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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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qui a connu

Publié à 16:27 par fandeloup

horreur

Publié à 16:23 par fandeloup Tags : sur article heureux nature animal voiture
horreur

L'éléphant s'en frappait la tête de douleur contre un arbre - ils ne croient pas leurs yeux en voyant pourquoi 

L'éléphant marchait et se comportait étrangement. Il heurtait sa tête contre un arbre, les gardes du parc ont donc décidé de regarder d'un peu plus près sa tête. Le parc national de Mana Pool, au Zimbabwe, est classé au patrimoine mondial. Le grand parc abrite une faune riche, où vous pouvez admirer des hippopotames, des crocodiles, des lions, des éléphants et des buffles, qui se promènent tous dans leur environnement naturel.

Les gardes des parcs nationaux font ce qu'ils peuvent pour protéger la nature et la faune, mais un jour, ils ont découvert quelque chose d'effrayant, qu'ils ont ensuite voulu raconter sur Facebook. Un éléphant errait dans le parc. Il se comportait très étrangement. Il avait même commencé à se cogner la tête contre un arbre. Comme l'écrit BBC.

Lorsque les gardes se sont approchés, ils ont découvert la cause du comportement bizarre de l'éléphant. L'éléphant avait un impact de balle dans la tête ! Il s'est avéré que l'animal majestueux avait été victime de braconniers sans scrupules. Ils voulaient probablement lui arracher son ivoire, malheureusement convoité et cher, mais l'éléphant avait réussi à s'échapper.

Il avait couru se mettre à l'abri dans le parc national, et tentait de soulager sa douleur en se frappant la tête contre l'arbre. Immédiatement après la découverte, les gardes ont pris contact avec deux vétérinaires, Keith Dutlov et Lisa Marabini. Ils ont expliqué qu'il y avait un éléphant blessé par balle dans le parc, et les vétérinaires n'ont pas hésité une seconde à se déplacer.

Les vétérinaires se sont préparés à attirer l’éléphant, sachant qu’il faudrait probablement une éternité pour qu'il fasse confiance aux humains, après la tentative de meurtre à laquelle ils avaient été exposés. Mais à leur grande surprise, cependant, il ne fallut pas plus d'une demi-heure pour qu'il sorte de sa cachette et se dirige vers leur voiture.

L'éléphant avait évidemment compris que ces humains-là étaient ici pour l'aider. Les vétérinaires sont rapidement passés à l'action et ont envoyé une fléchette anesthésiante sur l'éléphant, après quoi il s'est endormi en peu de temps. Peu de temps après, une masse grise a commencé à sortir de la tête. - Les vétérinaires n'avaient jamais rien vu de semblable, écrit AWARE Trust Zimbabwe sur Facebook.

Les vétérinaires ont retiré des fragments d'os, désinfecté et nettoyé la plaie, après quoi ils ont donné des antibiotiques à action prolongée au brave animal. Lors de la radiographie qui s'en est suivie, il fut constaté que l'éléphant avait été terriblement chanceux dans ces circonstances. Si la balle avait touché quelques centimètres plus bas, elle aurait probablement été fatale au pauvre éléphant. Après l'opération, l'éléphant avait encore quelques maux de tête. Mais il se pressa simplement la tête contre un arbre, sans aller jusqu'à se cogner contre, et il parvint ensuite à s'endormir assez rapidement, pour se reposer après cette mésaventure.

Dès le lendemain, l'animal allait beaucoup mieux. Il semblait à nouveau heureux, grâce au sauvetage mené par le parc. L’éléphant peut désormais vivre en permanence dans le parc national, où il sera à l’abri des braconniers avides d'ivoire. En partageant cet article, vous contribuerez vous aussi à révéler la situation toujours aussi dangereuse des éléphants à cause de l'ivoire. Il faut faire cesser ces massacres, toutes les contributions dans ce sens sont importantes !

Une peine prononcée doit être exécutée

Publié à 15:56 par fandeloup Tags : divers centre sur travail nature
Une peine prononcée doit être exécutée

Nicole Belloubet : «Une peine prononcée doit être exécutée»

Nicole Belloubet souhaite avoir « une gamme différenciée d’établissements pour accueillir les détenus ».

 La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, défend actuellement son projet loi justice, dont un important volet est consacré aux prisons. Confirmée dans ses fonctions, la garde des Sceaux nous a accordé ce mardi sa première interview post-remaniement. Juste avant de se rendre au Sénat et à l’Assemblée nationale pour y défendre son « plan prison ». A la clé : plus de places et un parc immobilier renouvelé. Vous dévoilez l’implantation des 15 000 nouvelles places de prison et la construction de nouvelles prisons. Comment en êtes-vous arrivée à cette cartographie ?

NICOLE BELLOUBET.

