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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Un éléphanteau squelettique meurt en se cassant les jambes dans un zoo thaïlandais
Dumbo, l’éléphanteau squelettique du zoo de Phuket, dont le sort avait ému les internautes, est mort . il avait 3 ans
Vincent, l’homme derrière l’affaire Lambert
Vincent Lambert et son épouse Rachel (photo non datée).
Qui est vraiment celui dont le nom est devenu le symbole de la fin de vie ? Celui dont le corps et l’esprit ne répondent plus et dont la famille se déchire depuis dix ans ? La porte se referme.
En cet après-midi du 29 septembre 2008, Vincent Lambert, 32 ans, infirmier en psychiatrie, vient de faire une petite sieste. Il a embrassé sa fille de 2 mois, a lancé « je t’aime » à sa femme Rachel. C’est l’heure de prendre la route du travail. Le terrible accident, l’hospitalisation, le corps qui ne répond plus… Ici s’achève sa vie d’avant.
Très vite, Vincent devient « l’affaire Lambert »
. Et le débat, qui déchire la famille, s’enlise encore dix ans plus tard : faut-il poursuivre les soins de ce tétraplégique, en état végétatif irréversible ? Alors que les médecins venaient d’arrêter son hydratation et son alimentation, la Cour d’appel de Paris a ordonné leur reprise, tard dans la soirée de lundi. Un nouveau coup de théâtre retentissant suivi, avec émotion, par la population.
Une enfance compliquée
Car derrière le « cas », il y a l’homme. Et ce nom, symbole de la fin de vie, qui n’a pas toujours été le sien. Vincent est né Philippon. Issu d’une liaison, il est d’abord élevé par le premier époux de sa mère Viviane. Il sera reconnu à 6 ans par son père biologique Pierre Lambert, une fois la relation clandestine transformée en mariage. Le clan recomposé de Châteauroux (Indre) compte, en tout, neuf enfants. Une situation atypique pour cette famille catholique, pratiquante, intégriste, pour certains de ses membres. Un environnement « traditionaliste, où la morale étouffe, une enfance qu’il décrit compliquée », confiera-t-il plus tard à sa femme Rachel, comme elle le raconte dans son livre.
« Après les repas de famille tendus, on avait besoin de s’isoler, lui et moi, pour prendre du recul », se souvient François, le neveu de Vincent. Les années s’écoulent. Pensionnat, adolescence timide, études médicales… « Sa délicatesse, sa diligence l’amène en tant qu’élève infirmier à faire son mémoire sur la maltraitance des personnes âgées en maison de retraite », écrivent ses parents sur leur site militant « Je soutiens Vincent.com ».
Lorsque Rachel le rencontre, il est grand, brun, les yeux noisette, féru de rock et des Pink Floyd et beau comme on le devine, malgré tout, sur les quelques clichés pris sur son lit d’hôpital et rendus publics.
Côté pile, la liste des superlatifs s’allonge. Charismatique, consciencieux, convoité, respecté…
Côté face, il est introverti, ténébreux, solitaire. Vincent aspire à une vie tranquille, à la maison, autour de films et de bons dîners.
Plein d’humour noir Deux mois avant l’accident dramatique, des petits cris étaient venus égayer ces moments de quiétude. D’abord bien décidé à ne pas avoir enfant, il cède à l’envie de paternité avec Rachel dont il est fou amoureux. Sa femme est désormais sa tutrice.
Sa fille, 10 ans aujourd’hui, a grandi, protégée par sa maman, loin des tempêtes judiciaires autour de ce père qu’elle a si peu connu. Malgré les années, personne n’a jamais cédé.
Arc-boutés, les parents s’accrochent à maintenir leur fils en vie malgré la décision des médecins. Rachel, elle, assure vouloir respecter les volontés de son mari comme il lui avait confié : « Pour lui, c’était un non-sens de rester alité pendant des années, il avait une vision assez radicale des choses : il était préférable de partir plutôt que de rester en vie comme un légume », soutient-elle dans son livre. Les mots ne lui font pas peur. « Il était caustique, plein d’humour noir, témoigne François, son neveu. Finalement, il aurait adoré l’affaire Vincent Lambert. »
«Vincent : Parce que je l’aime, je veux le laisser partir», de Rachel Lambert. Ed. Fayard.
