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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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humour

Publié à 10:39 par fandeloup Tags : humour

tristesse

Publié à 10:33 par fandeloup Tags : rouge vie moi monde chez mer sur mort cadre animaux animal enfant livre
tristesse

Comme nous, les baleines pleurent la mort de leurs proches

Selon une nouvelle étude, sept espèces parmi les mammifères marins ont été aperçues s'accrochant au corps sans vie de leurs proches.

Une maman orque transporte son nouveau-né sans vie. Plusieurs espèces de baleines présentent des signes de deuil.

Futées et bien souvent sociables, les baleines tissent des liens étroits entre elles. Il ne fait désormais plus aucun doute sur le fait que ces liens vont au-delà de la mort. Selon une nouvelle étude, plus de six espèces du mammifère marin ont été aperçues agrippées au corps inerte de l'un de leurs congénères.

La cause la plus probable du refus des animaux à se séparer des cadavres ?

Le chagrin. « Ils sont en deuil », explique Melissa Reggente, co-auteure de l'étude et biologiste à l'Université de Milano-Bicocca en Italie.

« Ils souffrent et sont anxieux. Ils ont conscience que quelque chose ne tourne pas rond. »

Les scientifiques ont découvert un nombre croissant d'espèces, des girafes aux chimpanzés, dont le comportement indique qu'elles sont frappées par la tristesse. Les éléphants, par exemple, font des allers-retours auprès du corps d'un congénère décédé. Ces découvertes alimentent le débat d'expert : les animaux ressentent-ils des émotions et, si tel est le cas, le traitement que l'être humain leur réserve ne devrait-il pas évoluer ? Selon Barbara King, professeur émérite d'anthropologie à l'Université William & Mary de Williamsburg en Virginie et auteure du livre How Animals Grieve, la douleur des animaux peut être définie comme une détresse émotionnelle associée à une perturbation du comportement habituel.

VEILLE PERPÉTUELLE

Dans le cadre de cette étude, Melissa Reggente et ses collègues ont réuni des rapports (pour la plupart inédits) décrivant le comportement affligé chez sept espèces de baleines, allant du grand cachalot au relativement petit dauphin à long bec. D'après l'étude, publiée récemment dans le Journal of Mammalogy, les sept espèces ont toutes été vues en train de tenir compagnie à leurs défunts dans les océans du monde entier.

« Nous avons découvert que ce comportement est très fréquent et très répandu à travers le monde », déclare la biologiste. Par exemple, des scientifiques à bord d'un bateau en mer Rouge ont pu observer un grand dauphin de l'océan Indien pousser dans l'eau la dépouille en décomposition d'un dauphin plus petit. Lorsque les chercheurs ont capturé l'animal inerte au lasso et l'ont tiré jusqu'au rivage pour l'enterrer, le dauphin adulte a continué de nager auprès du corps, l'effleurant de temps à d'autre, jusqu'à ce que les eaux ne soient plus assez profondes. Longtemps après l'enlèvement de la dépouille, l'adulte est resté à proximité des côtes.

« Nous ne connaissons pas exactement le lien qui unissait les deux dauphins, mais il est probable qu'il s'agisse d'une mère et de son enfant, ou de parents proches », affirme Melissa Reggente. Ce qui est certain, c'est que ce type de comportement a d'énormes conséquences. Une baleine qui veille sur son acolyte sans vie est une baleine qui ne mange pas et ne consolide pas ses alliances avec ses congénères.

LE DEUIL DES ÊTRES AIMÉS

Les scientifiques disposent parfois d'indices sur les liens entre l'animal endeuillé et le mort. Près de l'île de San Juan, dans l'État de Washington, une femelle orque du nom de L72 a été vue en train de porter dans sa bouche un nouveau-né sans vie. L72 présentait des signes indiquant qu'elle avait récemment mis bas et les chercheurs qui la surveillaient savaient qu'assez de temps s'était écoulé depuis son dernier petit pour qu'elle soit en mesure d'en avoir un nouveau. « Elle s'efforçait de garder son petit à la surface en permanence et le maintenait en équilibre sur sa tête », explique le co-auteur de l'étude Robin Baird, du Cascadia Research Collective à Olympia, dans l'État de Washington, qui a assisté aux efforts de la mère.