Le président de la République s’était engagé à construire 15 000 places supplémentaires. C’est ce que nous allons faire. Elles sont comptabilisées à partir du nombre existant à notre arrivée, soit 60 000, qui passeront donc à 75 000. Nous en livrerons 7 000 d’ici 2022, et nous lancerons le chantier de 8 000 autres, qui seront livrées d’ici 2027.

Le temps de construction d’un établissement pénitentiaire est par définition un temps long. Il faut trouver le terrain, engager une phase de concertation qui n’est pas toujours aisée. Vient ensuite un important travail d’études.

Comment avez-vous tranché ?

Ce plan est d’abord lié à une nouvelle politique des peines. Quand une peine est prononcée, elle doit être exécutée. Il pouvait y avoir jusqu’à aujourd’hui des gens condamnés à deux ans de prison, mais qui finalement ne mettent parfois jamais un pied en détention. A l’inverse, de courtes peines d’emprisonnement sont prononcées alors qu’elles sont désocialisantes. Bien sûr, ce sont les magistrats qui décident in fine, mais nous avons acté qu’au-dessus d’un an, l’incarcération soit réellement effective.

Dans le même temps, nous supprimons les peines de prison en dessous d’un mois, et nous privilégions des peines autonomes et les alternatives - comme les travaux d’intérêts généraux ou le bracelet électronique - pour les peines d’un à six mois. D’après nos études d’impact, cela fera baisser de 8 000 le nombre de détenus. Partant de là, nous avons réalisé des projections de population pénale en anticipant où elle risquait d’être la plus nombreuse. Certains élus en sont déçus, d’autres refusent cette implantation.

Comment les satisfaire ?

Nous souhaitons avoir une gamme différenciée d’établissements pour accueillir les détenus. Cela impacte l’implantation. Quand nous créons une structure d’accompagnement vers la sortie, elle doit être en contact avec des services publics. 2 500 places de ce type sont ainsi programmées. Je ne peux pas les mettre au milieu des champs sans aucune facilité d’accès à ces services. En revanche, un centre de détention pour longue peine peut être un peu plus excentré.

Je respecte par ailleurs les appréhensions de ceux qui s’y opposent. Mais avoir un parc pénitentiaire adapté dans tout le pays, c’est une responsabilité collective.

L’idée, c’est aussi d’adapter le niveau de sécurité au profil des détenus ?

C’est le cas. La gamme d’établissements pénitentiaires doit être aussi complète que possible. Et ce afin que les lieux de détention soient adaptés à la personnalité du condamné, à la nature de la peine, à la capacité de réinsertion, au stade où en est la personne dans son parcours de peine. Notre idée, c’est de ne pas avoir un modèle uniforme de prison. Nous souhaitons développer les régimes dits « de confiance », où certains détenus sélectionnés ont une relative liberté à l’intérieur de leur aile de détention, qui peut être instaurée à côté d’autres ailes au régime classique, plus sécurisées.

Comment faire pour que la prison permette de lutter contre la récidive ?

Cette lutte, c’est notre obsession. Cela passe par plus de travail en prison. Prenez Oermingen, en Alsace. On est dans un petit village, mais facile d’accès. Le taux de chômage du bassin d’emploi est faible. Les entreprises proposent du travail au sein de l’établissement, et 60 % des détenus y ont une activité professionnelle. C’est beaucoup plus qu’ailleurs. En la matière, j’entends lancer une expérimentation, avec deux ou trois établissements où le travail sera au cœur de la construction du projet. Les entreprises investiront dans la formation des détenus. Elles pourront embaucher à terme les personnes qu’elles auront formées. Restent des points noirs… Nous avons un souci concernant la prise en charge des détenus souffrant de pathologies psychiques. Nous n’avons pas suffisamment d’unités dédiées. Mais en construire ne suffit pas. Car il faut des médecins spécialisés, et ils sont trop peu nombreux. Avec la ministre de la Santé, nous travaillons à résoudre cette quadrature du cercle. Un rapport nous sera rendu sur la question en novembre. Un autre problème est celui du logement à l’issue de la peine, et notamment des longues peines. Nous allons travailler plus efficacement à le résoudre, d’autant que certains détenus libérés ne doivent pas retourner dans leur quartier, sous peine de récidiver.

Colloque "Homme et Animal:un seul bien-être

Publié à 15:39 par fandeloup Tags : animaux animal vie sur presse
Colloque "Homme et Animal:un seul bien-être

Venez nombreux...on compte sur vous

 Assemblée nationale 7 novembre Colloque "Homme et Animal:un seul bien-être ?

Les animaux embellissent notre vie; ils nous rendent humains. Doit-on dissocier le bien-etre animal du bien-être humain? Vous pensez que non, comme nous!

