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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Brazey-en-Plaine : pour avoir libéré un corbeau, ils se retrouvent au pénal Les corbeaux sont des volatiles nuisibles, Monique et Jean-Claude Colnay s’en souviendront.
Monique Colnay présente le procès-verbal qui la sanctionne avec son mari pour vol et dégradation.
Le 30 avril, alors qu’ils déambulaient dans la campagne, Monique et Jean-Claude Colnay, un couple de Brazey-en-Plaine, ont découvert dans un champ une cage nasse avec un corbeau emprisonné.
Amoureuse des animaux, Monique décide de libérer l’oiseau. Bien mal lui en prit : une réglementation autorise les agriculteurs à piéger leurs champs afin de protéger les semences et cultures des corvidés, qui menacent aussi les populations de certaines espèces d’oiseaux sauvages ou domestiques en dévorant les œufs de perdrix, palombes, faisans, canards…
Surpris en train de délivrer le volatile, Monique et Jean-Claude Colnay ont ensuite fait l’objet, le 3 mai, d’une perquisition de leur domicile par les gendarmes de Saint-Jean-de-Losne, qui sont repartis en leur laissant une convocation à la brigade le 6 mai pour « vol et dégradation ».
Convoqués devant un juge À la gendarmerie, le couple admet qu’il n’aurait jamais dû « pénétrer dans un champ privé ».
Puis, « on a pris nos empreintes digitales et on nous a photographiés de face et de profil, comme des assassins ! », déclare Monique Colnay.
Le couple est convoqué le 6 juin en vue d’une composition pénale, risquant une contravention de cinquième classe (à hauteur de 1 500 € d’amende maximum) pour « lâcher non autorisé d’animaux nuisibles ».
Gilles Delepau, maire de Brazey-en-Plaine, rappelle qu’« il existe une réglementation stricte au sujet des corbeaux, qui a été respectée suivant les directives de la préfecture.
Les agriculteurs concernés déplorent l’intrusion dans leur champ, en indiquant que plusieurs cages nasse ont disparu, ils ont donc porté plainte »…
Quelques semaines après son inauguration, la Tour Eiffel ouvre au public le 15 mai 1889. Plus de 28 000 curieux viennent la visiter dès la 1ère semaine. Petite précision : les ascenseurs ne sont alors pas encore en service...
« J’AI LES CORDES VOCALES COUPEES POUR NE PAS HENIR DE DOULEUR, J’AI LES YEUX BANDES POUR NE PAS RECULER DE PEUR, J’AI DE LA VASELINE DANS LES NARINES POUR NE PAS SENTIR L’ODEUR DU SANG, J’AI DU COTON DANS LES OREILLES POUR NE PAS ENTENDRE LES PLEURS DU TAUREAU… JE SUIS LE CHEVAL LA VICTIME OUBLIEE, SILENCIEUSE DES CORRIDAS…
Au mois de mai, l'échasse blanche couve au bord des lacs
Peut-être avez-vous déjà admiré la longueur de ses pattes ?
L’échasse blanche, tel un mannequin, a de longues pattes de plus de 15 centimètres de hauteur. Et cela lui est très utile ! Plutôt coquette, elle n’aime pas trop se mouiller les plumes lorsqu’elle pêche dans les marais ou les lacs. Ses hautes pattes lui permettent donc d’avancer dans l’eau en toute tranquillité. L’échasse blanche niche en petites colonies qui peuvent être mixtes.
Au printemps, celle-ci part à la recherche de l’âme sœur et les parades sont des plus jolies. Tout comme son cousin le Héron cendré ou encore le grand tétras, le mâle effectue un véritable ballet pour séduire sa belle. Il lui fait la révérence en courbant ses longues pattes et agite ses ailes. Il peut lui arriver parfois de chanter quelques airs pour la charmer complètement.
Une fois la parade terminée, les deux amoureux débutent la construction de leur nid. Ensemble, ils choisissent un lieu où s’établir proche de l’eau. Très souvent, le nid est une simple dépression peu profonde que l’échasse blanche gratte à même le sol. Le mâle et la femelle y apportent des herbes aquatiques pour le rendre plus douillet et y accueillir les œufs.
