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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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SI

Publié à 21:35 par fandeloup Tags : moi histoire roman nature fleur couture oiseau
SI

Si j'étais une génoise, je serais une madeleine pour te faire pleurer.

Si j'étais un fruit du verger, je serais une pomme pour te faire craquer.

Si j'étais un vent léger, je serais un souffle pour te faire frisonner.

Si j’étais un jardiner, j’aménagerais des coins secrets pour ce confier.

Si j'étais une fleur, j’émanerais une senteur inouïe pour te bien piéger.

Si j’étais un pétale, je planerais en tournoyant pour toi qui t’émerveille.

Si j’étais un oiseau, Je serais le petit mouche pour siffloter à ton oreille.

Si j’étais un loup, je serais l'esprit d'anciens virevoltant totem en veille.

Si j’étais un torrent, je dévalerais les courbes de ton corps sans sommeil.

Si j'étais un clown, je resterais moi même, drôle et ridicule avec mes armes.

Si j'étais un poète, je tenterais de charmer ton âme pour l'émouvoir de larmes.

Si j’étais un pirate, je serais te dérober, trésor sans déclencher l'alarme.

Si j’étais une histoire, je serais multiple contes héroïques en fin de vacarmes.

Si j’étais un roman, je serais l'écrivain, le récitant brave de notre aventure.

Si j'étais en toi j'occuperais ton cœur, vitalité et conscience si mature.

Si j’étais une ombre, je te suivrais comme le fil du bouton d'or par sa couture.

Si j’étais seul sur terre, je tuerais le désert de ta présence dans la nature.

merveilleux

Publié à 20:32 par fandeloup Tags : coeur
merveilleux

Il y a toujours du merveilleux à bâtir autour de nous, il suffit d'ouvrir notre ♥ à la magie des autres qui nous entourent.

voyage

Publié à 20:06 par fandeloup Tags : vie moi monde amour amitié nuit voyage voyages
voyage

Voyages-tu de la terre à la lune ou de la lune à la terre ? Dans quel sens as tu décidé de dépasser celui de l'interdit ? Une route la plus entretenue, si peu parcourue soit-elle, ne se trace jamais sur un bitume parfais. En témoigne ses hauts et ses bas.Tu as sans doute choisit de disparaitre derrière l'astre qui te regarde, t'observe et te fascine. Tu prétendras pouvoir dépasser, surpasser ton destin par tes dessins de conduite en liberté intégrale. Ton courage te permettra d'arpenter, sans jamais redescendre cet horizon sans fin, si cela ne ce déclarait en réalité que comme une simple étape. Tu n'as peut être pas connaissance, ni l'assurance que la chute peu survenir à n'importe qu'elle instant. Ne point craindre est folie, c'est la loi de la conservation naturelle mais ne rien opérer n'est que délire, le charme se meurt. Écoutes ton esprit répondre à ton corps en discernement avisé. Ne quitte pas tout de suite ce terrain de terre pauvre rougeoyante sans y déceler les excroissances de verdure en son bord. Comme toi, elles connaissent une part de la pollution, remplis en tes poches par pitié. La clairvoyance de tes sentiments confus ne sont pas tout naturellement de voir le monde dans son ensemble. Trop vite ces barrières imposées qui te fruste et t’empêche de tourner les yeux. Étrangement elles barrent un partie de ta conscience en plénitude. Les traces de la communication sont patentes quand bien même l'air peu sembler affecter. La vie résiste sonore et fertile. Les nuages s'assombrirent, la nuit tombe mais la lumière croit. Moi j'y vois une aventure si proche à décroché si tu conviens avec moi de partir sur un chemin d'amitié alors, il deviendra d'amour, car elle est à portée de nos mains. Cette mère protectrice, parfaite dans ses rondeurs, éclatante comme jamais, rassurante. Elle s'est laissé Capturée pour notre émerveillement pour un temps éphémère. Pourquoi rejeter l'invitation au voyage, car il sera à deux voies avec un retour certain ? Que ce soit à la poursuite du rayon vert ou vingts mille lieux sous les mers ?

maison

Publié à 18:54 par fandeloup Tags : fond coeur femmes vie moi homme femme photos pensées
maison

Une maison au milieu d'un champ où le temps s'est arrêté. Un endroit où la solitude est éternelle. Sur la table, un café chaud réveille ton âme. Sur les murs des photos me tiennent compagnies.Je regarde par une fenêtre. Le vent m'a emmené près de ta fenêtre, tes pensées m'y ont guidée. Je me tiens là à attendre que tu ouvres la porte... comme autrefois. Aujourd'hui, le vent m'a ramené vers toi, dans cette petite maison où tu m'as dit apprécier la solitude.Moi je ne l'aime pas, elle s'est emparée de moi. Je penses à nos beaux souvenirs? Dans ce grand champ de blé, dans cette petite maison perdue au milieu de nulle part, tu as fermé les rideaux et j'ai bien cru mourir. Aujourd'hui tu ouvres la porte doucement et m'invite à entrer. Un grand vent se lève, un homme accepte de croire à un rêve, au rêve d'une femme. Une seconde chance, un renouveau dans une vie. Rien n'est jamais terminé pour toujours. Dans un grand champ de blé une porte vient de se refermer. Qu'importe, je suis à l'intérieur.