Loïc Dombreval, Dr vétérinaire, Député et Président du groupe d'étude "Condition Animale" organise ce colloque consacré au theme"un seul bien-être "(one welfare)qui lie à la fois la bientraitance animale et le bien-être de l'être humain y compris de leur environnement...

Boris Cyrulnik, Frédéric Lenoir, Matthieu Ricard ainsi que d'autres intervenants participeront à ce colloque

N'hésitez pas à partager l'événement Inscription obligatoire jusqu' au 29 octobre Pour la presse me contacter en mp

Https://goo.gl/forms/jcH0Y57offtDEMF63

prison avec sursis

Publié à 15:16 par fandeloup Tags : jeune couple travail homme sur france enfant
prison avec sursis

Grigny : 4 mois de prison avec sursis pour une éducation à coups de ceinturon

Le couple a été jugé par le tribunal correctionnel ce mercredi. 

Une mère et son compagnon, installés à Grigny, ont écopé de 4 mois de prison avec sursis, ce mercredi, pour avoir élevé leur enfant « récalcitrant » à coups de ceinturon.

De ses 6 ans à ses 11 ans, ce mineur a été fouetté aussi par des câbles électriques ou étranglé.

Les câbles du chargeur de portable et ceux de la manette de la console Xbox volaient régulièrement sur les cuisses et les bras de l’enfant. Les coups de ceinturon pleuvaient au moindre écart.

Myrthel et Alexandrine, âgés d’une trentaine d’années, les parents, ont été condamnés à 4 mois de prison avec sursis, ce mercredi par le tribunal correctionnel d’Evry pour des maltraitances régulières sur l’enfant de cette dernière.

La jeune victime a vécu un calvaire de l’entrée en CP, à l’âge de 6 ans en 2011, jusqu’à ce que la garde leur soit retirée en février 2018, lorsque des traces ont été découvertes.

 Ce jour-là, Alexandrine avait étranglé son fils au point de lui planter ses ongles profondément dans le cou, lui laissant des marques et valant à l’enfant 3 jours d’ITT (Incapacité totale de travail ). Le garçon a d’abord refusé de reconnaître l’évidence. Mais il a fini par avouer face aux policiers ce qu’il subissait au quotidien.

« Comment t’a-t-on frappé », lui demande l’enquêteur. La victime répond sobrement : « Fort. » « Il est dur. Il me rigole au nez » Suivie par les services sociaux, la maman avait toujours refusé le placement de son fils. « Ce n’était pas une solution, précise-t-elle. Mais il est dur. Il me rigole au nez. Même à l’école, souvent ils m’ont appelé car ils n’arrivaient pas à le canaliser. »

Son concubin, le beau-père de la victime, reconnaît lui aussi tous les coups. « Je le prévenais, je le menaçais, et il finissait par me dire que je parlais beaucoup, alors je l’ai fouetté, giflé, souffle cet homme drapé dans des vêtements rastas. Mais il fallait le frapper. »

En CP, l’enfant a en effet déjà effectué un doigt d’honneur à sa maîtresse puis lui a fait le signe qu’il allait la tuer. « On n’est pas devant un coup isolé ou un pétage de plombs, mais bien des violences habituelles note la procureure. Les parents prennent des objets pour faire mal et blesser, on n’est pas dans un devoir de correction. »

La victime, placée en foyer ne veut aujourd’hui plus revoir sa mère qui, à la barre du tribunal finit par craquer et pleurer, rappelant qu’elle a eu ce premier enfant lorsqu’elle n’avait que 17 ans, avec un homme plus âgé.

« Mes parents ont menacé le père de mon enfant de déposer plainte contre lui et du coup se sont accaparé mon enfant, ne me permettant pas de l’élever… »

Les deux adultes devront aussi dédommager la victime de 6 000 € au titre du préjudice moral.

marmottes

Publié à 14:48 par fandeloup Tags : histoire pouvoir sur
marmottes

Les prêtes pour le grand sommeil marmotte

 Trop petites pour pouvoir compter sur leur seule graisse et fourrure durant l’hiver montagnard souvent glacial, la marmotte a choisi d’hiberner. C’est en ce moment, en octobre, alors que les jours raccourcissent que les petits mammifères commencent à se calfeutrer dans leur terrier après avoir passé l’été à se goinfrer d’herbes et de graines.

Là, dans une chambre souterraine qu’elles ont pris soin de remplir de foin, elles vont désormais vivre au ralenti, cessant de s’alimenter pour vivre uniquement sur leurs réserves corporelles de graisses. Afin de baisser au maximum leur facture énergétique, les marmottes subissent quelques modifications physiologiques.

La température de leur corps chute entre 5 et 8°C au lieu des 37°C habituels et leur métabolisme se ralentit. Bientôt, le cœur du petit rongeur ne battra plus qu’à un rythme de 15 battements par minutes contre 130 en temps normal. Si elle se réveille régulièrement tous les 3 à 10 jours, histoire de faire ses besoins, de se toiletter et de réarranger son nid, la marmotte ne met pas une seule fois le nez dehors durant l’hiver.

