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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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hyènes

Publié à 14:02 par fandeloup Tags : chez
hyènes

Les hyènes sont-elles hermaphrodites ?

Pas tout à fait, même si la reproduction des différentes espèces de hyènes interroge les spécialistes. Le système reproducteur des hyènes est tout à fait singulier. À tel point que, pendant des siècles, on a supposé que les quatre espèces (les hyènes tachetée, rayée, brune et le protèle) étaient hermaphrodites, car les deux partenaires semblaient avoir un pénis lors des ébats.

L'hypothèse était que les hyènes changeaient de sexe selon les besoins. La vérité est qu'une hyène tachetée femelle, contrairement à ce que l'on voit chez tous les autres mammifères, possède un clitoris plus grand que le pénis du mâle.

« Le clitoris est très allongé et forme un pseudo-pénis érectile par lequel elle urine, s'accouple et met bas », explique Kay Holekamp de l'université d'État du Michigan. C'est le seul mammifère femelle n'ayant pas d'orifice vaginal externe.

Pendant l'accouplement, le clitoris est flasque, et le mâle doit y insérer son pénis en érection. Cela peut sembler inconfortable pour la femelle, mais ce n'est rien à côté de l'expulsion d'un foetus de 1,5 kilogramme par le même orifice.

Comment a évolué cet étrange appareil génital ? Selon Kay Holekamp, « personne ne comprend vraiment pourquoi il est comme ça ».

recherches

Publié à 11:49 par fandeloup Tags : fond vie
recherches

A Grenoble, les chercheurs de CLINATEC préparent “la médecine de demain”

C'est un centre de recherches ultra-confidentiel. Les caméras y sont rarement autorisées.

Clinatec, le pôle recherche et développement du CEA de Grenoble explore le domaine de la santé, et "la médecine du futur".

Clinatec est un centre de recherches très confidentiel où travaillent, dans l'ombre, des biologistes, des chimistes mais aussi des ingénieurs et des mathématiciens, spécialistes des micro-nanotechnologies.

A quelques pas du CHU de Grenoble, ce laboratoire travaille à trouver des remèdes, ou tout du moins à ralentir, des maladies touchant le cerveau, comme Parkinson ou l'épilepsie.

En ce moment, ils mettent au point, par exemple, un implant destiné à injecter du froid dans le cerveau des malades de l'épilepsie pour prévenir les crises. Un exosquelette pour révolutionner la vie des tétraplégiques Un autre projet de recherche développé par Clinitec intéresse des milliers de personnes : un exosquelette.

L'équipe du professeur Benabid développe un implant qui doit permettre aux tétraplégiques de contrôler les mouvements de la machine grâce à l'activité cérébrale. Ces solutions, qui redonneraient de l'autonomie aux patients, intéressent beaucoup les groupes d'assurance privés.

Clinitec l'a bien compris et a créé l'an dernier un fond de dotation chargé de lever des fonds privés. Son objectif est de récolter 30 millions d'euros.

tortues

Publié à 11:08 par fandeloup Tags : mer sur bleu monde
tortues

En Guyane, l’heure de la ponte pour la plus grande des tortues

 Les plages de Guyane comptent parmi les plus importants sites de ponte de tortues marines au monde. Trois espèces de tortues viennent sur ces plages pour pondre leurs œufs :

La tortue olivâtre, la tortue verte et la tortue Luth. Cette dernière est de loin la plus impressionnante. Lourde de 400 à 500 kg, et pouvant atteindre 2 mètres de long, c’est la plus grande tortue au monde. Jusqu’en juillet, elles viennent en nombre pondre dans le sable fin, sous les yeux curieux des promeneurs.

Dans la région de Cayenne, les tortues luth peuvent pondre jusqu'à 6000 oeufs chaque année. En période de marée haute, au crépuscule, la géante rejoint la plage, balaie l’aire de ponte, creuse son nid, pond, referme, brouille les pistes et repart en mer ! Dans une soixante de jours, le premier nouveau-né percera sa coquille et se lancera à la conquête du grand bleu...

La tortue luth est reconnaissable à sa masse volumineuse et à sa couleur de cuir bleu-noir. Mais contrairement à ses cousines, cette grosse tortue marine ne possède pas d’écailles, mais une grosse carapace, telle une dossière en cuir très épais.

mode

Publié à 10:31 par fandeloup Tags : création collection
mode

Découvrez les baskets-babouches, la tendance de l'été 2018

Le directeur artistique, Jonathan Anderson, a encore frappé fort pour la collection Printemps/Eté 2018 avec les baskets-babouches !

