Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

Hé oui

Publié à 08:42 par fandeloup

magnifique

Publié à 08:34 par fandeloup
magnifique

Il n'y en a aucune race qui impose à l'autre de manger que la salade ou de porter la carapace ils coexistent avec leurs différences dans le respect de l'autre sans même y penser ... Juste naturellement ...

interdiction

Publié à 19:02 par fandeloup Tags : monde femme sur femmes pouvoir
interdiction

L'interdiction de la burqa au Danemark fait son entrée en force.

 Pour dénoncer la nouvelle loi qui bannit le port du voile en public au Danemark, des centaines de femmes portant la burqa ou le niqab ont marché dans les rues du pays, défiant les autorités.

Les femmes voilées s'exposent à une amende salée et à une peine de prison pouvant atteindre six mois. Des femmes non voilées, portant des masques, ont aussi participé à la manifestation.

« Nous devons envoyer un signal clair au gouvernement que nous n'accepterons aucune forme de discrimination », a déclaré Sabina, une étudiante de 21 ans, à Reuters.

« J'ai réalisé que la démocratie ne fonctionne pas. Les politiciens se vantent de leurs libertés et de leurs droits alors qu'ils se moquent des musulmans et qu'ils dessinent des caricatures du prophète. Mais en ce qui me concerne, ils me retirent le droit de choisir comment je veux m'habiller», a-t-elle déclaré.

J'ai réalisé que les musulmans n'ont pas les mêmes droits que les autres. La politique est tellement hypocrite », a dénoncé Sarah, une musulmane de 30 ans qui dit « avoir perdu foi dans le système ».

La nouvelle loi a été approuvée en mai dernier, mais elle n'a été appliquée qu'à partir de mercredi, le 1er août. Alors que le parti libéral au pouvoir considère le voile comme étant « fortement oppressif », mais le groupe d'activistes « Party Rebels » considère qu'il s'agit d'une mesure discriminatoire contre un group de minorité.

« Toutes les femmes devraient avoir la liberté de s'habiller comme elles le veulent et avoir la liberté de porter des vêtements qui expriment leur identité ou leurs croyances », a déclaré le directeur d'Amnestie Internationale Europe, Fotis Filippou.

« Cette interdiction aura un impact particulièrement négatif sur les femmes musulmanes qui choisissent de porter le niqab ou la burqa. Si certaines restrictions spécifiques au port du voile intégral à des fins de sécurité publique peuvent être légitimes, cette interdiction générale n'est ni nécessaire ni proportionnée et viole le droit des femmes à la liberté d'expression et de religion. »

«Si l’intention de cette loi était de protéger les droits des femmes, elle échoue de manière abjecte. Au lieu de cela, la loi criminalise les femmes pour leur choix de vêtements - faisant fi des libertés que le Danemark prétend défendre. »

L'interdiction du voile n'interdit pas le foulard, le turban ou la calotte juive traditionnelle. La loi permet aussi de porter un accessoire pour se cacher le visage en cas de température extrêmement froide ou pour porter un casque de moto par exemple. La police a le droit de demander à une femme au visage couvert de quitter l'endroit public ou de retirer son voile sur le champ

horreur

Publié à 17:59 par fandeloup Tags : vie merci sur histoire pari rouge chiens bonne
horreur

Veleta, enfin la lumière au bout du tunnel…Prise en charge par la FBM et par LSF 2 août 2018

 Elle appartenait à un galguero qui la maltraitait. Son histoire est celle de bon nombre de ses frères de misère en Espagne.

Pays européen dans lequel les lois de protection animale ne sont pas respectées.

Pays dans lequel 50 000 levriers galgos sont exterminés chaque année en toute impunité. Elle vivait dans un taudis, la faim, les cris et les coups étaient son quotidien. Une blessure béante rouge de sang sur tout le travers du dos laissait apparaître ses chairs.

Sans doute une raclée qui a mal tourné. On ne sait pas ce qu’elle a bien pu faire pour mériter cela, rien sans doute, il suffit d’un rien pour qu’un galgo meure sous les coups. Un jour qui n’est pas fait comme un autre, l’ivresse, un regard de trop et le galguero calmera ses nerfs sur le premier qui tombera sous sa botte. A cause de la forte chaleur, les mouches et la vermine auraient eu raison de cette pauvre créature.