Une fois bien installés, les deux parents couvent ensemble pendant près d’un mois les quatre beaux œufs pondus par la femelle. Les petits naissent couvert d’un duvet foncé et des tâches grises. Ils sont nidifuges, c’est-à-dire qu’ils sont capables, aussitôt sortis de l’œuf, de voler et de se nourrir seuls. Juste après la naissance, les oisillons quittent alors le nid et se cachent dans la végétation proche pour échapper aux prédateurs.
Les plus indépendants apprennent à se nourrir seuls, de larves de mouches ou de petits têtards. Les autres peuvent tout de même compter sur leurs parents. Un mois plus tard, tous s’envolent vers de nouveaux horizons.
Affaire Alexia Daval : Domicile, forêt...la reconstitution du meurtre de la jeune femme est imminente
Jonathann Daval, mis en examen pour le meurtre de sa femme Alexia, est toujours incarcéré à la prison de Dijon.
La reconstitution aura lieu en juin. Très attendue elle se déroulera à l'ex-pavillon du couple à Gray-la-Ville en Haute-Saône et dans le bois où a été découvert le corps.
Une source proche du dossier confirme l'information. La reconstitution de la mort de la jeune femme de 28 ans dont le corps en partie carbonisé a été retrouvé le 30 octobre 2017 aura bien lieu courant juin, dans deux communes du département de la Haute-Saône.
Le 7 décembre 2018 à Besançon, le mari de la jeune femme livrait lors d'une confrontation avec la famille d'Alexia dans le bureau du juge une nouvelle version des faits. Il reconnaissait avoir tué la jeune femme lors d'une dispute au domicile du couple.
La reconstitution se fera de nuit. Elle commencera dans le pavillon de l'ancien domicile du couple. Le suspect sera accompagné du magistrat instructeur, des enquêteurs de la gendarmerie et des avocats des parties. Ils se déplaceront également le lendemain en forêt d'Esmoulins où le corps de la jeune femme habillée en tenue de joggeuse avait été découvert. L'enquête a établi que Jonathann Daval avait transporté le corps de son épouse de nuit avec son véhicule professionnel. Il avait été confondu par les relevés GPS du véhicule et un voisin qui avait entendu sortir un véhicule faisait un bruit cette nuit là sur une plaque d'égout.
Le mari d'Alexia a toujours nié avoir tenter de carboniser le corps de son épouse. Il a pendant plusieurs mois accusé son beau-frère Grégory Gay d'être impliqué dans la mort d'Alexia. Il expliquait alors aux enquêteurs que ce dernier l'avait tué en tentant de la calmer lors d'une crise au domicile des parents de la jeune femme , où la famille dinait ce samedi là.
Le mari d'Alexia avait fini par se retracter. Il est incarcéré à la prison de Dijon et mis en examen pour meurtre sur conjoint. Le procès de cette affaire de violences conjugales devrait se tenir courant 2020, devant la cour d'assises de Haute-Saône à Vesoul. Jonathann Daval encourt une peine à perpétuité.
LE FIL VERT «L’Europe des animaux», quand l’UE mène le combat contre la souffrance animale Par Florian Bardou
Des lapins Orylag dans un élevage de Vandré, dans l'ouest de la France, le 19 décembre 2017.
Dans un essai bien documenté, l’eurodéputé Pascal Durand et le porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot Christophe Marie défendent la pertinence de l’échelon européen pour faire progresser la cause animale dans les Etats membres
. «L’Europe des animaux», quand l’UE mène le combat contre la souffrance animale Jusqu’au 26 mai, le Fil vert, le rendez-vous environnement de Libération, se teinte de bleu à l’occasion des élections européennes.
Du «0» pour le bio au «3» pour les élevages en batterie : que ce soit dans les rayons des grandes surfaces ou sur les étals des marchés, les consommateurs se sont aujourd’hui habitués aux petits numéros sur les œufs de poules.
Ce marquage, qui permet de rendre compte des modes d’élevage des pondeuses, a été imposé dès 2002 par l’Union européenne ; il fait désormais l’objet d’un consensus malgré l’opposition des producteurs à ses débuts et a permis in fine de contribuer à la baisse des ventes des œufs issus des élevages en cage ainsi que la part du cheptel européen élevé dans ces conditions – y compris en France.