Présentée comme la nouvelle tendance qui va faire des ravages cet été, cette chaussure s'inspire des bottes pointues mexicaines, ce qui explique la forme.

Quelles seront les fashionistas les plus audacieuses pour oser porter cette dernière création cet été ?

lucioles

Publié à 10:07 par fandeloup Tags : nature chez amoureux
lucioles

Aux Etats-Unis, le spectacle magique des lucioles

C’est un spectacle attendu chaque année à la fin du mois de mai. Les amoureux de la nature ont encore quelques jours pour réserver leur place pour le spectacle magique des lucioles, dans le Tennessee, aux Etats-Unis.

Pendant deux semaines, le parc national des Great Smoky Mountains vibrera au rythme des danses de lumière synchronisées des lucioles, en pleine période de reproduction. Les lucioles que l'on peut observer sont des mâles, qui clignotent à l’unisson pour attirer les femelles.

Plongés dans l’obscurité, les spectateurs voient jaillir dans tous les sens des milliers d’éclairs de lumière.Dans la plupart des espèces de lucioles, les mâles font la parade nuptiale en solitaire, mais chez certaines espèces, et notamment chez celle du Tennessee, les mâles clignotent en groupe.

« Les lucioles mâles d'une même espèce synchronisent leurs signaux lumineux pour que les femelles les reconnaissent parmi les autres espèces », explique le journal Pour la Science.

humour

Publié à 09:36 par fandeloup
humour

Une épouse excédée dit à son ivrogne de mari :

- Connais-tu la différence entre la Lune et toi?

- Ben non, je vois pas!

- La Lune est un astre et toi un désastre !

- Pourquoi me dis-tu cela ?

- Parce que la Lune est pleine une fois par mois, mais toi c'est tous les soir

singes

Publié à 09:21 par fandeloup Tags : maison vie monde chez sur animaux afrique saint
singes

Ces animaux passent (presque) toute leur vie avec leur mère

Chez certaines espèces animales, comme les orques et les orangs-outans, quitter le cocon familial est bien difficile.  Ce petit orang-outan de Bornéo âgé de 11 mois ne quitte pas sa mère. Nous avons tous entendu parler de ces Tanguys, jeunes d'une vingtaine d'années qui retournent vivre chez leurs parents après l'université. Mais ce phénomène existe-t-il chez les animaux sauvages ?

Il est plutôt rare que des animaux retournent vivre dans leur famille. Toutefois, chez certaines espèces, les jeunes restent longtemps, voire toute leur vie, avec leur mère.

L'orang-outan par exemple est une espèce qui prend son temps pour tout, y compris lorsqu'il s'agit de quitter le cocon familial. Ces grands singes donnent naissance à un petit tous les 7 à 8 ans. Ce dernier reste ensuite avec sa mère jusqu'à l'âge de 6 ans, ou lorsqu'un nouveau petit est en route, a expliqué Helen Morrough-Bernard, primatologue à l'Université d'Exeter au Royaume-Uni. Les jeunes peuvent encore rester avec leur mères pendant 3 ans après la naissance de leur petit frère ou sœur, mais certains d'entre eux sont chassés par leur mère après 6 mois.

Lorsqu'un petit naît, son frère ou sa sœur plus âgé(e) ira « découvrir le monde seul(e) et ne rentrera peut-être pas à la maison le soir », a déclaré Helen Morrough-Bernard.

« C'est un peu comme les adolescents qui vont à l'université et rentrent chez leurs parents pour les vacances. Ils ne sont pas vraiment indépendants mais essayent de le devenir ».

 

LES ÉLÉPHANTS D'AFRIQUE

Dans le monde des éléphants d'Afrique, les femelles ont une place très importante. La femelle la plus âgée et la plus imposante est généralement la matriarche du groupe et les femelles restent toute leur vie dans leur troupeau natal. Au Botswana, dans le delta de l'Okavango, une éléphante s'occupe de son petit.  Quant aux mâles, ils quittent le groupe entre l'âge de 9 et 18 ans. L'espérance de vie d'un éléphant est d'environ 56 ans ; par conséquent, un mâle peut passer près d'un tiers de sa vie avec sa famille.