Il affirme qu'une mère orque et sa progéniture peuvent passer toute leur vie ensemble. Selon lui, lorsque l'un des deux meurt « les animaux traversent une période où ils ressentent le même type d'émotions que vous et moi ressentons lors de la perte d'un être cher ».

L'étude a également dévoilé des cas de baleines transportant leurs petits inertes dans leur bouche, les poussant à travers les eaux et les effleurant de leurs nageoires. Dans l'un des cas, des globicéphales du Pacifique ont formé un cercle protecteur autour d'un adulte et de son petit décédé au nord de l'océan Atlantique. Dans la mer Rouge, un dauphin à long bec a poussé le corps d'un jeune animal vers un bateau. Lorsque les occupants du navire ont tiré la carcasse à bord, le groupe tout entier de dauphins situé à proximité a encerclé le bateau et nagé à ses côtés.

« Nous ignorons les raisons d'un tel acte », admet Melissa Reggente.

PROFOND CHAGRIN

L'anthropologue King confirme que de tels événements sont la preuve d'un deuil de la part des baleines. « Bien évidemment, il arrive que nous assistions parfois à de la curiosité, à un désir d'exploration ou à un comportement maternel qui ne peuvent tout simplement pas être "désactivés" », explique-t-elle par e-mail. « Mais il est évident que nous pouvons également voir la tristesse des animaux dans l'énergie qu'ils dépensent à transporter ou garder hors de l'eau leurs petits sans vie, à toucher leurs corps de façon répétée, à nager en phalange autour de l'individu affecté. »

humour

Publié à 09:36 par fandeloup
humour

Allez on va faire une p'tite balade 

L'effondrement

Publié à 09:20 par fandeloup Tags : vie monde france chez mer photo sur mort création bleu fleur oiseaux rouge couples bretagne
L'effondrement

L'effondrement de la biodiversité est en cours, notamment en France. La preuve avec ces 12 espèces communes actuellement en voie de disparition.

 Abeille domestique Apis mellifera.

Taille : 11 à 13 mm (ouvrière), 15 à 20 mm (reine).

Population d’une ruche : 60 000 abeilles maximum. Aussi appelée abeille domestique, l’apis mellifera est l’espèce la plus répandue et la plus connue, celle qui produit notre miel. «Depuis plusieurs semaines, l’Union nationale de l’apiculture française reçoit des appels d’apiculteurs de différentes régions françaises rapportant des mortalités anormales de leurs colonies en sortie d’hiver», alertait fin avril l’organisation. Une nouvelle année s’ajoute à la série noire que connaissent les abeilles depuis vingt ans, période sur laquelle la production française de miel a été divisée par deux. Elles sont dévastées par les néonicotinoïdes, ces pesticides neurotoxiques pour elles, répandus sur les champs qu’elles butinent. La mort des abeilles est dangereuse pour la biodiversité car elles assurent la pollinisation de la plupart des végétaux. Un «service écologique» que l’Inra a évalué à 154 milliards d’euros par an dans le monde.

Biodiversité : ça disparaît près de chez vous

 

Martin-pêcheur Alcedo atthis.

Taille : 18 à 19 cm de longueur, 30 à 36 cm d’envergure.

Poids moyen : 26 à 50 g. Population : 10 000 à 18 000 couples . Espèce discrète mais reconnaissable à son corps bleu d’eau et son ventre orangé, le martin-pêcheur d’Europe est présent dans une grande diversité d’habitats, près de l’eau courante et stagnante. Il souffre de la dégradation de la qualité de ces eaux, causée par la pollution et les drainages, ce qui réduit ses possibilités d’alimentation en alevins et en petits poissons. L’artificialisation des berges et la disparition des petites zones humides aggravent sa situation. Il a subi une perte de 50 % de ses effectifs depuis 2001, moins 34 % depuis dix ans.

 

Alouette des champs Alauda arvensis.

Taille : 18 à 19 cm de longueur, 30 à 36 cm d’envergure.

Poids moyen : 26 à 50 g.

Population : 900 000 à 1 500 000 couples.