Ce que l'on appelle prendre ses jambes à son cou lorsque que nous devons partir à toute vitesse
Aix-les-Bains s'apprête à accueillir le plus grand rassemblement de trikes
Mais qu'est-ce que le trike ? Une moto fauteuil à trois roues, pour résumer.
En Savoie, Aix-les-Bains s'apprête à accueillir le plus grand rassemblement du genre en Europe. L'occasion d'en savoir sur cet engin au look étonnant et au moteur pétaradant.
C'est le compromis entre confort et sensation... Le trike est un fauteil sur roue, généralement trois. Une machine qui se pilote à 30 cm au-dessus du sol. Une sensation de conduite proche du karting.
C'est aussi une machine à propulsion. Le Trike est équipé d'un moteur de voiture d'une centaine de chevaux. A l'arrière c'est une automobile, à l'avant c'est une moto. Un mélange qui rend l'engin particulièrement accessible. Inventé aux Etats-Unis, le trike permettait aux motards blessés au Viêt Nam de reprendre la route.
Aujourd'hui, les trikers forment une fraternité internationale de 9.000 membres. Une quarantaine d'entre eux vit dans la région. Tous les deux ans, ils organisent un grand meeting européen à Aix-les-Bains. Cette année 18.000 visiteurs sont attendus.
Le 3ème Meeting International des trikers d'Aix-les-Bains aura lieu du 30 mai au 2 juin.
Plus de 500 équipages venus de 15 pays seront au rendez vous.
La chienne handicapée est jetée à la rue avec un sac de couches et une note son histoire est émouvante
L'adoption d'un animal handicapé n'est pas un choix facile et tout le monde ne peut parvenir à vraiment bien s'en occuper. Pourtant, cela peut être le début d'une magnifique histoire avec un animal formidable qui a le droit comme tout le monde à de l'amour. Malheureusement, les animaux handicapés sont souvent abandonnés par leurs propriétaires.
Luninta était une belle petite chienne handicapée.
C'est précisément la raison pour laquelle elle a été jetée dans une rue en Argentine. À côté d'elle se trouvait une note avec son nom, son âge et une courte explication. Son ancien propriétaire n'avait laissé ni eau ni nourriture. Il a dit qu'ils ne pouvaient pas la garder, rien d'autre. Elle a été retrouvée avec sa écuelle dans la rue, ses pattes postérieures toujours dans un fauteuil roulant, abandonnée.
Heureusement, elle a été repérée et l’organisation de secours aux animaux LUBA Salta a été prévenue. Ils se sont dépêchés de se rendre sur place, a rapporté The Animal Bible. La petite chienne a été amenée au refuge et placée en adoption. Et puis après un long moment, une famille américaine a manifesté un intérêt pour elle !
Une collecte de fonds a été lancée pour aider à couvrir les coûts du voyage. Malheureusement, sa nouvelle famille n'a pas réussi à bien s'en occuper. Il ne savait pas assez comment faire avec un chien handicapé. Comme son lit était couvert d'acariens, elle a également contracté une très grave infection de staphylocoque.
Après cette tragédie, son état n'était pas bon et les choses ont empiré. Une nouvelle famille l'a adoptée. En raison de l'infection, de la gale et d'autres problèmes, Lunita a perdu toute sa fourrure le long des hanches. Elle pesait moins de 16 kg.
Lentement, avec beaucoup de soin et d'attention, elle a récupéré. Chouchoutée par sa nouvelle famille, son état de santé amélioré et elle a même vu la neige pour la première fois!