C’est une voisine de ce galguero qui lui a sauvé la vie, elle ne supportait plus d’assister impuissante à l’agonie de cette pauvre galga. Elle ne supportait plus d’entendre l’indicible. Alors elle a osé et nous ne pouvons que saluer son geste de bravoure, elle a osé la voler pour l’emmener à la fondation Benjamin Mehnert. Pour preuve que la population commence à s’élever contre les actes de torture et de barbarie commis sur cette race de chiens.

Pour preuve que nous devons continuer à mener un combat sans merci pour qu’enfin l’union européenne intervienne auprès des autorités espagnoles pour que cesse le martyre de cette race de chiens utilisée pour la chasse récréative et pour les courses à pari d’argent.

La pauvre galga était dans un bien sale état lorsqu’elle est arrivée à la Fondation, elle a été immédiatement prise en charge par les vétérinaires. Elle a un nom maintenant. Elle est enfin quelqu’un. Je vous présente Veleta C’est une brave galga et elle est bonne comme du bon pain alors elle mérite une famille aimante. Pas une famille qui aura pitié et qui nous la rendra dans comme un paquet Pas une famille qui ne respectera pas la charte de Lévriers sans Frontières

https://www.levriers-sans-frontieres.com/charte-dethique-de-levriers-sans-frontieres/

Pas une famille comme celle de Louane ou de Shaki. Elle mérite mieux que ça, ils méritent tous mieux que ça. Alors les enfoirés d’adoptants qui ne valent pas mieux que les galgueros Espagnols, on en veut plus. Si son état lui permet de voyager, elle sera dans notre transport du 15 septembre.

https://www.levriers-sans-frontieres.com/

Vous pouvez nous aider à financer ses soins en faisant un don, soit par paupal sécurisé via notre site, soit par chèque à envoyer à LSF au 43 rue de paris, 10700 Villette-sur-Aube.

Notre association est reconnue d’intérêt général, vos dons sont déductibles de vos revenus, un reçu fiscal vous sera envoyé.

tristesse

tristesse

Le déchirant cri d’alarme des parents d’Adrien, poignardé à mort

 Adrien Perez, 26 ans, a été tué d’un coup de couteau en plein cœur, le 29 juillet.  Leur garçon de 26 ans a été tué alors qu’il protégeait des amis qui se faisaient agresser. Ses parents crient leur douleur et interpellent les pouvoirs publics pour que ce drame ne se reproduise pas. Ce sont des parents brisés par le chagrin, mais aussi en colère, qui ont décidé de témoigner après la mort injuste de leur fils, Adrien.

Le 29 juillet, ce jeune homme sans histoire, apprécié de tous, a été tué d’un coup de couteau en plein cœur, devant le « Phoenix », une boîte de nuit de Meylan (Isère), dans la banlieue de Grenoble.

Adrien Perez était venu fêter ses 26 ans dans cette discothèque avec des amis. Dans la soirée, une jeune femme du groupe a été importunée par plusieurs individus. Puis, à la sortie de l’établissement, Adrien s’est interposé pour défendre Thibault, son meilleur copain, agressé par les mêmes hommes.

« Il est mort en héros », clame aujourd’hui Bruno et Patricia Perez, ses parents, qui veulent dénoncer cette violence aveugle, gratuite, qui brise des vies, des familles.

Trois hommes ont été arrêtés. Parmi eux, deux frères, Younes, 20 ans, mis en examen pour « meurtre » et Yanis, 19 ans, pour « tentative de meurtre » sur un copain d’Adrien, qui a été gravement blessé aux poumons. Tous deux ont été écroués. L’annonce de la mort de votre fils dimanche a été pour vous un terrible choc…

Patricia Perez (en pleurs). Adrien, c’était ma fierté, mon trésor, mon bonheur. Ils nous l’ont enlevé, ils nous l’ont pris. Ils ont brisé notre vie. Ils ont brisé une famille entière. Ils ont brisé des amis. Adrien, c’était mon petit, mon bébé, que je ne verrai plus. Chaque fois qu’il quittait la maison, je lui disais : « Fais attention à toi ». Et il me répondait : « T’inquiète maman, que veux-tu qu’il m’arrive ? ».

Les malheurs n’arrivent pas qu’aux autres. La preuve. Aujourd’hui, c’est nous qui sommes touchés dans notre chair. Je ne pardonnerai jamais à ceux qui ont fait ça. C’est impardonnable. Je les hais. Je le dis du plus profond de mon cœur.

Le geste de votre fils, qui est intervenu pour défendre son meilleur copain, vous a surpris ?

