cycle féminin Certaines femmes y sont moins sensibles que d’autres. Cela ne reste pas moins une réalité : le cycle menstruel féminin passe par plusieurs « phases » causées par la montée ou la chute d’hormones (progestérone et œstrogène, en particulier). Dans son ouvrage J’optimise mon cycle féminin, Judith Castro utilise la métaphore des quatre saisons pour faire référence à ces différentes phases que nous traversons et l’effet qu’elles ont sur notre humeur, notre motivation, notre estime de nous-même… Même notre aptitude à faire face au changement ou à un certain travail peut s’en trouver profondément affectée. Nous aurions donc un hiver interne, un printemps, un été et un automne. A chaque saison, nous nous sentons plus ou moins énergétiques, ou bienveillantes, plutôt tournées vers nous-mêmes ou bien vers les autres… Je vous invite très vivement à consulter ce livre qui fera forcément écho en vous.

Pourtant, aussi riches de changement et de sens puissent êtres ces phases (ou saisons), elles n’en restent pas moins difficiles à appréhender, à accepter et surtout à faire accepter. Non, une femme n’est pas bipolaire (car ça, c’est une maladie) lorsqu’elle change d’attitude ou d’envies au cours du mois. Elle est simplement soumise à de grosses variations hormonales. Il est très important pour vous-même de prendre conscience de cela pour l’accepter et l’intégrer comme une normalité. Il est également primordial que votre entourage le prenne en considération. Vos variations d’humeur ne doivent pas être considérées comme des facteurs d’instabilité ni ne vous donner l’impression que vous êtes quelqu’un de capricieux ou carrément « chiant ». D’après Judith Castro, nous devrions plutôt penser que « notre cycle est notre force, nos variations, notre puissance. »

Bien sûr, si vous ressentez ces variations à une intensité qui en devient difficile à vivre, certaines plantes peuvent vous aider à mieux réguler vos hormones et vous aideront peut être à mieux appréhender ces changements.

S’autoriser à avoir confiance en soi Si l’on observe la situation générale, la femme a tendance à avoir moins confiance en elle que l’homme. Son estime de soi est bien inférieure. Là où un homme postulerait sans hésitation pour un emploi supérieur hiérarchiquement, une femme ne se le permettrait que si elle considère avoir au moins 95% des compétences requises, par exemple. Judith Castro émet plusieurs hypothèses pour comprendre ce manque de confiance constant chez le sexe féminin. Peut-être que celui-ci serait causé par les stéréotypes liés à la fragilité des filles inculqués depuis le plus jeune âge ? Par la vision du sang des règles dans les différentes cultures, qui le considèrent parfois impur ou sale ? Ou bien par la société masculine dans laquelle nous baignons ? Peut-être est-ce un mélange de ces trois facteurs, ou bien d’autres encore.

Nous pourrions discuter longtemps des raisons de notre confiance perdue. Je vous propose plutôt de retrouver cette estime de vous-même et de comprendre que cette richesse apportée par vos cycles et les variations qu’ils causent font des vous des êtres complexes, subtiles et surtout, d’une valeur inestimable.

Prenons donc tous conscience de l’importance de ces cycles qui rythment la vie des femmes et qui en font ce qu’elles sont aujourd’hui, avec toutes les forces et faiblesses, toutes les réussites et remises en question qui en découlent. Une femme ne se résume bien évidemment pas à ses hormones, les hommes non plus d’ailleurs. Il n’empêche que ces cycles sont une pièce fondamentale du puzzle dans la compréhension du soi profond et dans la recherche d’une connexion réelle à soi. Ne les sous-estimons pas !

hiboux

Publié à 18:27 par fandeloup Tags : animal nuit animaux oiseaux
hiboux

Les hiboux sont oiseaux qui vivent la nuit. Pareil que sa copine la chouette, avec qui vous ne devez pas confondre. Les hiboux et les chouettes sont des rapaces protégés en dans l’hexagone.

Certains hiboux migrent pendant la période hivernal, d’autres non. Sa vue et son ouïe très particulières font de cet animal un très bon chasseur la nuit. Par Frédérique Dumont.