 

LES LIONS Comme chez les éléphants, les lionnes « restent généralement toute leur vie dans le clan familial. Ce sont les mâles qui sont chassés et qui essayent ensuite de prendre la tête d'un autre clan », a indiqué Ed Spevak, conservateur des invertébrés au zoo de Saint-Louis, qui a également étudié les animaux africains. Une fois chassés, les mâles intègrent d'autres groupes. Environ 1/3 des femelles quittent leur clan pour un autre. Au Botswana, dans la réserve Selinda, des lionceaux entourent leur mère sur une fourmilière.  Ed Spevak précise qu'en général, « des sœurs ou des filles et leurs mères peuvent rester ensemble toute leur vie ».

 

LES ORQUES Les orques vivent en famille, dans des groupes très soudés et dirigés par des femelles. Les orques femelles ne quittent jamais leur groupe, tandis que les mâles le quittent uniquement pour se reproduire et le rejoignent par la suite. L'espérance de vie des orques femelles peut atteindre 90 ans, bien au-delà de l'âge de reproduction. Vivre aussi longtemps pourrait s'expliquer par son impact sur la survie de la progéniture masculine des femelles. En effet, d'après la revue New Scientist, les orques femelles aident leurs fils à trouver de la nourriture et les protègent des autres orques. Une étude publiée en 2012 a révélé que les orques mâles de plus de 30 ans avait 3 fois plus de chances de mourir dans l'année qui suit le décès de leur mère si celle-ci était encore en âge de se reproduire. Si cette dernière était âgée de plus de 30 ans, le risque est 14 fois plus élevé. Par contre, le décès de la mère a moins d'influence sur la survie de ses filles.

 

LES TAMARINS Chez ces petits primates d'Amérique du sud, plusieurs espèces vivent en petits groupes familiaux. Don Moore, directeur du Oregon Zoo de Portland, aux États-Unis, explique qu'au sein de ces groupes, se trouvent des « adolescents » mâles ou femelles, qui restent avec la famille pour garder leurs petits frères et/ou petites sœurs. Photographie d'un tamarin lion doré et de son petit dans la forêt atlantique du Brésil.  Don Moore explique que cela permet aux jeunes tamarins d'apprendre à élever correctement leurs propres petits. Les jeunes adultes et les adultes quittent ensuite leur groupe pour un autre afin de se reproduire.

humour

Publié à 18:09 par fandeloup Tags : humour

baudroies

Publié à 17:57 par fandeloup Tags : amour sur monde bonne chez histoire
baudroies

L'accouplement de baudroies des abysses filmé pour la première fois

Parce qu'elles vivent dans les profondeurs de l'océan, les baudroies ont été très peu filmées.

C'est en découvrant les corps de mâles attachés à celui de femelles mortes que les scientifiques ont découvert cet étrange rituel d'accouplement. Il n'est pas possible d'étudier les organismes vivants dans les abysses, comme les baudroies, en laboratoire car elles ne survivraient pas au changement brusque de pression et aux températures plus élevées.

UN SPECTACLE MORTEL

Le rituel d'accouplement de ce poisson, pour le moins étrange, n'est pas le seul élément à avoir été révélé par cette vidéo : la structure de leurs corps semble n'exister chez aucun autre poisson. Habituellement, les filaments reliés à la membrane des autres espèces bougent à l'unisson alors que chez les Caulophrynidae, les filaments lumineux disposent chacun de leurs propres muscles et nerfs et semblent fonctionner indépendament.

« Si une proie touche l'un de ces filaments, le baudroie s'oriente vers elle et la gobe », explique Ted Pietsch à la revue Science Magazine.

« La nourriture est rare à cette profondeur et ils ne peuvent pas se permettre de rater un repas ».

Il estime que le « spectacle de lumière » donné par la femelle est une façon d'attirer les proies ou de se protéger des prédateurs potentiels en leur faisant croire qu'elle est plus imposante qu'elle n'y paraît. Il se peut aussi que la baudroie imite les méduses venimeuses pour éviter d'être dévorée. Le sous-marin utilisé par les Jakobsen pour filmer la baudroie est en fonction depuis 2013. Les études sur ce poisson étrange sont peu nombreuses. À l'avenir, nous risquons donc d'en apprendre beaucoup à son sujet. Exemple de baudroies en fusion.