Il fait bien trop froid ! Les mécanismes à l’origine de ces réveils périodiques et de la sortie d’hibernation printanière sont encore mal connus et seraient liés à la présence ou non d’une substance neurochimique. Pendant les phases de torpeur, petit à petit, ce stock de molécules provoquant l’hibernation se dégraderait et bientôt ne serait plus suffisant pour garder la marmotte endormie. Alors, celle-ci se réveillerait et son métabolisme, à nouveau en marche pour quelques heures, synthétiserait un stock de ces substances neurochimiques, la plongeant à nouveau dans le sommeil.

Centre Provisoire d'Hébergement

Publié à 14:16 par fandeloup Tags : coeur sur enfants saint centre aime couples
Centre Provisoire d'Hébergement

Ouverture d'un centre Provisoire d'Hébergement des réfugiés en Savoie

Le CPH, centre Provisoire d'Hébergement des réfugiés, accueille 60 personnes dans 7 communes. Il est géré par l'association FOL Savoie.

Le CPH de Savoie, centre Provisoire d'Hébergement des réfugiés, accueille 60 personnes dans 7 communes du département. Moûtiers, Pomblière-Saint-Marcel, La Léchère, Feissons-sur-Isère, Grand coeur, aime, et Bourg-Saint-Maurice. Il est géré par l'association FOL Savoie.

La Fédération des Oeuvre Laïques est une association d'éducation populaire implantée en Savoie depuis 1926. C'est le premier CPH ouvert dans ce département. A Moûtiers, 4 éducateurs accompagnent au quotidien une vingtaine de personnes, notamment dans l'accès à la santé.

Des réfugiés venus de Syrie, d'Irak, de Somalie, d'Albanie, d'Erythrée. Au total, le CPH dispose de 21 logements répartis sur les 7 communes. Pour des personnes isolées, mais aussi pour des couples , avec ou sans enfants. Objectif : permettre une meilleure intégration, en lien avec la population. Pendant 9 mois, ces réfugiés vont bénéficier de cours de français et d'une préparation à l'emploi ou à la formation professionnelle. La FOL Savoie va aussi les aider à comprendre le système administratif français.

L'arachnophobie

Publié à 13:48 par fandeloup Tags : air
L'arachnophobie

L'arachnophobie est l'une des phobies les plus répandues. Vous avez forcément dans votre entourage, quelqu'un qui a une peur bleue des araignées.

Et pourtant, si on ne regarde que leurs pattes, les araignées pourraient en fait être d'adorables petites bestioles. Pour être plus précis, la 'patte' d'une araignée s'appelle 'tarse' et ce n'est qu'une des huit parties qui composent une patte.

Tout comme les chats ou les chiens, les araignées ont également des griffes accrochées aux pattes, mais dans leur cas, les pattes fonctionnent comme des oreilles et un nez et leur permettent de capter des changements subtils dans l'air ou encore d'entendre des sons ou de reconnaître des odeurs.

monoxyde de carbone

Publié à 13:43 par fandeloup Tags : chez france sur
monoxyde de carbone

LES DANGERS DU MONOXYDE DE CARBONE

Ces derniers jours, vous avez remarqué une baisse des températures en Gironde comme partout ailleurs en France. C'est l’occasion pour nous de faire un point sur un gaz toxique provenant principalement des installations de chauffage et de production d'eau chaude, responsable chaque année de nombreux décès d'octobre à mars.

Le monoxyde de carbone est un gaz qui résulte d’une mauvaise combustion interne d'une chaudière, d’une cheminée ou d'un chauffe-eau. Invisible, inodore et non irritant, ce gaz se diffuse très vite dans l’environnement et peut être mortel en moins d’une heure.

Maux de têtes, vertiges, nausées, vomissements, pertes de connaissances sont les symptômes qui doivent vous alerter surtout s’ils sont observés chez plusieurs personnes dans une même pièce.

Dans le cas d’une intoxication, il est nécessaire d’aérer, d’évacuer le lieu et d’appeler les urgences en composant le 15, le 18 ou le 112. Pour limiter les risques, il est conseillé de :

- faire systématiquement vérifier et entretenir les installations de chauffage ;

- aérer au moins dix minutes tous les jours votre domicile ;

- respecter les consignes d’utilisation des appareils à combustion ;

- placer impérativement les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments et ne jamais utiliser pour se chauffer des appareils non destinés à cet usage. Pour plus d’informations n’hésitez pas à consulter les sites du gouvernement et de l’INPES :

https://www.gouvernement.fr/…/les-dangers-du-monoxyde-de-ca…

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Publié à 13:10 par fandeloup Tags : message