Une alouette des champs (photo Timothy Collins, CC BY SA) Avec ses ailes brunes tachetées de beige, l’alouette des champs est présente dans toute la France. Sa population aurait chuté de 20 % en moins de quinze ans, une tendance observée dans toute l’Europe. C’est l’espèce symbolique du déclin des oiseaux en milieu agricole, même si d’autres sont encore plus mal en point, comme la tourterelle des bois, dont la population a décliné en Ile-de-France de 80 à 90 % sur cette période. Oiseau terrestre qui construit son nid au sol et cherche sa nourriture en fouillant la terre, l’alouette souffre de l’intensification des pratiques agricoles, marquées par une surcharge en bétail dans les pâtures, les travaux du sol plus fréquents, des densités de semis plus fortes et une utilisation accrue de pesticides. Elle est aussi chassée dans le Sud-Ouest.

 

Pipistrelle Pipistrellus pipistrellus.

Taille : 3,6 à 5,1 cm de longueur, 18 à 24 cm d’envergure.

Poids : 3 à 8 g. Population : 

Petite chauve-souris au pelage dorsal de brun sombre à brun roux, et au ventre plus clair, la pipistrelle se nourrit de moustiques et de tiques. Elle fréquente tous les milieux, même les plus urbanisés. Comme ses congénères, elle subit la disparition des habitats qu’elle affectionne, du fait de l’isolation et de la rénovation des bâtiments, ainsi que de l’exploitation forestière réduisant l’abondance des vieux arbres. En France, sur les 34 espèces de chauves-souris, 16 sont aujourd’hui menacées ou quasi menacées. D’après l’Observatoire national de la biodiversité, les chauves-souris ont perdu, globalement, près de 40 % de leurs effectifs en dix ans.

 

 

Ver de terre Allolobophora rosea.

Taille : 4 à 7 cm.

Poids : 1,5 à 3 g.

Population : 264 vers de terre en moyenne / m².

Vivant dans les 30 premiers centimètres de la terre, l’allolobophora rosea est l’une des 150 espèces de lombrics représentées en France. Longtemps ignorés, ils intéressent de plus en plus les chercheurs. Et pour cause, c’est la première biomasse animale terrestre. En quarante ans, les grandes cultures auraient vu leur population de lombrics divisée par quatre. Ces membres de la famille des annélides oligochètes souffrent grandement des pratiques agricoles intensives, comme l’utilisation de produits phytosanitaires, la monoculture, les labours continus et le compactage des sols. Les vers de terre sont pourtant essentiels pour garantir le renouvellement des terres et empêcher l’érosion des sols. Ils favorisent aussi l’alimentation et la croissance des végétaux.

 

Déesse précieuse (libellule) Nehalennia speciosa.

Taille : 19-23 mm pour l’abdomen mâle, 19-22 mm pour la femelle.

 Cette petite espèce de libellule, vert métallique à cuivré, vit dans les tourbières et marais. Discrète, elle est très menacée dans l’ouest de l’Europe. Elle a déjà disparu de Belgique et du Luxembourg et sa présence en Allemagne et en France est en péril. L’UICN la classe en «danger critique», dernière étape avant l’extinction. Les principaux facteurs de son déclin sont la destruction des tourbières, leur assèchement par drainage, la pollution et le piétinement trop important des sites. Le réchauffement climatique pourrait aggraver cette situation. En métropole, l’UICN estime que, sur les 89 espèces de libellules, 24 sont menacées ou quasi menacées et deux ont disparu.

 

 Grand hamster d’Alsace Cricetus cricetus.

Taille : 19,8 à 25,5 cm de longueur pour les mâles dont 3,9 à 5,9 cm de queue, et 18,1 à 22 cm pour les femelles.

Population : entre 500 et 1000 individus matures.

Avec son pelage bariolé - ventre noir, dos roux et taches blanches sur le museau - le grand hamster d’Alsace est un rongeur reconnaissable. Mais il est menacé de disparition. L’UICN le classe «en danger» dans sa liste rouge. Le fort déclin de l’espèce omnivore est provoqué par l’intensification des pratiques agricoles (diminution de la diversité culturale, moissons plus précoces, développement de monocultures). Depuis 2007, la France tente d’empêcher sa disparition par une série de plans d’action. En 2017, on dénombrait moins des 1 500 individus nécessaires pour la survie de l’espèce.