Patricia Perez. Non. C’est Adrien. Cela fait partie de son éducation. On ne peut pas rester brinquebalant devant l’agresseur de quelqu’un. Que ce soit son meilleur ami ou un passant. Ce n’est pas possible. Ce serait inhumain de ne pas porter secours. Et mon petit n’était pas comme ça. Oui, il est mort en héros.

- Adrien Perez a été tué le 29 juillet dernier devant la boite de nuit « Le Phoenix », à Meylan (Isère)

Pour vous, son agresseur avait l’intention de tuer ?

Bruno Perez. Evidemment. Mon fils a été tué d’un coup de couteau en plein cœur. Lorsqu’on vise le cœur, c’est une volonté de tuer. C’est un meurtre. Ils n’ont pas essayé de viser un bras ou une jambe. Et puis que faisaient ces gens avec des couteaux dans une boîte de nuit ? Ma vie s’est arrêtée dimanche avec la mort de mon fils. Adrien avait tout pour réussir sa vie. Il avait décroché une licence à l’université Joseph-Fourier de Grenoble. Depuis deux ans, il travaillait pour Clauger, une société lyonnaise spécialisée dans le froid industriel et le traitement d’air. Il était apprécié par tous ses collègues. Lorsqu’ils ont appris sa mort, beaucoup ont pleuré. Adrien, c’était un très bon garçon, gentil, pas agressif. Il avait toujours le sourire. Il était tout le temps de bonne humeur. Il faisait rire tout le monde. Nous voulons que ses obsèques soient publiques. Tous ceux qui le veulent peuvent venir y assister vendredi, à l’église Saint-André de Grenoble à 14h30.

Vous dénoncez ces drames qui se succèdent, avec le sentiment que rien ne change…

Bruno Perez. Plusieurs jeunes ont été tués ces dernières années dans l’agglomération grenobloise. Il y a des marches blanches, et puis ça recommence. Il y a une minorité ultra-violente, des racailles, qui terrorisent les pauvres gens. Et on a l’impression que l’Etat ne fait rien. C’est une violence sans fin.

Patricia Perez. Je crie ma révolte. Ça suffit. Stop ! Aujourd’hui, c’est nous. Et demain qui encore ? Je ne veux pas faire de politique. Je parle en tant que maman. Une maman à qui on vient d’enlever son enfant. Je veux que ça cesse. J’en appelle à tous les politiques, de tous bords. Faites quelque chose. Notre pays sombre dans la violence. Il faut arrêter ça. Sauvez nos enfants, bon sang ! Sauvez nos enfants !

animaux exotiques

Publié à 16:19 par fandeloup Tags : voyages google amis france sur nature animaux voyage place
animaux exotiques

En vacances, ne rapportez pas d’animaux exotiques ! Ne rapportez pas d'animaux de vos voyage!

Tous les étés la Fondation 30 Millions recueille de nombreux animaux sauvages, trouvés errants en France. Ceux-ci, importés illégalement sur le territoire par des voyageurs peux scrupuleux, n’ont pas leur place dans l’hexagone et ne peuvent être gardés dans de bonnes conditions. Un souvenir de voyage exotique. Singes magots, serpents, tortues… autant d’espèces endémiques qui font la tentation des touristes en vacances.

Et malheureusement, nombre d’entre eux rapportent illégalement ces animaux en France. Peu de temps après, ils n’hésitent pas à les abandonner lorsque ces derniers, une fois adultes, deviennent ingérables ou encombrants…

C’est pourquoi, très régulièrement, la Fondation 30 Millions d’Amis est appelée par les autorités pour recueillir ces animaux sauvages victimes de trafic. En quelques mois, la Fondation en a ainsi pris en charge plus de 280 :

notamment un iguane trouvé à La Courneuve (93),

une mangouste dans le 18e arrondissement de Paris (75),

2 ouistitis à Villepinte (93) et Aulnay-sous-Bois (93)…

Ces animaux sont généralement en mauvais état de santé car détenus dans des conditions incompatibles avec leurs besoins physiologiques. Pour la Fondation 30 Millions d’Amis, les difficultés commencent : il faut les soigner et surtout leur trouver une place dans un sanctuaire partenaire. Ces structures comme AAP aux Pays-Bas et en Espagne et le Natuurhulpcentrum en Belgique sont déjà surchargées, il faut alors pousser les murs et tenter de reconstituer des groupes.

