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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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livre

Publié à 20:45 par fandeloup Tags : vie livre
livre

La vie est comme un livre,plus on avance plus ont comprend ce qui se passe

barbara stanwyck

Publié à 20:40 par fandeloup Tags : enfants femme histoire film ange mode voiture actrice divers
barbara stanwyck

Barbara Stanwyck, de son vrai nom Ruby Stevens, est née le 16 juillet 1907 dans le quartier de Brooklyn, à New-York, dans une famille modeste composée de quatre autres enfants plus âgés. Sa mère décéda accidentellement à la suite d'une chute, trois ans plus tard, et la benamine fut confiée, ainsi que son frère Malcom, à une famille d'accueil s'occupant d'orphelins. En 1914, son père décéda à son tour d'un accident de voiture et son frère rejoignit l'une de leurs soeurs aînées. Elle resta, quant à elle, avec sa famille d'adoption mais éprouva des difficultés à s'intégrer dans son école. Lorsqu'elle eut huit ans, sa soeur Mildred l'emmena dans plusieurs tournées auxquelles elle participa en tant que choriste. Elle travailla très jeune en dehors de ses heures de cours, et occupa, à quatorze ans, un poste d'employée dans une compagnie de téléphone. Sa priorité demeurait néanmoins de parvenir à entrer dans le monde du spectacle, un milieu qui la fascinait depuis son enfance. Elle obtint un emploi de choriste dans divers spectacles présentés par une compagnie musicale de Manhattan à l'âge de dix-sept ans puis, grâce à un agent artistique qui l'avait remarquée, elle devint danseuse dans un cabaret à la mode. Elle participa également au spectacle "Ziegfield Follies" en 1923 et fit plusieurs revues avant qu'un scénariste ne lui conseille de changer de nom. Elle déménagea à Hollywood où elle décrocha immédiatement un petit rôle, celui d'une danseuse, dans le film muet "Broadway Nights" (1927) de Joseph C. Boyle. Puis devient second rôle dans "Le Signe sur la porte" (The Locked Door,1930). "Ce film était si mauvais, qu'il a failli me fermer les portes du cinéma", avouera Barbara quelques années plus tard. L'année suivante, elle épousa l'acteur Frank Fay et le couple adopta un enfant. Grâce à l'insistance de son mari, elle fit des tests filmés que celui-ci présenta au réalisateur Frank Capra. Surpris par la prestance de cette jeune actrice débutante, ce dernier l'engagea pour "Ladies of Leisure" (1930), et lui fit signer un contrat avec les studios Warner Bros. Elle rejoignit ensuite son mari, sous contrat avec la Columbia, avant de débuter une collaboration avec les studios RKO. Durant les années trente, elle fit sensation dans "L'Ange Blanc" (Night Nurse,1930) de William A. Wellman avec Clark Gable. C'est la première collaboration de Barbara Stanwyck avec le cinéaste William Wellman, qu'elle retrouvera l'année suivante dans "Mon Grand" (So Big,1932) avec George Brent et Bette Davis. Il faut également souligner sa prestation dans le film de Frank Capra : "The Miracle Woman" (1931) au côté de David Manners. C'est "Amour défendu" (Forbidden,1932) de Frank Capra qui la révèlera du grand public. Elle y jouait une jeune femme éprise d'un avocat marié de qui elle attend un enfant... Projetée au firmament des vedettes, elle est classée parmi les plus grandes du moment : Greta Garbo, Marlène Dietrich et Joan Crawford. C'est encore Capra qui la dirige dans "La Grande Muraille" (The Bitter tea of General Yen,1933) (il fut également distribué sous le titre de "Thé amer du Général Yen". C'est déjà le quatrième long métrage que Barbara Stanwyck tourna dans les années trente sous la direction du Maître de la Comédie hollywoodienne. Capra déclara : "De tous les films que j'ai tourné avec Barbara, celui-ci est mon préféré. L'histoire particulièrement bien écrite, était en avance sur son temps, et il y avait là certaines des scènes les plus romantiques de Capra. Les possibilités picturales étaient immenses, et c'est sur ce film que j'ai, pour la première fois, utilisé une "diffusion variable" et des objectifs "spécial portraits" que j'avais inventés en particulier pour les gros plans de Barbara, lorsque l'arrière-plan devient flou et qu'un halo de lumière entoure ses cheveux." Le film est aujourd'hui considéré comme l'une des oeuvres clés du cinéaste, dérouta le public et fut un échec commercial. C'est Jack Warner qui demanda des modifications, après que la censure s'interposa pour le film "Baby Face" (1933), d'après une histoire de Darryl F. Zanuck qui écrivit une histoire audacieuse. Elle était remarquable dans le rôle d'Annie Oakley, partenaire féminine de Buffalo Bill lors de ses spectacles western ambulants, dans "La Gloire du cirque" (Annie Oakley,1935) de George Stevens aux côtés de Preston Foster et Melvyn Douglas. En 1936 sort sur les écrans "Révolte à Dublin" (The Plough and The Stars) , qui dépeint des événements historiques survenus en 1916, le Siège de la Grande Poste, l'execution de quatorze chefs rebelles, considéré comme martyrs de la cause indépendantiste. C'est John Ford qui assura la mise en scène mais n'aimait pas ce film, du fait de interférences du studio qui avait imposé Barbara Stanwyck et tourné des scènes à son insu pour la version américaine. Barbara Stanwyck obtient sa première nomination aux Oscars pour son interprétation d'une femme délaissée élevant seule son enfant dans "Stella Dallas" (1937) de King Vidor. Parallèlement, elle joua dans deux pièces de théâtre en compagnie de son époux mais le couple divorça peu de temps après.