Dans le nord de l'océan Atlantique, à plusieurs centaines de mètres de profondeur, il se passe quelque chose d'intrigant. Filmée par la Rebikoff-Niggeler Foundation et publiée en exclusivité dans la revue Science Magazine, une séquence vidéo rare montre une femelle Caulophrynidae qui tangue doucement d'avant en arrrière dans les eaux froides et sombres de l'Atlantique nord, à près de 800 mètres de profondeur.

En regardant la vidéo avec attention, vous pouvez aperçevoir un petit mâle, un « parasite sexuel » accroché à son ventre. Ces mystérieux habitants des abysses vivent dans des conditions extrêmes et il est rare de les observer vivants dans leur habitat naturel. En août 2016, au terme d'une excursion de cinq heures à bord d'un sous-marin en eau profonde près de l'île portugaise São Jorge, les photographes animaliers Kirsten et Joachim Jakobsen parviennent à filmer une baudroie. Ils montrent ensuite leur vidéo à Ted Pietsch, professeur émérite de la School of Aquatic and Fishery Sciences (école des sciences aquatiques et de la pêche) de l'Université de Washington.

Un an plus tard, cette vidéo exceptionnelle est enfin dévoilée au grand public. Dans une séquence de 25 min, on aperçoit une baudroie de la taille d'un poing flottant dans un nuage clairsemé de filaments semblables à des vibrisses bioluminescents. L'individu filmé est un Caulophryne jordani. Il existe 14 spécimens femelles au monde qui appartiennent à des collections d'histoire naturelle, mais aucun mâle vivant n'a été observé. « C'est quelque chose d'unique et de jamais vu », a délaré Ted Pietsch dans un communiqué de presse. « C'est vraiment merveilleux d'enfin voir ce que nous n'avions qu'imaginé jusqu'à maintenant ».

UN AMOUR DE PARASITE

Il existe plus de 200 espèces de baudroies des abysses dans le monde entier, mais ces dernières sont particulièrement difficiles à étudier en raison de l'environnement hostile dans lequel elles vivent. D'après Ted Pietsch, ce n'est que la troisième fois que ce comportement chez les baudroies des abysses est filmé. Vivants à une profondeur comprise entre 300 et 5 00 mètres, les femelles baudroies attirent leurs proies à l'aide d'un leurre bioluminescent appelé l'esca, situé sur leur museau.

Les poissons utilisent leur bouche dentée et leur estomac extensible pour gober en une seule fois des proies plus grandes qu'eux. La lumière émise par l'esca est produite par une bactérie symbiotique. Seules les femelles sont dotées de cette caractéristique. Les mâles baudroies, qui sont beaucoup plus petits que leurs partenaires et dotés de grands yeux, comptent sur leur très bonne acuité visuelle et leurs narines pour trouver les femelles grâce aux hormones qu'elles libèrent. Une fois qu'un mâle a trouvé une femelle, il la mord au niveau du ventre et s'accroche à son corps. Ses tissus et son système sanguin fusionneront ensuite avec ceux de la femelle.

Le mâle se nourrira des nutriments présents dans le sang de la femelle, mais perdra ses yeux, ses nageoires, ses dents et la plupart de ses organes internes en échange du service rendu. Il ne servira donc que de banque de sperme lorsque la femelle sera prête à pondre. « Une fois qu'un mâle trouve une femelle, il la mord et leurs tissus fusionnent », indique Bruce Robinson, biologiste marin des abysses au Monterey Bay Aquarium Research Institute à National Geographic.

hiboux

Publié à 17:03 par fandeloup Tags : oiseaux
hiboux

Les hiboux sont l’une des créatures les plus magiques, étonnantes, gracieuses et majestueuses que la forêt peut nous offrir comme spectacle. Sompob Sasi Smith, un photographe vivant en Thaïlande, est fasciné par ces oiseaux étonnants et a capturé quelques photographies incroyables, qui ressemblent parfois à s’y méprendre, à des tableaux magnifiques.

Le photographe Sasi Smith, a photographié ces hiboux dans toute leur splendeur et les images sont à couper le souffle. Ces oiseaux sont magnifiquement expressifs et photographiés dans leur environnement naturel. Ces oiseaux sont assez difficiles à photographier puisqu’ils sont nocturnes, mystérieux et ont un camouflage particulier.