 

Lapin de garenne Oryctolagus cuniculus.

Taille : longueur 45 cm.

Poids : 2 kg. 

Lapin de garenne dans un pré. Un nuisible, c’est ainsi que le lapin de garenne, avec sa queue blanche reconnaissable, est perçu dans plusieurs régions françaises. Pourtant l’espèce est considérée comme «quasi menacée» par l’UICN car elle a perdu une grande partie de sa population en vingt-cinq ans. Victime de la chasse et de l’introduction du virus de la mixomatose, ces mammifères endurent aujourd’hui une disparition de leur habitat à cause de l’intensification des pratiques agricoles et de la transformation des paysages, tout comme le lièvre variable.

 

Cachalot Physeter macrocephalus.

Taille : 15 à 18 m (mâles), 10 à 13 m (femelles).

Poids : 30 à 40 t (mâles) 10 à 15 t (femelles).

Population : moins de 1 000 individus matures dans les eaux françaises.

Vivant dans les eaux profondes en haute mer, le cachalot et sa tête énorme au profil carré est la plus grande espèce de cétacés à dents. En France , il est observé dans l’Atlantique, au niveau du golfe de Gascogne, et en Méditerranée, au large de la Côte d’Azur et de la Corse. La classification «vulnérable» de l’espèce est essentiellement le résultat de l’impact de son exploitation passée, le cachalot ayant subi les ravages de la chasse commerciale. Alors que l’espèce était au bord de l’extinction, sa chasse a été interdite en 1982. Les principales menaces pesant aujourd’hui sur ce cétacé sont la pollution du milieu marin, par les PCB et les métaux lourds, et l’ingestion de déchets plastiques et métalliques rejetés dans les océans.

 

Vipère péliade Vipera berus.

Taille : jusqu’à 65 cm.

 Une vipère péliade.D’un corps brunâtre tacheté de noir, avec la gorge blanche, la vipère péliade est une des plus menacées en France, avec la vipère d’Orsini. Présente dans le Nord, dans le Massif central et dans le Jura, la vipera berus, classée «vulnérable» par l’UICN, pâtit de la dégradation de son habitat, particulièrement le bocage de l’ouest du pays, et voit ses populations isolées par la fragmentation des espaces naturels. La population nationale aurait diminué de plus de 30 % sur les trois dernières générations (25 à 30 ans). Le reptile est aussi vulnérable au réchauffement climatique. Zones humides En France, les «zones humides» occupent plus de 3,5 millions d’hectares, selon Ramsar, la convention internationale de protection de ces milieux. Tourbières, marais littoraux, plaines et forêts alluviales sont l’habitat de beaucoup d’espèces et d’oiseaux d’eau. Filtrantes, elles sont aussi très utiles à l’épuration des eaux. Seulement, ces milieux naturels fragiles subissent la pression du grignotage des terres agricoles et de l’urbanisation, ainsi que de la création de décharges sauvages et des remblaiements. Les créatures survivant grâce aux zones humides sont les principales victimes des déclins, comme le vison d’Europe, classé en danger par l’UICN, le putois d’Europe (quasi menacé) et le campagnol amphibie (quasi menacé).

 

Saxifrage œil-de-bouc Saxifraga hirculus.

Taille : jusqu’à 25 à 30 cm de haut. 

Avec ses pétales d’un jaune doré éclatant et sa tige clairsemée de feuilles, la saxifrage œil-de-bouc est une plante qui n’est connue qu’en France et plus précisément dans le massif du Jura. Alors qu’elle était autrefois présente dans 18 localités, il ne subsiste plus aujourd’hui qu’une seule population viable de cette herbacée vivace, située au sein du bassin du Drugeon, en Franche-Comté. En régression dans toute l’Europe, elle est menacée par la disparition des tourbières où elle vit, en particulier par les travaux de drainage, la pollution de l’eau et l’arrêt du pâturage traditionnel. Protégée aux niveaux national et européen et considérée comme «en danger critique» en France , la saxifrage œil-de-bouc fait l’objet d’un plan national d’action depuis 2012.