consumer

Publié à 17:42 par fandeloup Tags : dessin image vie amour homme
consumer

Pour consumer ces flammes, je réunirais toutes les réserves de mes poumons en souffle, y découvrirais-je ce secret caché ? Y pressentirais-je juste une image, un reflet de ce trésor. Tu me gratifierais de m'y laisser me rependre en une partie de mon existence, pour saisir la tienne, car oui me bruler dans ce regard de braises, je le tenterais. Même s'il fallait que je meurs dans tes cendres pour reconstituer cette unique fortune sur terre. Je me transformerais en poussière de poussière. J'y laisserais quelques goutes du nectar de mon essence, afin d’atteindre l’ultime dessin qu'un homme doit à la vie ! Cet amour total conçu engagé à se fusionner avec la substance créatrice, celle de sa bien aimée.De cette union capable de fournir cette eau réparatrice renaitra ce symbole à partir des graines à féconder.

coeur

Publié à 16:58 par fandeloup Tags : image vie moi monde mer nature paysage oiseau fantastique
coeur

J'ai le sentiment que si mon cœur pouvais vivre en altitude, il trouverait ça place dans les nuages, près du soleil. Pourtant contre toute attente, c'est ici bas, sans y croire vraiment que le tonnerre me frappa, les entrailles. Marchant les pieds légèrement trempés dans le sable, tout en regardant un ciel venu d'ailleurs, je me heurtai par accident à une plume d’écaille qui reluisait plus fortement que n'importe quel coquillage. Dans celle ci, je m’aperçus éberlué que sonimage me signifiais sa propre présence dans le ciel. Elle en reflétait l'intégralité, même jusqu'au moindres des détails; malgré sa si petite taille. Le paysage extraordinaire que j'avais d’abord observé dans les cieux se retrouvait à mes pieds, comme soumis à mon imagination. Cette fois tout était représenté grandeur nature, immense, à perte de vu. C'était un miracle ! Une illusion fantastique! Je tressaillis à la limite de m’affaler à terre, pris de vertiges. La raison me revint un instant après mon enthousiasme indescriptible, pour me rappeler, que je n’assistais pas à un, mais deux miracles en simultanés. La nature parée de ses plus hauts atours me les offrais dans l'intimité. Cette plume d’écaille n'’appartenait à aucun espèce imaginable de poisson ou d'oiseau, mais plutôt à une sorte de transfuge de type légendaire. Celle-ci à la fois si douce au touche, inexprimable au regard ne retenait pas une goute d'eau. Tout liquide glissait comme sur le verre imperméable. C’était marée basse. La mer c'était retirée au loin et moi je m’étais aventuré bien en avant perdu dans cet environnement idyllique et magique. Le temps s'était arrêté pour moi dans cet univers onirique. Mes reperds perdus, je ne pu visualiser ma position. Pendant que j’avançais en avant ne sachant par quel moyen trouver mon chemin. J’aperçus alors que le soleil restait figé lui aussi. Une ile me faisait face, elle était boisée d'un vert écarlate qui ne m'en rappela aucun autre. Je m'y décidais de m'y rendre, contraint et forcer par préservation naturelle. Plus je m'en rapprochais, plus la vie s'épanouissait en moi, remontait à la surface de mon esprit. Cette ile semblait comme sortie de terre et n'y avoir sa place que par un pur hasard. Elle naissait du sable lui même, non de la roche comme toutes autres sur terre à ma connaissance. Attiré irrésistiblement, je parvenais à l'atteindre. Quelle ne fut pas ma surprise de voir en abondance nombre de ces plumes identiques à celle j’avais ramassée. Plus je pénétrais dans le permettre de cette terre inconnue, plus j’étais envahis de félicité. Plus rien ne me retenais dans ce bas monde. je l'avais quitté durant un temps indéterminé... C'est sur une petite plage tranquille que je m’effondrais de fatigue. Ce fut à mon réveil que je compris pourquoi tout au long de mon périple, j'entendais un chant presque imperceptible ! Une légende tomba ! Je me retrouvais dans l'eau au milieu de Sirènes qui batifolaient dans une quiétude certaine. J'étais accueilli comme un hôte royal. L’une d'entre m'avais pris la main. C'était la fin de mon périple à travers le monde, de ma route.