«Les poules pondeuses et leurs défenseurs peuvent dire merci à l’Europe», écrivent à ce propos l’eurodéputé écolo-marcheur Pascal Durand et le porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, Christophe Marie, dans l’Europe des animaux, un plaidoyer pro-européen paru jeudi.
Précis et bien documenté, leur livre montre d’abord combien l’Union européenne a été depuis quarante ans «indispensable» pour faire progresser la cause animale sur le continent face à l’inaction des gouvernements. Reconnaissance du bien-être et de la sensibilité animale, interdiction de l’expérimentation animale pour les produits cosmétiques, embargo européen sur la fourrure de phoque, directive «oiseaux» : l’UE a en effet adopté une vingtaine de textes décisifs pour combattre la souffrance animale et protéger la faune sauvage, et a tout à gagner à porter cette cause.
«Aussi insuffisante que soit la législation européenne, sans elle, il est évident que les Etats membres ne prendraient pas des législations aussi protectrices», estiment d’ailleurs les deux auteurs, qui ne tombent pas pour autant dans l’adoration béate de la machinerie européenne.
L’eurodéputé, candidat à sa réélection avec LREM, et le militant animaliste regrettent ainsi les «contradictions» de l’UE, par exemple sur la corrida, à la fois dénoncée par le Parlement européen et défendue par l’Espagne et la France devant le Conseil des ministres, mais aussi le poids de la «technostructure», l’«opacité» de certaines décisions et le manque de moyens coercitifs – l’UE n’a pas de police pour vérifier l’application de ses textes – qui empêchent de faire respecter la réglementation européenne en matière de transport animalier.
Mais, poursuivent Pascal Durand et Christophe Marie, rien ne sert de rejeter la faute sur les institutions européennes, bien plus utiles qu’elles n’y paraissent pour améliorer le sort des animaux dans les élevages et les laboratoires, que certains Etats membres. Bien que l’opinion soit de plus en plus acquise à la cause, tout progrès contre la souffrance animale se heurte encore à une «classe politique conservatrice» qui a la mainmise pour ne pas légiférer.
Et c’est d’autant plus vrai en France, en raison de l’obstruction de certains lobbys (chasseurs, éleveurs, etc.) qui favorisent le statu quo – on l’a vu lors de la traduction législative des timides états généraux de l’alimentation. A moins d’enclencher le levier européen.
Alerte tsunami après un séisme de 7,5 en Papouasie-Nouvelle-Guinée
Moresby est la capitale de la Papouasie-Nouvelle-Guinée (illustration). AFP/Saeed Khan Le tsunami pourrait toucher la Papouasie-Nouvelle-Guinée et les Îles Salomon.
La Papouasie-Nouvelle-Guinée et les Îles Salomon sont en alerte tsunami après un séisme de magnitude 7,5, dont l’épicentre se trouve en Papouasie-Nouvelle-Guinée, selon le Centre d’alerte des tsunamis dans le Pacifique. Ce séisme a eu lieu à 44 km au nord-est de Kokopo en Papouasie-Nouvelle-Guinée, selon l’institut américain USGS.
« D’après les premiers paramètres du séisme […], il est possible que de dangereuses vagues de tsunami touchent les côtes situées dans un rayon de 1000 km de l’épicentre », a indiqué de son côté le Centre d’alerte aux tsunamis dans le Pacifique. Électricité coupée à Kokopo « Les agences gouvernementales en charge des zones côtières menacées doivent prendre des mesures pour informer et donner des instructions aux populations en danger, selon leurs procédures d’évaluation et le degré de la menace », a ajouté ce centre.
« C’était énorme, absolument énorme. Très effrayant », a déclaré Megan Martin, directrice de l’hôtel Rapopo Plantation resort à Kokopo. « Il ne semble pas y avoir de dégâts mais nous sommes en train de vérifier ».
Selon un correspondant de l’AFP présent à Kokopo l’électricité a été coupée en ville à la suite de la secousse.
« Des répliques se font ressentir », a-t-il ajouté. L’épicentre indiqué se trouve dans la ceinture de feu du Pacifique, zone fréquemment touchée par les séismes. En février 2018, un séisme de magnitude 7,5 dans le centre de la Papouasie-Nouvelle-Guinée avait fait au moins 125 morts et détruit des centaines de bâtiments.
Ce n'est pas l'animal qui traverse la route... c'est la route qui traverse la forêt...