 

Anguille d’Europe Anguilla anguilla.

Taille : jusqu’à 1 m de long. 

Corps serpentiforme, mâchoire inférieure plus longue que la supérieure, l’anguille européenne est classée «en danger critique d’extinction». Le stock d’anguilles a décliné de 95 % à 99 % depuis 1970. Entre autres maux, elle est exposée à de nombreux polluants et pesticides qui fragilisent ses défenses immunitaires. Comme les autres poissons migrateurs amphihalins (saumon atlantique, lamproie de rivière ou esturgeon européen), elle effectue une partie de son cycle de vie en rivière et une autre partie en mer. Ces espèces sont affectées par les barrages qui compromettent leur périple migratoire. Pour l’anguille, la pêche est réglementée mais reste une menace, aggravée par un braconnage important lié au coût élevé de ses alevins, nommés «civelles».Sur les 69 espèces de poissons d’eau douce, 15 sont menacées de disparition, selon l’UICN France.Le changement climatique pourrait aggraver leurs conditions de vie.

 

Hérisson Erinaceus europaeus.

Taille : de 20 à 30 cm.

Ce petit mammifère à pics, terrestre et insectivore, est classé espèce protégée depuis 1981. Présent dans toute la France, notamment dans les jardins, il limite la progression d’insectes et d’invertébrés ravageurs. En Grande-Bretagne, 30 % de la population de hérissons aurait disparu en vingt ans, passant de 1,5 million d’individus en 1995 à moins d’un million en 2015. En France , si tous les observateurs affirment en voir de moins en moins, aucun organisme n’a produit de chiffres officiels. Comme ailleurs, le hérisson est menacé par la circulation automobile (qui ferait jusqu’à 1,8 million de victimes par an), les pesticides et antilimaces qu’il ingère en même temps que ses proies, et la recrudescence de son prédateur, le blaireau.

 

Le hérisson d’Europe est-il menacé de disparition ? Tiare Apetahi Apetahia raiateensis.

Taille : arbuste de 25 cm à 2 m de hauteur. 

Reconnaissable à ses cinq pétales blancs qui évoquent la forme d’une main, c’est une fleur endémique de la Polynésie française et un symbole de la culture tahitienne. Elle pousse uniquement sur l’île de Raiatea et toutes les tentatives de transplantation dans d’autres îles de l’archipel ont échoué. Victime de son succès, elle fait l’objet d’une cueillette abusive depuis des décennies, au point d’être aujourd’hui en danger d’extinction. En vingt ans, de 1995 à 2015, 80 % des tiares apetahi ont disparu. Son environnement est aussi perturbé par des plantes invasives et la hausse de la population de rats et de cochons sauvages qui s’attaquent à ses racines. Elle ne doit sa survie qu’à sa longévité, malgré une croissance extrêmement lente.

plus belle petite fille du monde

Publié à 08:16 par fandeloup Tags : sur belle ange fille photos aime
plus belle petite fille du monde

Cette jeune Nigériane est la nouvelle "plus belle petite fille du monde"

Laissez-nous vous présenter Jare, la nouvelle "plus belle petite fille du monde". Son regard est captivant, et elle a tout d’un ange.

Mofe Bamuyiwa est photographe, et comme à son habitude, elle aime partager certains de ses shootings avec ses followers par l’intermédiaire de ses réseaux sociaux. Et dernièrement, l’une de ses séances photos a su attirer davantage l’attention que les autres sur Instagram. Il s’agit de plusieurs portraits d’une même fillette originaire du Nigéria. Elle se prénomme Jare, elle a 5 ans, et a déjà récolté des milliers de likes.

Sa beauté a en effet interpellé de nombreux internautes qui l’ont immédiatement qualifiée de "plus belle petite fille du monde", à plusieurs reprises. Voici les clichés qui lui ont valu ce "titre" de beauté.

Première "plus belle petite fille du monde" d’origine africaine Incroyable chevelure bouclée, regard innocent fascinant et minois d’ange…

Jare apparaît sublime et rayonnante sur les clichés de Mofe Bamuyiwa. Elle est captivante et mérite amplement son nouveau surnom de "plus belle petite fille du monde".