 Les particularités des hiboux. Les hiboux ont la capacité de tourner la tête à 270 degrés, leurs yeux n’ont pas ronds. Ils sont dotés de grandes pattes. Et certains hiboux sont connus pour être cannibale (Le hibou Grand Duc d’Amérique, par exemple, est un prédateur de ce type et parmi ses proies, il y a la chouette rayée. )

La principale différence entre ces deux animaux est que la chouette, un rapace sans aigrettes. La tête du hibou est a des aigrettes, des touffes de plumes qui n’ont aucune fonction pour l’audition. Les aigrettes du hibou se dressent en cas de stress.

Les particularités des chouettes : Son vol est particulièrement silencieux car son plumage est moelleux et que ses ailes sont dentelés. La chouette est un oiseau qui ne migre pas et reste où elle vit pendant la saison hivernal. Ses plus grands ennemis sont l’homme, les pesticides et les insecticides. Pendant la saison printanière elle ne fait pas de nid, elle vole celui des autres ou bien elle pond dans un tronc d’arbre.

Macron

Publié à 17:29 par fandeloup Tags : article sur france place pari pouvoir
Macron

Le 26 mai, les Français ont le feu nucléaire entre les mains !

 Malheureusement, de nombreux Français semblent l’ignorer. Mais, le 26 mai prochain, à l’occasion des élections européennes, c’est le feu nucléaire qu’ils auront entre leurs mains par bulletin de vote interposé.

En effet, une défaite sévère de la liste soutenue, désormais, ouvertement et sans vergogne par Macron déclencherait un séisme politique, tant au plan national qu’au plan européen, d’une ampleur jusque-là jamais atteinte. C’est la raison pour laquelle toute la Macronie, maintenant aux abois, et au mépris de toutes les règles démocratiques, morales et éthiques, tente de colmater les brèches d’un vaisseau amiral qui menace de sombrer.

Un temps piloté par une Nathalie Loiseau, aujourd’hui totalement disqualifiée par son incompétence et son inexpérience politique, c’est le président de la République lui-même qui, rompant avec la neutralité institutionnelle et historique de sa fonction, se voit obligé de venir défendre son projet européen.

Et c’est à grands renforts d’appuis médiatiques, dont il bénéficie d’ailleurs depuis le début de son mandat, et de soutiens politiques, dont les incontournables et opportunistes Bayrou, Cohn-Bendit et Raffarin, qu’il espère sauver son quinquennat et son avenir politique.

Car il s’agit bien de son avenir politique. Il n’échappe plus à personne que Macron n’est parvenu au pouvoir qu’avec l’aide de la haute finance internationale. Que ses parrains, dont l’obscur Soros, ne l’ont poussé au sommet de l’État qu’avec l’assurance qu’il saurait renvoyer l’ascenseur et promouvoir une politique mondialiste et multiculturaliste. Mais pour cela, sa mission était double. D’abord, mettre la France au pas.

C’est ce qu’il s’acharne à faire depuis deux ans, déclenchant la plus vaste crise sociale de ces cinquante dernières années et n’hésitant pas à faire de la répression un outil majeur de sa gouvernance. Comptant sur la durée et sur la lassitude des Français, il est en voie de réussir son pari et de faire d’une majorité de Français des déshérités.

Le second objectif qui lui était assigné, et certainement le plus important, consistait en une victoire incontestable aux élections européennes. Face à une Europe, en particulier à l’Est et au Nord, qui marque de plus en plus souvent son scepticisme par rapport au projet européen, la tâche qui lui revenait était de redonner une nouvelle dynamique à une ambition dont les peuples se méfient ouvertement.

Et c’est bien ce combat que Macron craint de perdre le 26 mai. Sa défaite dans les urnes signifierait, pour lui, une rupture quasiment définitive avec ses mandataires de la haute finance internationale. Par ailleurs, elle risquerait, au plan intérieur, de relancer un mouvement de contestation qui ne demande qu’à resurgir.

On le voit donc bien, c’est à un quitte ou double qu’est confronté Jupiter. S’il perd les élections, après s’y être investi à titre personnel comme il le fait, il n’aura d’autre choix que de démissionner. Car c’est bien lui qui, par son attitude partisane, vient de transformer le scrutin du 26 mai prochain en référendum pour ou contre sa politique.