paysage

Publié à 20:38 par fandeloup Tags : amour vie
paysage

Les caresses sont aussi nécessaires à la vie des sentiments que les feuilles le sont aux arbres. Sans elles, l'amour meurt par la racine...

maurice carel

Publié à 20:37 par fandeloup Tags : film écran
maurice carel

L'acteur français Maurice Garrel est décédé à l'âge de 88 ans le samedi 4 juin 2011 à Paris. Le père du réalisateur et acteur Philippe Garrel et grand-père de l'acteur Louis Garrel avait débuté sa carrière dans les années 1950 au théâtre. Dix ans après ses débuts sur scène, il fait ses premiers pas au cinéma, avant de tourner sous la direction de réalisateurs de renom, dont François Truffaut (La Peau douce, La Mariée Était en Noir), Costa Gavras, Georges Lautner (Le Pacha), Claude Chabrol, Claude Lelouch, Claude Sautet, Jacques Rivette. Maurice Garrel a également tourné devant la caméra de son fils : il joue dans plusieurs long-métrages de Philippe Garrel, de son premier film, "Marie Pour Mémoire", en 1967, aux "Amants Réguliers", en 2005. Dans ce dernier long-métrage, Maurice Garrel donne la réplique à son petit-fils Louis Garrel. C'est aussi le cas dans "Actrices", le film de Valeria Bruni-Tedeschi qui marqua sa dernière apparition sur grand écran.

jtm

Publié à 20:31 par fandeloup
jtm

J’aime, ce n’est qu’indicatif, Aimez, c’est impératif, J’aimerais à condition, D’aimer à l’infini…tif, En m’aimant tu participes.

carole lombard

Publié à 20:28 par fandeloup Tags : mort roman enfants travail film art humour
carole lombard