Aussi, on souligne qu’elle représente la diversité étant donné qu’elle devient la première fillette d’origine africaine à être qualifiée de "plus belle petite fille du monde".

Aujourd’hui mannequin, c’est sans aucun doute un très avenir qui attend la jolie Jare.

honteux

Publié à 19:11 par fandeloup Tags : place vie chez sur photos mort divers animaux message animal
honteux

N’ATTENDEZ RIEN DES AUTORITÉS SPÉCISTES ET AGISSEZ VOUS-MÊMES ! LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE PEUT SAUVER DES VIES, ELLE EST À VOTRE PORTÉE

 Hier en fin d’après-midi, un.e (ou des) individu.e.s particulièrement lâches ont profité de notre absence momentanée pour abandonner devant le sanctuaire un petit agneau blessé, littéralement « dévoré vivant » par les asticots.

Ses blessures dataient de plusieurs jours au regard de la propagation de l’infection et de la présence d’une gangrène déjà très avancée déformant le corps du petit et l’empêchant de respirer normalement. Nous l’avons nourri, cajolé, puis emmené d’urgence chez le vétérinaire qui nous a malheureusement confirmé que la gangrène était trop avancée pour espérer le sauver.

Sa température très élevée, l’odeur de putréfaction et le début de paralysie de son arrière train laissaient présager que le petit souffrait depuis plusieurs jours. Nous avons dû le faire euthanasier et il est parti dans nos bras. Celui que nous avons appelé « Bonnot » et qui a partagé nos existences durant quelques heures, repose désormais avec nos ami.e.s décédé.e.s, à côté du sanctuaire.

Malgré l’inutilité d’une telle démarche puisque qu’aucune enquête ne sera diligentée, nous avons déposé plainte contre X pour actes de cruauté et mauvais traitements auprès de la police. La consignation de cette plainte (qui n’aboutira jamais) nous permettra seulement d’illustrer l’inutilité des démarches légales, un des arguments que nous faisons valoir sur chaque procès en défense de l’action directe comme seule voie stratégique pertinente.

 

La colère se mêle aujourd’hui à la tristesse et l’histoire tragique du petit Bonnot doit être l’occasion de vous faire passer un message important. Vous êtes nombreux.ses à nous écrire ou nous appeler pour nous signaler des animaux en détresse dans des élevages. Nous recevons chaque semaine des photos, particulièrement difficiles à regarder, montrant des animaux blessés, affamés, apeurés accompagnés de quelques mots nous ordonnant d’intervenir. Nous n’avons malheureusement ni le temps ni les moyens financiers d’agir sur chacun de ses cas. Nous faisons déjà énormément d’actions de libération malgré le manque d’argent et les risques judiciaires que nous encourons (rappelons qu’aux deux condamnations de prison avec sursis, s’ajoutent une dizaine de procès en cours).

C’est à vous d’agir !

Depuis un an, nous encourageons une pratique populaire et intelligente de l’action directe afin que chaque personne comprenne qu’elle n’a pas besoin d’une association ou de l’autorisation d’une quelconque autorité pour agir. Vous ne pouvez pas vous contenter de prendre des photos d’individu.e.s en détresse puis de les partager dans l’espoir que quelqu’un.e intervienne à votre place. C’est votre responsabilité. Il est temps de sortir de la passivité et de lâcher votre téléphone pour le coupe-boulon.

N’attendez pas pour couper les chaînes, les grillages et les cadenas qui entravent des individu.e.s en danger de mort. Nous pouvons vous aider en vous mettant en relation avec des activistes de votre secteur. L’action directe n’est pas l’apanage d’une élite surentraînée, elle peut être pratiquée par toutes et tous. Les risques judiciaires ? Minimes si vous n’êtes pas en état de récidive.

Faites vous accompagner par sécurité et lorsqu’il s’agit de petits animaux, sortez les de l’enfer sans attendre. Vous n’avez pas de solution d’accueil à long terme ? Peu importe ! Dans un premier temps, l’urgence est de sauver la vie d’un animal en danger de mort. Vous ferez fonctionner ensuite les circuits animalistes pour le placer et d’ailleurs nous devrions créer des terres d’accueil gérées collectivement par les activistes antispécistes sur chaque département. C’est un projet futur de l’association que nous mettrons en place à la rentrée prochaine. Alors arrêtons de nous réfugier derrière de mauvaises excuses.