Par ailleurs, ayant failli dans la mission qui lui était confiée par ses soutiens mondialistes et européistes, il n’aura d’autre choix que de se retirer tel un général battu en rase campagne et donc bon pour un limogeage séance tenante. Mais cette issue, inespérée pour beaucoup de nos concitoyens, ne sera possible qu’à la seule condition que la liste LREM soit laminée lors du vote programmé à la fin du mois.

Pour cela, il importe que tous les électeurs se rendent aux urnes afin d’exprimer leur rejet de la politique intérieure de Macron et leur refus de voir se mettre en place une Europe fédérale briseuse des nations.

loups

Publié à 16:36 par fandeloup
loups

Il y a des loups essentiellement dans l'hémisphère Nord. Selon la région, les loups sont quelque peu différents. Par exemple, au nord, le pelage des loups est blanc. Il est adapté à son environnement : le loup peut mieux se camoufler dans un paysage de neige, surtout quand il souhaite chasser.

Service Civique

Publié à 16:13 par fandeloup Tags : création nature loisirs sur
Service Civique

Connaissez-vous le Service Civique ?

Le Service civique offre la possibilité aux jeunes de 16 à 25 ans de servir les valeurs de la République et de s’engager sur un projet d’intérêt général dans des thématiques comme la culture et les loisirs, l’éducation, l’environnement, la citoyenneté, la solidarité…

Le volontaire s’engage pour une durée de 6 à 12 mois au sein d’une structure d’accueil qui accompagne le volontaire durant toute la durée du Service Civique. Et, oui, puisqu’on vous en parle, le groupement de gendarmerie départementale de la Gironde recherche plusieurs volontaires en Service Civique.

Ainsi, plusieurs postes sont à pourvoir à Bordeaux et à Libourne avec pour mission la prévention et la sensibilisation du public aux risques auxquels les personnes peuvent être exposés au quotidien (vols, fausse qualité, racket, sécurité routière...) ainsi qu'aux risques inhérents à certaines professions (cambriolages, vols à main armée... ).

Agissant en appui des gendarmes en charge de ces actions, vous contribuerez à relayer des informations de nature à prévenir les actes de délinquance, en s'appuyant sur des supports pédagogiques et plaquettes destinés au public. Vous participerez également à la mise à jour, voire à la création, de supports de communication utilisés par les gendarmes.

Vous avez envie de participer à ces missions de prévention ?

Pour candidater, rien de plus simple : envoyez-nous sur la messagerie de notre page Facebook un CV ainsi qu’une lettre de motivation ou rendez-vous sur le site de l'agence du service civique.

orques

Publié à 15:44 par fandeloup Tags : 2010 sur monde mer chez photos animaux animal
orques

Un nouveau type d'épaulard aurait été identifié

Pour la première fois, des scientifiques ont filmé et étudié les mystérieux épaulards de « type D » à l'état sauvage.

 Au sud de notre planète, dans certaines des mers les plus agitées, vivent de mystérieux épaulards qui ressemblent peu aux orques connus jusqu'à ce jour. Pour la première fois, des scientifiques ont localisé et étudié ces animaux à l'état sauvage. Selon Robert Pitman, chercheur à la National Oceanic and Atmospheric Administration, ces orques sont « très probablement » d'une nouvelle espèce.

L’équipe scientifique a fait cette découverte en janvier dernier à environ 96 km des côtes du Cap Horn, au Chili, à la pointe de l’Amérique du Sud. Cette région est connue pour avoir « les conditions météorologiques les plus mauvaises », a ajouté Pitman.

Ces orques, appelées épaulards de type D, étaient connues auparavant à travers des photographies d’amateur, des descriptions de pêcheurs ou suite à des échouages, mais ils n'avaient jamais été observés dans leur état naturel par des experts en cétacés.

Contrairement aux autres types d'orques connus, ils ont une tête plus arrondie, une nageoire dorsale plus pointue et plus étroite et un très petit cache-œil blanc. Ils sont aussi plus petits, dit Pitman. Le nouveau type d'orque, connue sous le nom d'épaulard de type D ou subantarctique, est très probablement une nouvelle espèce, car elle présente une apparence unique : une tête arrondie, une nageoire dorsale en pointe et un petit cache-œil.

 L’équipe, qui a embarqué à bord du navire Australis, s’est aventurée dans une zone où les pêcheurs avaient récemment repéré les animaux et a jeté l’ancre pendant plus d’une semaine. Finalement, un groupe d'environ 25 épaulards s'est approché du navire.