amitié

Publié à 15:47 par fandeloup Tags : monde vie
amitié

Quand un jour l’amitié tape à la porte, elle s’installe pour durer, mais si elle se heurte dans un espace intemporel d’indifférence, elle devient solitude, la vision mortelle d’un avenir sombre. L’injustice est de se sentir seul, de parcourir un chemin dans le vide, de sentir se désintégrer son âme dans une peine lancinante. C'est oublier la présence d'un battement amical à proximité parfois. C'est aussi se mirer en surface d'une onde, en perpétuel mouvement, sans en apprécier réellement la révélation. La traduction de ce reflet se limite à une partie infime de notre être profond. Il faut parfois passer par cette épreuve pour en apprécier l’expérience, discerner les signes sensibles d'une main tendue. Le cheminement de son cœur est un mystère au travers ces barreaux invisibles. L'éloignement d'un espace de vie dans notre monde n'est pas une fatalité. Chaque petites failles pourtant interprétés deviennent des égratignures qui restent et renforcent cette peur. Même les gestes simples vers vous, d'autrui sont synonymes d'isolement. Cependant, quand on découvre un jour, après avoir souffert, peut être même jusqu'à sa totale désillusion. La porte de sortie peut alors s'ouvrir au partage, à la compassion à son propre tour.

ouvrir

Publié à 14:53 par fandeloup Tags : homme histoire nature rose musique
ouvrir

J'ouvrirais un portail menant vers d'autres dimensions, car je ne suis qu'un simple mortel aux idéaux indissolubles. Pour immortaliser cet acte, je traverserai vaillamment mes peurs irascibles. Je réclamerai ma dette au passé en libre guérison. A tes cotés, je ne me perdrai plus, détrônant mes divagations, futilités d'homme vieillit avant l'âge décrépit, aigrit. J’abattrai ce sommeil de n'avoir jamais su te croiser naguère. Je débuterai par mon épilogue élogieux, en te prenant les bras. Dans les bulles d'air prisonnières dans la glace pour l'éternité, je me projetterai au centre d’où la nature nait; d’où l'histoire raconte les premières foulées sur terre. Je t'emporterai dans une tirade si brulante, que les mots en périraient rien qu'à l'écoute de leur propre évocation. Je me couvrirai d'abeilles pour t'offrir cette gelée royale au gout passionné d'absolu. Je pousserais comme la vigne au pied vigoureux. Tu me cueilleras devenu fruit pour tes papilles. Tu me presseras en jus ou en vin, comme il te plaira. C'est en pensionnaire de mes sens que tu seras enivré de pétales de rose, de ce parfum exquis. Je me transformerai en fruit succulent et juteux pour étancher, autant ta faim que ta soif. Je reposerai sur toi comme un drap précieux de musique au son délectable sensuel pour les tympans. Je me rendrai savoureux dans ta poitrine frissonnante. Je visiterai ton corps sculptural, aux formes harmonieux et généreuses. De la plante jusqu'au sommet, je passerai tes zones érogènes pour te réveiller d'exaltations. Je te palperai si attentif et habile avec mon mordant de fraicheur. Je coulerai en pluie fine pour faire apparaitre tes attraits naturels affriolants. Je serai comblé comme je te comblerai. J'expirerai avec préciosité dans un temps d'éternité enfermé dans la glace charnelle, gardant cet instant mémorable à la surface consciente.

dansons

Publié à 13:30 par fandeloup Tags : amis amitié mort vie
dansons

Dansons sous la pluie, entre amis nous partageons, ces mystères inexplicables que la vie nous envoi, nous nous comprenons et devenons parfois membre d'une même famille. Peut être même plus forte et harmonieuse que celle qui nous a accueillit sur terre par le hasard de la vie ou de la mort. Notre héritage est et restera biologique, néanmoins nos larmes comme nos réjouissances n’appartiennent qu'a nous seule... Aussi improbable que se soit l'amitié peut venir ou partir de nul part et de partout, à tout moment, sous toutes les tempêtes et latitudes...

mort

Publié à 12:58 par fandeloup Tags : monde image vie mort
mort

La mort croise l’âme, éprouvée par son temps, silencieuse. Il n’est plus envisagé d’éviter cette ombre malicieuse. Dans tous les coins dumonde, elle s’enorgueillit odieuse. Elle dérobe les bonnes consciences de force prodigieuses. Son cri strident n’attire pas qu’une idée vague pernicieuse. Ma gorge s’étrangle, non pas de sa visite si hasardeuse. C’est simplement qu’elle me refuse la gaité, savoureuse. Je ne la crains pas invisible dans la pénombre, peu audacieuse. Elle ne connaît ni le temps, ni les lieux ou frapper honteuse. C’est au retour du sacrifice, qu’elle devient la plus poreuse. Elle entraine dans un marécage de mélancolie, belliqueuse. Elle broie, ce n’ai pas elle qui choisis la dernière des danseuses. Je ne veux pas mourir pour elle, je meurs la main irrévérencieuse. Je décroche son image collée sur mes murs à la lessiveuse. Elle s’octroie des devoirs sans consistance sur ma vie malheureuse. Elle crée le décalage espérant que je m’abandonne, la vicieuse. Je ris sans me soucier de son manège, car c’est une frauduleuse.