Un trafic dangereux En plus d’être illégale, l’importation d’animaux en France est très dangereuse. Il est extrêmement difficile pour un particulier d’accueillir ces espèces dans de bonnes conditions. De plus, en les relâchant en pleine nature, elles nuisent aux espèces françaises.

C’est le cas notamment des tortues de Floride, introduites en Europe et en Asie. Nombre d’entre elles ont été relâchées dans la nature et ont attaqué les espèces naturellement présentes dans nos cours d’eau et étangs. Elles menacent la tortue européenne, la cistude, qui voit son territoire et le nombre de ses proies réduire progressivement.

Sans oublier que les animaux vivants sont susceptibles de véhiculer des maladies graves, telles que la rage ou la grippe aviaire. De plus, ce sont parfois des espèces protégées et se les approprier vous conduit à enfreindre la législation française.

En effet, il faut détenir toutes les autorisations nécessaires si vous importez des animaux vivants et les soumettre à un contrôle vétérinaire. En 2014, les services douaniers français ont constaté 527 infractions portant sur des spécimens protégés par la CITES (la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction).

Ils ont également saisi près de 1400 animaux vivants protégés (par d'autres réglementations que la CITES). Au niveau mondial, le trafic d’animaux se situe 3e, juste derrière celui d’armes et de drogue.

unique

Publié à 15:47 par fandeloup
unique

Ce qui te rend précieux , c'est que tu es unique , certains peuvent te ressembler mais nul ne peut te remplacer...

honteux

Publié à 15:38 par fandeloup Tags : sur société vie chez femme mort histoire chien
honteux

Elle fait euthanasier son chien, mais le lendemain elle découvre une terrible vérité

 Une histoire rocambolesque. Tout commence alors qu’un jeune chien de race Malinois âgé de seulement six mois se blesse dans son enclos. Une fois chez le vétérinaire, l’état de santé du chiot se dégrade assez rapidement. Une euthanasie nécessaire ?

Deux jours après – selon la propriétaire du chien – la clinique vétérinaire située dans le Doubs lui conseille d’abréger les souffrances de son toutou en optant pour une euthanasie. Elle accepte la mort dans l’âme, totalement abattue à l’idée de devoir mettre fin aux jours de son chiot.

Mais les choses ne s’arrêtent pas là. Le lendemain de cette douloureuse décision, la femme apprend avec effroi que son chien n’a pas été euthanasié. Il est encore bien en vie et a été confié à une autre famille !

Une autre version De son côté, la clinique vétérinaire dément cette version et explique que la propriétaire du chien ne souhaitait plus s’en occuper et avait réclamé une euthanasie non nécessaire.

Le vétérinaire admet tout de même une erreur de choix dans le fait de confier le chien à une autre famille. Une enquête a été ouverte suite à une plainte de la propriétaire du chien qui lui se porte nettement mieux et est désormais soigné dans une autre clinique.

assurance maladie

Publié à 14:49 par fandeloup Tags : sur travail place
assurance maladie

Le gouvernement nous prépare une petite perle concernant les arrêts maladie. Le MEDEF s’insurge…

Pour réduire les dépenses d’assurance maladie, les entreprises pourraient prendre en charge, à la place de la Sécurité sociale, les indemnités versées pendant les arrêts de moins de huit jours. Le patronat s’insurge.

 

 

Le gouvernement semble prêt à tout pour faire des économies dans l’Assurance maladie. L’une des pistes actuellement envisagées consisterait, selon Les Échos , à faire prendre en charge une partie de l’indemnisation des arrêts maladie de courte durée aux entreprises, à la place de la Sécurité sociale. L’Inspection générale des affaires sociales (Igas) a été mandatée par le gouvernement pour plancher sur le sujet. La mesure évoquée, qui pourrait coûter 900 millions d’euros aux entreprises, devrait être présentée en septembre aux partenaires sociaux par le premier ministre Édouard Philippe, et la ministre de la Santé, Agnès Buzyn. Les économies qu’elle permettrait de réaliser pourraient contribuer au financement du plan santé qui doit être présenté à la rentrée.

 

Concrètement, les entreprises pourraient avoir à prendre en charge, à la place de la Sécu, jusqu’à quatre jours d’indemnités journalières au-delà du délai de carence de trois jours, pour les arrêts de moins de huit jours. Dans le système actuel, le salarié en arrêt maladie ne touche pas d’indemnisation pendant les trois jours de carence puis, à partir du quatrième, la Sécurité sociale lui verse 50% de son salaire.

