Fandeloup

Fin du changement d'heure : après le oui des Européens, l'UE va se prononcer

Les Européens étaient invités à se prononcer jusqu'au 16 août sur une éventuelle suppression du changement d'heure à l'échelle européenne. La Commission européenne va proposer ce vendredi la disparition dans l’UE du changement d’heure en hiver et en été, à la suite d'une consultation de plusieurs millions de citoyens européens, a annoncé son président Jean-Claude Juncker.

«Nous allons décider cela aujourd’hui» au sein de l’exéctif européen, déclaré Jean-Claude Juncker à la chaîne de télévision allemande ZDF, indiquant que l’idée serait de rester en permanence à l’heure d’été. Respecter le choix des citoyens

«Nous avons réalisé une consultation publique» sur le sujet entre début juillet et mi-août, «des millions de personnes ont répondu et sont d’avis qu’à l’avenir c’est l’heure d’été qui devrait être tout le temps la règle, et nous allons réaliser cela», a ajouté le président de la Commission.

«Lorsque l’on consulte les citoyens sur quelque chose il convient aussi ensuite de faire ce qu’ils souhaitent», a-t-il ajouté. La décision finale devra toutefois être prise par le Parlement européen, qui dans le passé s’était déjà dit plutôt favorable à la fin du changement d’heure, et aux États de l’Union européenne. Le changement entre heure d’été et d’hiver, introduit en Europe à l’origine pour réaliser des économies d’énergie, suscite une controverse permanente depuis des années. Ses détracteurs mettent en avant notamment les perturbations physiologiques que cela entraînerait.

Quand le condylure bulle sous l’eau

La taupe à nez étoilé ou condylure décroche sans conteste la palme du nez le plus bizarroïde. En forme d’étoile, il se divise en une douzaine de tentacules ultra sensibles au toucher.

C’est en quelque sorte l’équivalent d’une cane pour malvoyant qui l’aide à palper son environnement afin de se déplacer dans son réseau de galeries souterraines. Ce nez étrange n’est pas uniquement associé au toucher mais également à l’odorat. Sous l’eau, des bulles s’échappent d’entre les tentacules. Soufflées, elles sont vite réaspirées.

Au contact avec une proie, elles capturent des molécules odoriférantes qui reviennent dans les narines de la taupe pour être analysées par son cerveau. Le message voyage ultra rapidement dans les cellules nerveuses et le condylure peut ainsi repérer un dîner et l’avaler en seulement 230 millisecondes. Un record.

Dans le noir de moi, il y a d'abord des doutes et des peurs. J'ai peur d’oser être ce que je suis, peur du jugement, de l'abandon, peur de réussir, peur de regretter, peur de mourir, peur de la maladie la mienne et aussi celle de ceux qui me sont chers. J'ai peur de tenter, peur de changer, peur de rester et m'encroûter, peur de ne pas être à la hauteur de ce que je me suis fixé, peur de décevoir, peur d'aimer parce que peur de perdre, peur de tout … en fait.

Dans le noir de moi, il y a aussi la colère. Une violence immense qui se manifeste comme un gorille qui se déchaîne. Un attentat contre moi-même et tous ces autres qui ne comprennent pas comment il est possible d'exploser avec autant de fureur sans même avoir vu venir la tempête. Je suis un volcan qui exulte, qui parjure, qui fulmine en crachats de haine ridicules... je suis les coulées de lave qui me brûlent et la douleur que j'entretiens.

S’ASSEOIR POUR MIEUX SE REGARDER MARCHER

Ralentir le rythme, se poser... et si c’était de ça dont j’avais besoin ? Prendre le temps, ne plus courir... et si au fond c’était ça qui me fait du bien ? Ne plus reporter, ne plus attendre ou au contraire apprendre à patienter... Pratiquer l’art d’œuvrer pour atteindre, au lieu de se satisfaire des insatisfactions éphémères ou amères. Regarder, observer, se donner du recul... et si c’était de cette manière qu’il est possible de se vaincre et de commencer à exister ?

S’il ne te fait pas sourire , s’il te rends triste c’est qu’il ne t’aime pas... Aucun homme amoureux ne supporte les larmes qui rougissent les joyaux qui font briller son monde

J'ai appris à grands coups de bâtons à me plier, à courber l’échine avant de devenir un être très docile...

j’ai fini par me soumettre pour qu'enfin vienne la trêve. Ils en ont profité pour limer mes griffes, museler ma voix, piétiner mon âme…

ils m’ont battu avant de me laisser à terre et ont coupé ma crinière pour la garder en trophée. De leur sceau, ils ont marqués ma peau au fer brûlant pour que jamais je ne puisse oublier. Mon clan m'a rejeté de mon royaume.

Une fois encore... j'ai mangé la poussière, je n’avais plus la force ni la foi d’espérer…

Autrefois pourtant j'étais confiant et dominant, je régnais en maître sur mes terres. J’avais la force et le courage de tout affronter, je n’avais peur de rien ni de personne… et puis, après la guerre… je me suis métamorphosé en un lionceau craintif et apeuré. J’ai dû réapprendre à marcher, reprendre ma croissance, j’ai dû repartir de zéro, tout recommencer…. la confiance d’antan, je ne l’ai jamais recroisée.

À force de temps, je me suis relevé plein de cicatrices et de plaies invisibles, de courbatures et de déchirures par milliers... très faible, mais animé d’une rage de vivre plus forte que tout le reste… Je suis revenu autre, je ne savais plus me battre, encore moins encaisser le moindre coup, je n'avais plus de résistance à la méchanceté du monde... dans mes pas, je craignais même mon ombre. Il fallait à tout prix que je construise autre chose pour me sortir de ma fosse...

Attendre ne servirait à rien, une vie à vivre ainsi creusait déjà ma tombe. Après la colère et la haine, j'ai cherché ce que j’avais de meilleur à l’intérieur, ce qui me donnait des ailes, des raisons de m'accrocher, d'autres pour continuer... et dans ce parcours sans jamais renoncer, j’ai trouvé QUI je voulais être… De ce jour, je continue de penser que jusqu’à la fin je n’aurai qu’une seule chose à faire et à poursuivre : Apprendre pour comprendre qu’on ne sait jamais rien, mais qu’on ne s’améliore qu’au contact de ceux qui nous aiment et qui nous veulent du bien.

Quand j'évoque mes souvenirs, même mes mots se déchirent. Les larmes avalent mes phrases. La pudeur les rattrapent sous les doigts qui glissent sur mon visage. Tant de blessures si vives encore, de plaies à mon âme.

La tendresse est princesse d’un royaume où les caresses sont données par le cœur avant de toucher le reste. Un petit geste, un mot choisi avec délicatesse, une pensée sont autant de manifestations qui apaisent et qui nous mettent le sourire en liesse. Elle règne sur un monde où rien ne peut l’atteindre... et offrir est un verbe qu’elle sait conjuguer à tous les temps, sans commettre de fautes d’accord jusqu’à l’étreinte.

Se mettre en quête de l’équilibre, c’est déjà commencer une vie nouvelle,alors ne tardons-pas trop.Il vaut mieux avoir trop de tentatives que pas assez, pour apprendre à tenir sur cette échelle

Il était une fois la minute mignonne