Les scientifiques ont filmé les prédateurs sous et au-dessus de l’eau et ont prélevé un petit morceau de peau et de graisse, en utilisant une technique de recherche commune et inoffensive. Ils étudieront bientôt l’ADN de l’orque, qui déterminera une fois pour toutes s’il s’agit ou non d’une nouvelle espèce. (L’équipe attend actuellement un permis d’exportation pour exporter l’échantillon hors du Chili.) Les orques se sont rassemblées autour du bateau pendant quelques heures, apparemment curieux de ces humains et de leur navire. Bien qu'elles aient minutieusement inspecté un hydrophone que les chercheurs avaient mis à l'eau, elles n'ont pas émis de vocalises.

 Les orques de type D été répertoriées pour la première fois lorsqu'un groupe de plus d’une douzaine de spécimens s'est échoué en Nouvelle-Zélande en 1955. Plus d’un demi-siècle plus tard, en 2005, Pitman a vu des photographies rassemblées par Paul Tixier, scientifique français étudiant dans un archipel du sud de l'océan Indien, connu sous le nom d'îles Crozet.

Les photos montraient clairement que ces animaux étaient le même type d'épaulards que celui qui s'était échoué en 1955. « J'ai regardé les photos et les bras m'en sont tombés », dit Pitman. « Ils étaient là, 50 ans plus tard.» On sait que ces orques volent du poisson sur les lignes de pêcheurs près des îles Crozet et du Chili, et capturent parfois jusqu'à un tiers de leurs prises, explique Pitman. Les deux chercheurs ont collaboré avec des tiers à l'aide de photographies et de descriptions pour rédiger la première étude sur les épaulards de type D, publiée dans la revue Polar Biology en 2010. Mais Pitman était toujours déterminé à en trouver un à l'état sauvage.

« En récoltant les premiers échantillons de biopsie jamais obtenus sur cette forme d'épaulard, l'expédition de Pitman [promet d’augmenter] nos connaissances sur la génétique, l’évolution, les préférences alimentaires et le partage des ressources chez les types D et chez l’ensemble des épaulards », déclare dans un email Tixier, qui est actuellement chercheur à la Deakin University de Melbourne, en Australie. Il existe en effet d'autres « écotypes » d'orques, dont certains pourraient appartenir à des espèces différentes, notamment quatre variantes situées près de l'Antarctique. Les épaulards de type A ressemblent aux orques typiques (que l’on trouve dans le monde entier), mais se nourrissent principalement de petits rorquals. Les types B sont plus petits et la plupart mangent des phoques. Le type C chasse le poisson. Mais les épaulards de type D ont une apparence encore plus étrange. « C’est de loin l’aspect le plus différent », déclare Pitman.

UN OU PLUSIEURS ?

Les épaulards sont toujours officiellement considérés comme une seule espèce, Orcinus orca, mais certains types sont probablement distincts et méritent leur nom scientifique, a déclaré John Ford, chercheur à Pêches et Océans Canada et à l'Université de Colombie britannique. Mais cela nécessite un processus scientifique formel, qui comprend de nombreuses mesures, une analyse de l’ADN, etc. « Il y a de bonnes raisons de considérer d'autres espèces d'orques également comme distinctes, mais il est très difficile de tracer ces lignes », déclare Ford.

 Pitman suggère qu'un bon nom commun pour les orques serait l'épaulard subantarctique. Cela décrit bien leur habitat, au large de l’Antarctique, mais ne comprend pas les eaux les plus froides. La région où ils se trouvent, à une latitude de 40 à 60 degrés, présente certaines des conditions météorologiques les plus inhospitalières de la planète, avec des vents violents et de fréquentes tempêtes. Leur choix d'habitat, combiné au fait qu'ils vivent en pleine mer, explique pourquoi ces épaulards sont si peu connus. « Si vous êtes un gros animal qui essaie de se cacher de la science, c’est exactement là où vous voudriez le faire », déclare Pitman.

notre dame

Publié à 14:31 par fandeloup Tags : rose texte nuit sur pouvoir gratuit travail message
notre dame

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droit

Publié à 14:07 par fandeloup
droit

Cela à le mérite d'être clair ..... Si tu es récalcitrant , tu n'as rien a faire ici

humour

Publié à 11:43 par fandeloup Tags : humour