Fandeloup

Il y a la neige et le silence et ce froid vif et cinglant qui mord les extrémités et avive les sens. Les visages sont en feu .Des larmes perlent des yeux .On se sent encore plus vivant

Si tu manques de courage pour avancer... Ce compagnon te tiendras compagnie . Il t aidera à retrouver ta route....

Panorama sur la métropole de Grenoble depuis le Moucherotte par une nuit de pleine Lune

Qu'est ce que la vie ? C'est l'éclat d'une luciole dans la nuit. C'est le souffle d'un bison en hiver. C'est la petite ombre qui court dans l'herbe et se perd au coucher du soleil.

Dans la vie, on croise des gens précieux, qu'on voudrait garder toujours auprès de soi , mais qui, pour des raisons qui ne tiennent ni à eux, ni à nous, sont forcés de s'en aller. Ce n'est pas qu'ils nous abandonnent de leur plein gré, ni que nous soyons coupables de n'avoir pas su les retenir, c'est juste que, parfois, il ne peut en être autrement. Il m'est arrivé de chérir profondément des êtres que j'ai perdus, et c'est peut-être pour cela qu'on écrit, pour les retrouver et cheminer, l'espace d'un instant, à leurs côtés. Comme si rien n'avait changé.

Lumineuse sorée pour tous ,

Les mots d'amour sont des chants de tendresses

Les Japonais produisent du bois depuis 700 ans sans abattre les arbres. Au XIVe siècle, l'extraordinaire technique de daisugi est née au Japon. En effet, les daisugi prévoient que ces arbres soient plantés pour les générations futures et ne soient pas abattus mais taillés comme s'ils étaient des bonsaïs géants ; en appliquant aux cèdres cette technique le bois qu'on peut en obtenir est uniforme, droit et sans nœuds, pratiquement parfait pour la construction. Une élagage en règle d'art qui permet de faire pousser et germer l'arbre tout en utilisant son bois, sans jamais l'abattre. Technique extraordinaire.

L'ornithologie est une discipline complexe et je le prouve. S’il arrive au héron garde-bœufs de marcher au pas de l’oie, on n’a jamais vu une oie marcher au pas du héron.

Tel que je te l‘avais promis, j’ai tenu ta patte jusqu’à ce que tes yeux se ferment pour la toute dernière fois, j’ai été forte pour toi, mais je n’ai pas pu empêcher mes larmes de couler, mes lèvres de trembler. Tu as toujours été là pour moi, je te devais au moins cela, rester à tes côtés jusqu’a la fin de tes 13 ans, te rassurer avant ton départ pour ce long voyage sans retour.Tu ne souffre plus,la ou tu va la souffrance n'existe pas. La maison est vide depuis ton départ, un vide immense, une présence irremplaçable a pris la place de ta joie de vivre. Ma pépette le deuil est difficile à surmonter. En partant au paradis des chiens, tu as emmené une partie de mon cœur. Tu fais partie de tous mes souvenirs, tu apparais sur la plupart de nos photos de famille. l’espace vide au pied du lit me rappelle sans cesse ton absence. Il y a toujours ton collier et ton bb préféré dans le panier depuis hier je les vois, je n’ai pas encore réussi à le déplacer, comme si le ranger t’éloignait encore un peu plus. Pour moi tu n’étais pas juste un chien, tu faisais partie de la famille, comme un membre à part entière.Tu était exceptionnel une chienne pleine d'amour et de gentillesse. Je crois qu’avec moi, tu as eu une belle vie, tu n’as jamais manqué d’amour, et cela me console un peu. Je t’aime ma pépette, ta patte est gravée à tout jamais dans mon cœurs.