Carole Lombard est née le 6 octobre 1908 à Fort Wayne, dans l'Indiana. De son vrai nom Jane Alice Peters, Carole Lombard était née dans une des familles les plus en vue. Après le divorce de ses parents, elle vient vivre à Los Angeles avec sa mère et ses frères. Elle fait ses débuts au cinéma, tout à fait par hasard, à treize ans quand le réalisateur Allan Dwan la voit jouer au base-ball avec d'autres enfants et l'engage pour devenir la soeur de Monte Blue dans "Le Crime Parfait" (A Perfect Crime,1921). Entre 1929 et 1942, année où elle trouva la mort dans un tragique accident d'avion le 16 janvier 1942, elle joua dans environ 40 films, très différents entre eux quant au genre et à la qualité. Dans le firmament hollywoodien, elle s'affirma comme la reine de la "Screwball comedy", c'est-à-dire des comédies américaines brillantes et un peu follles, qui s'oppose à la comédie sophistiquée par son ton joyeux et humoristique. Après avoir travaillé un certain temps à la Fox, elle joua pendant un an (1927) avec Mack Sennett, elle était une des ses fameuses "beautés au bain". Le grand comique était déjà sur le déclin, mais cela ne l'empêcha pas d'aider Lombard à trouver une manière de jouer bien personnelle, qui exploitait un penchant inné pour la comédie brillante. Cette technique, jointe à sa vivacité et à son humour, s'affirma pleinement dans ses meilleures comédies. Tout en continuant ses études, Carole prend des leçons d'art dramatique dans l'espoir d'autres rôles. Elle obtient la vedette féminine de "Marriage en transit" (1925) de Roy William Neill et signe un contrat de cinq ans avec la Fox, que viendra malheuresement interrompre un accident d'automobile dans lequel elle sera grièvement blessée. Quand elle est rétablie, Mack Sennett l'engage pour des courts métrages comiques. Ses rôles sont insignifiants, mais elle apprend le rythme et la comédie. En 1928, Carole Lombard travaille pour Pathé qui lui donne la vedette, mais dans des films mineurs : "Power" (1928), "High Voltage" (1929) deux réalisations d' Howard Higgins dont le premier rôle entièrement parlant de Carole Lombard. La Paramount satisfait de sa performance dans "Safety in Numbers" (1930) lui propose un contrat de sept ans. Elle tourne plusieurs comédies avec William Powell qui l'épousera peu après leur rencontre. Si Carole Lombard se fait déjà remarquer par sa blondeur "super-sophistiquée" et sa façon particulière de porter les belles robes, elle n'atteint pas encore la classe des autres actrices de la Paramount qui ont pour nom à cette époque : Marlène Dietrich, Tallulah Bankhead, Sylvia Sidney, Miriam Hopkins ou Jean Arthur. Carole Lombard savait contrôler sa vitalité explosive, sans jamais abandonner complètement à elle-même, ni au personnage qu'elle incarnait, et c'était à coup sûr sa plus grande qualité. Dans "Un Mauvais Garçon" (No Man of Her Own,1932), elle refusa à tout prix de s'adapter au roman mièvre du rôle qui lui avait été confié et préféra donner au film une touche mordante, qui ne fit d'ailleurs que l'améliorer. Ce film fut le seul où Clark Gable, dont elle fit son second mari en 1939. Tous deux formèrent un couple parfaitement uni, entouré d'un halo de sympathie et de charme. Carole Lombard fait du bon travail dans "From Hell To Heaven" (1933) d'Erle C. Kenton, "L'Aigle et le Vautour" (The Eagle and the Hawk,1933) de Mitchell Leisen et Stuart Walker et "Boléro" (1934) de Wesley Ruggles où elle est le faire-valoir de George Raft et "We're Not Dressing" (1934) de Norman Taurog où elle est celui de Bing Crosby, elle n'a pas encore acquis ce "quelque chose de plus".

étincelle

Publié à 20:24 par fandeloup
étincelle

Pour rendre heureux quelqu'un , il faut si peu. un bonjour , un sourire , une larme, un baiser. un rayon de soleil,le rire d'un enfant joyeux le salut d'un ami, juste se sentir appréciée. pourtant,aujourd'hui cela semble si compliqué. est-ce si difficile de prendre et de donner? toujours cette impression d'être abandonnée on a tellement de choses à donner. la vie est si courte et si pleine de tristesse qu'il faut attraper au vol , le moindre geste ne jamais refuser un peu de tendresse et prendre à bras le corps ,la moindre gentillesse. quel plaisir le matin , d'ouvrir les yeux prendre son café et vite se connecter commencer la journée à lire, tout joyeux les messages de sympathie qu'on nous a laissé. et tout à coup, la vie est super belle on se dit , qu'elle vaut la peine d'être vécue car il y a une personne qui vous la rend belle et aujourd'hui , vos yeux sont plein d'étincelles.

roger hanin

Publié à 20:21 par fandeloup Tags : merci photo femme france création travail film art sport vie écran
roger hanin