Nous n’avons rien à attendre des autorités spécistes (DDPP et autres), ces institutions sont celles qui légitiment l’exploitation animale et l’encouragent. Nous les avons d’ailleurs appelées des centaines de fois sur divers cas sans succès. La désobéissance civile est la seule chance de ces milliers d’individus. Peu importe les lois spécistes et les risques encourus, nous devons agir nous-mêmes. Les institutions font tout pour nous rendre incompétent.e.s et nous faire croire qu’il faudrait toujours s’en référer à d’autres mais c’est faux.

La désobéissance civile est à la portée de chacun.e d’entre nous. « La foi aveugle en l’action indirecte, en l’action politique, a des conséquences bien plus graves : elle détruit tout sens de l’initiative, étouffe l’esprit de révolte individuelle, apprend aux gens à se reposer sur quelqu’un d’autre afin qu’il fasse pour eux ce qu’ils devraient faire eux-mêmes ; et enfin elle fait passer pour naturelle une idée absurde : il faudrait encourager la passivité des masses (...) »

(Voltairine de Cleyre, De l’action directe, 1912)

269LibérationAnimale

humour

Publié à 18:04 par fandeloup Tags : humour

honteux

Publié à 17:56 par fandeloup Tags : oiseaux
honteux

Le ministère de la Transition écologique veut autoriser le piégeage « cruel » des oiseaux

 Le ministère de la Transition écologique s’apprête à autoriser des techniques de piégeage des oiseaux interdites par l’Union européenne, mais bénéficiant d’une tolérance dans certains départements car « traditionnelles ».

Ces techniques consistent à piéger les oiseaux via de petites cages, des filets, des collets ou de la glu après les avoir attirés. Il s’agit de la chasse aux pantes, à la matole, à la glu, de la tenderie aux vanneaux ou aux branchers. L’ensemble de ces techniques sont dénoncées comme cruelles par la Ligue de protection des oiseaux (LPO).

« Lors des opérations de contrôle qu’elles conduisent elles-mêmes, les associations ont souvent trouvé des oiseau blessés voire morts dans les pièges. Au stress s’ajoutent les heurts physiques du grillage, la souffrance des oiseaux collés par les pattes, par les plumes des ailes, par la queue ou par le corps, et lorsqu’ils sont décollés, aux stress des manipulations, à la violence des collets », décrit notamment la LPO dans un communiqué.

L’association appelle les citoyens à se prononcer contre alors que trois consultations publiques (ici, là et encore ici) ont été mises en ligne et y resteront jusqu’au 14 août.

joyeux et indiscipliné

Publié à 17:10 par fandeloup Tags : heureux vie monde amour enfants sur nature
joyeux et indiscipliné

Un enfant heureux est bruyant, agité, joyeux et indiscipliné

Comment élever un enfant afin qu’il soit heureux et épanoui ?

Quelles sont les méthodes à adopter afin qu’il jouisse de la meilleure éducation possible et l’aider à confronter sa vie future ?

Ce sont les questions que se posent la plupart des parents surtout lorsqu’ils sont confrontés à des enfants bruyants, actifs et émotifs. Il est important de souligner, tout d’abord, qu’un enfant normal reste un enfant qui crie, qui pleure, qui exprime ses émotions et sa joie ; c’est la définition d’un enfant heureux qui est à l’âge de la découverte et de l’expérimentation.

Un enfant a besoin d’apprendre, de jouer et d’inventer en faisant appel à son monde imaginaire afin de créer des histoires de toutes pièces qui apporteraient de la joie à sa vie.

Un enfant vit dans le moment présent et ne se soucie pas du lendemain. Il veut profiter de chaque instant en exprimant ses sentiments, à sa façon et peu lui importe le dérangement qu’il occasionne à ses parents ou à son entourage.