Le 15 juin 2018 a été l'un des plus beaux jours de sa vie. Elle a fêté ses 11 ans ce jour-là et elle s’est beaucoup amusée avec toutes les personnes et les chiens qui lui ont rendu visite. Il y avait même une tarte spéciale pour chien! Cependant, peu après son anniversaire , Lunita est tombée malade à nouveau et a dû se rendre au service des urgences. Elle avait de plus en plus de mal à respirer. Chaque fois que le masque à oxygène lui été enlevé, sa langue devenait bleue.
La famille de Lunita a dû prendre la plus difficile des décisions et a compris qu'ils devaient la laisser s'en aller. Lunita est morte entourée de gens qui l'aimaient. « Je ne l'oublierai jamais ni à quel point elle compte pour moi », a écrit sa mère, celle qui s'en est si bien occupée, sur Facebook. « Elle a changé ma vie pour toujours. Je l'aime tellement. »
Bien que cette belle et courageuse chienne n’ait pas eu une vie facile, elle a été heureuse à la fin de sa vie. Malgré tout ce qui lui est arrivé, elle a continué à faire preuve de confiance, de persévérance et d'amour pour les autres.
N'oubliez pas de partager cet article pour rendre hommage à Lunita !
Ille-et-Vilaine : deux salariés licenciés pour refus de travailler le dimanche
Depuis mars 2018, l’hypermarché ouvre chaque dimanche matin de 9 heures à 12h30. Ce qui représente par an six matinées de travail supplémentaires pour les salariés.
Arandel Christelle travaillait depuis 18 ans à l’hypermarché Cora de Saint-Malo, elle a été licenciée pour faute grave. En théorie, la loi interdit de défavoriser un employé qui refuse de travailler le dimanche.
L’hypermarché Cora de Saint-Jouan-des-Guérets, près de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), aurait pourtant licencié deux de ses salariés qui refusaient le travail dominical.
Selon Europe 1, une femme employée depuis dix-huit ans, formée pour tenir la station-service, et un homme en poste au rayon crèmerie depuis huit ans, ont été renvoyés pour « faute grave ». Tous deux ont refusé de venir travailler le dimanche, puisque cette possibilité n’est pas inscrite dans leur contrat de travail.
Travail le dimanche : ce que dit la loi Selon Europe 1, aucun des 200 salariés de l’hypermarché n’a reçu d’avenant à son contrat de travail lorsque la direction a décidé d’ouvrir tous les dimanches matin, en mars 2018.
Cette décision, que n’ont pas prise les Leclerc et Carrefour de Saint-Malo, implique pour chaque employé de travailler six matinées dominicales par an. Il n’y a pas eu d’appel à volontaires. Licenciés sans préavis ni indemnité Selon la salariée licenciée, Christelle, le directeur a « dit que c’est la loi Macron et que vu la conjoncture actuelle, c’est son gagne-pain.
C’était ça ou on prenait la porte directement. J’ai dit : 'Non, je ne le ferai pas'. Après, il y a eu une procédure pour faute grave. Faute grave ? Je lui ai dit qu’il valait mieux, carrément, que je vole ! »
Comme son collègue masculin, Christelle a été licenciée sans préavis ni indemnité de licenciement. Elle veut attaquer son ancien employeur devant le conseil de prud’hommes. Sollicitée par la radio, la direction de l’hypermarché n’a pas souhaité répondre.
Dans le même département, un autre hypermarché Cora veut ouvrir le dimanche. Situé près de Rennes, il rencontre l’opposition des syndicats et d’élus locaux. Ceux-ci craignent un effet délétère pour les commerces des centres-villes et des centres-bourgs alentour.
Le stylo, brusquement réveillé par sa conscience, se mis à bouger. Le voilà en train de sillonner la feuille. Une, puis deux, puis trois feuilles noircies par l’encre qu’il laissait derrière lui. Il ne voulait plus s’arrêter maintenant. Il contournait les points et sautait les virgules. Il abattait les parenthèses et cassait les tirets. Quand il s’arrêta enfin, haletant par l’épuisement dû à son effort, je jetai un coup d’œil rapide sur le dernier mot écrit avant qu’il ne meurt. Je lus : « Je t’aime, mon ♥! »