Roger Hanin restera l'un des grands monstres sacrés du cinéma français du XXème siècle. Il a su s'imposer avec "La valse du Gorille", remplacant ainsi un autre géant du cinéma Lino Ventura. On le vit aux côtés d'Alain Delon et Renato Salvatori dans "Rocco et ses frères" de Luchino Visconti. Il poursuit en ayant le rôle principal de "L'affaire d'une nuit" d'Henri Verneuil. Sans oublier la série du "Tigre". En deuxième partie de carrière, il obtient une popularité sans faille, d'abord en incarnant le pied-noir le plus célèbre de france sous la direction d'Alexandre Arcady "Le Coup de Sirocco", "Le Grand Pardon", "Le Grand Carnaval"...Puis dans la série policière devenu célèbre : "Navarro". Films préférés : "Rocco et ses frères" de Visconti, "L'affaire d'une nuit" de Henri Verneuil, "La Marche sur Rome" de Dino Risi, "Le Clair de Terre" de Guy Gilles, "Les Aveux les plus doux" de Edouard Molinaro, "La Poursuite sauvage" de Daniel Mann (avec William Holden, Ernest Borgnine et Susan Hayward), "Le Coup de Sirocco", "Le Grand Pardon" et "Le Grand Carnaval" de Alexandre Arcady, "Attention ! une femme peut-en cacher une autre" de Georges Lautner, "Train d'enfer" et "Soleil" (avec Sophial Loren et Philippe Noiret) de Roger Hanin, et "Le Nombril du monde" d'Ariel Zetoun (avec Michel Boujenah)Acteur Français né le 20 octobre 1925 à Alger. Fils de Victorine Hanin et de Joseph Lévy, employé des postes, Roger Hanin partage sa prime jeunesse entre la plage et les cinémas de la capitale algérienne. Suite à une malade infantile, le jeune garçon est obligé de pratiquer des disciplines sportives. Ayant acquis ses deux baccalauréats, il s'enrôle dans l'aviation. Le sport n'est pas oublié pour autant, il devient champion de france de basket-ball et première série de ping-pong. Roger Hanin déclara : "Quand ma photoétait publiée dans "L'Echo d'Alger" ou "La Dépêche algérienne, c'était pour moi plus grandiose que "Paris Match aujourd'hui". Son ami Arsène Benaïm énonce (dans "Roger Hanin : Quelle vie !" Editions Chêne) "Après l'obtention d'une bourse pour ses bons résultats, Roger sent qu'il ne veut plus vivre en Algérie, dans cette Algérie... Le froid parisien viendra rafraîchir ses ardeurs vagabondes, mais la complicité et la présence infaillible de Nono, l'ami indéfectible, réchauffent le jeune algérois ébahi par la capitale." il suit des études de pharmacie à Paris, un ami décorateur de cinéma lui permet de faire de la figuration en 1952 dans "Le Chemin de Damas". Enthousiasmé par ces modestes débuts, Roger Hanin décide d'en faire son métier et s'inscrit au court d'art dramatique avec René Simon et Michel Vitold. Son imposante stature de sportif lui vaut d'être cantonné dans des rôles de durs, notamment dans "Gas-Oil" (1955) de Gilles Grangier avec Jean Gabin pour l'interprétation principale. Roger Hanin lui rendit hommage en disant que "Gabin a été mon père professionnel et mon modèle. Insurpassable, il avait l'oeil du conquérant affectueux. merci Jean. Quant au cinéaste de "Gas-Oil" : il dit : "Et salut à Gilles Grangier, l'un de ses metteurs en scène préférés qui m'a toujours accepté." Roger Hanin considére que ses débuts au cinéma se situe en 1955 avec la sortie du film"Série Noire" de Pierre Foucaud avec Robert Hossein et Henri Vidal. Dès lors, il enchaîne plusieurs tournages, avec le cinéaste André Hunebelle "L'impossible Monsieur Pipelet" (1955), Alex Joffé :"Les Hussards" (1955), Henri Decoin :"Le feu aux poudres" et Jules Dassin : "Celui qui doit mourir" (1957). Cependant, il lui faudra attendre la sortie du film "La Valse du Gorille" (1959) réalisé par Bernard Borderie pour constater le début de notoriété de Roger Hanin. Il reprenait le rôle crée à l'écran par Lino Ventura. Le 4 août 1959, Roger Hanin et Christine Gouze-Réal se marient. Leurs complicités à la vie comme dans le travail dura pendant quarante-trois années. Il fait une création remarquée dans "L'Affaire d'une nuit" en 1960 aux côtés de Pascale Petit et Pierre Mondy sous la direction d'Henri Verneuil. On le retrouve également dans le chef d'oeuvre de Visconti : "Rocco et ses frères" (Rocco e i suoi fratelli, 1960) aux côtés de Alain Delon et Renato Salvatori. .

coeur

Publié à 20:12 par fandeloup
coeur

Si ma main était une plume et mon cœur un encrier, je prendrais deux gouttes de mon sang pour t'écrire: "JE T'AIME"♥

BRITT LOMOND

Publié à 20:10 par fandeloup
BRITT LOMOND

Acteur américain d'origine écossaise, né le 12 avril 1925, mort le 22 mars 2006, à lâge de 81 ans.Il fut un ancien combattant de la seconde guerre mondiale ainsi que de la guerre de Corée. Il connu la célèbrité grâce à son role du commandant Monastario, jeune et pimpant officier espagnol de la série télévisée "ZORRO" de Walt Disney, l'ennemi juré de Zorro. Britt Lommond est intervenu dans les treize premiers épisodes de la série.