Un phénomène nouveau est apparu, cependant, et qui préoccupe la plupart, c’est la « phobie de l’enfant ». C’est un mouvement qui a vu le jour aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Depuis un moment, nous assistons à la naissance d’un type d’hébergement spécial qui refuse la présence des enfants dans certains sites, afin que les clients ne soient pas dérangés par les cris et les pleurs nocturnes des enfants et pendant les moments de détente au bord de la piscine.

Le même phénomène se produit dans certains restaurants afin que les clients puissent jouir d’un moment de paix et de sérénité durant leurs repas. Ce mouvement laisse perplexe et nous incite à la réflexion :

Avons-nous perdu notre empathie, notre compréhension, notre compassion et notre amour pour les enfants pour en arriver à ce stade ?

Avons-nous oublié que nous avons été nous-mêmes des enfants bruyants, turbulents et pleins de vie et que c’était un besoin vital à notre équilibre.

 

Ces enfants qui dérangent dans les espaces publics :

Des expériences ont été vécues par plusieurs personnes et notamment des mamans, qui ont été pointées du doigt dans les espaces publics à cause de leurs enfants bruyants. Ces mamans ont été qualifiées de mauvaises mères qui ne savaient pas éduquer leurs enfants et qui ne se comportaient pas correctement avec eux.

Ce qui est évident, c’est que la plupart ne se souviennent plus que les bébés pleurent et s’agitent et que cela fait partie de leur nature.

 

La vérité sur ces idées stigmatisées :

Un enfant nait avec son caractère et sa propre personnalité.Il y a des enfants agités et d’autres plus calmes ; l’éducation des parents n’est pas forcément la cause de l’agitation de l’enfant. Les enfants ont leur propre langage pour communiquer avec leur entourage et ce n’est pas toujours pour le bon plaisir des parents qui se trouvent eux-mêmes, dépassés parfois.

De ce fait, nous devons témoigner un minimum d’empathie et de compassion pour ces parents qui font de leur mieux pour éduquer leurs bambins. Un enfant heureux est un enfant qui court, qui crie et qui attire l’attention des autres. Il n’est pas né pour être un solitaire, blasé et indifférent à la vie ; il ne serait pas normal dans ce cas.

Mettre la pression sur un enfant qui crie ou qui s’exprime reviendrait à inhiber ses capacités d’enchantement, de connaissance, d’expérimentation et de bonheur.

 

Laisser l’enfant vivre pleinement son enfance :

Il est nécessaire de laisser l’enfant s’exprimer et de découvrir ses propres capacités et d’assouvir ses curiosités d’apprentissage, à condition de le surveiller et qu’il soit protégé de tout danger, de lui montrer le bon et le mauvais côté de chaque chose. Il est important de le laisser jouer afin de réduire son anxiété, sa tension et de libérer sa créativité.

 

Limites à l’éducation de l’enfant :

Selon le professeur et coach, Kim Payne, il faut éviter d’éduquer nos enfants dans l’excès de l’information, de choix et de vitesse et plutôt les inciter à sortir, à respirer l’air libre et à les éloigner du monde de la technologie qui les accapare et détruit leur potentiel créatif. Il faut les laisser courir, crier et exprimer leur joie comme leur colère. Ils auront toute la vie pour s’assagir et rester calmes sans déranger.

Ayons de la compassion pour ces parents courageux qui font de leur mieux pour faire de leur progéniture, la génération future et soyons plus empathiques envers ces enfants qui ne demandent qu’à exprimer leur innocence.

horreur

Publié à 16:03 par fandeloup Tags : mort
horreur

JUSTICE POUR SAM SAM, un croisé LABRADOR, mâle, de 2 ans, de couleur sable, identifié, a été trouvé, mort, dans l'eau, au Nouveau Bassin de Mulhouse (68) ; ce sont les pompiers qui ont fait cette macabre découverte ; après autopsie, on peut dire qu'il a été noyé après avoir été, préalablement, tabassé, ce qui a entrainé la mort de SAM ; une plainte a été déposée, par la SPA de Mulhouse, au commissariat de Police, contre le propriétaire qui a reconnu les faits ; il ne voulait plus de SAM, tout simplement ; l'affaire est maintenant aux mains de la Justice.