Dès le 8e jour d’arrêt, et si le salarié bénéfice d’au moins un an d’ancienneté dans l’entreprise, le Code du travail impose à l’entreprise de verser une indemnisation complémentaire à l’indemnité journalière de Sécurité sociale. Ces conditions d’indemnisation varient toutefois selon les conventions collectives en vigueur dans l’entreprise.

Certaines versent par exemple un complément dès le 4e jour d’arrêt, d’autres n’appliquent aucun jour de carence. Dans le projet imaginé par le gouvernement, les entreprises seraient dans l’obligation de payer l’indemnisation à la place de la Sécu, dès le 4e jour d’arrêt, à un niveau qui n’est pas encore déterminé.

 

Un premier scenario prévoyait d’aller plus loin encore en imposant une prise en charge des indemnisations par les entreprises sur une période de 30 jours au-delà du délai de carence. Cette mesure aurait permis de faire économiser entre 3 et 4 milliards d’euros à la Sécurité sociale, selon l’Igas. Un coût qui aurait été reporté sur les entreprises. Mais face à l’hostilité affichée par les syndicats patronaux, le projet a été revu à la baisse, avec une prise en charge par les entreprises de seulement quatre jours pour les arrêts maladie de moins de huit jours, avec un coût final de 900 millions d’euros.

 

En plus de faire baisser les dépenses de la Sécurité sociale, la mesure viserait un objectif plus global, selon l’Igas: lutter contre la multiplication très coûteuse des arrêts maladie en responsabilisant les entreprises. Entre janvier et juin dernier, les versements d’indemnités journalières ont augmenté de 4,6% sur un an, à 10,4 milliards d’euros, selon les derniers chiffres de la Cnam. Or D’après l’Igas, certaines entreprises affichent un taux d’absentéisme pour maladie très supérieur à la moyenne de leur secteur. Les arrêts de courte durée se multiplieraient notamment en raison de mauvaises conditions de travail. Les entreprises, forcées de prendre en charge l’indemnisation de ces arrêts, seraient incitées à les améliorer. Selon Les Echos, le rapport de l’Igas préconiserait d’ailleurs d’encourager les entreprises à mettre en place un plan d’action en la matière en versant des subventions ou en réduisant leurs cotisations maladie.

 

Mais le patronat ne comprend pas le projet. Les dirigeants du Medef, de la CPME et de l’U2P (syndicat des artisans) ont écrit à Edouard Philippe dans la semaine pour lui faire part de leurs inquiétudes. «Nous craignons d’aller dans une concertation qui ne soit qu’un faire-valoir pseudo-paritaire pour nous faire avaler la pilule», a déclaré le vice-président de la CPME Jean-Michel Pottier selon qui un tel projet serait un «chiffon rouge» pour le patronat. «Le principe n’est pas acceptable. On ne peut pas dire qu’on baisse les charges pour les entreprises et, à côté, nous taper dessus à la première occasion», prévient pour sa part le président de l’U2P, Alain Griset.

honteux

Publié à 13:57 par fandeloup Tags : monde france article sur photos message hiver chiens histoire
honteux

En FRANCE en 2018, avec des lois de protection animale en vigueur, il semble impossible de sortir deux chiens et un vieil âne des mains d’un fermier qui les fait souffrir avec sadisme ! Constaté par un enquêteur, le seau d’eau de l’âne (dans un sale état) est posé trop loin pour qu il puisse boire, il est attaché court et dans la merde (voir photos), les deux chiens dont un est à la cave depuis plusieurs jours (constaté aussi par l enquêteur qui l’a entendu pleurer) sont attachés (lorsqu ils sont dehors) la laisse en hauteur et ne peuvent se coucher. A l’exterieur par tous les temps, été comme hiver, sans eau, sans abri. Il semblerait d’après l’article du journal qu’il y ait aussi des antécédents et pas des moindres (lisez l’article)! Mais en France dans les villages, on se tait ! On ne doit rien dire surtout si le maltraitant est protégé. .. On ne lâche pas et on continue les partages qui les dérangent bien évidemment 

Suite de la sordide histoire de maltraitance de deux chiens et dun vieil âne à Champfronier dans l’Ain sur laquelle le monde local ferme les yeux. Notre amie qui a dénoncé a recu un message très agressif sur son tel la sommant de lâcher l’affaire ! Il y a quelques jours, un journaliste est venu et a écrit un article qui est paru dans un journal régional ce matin ! Lisez, c’est pire que ce qu’on peut imaginer...Je vous laisse juges...