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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
l n'existe plus que 25'000 lions dans la nature désormais, contre 500'000 en 1900. Mais une photo avec 3 lions morts est bien plus importante qu'une espèce, n'est-ce pas ?
APPEL : Dons d'animaux
--- Déjà pour donner un animal, il faut que ce soit le sien et il faut le donner avec une identification. C'est la loi. C'est le cédant (celui qui donne) qui est dans l'obligation de le faire.
--- D'autre part, on ne donne pas un animal trouvé, on le confie à une association sérieuse, un refuge sérieux qui n'euthanasie pas car l'animal ne sera pas "donné" mais "adopté" avec un suivi. Un particulier ne fait pas d'adoption, il cède un animal.
--- Ensuite que vous donniez avec identification ou pas un animal, si vous le faites sur internet, vous le mettez en grand danger. Bien souvent, il part en covoiturage à l'autre bout de la France. Beaucoup sont perdus à cause de l'inexpérience des personnes (qui voulaient bien faire, certes, mais qui n'ont pas été formées par une association). Ensuite, l'animal se retrouve dans une famille, que vous avez ou pas été voir et qui, bien que présentant bien, sera dangereuse, et qui l'abandonnera car, finalement, il ne lui plaît pas, ou bien d'autres choses. On le voit tous les jours. Et au lieu de blâmer les mauvais adoptants, je blâme les personnes qui ont envoyé l'animal en enfer.
--- On ne dispose pas de la vie d'un animal sans faire les choses légalement et avec sécurité. --- De nombreuses personnes mettent sur leur mur "protection animale" alors qu'elles ne font rien légalement et qu'elles s'attribuent ce nom pour se donner de l'importance. Il vaut mieux écrire qu'on aime les animaux. La "protection animale" devrait être réservée à ceux qui sont sur le terrain tous les jours et depuis longtemps. C'est comme si vous mettiez "carreleur" sur votre CV alors que vous êtes juste un bricoleur du dimanche qui sait poser du carrelage. C'est trompeur. Il faut savoir rester humble, c'est une qualité.
--- Pour en revenir à mon sujet, on ne met pas en danger un animal, qui est déjà en souffrance, en se permettant de disposer de lui pour l'envoyer, par l'intermédiaire des réseaux sociaux ou autres organismes jusque chez des personnes dont on ne connaît rien. Certaines associations le font mais moi je refuse car pour moi c'est dangereux.
Exemple : Cette personne connue sur Facebook comme "grande protectrice" à qui des tas de gens ont confié des animaux qu'on a retrouvés (ou pas car dcd) dans des conditions atroces lorsqu'elle est dcd. Ou cette autre « pauvre petite jeune seule dénigrée et abandonnée de tous » qui a maintes plaintes contre elle et a déjà eu des condamnations mais qui continue parce qu’elle a une association et même si elle même n’a pas le droit, elle le fait sous couvert de son Asso (qui est illégale d’ailleurs car sa secrétaire a démissionné il y a longtemps).
--- Ne vous fiez pas aux apparences. Pour éviter tout ça, restez en local, allez voir les associations près de chez vous, et si elles sont sérieuses soutenez-les et faites de la vraie protection animale avec des personnes compétentes qui vont vous former.
--- Je trouve toujours louche des personnes qui veulent adopter à l'autre bout de la France. Quand on prend des renseignements, on s'aperçoit qu'elles sont obligées d'adopter dans des départements où elles ne sont pas connues car elles ont des casseroles de maltraitance.
Le Kenya va instaurer la peine de mort pour les braconniers
Le Kenya veut aller plus loin dans sa lutte contre le braconnage, et souhaite instaurer la peine de mort contre les braconniers. Les braconniers ne resteront plus impunis.
Les chasseurs s'en prenant aux rhinocéros et aux éléphants pour leurs cornes et défenses en ivoire risqueront désormais la peine de mort , a annoncé le ministre kényan du tourisme et de la protection des espèces sauvages, Najib Balala, rapporte The Independent.
Des mesures insuffisantes Pour le responsable politique, les mesures dissuasives déjà en place dans le pays pour empêcher les braconniers de passer à l'acte sont insuffisantes. Désormais, les braconniers encourront la peine de mort. Le Kenya abrite plusieurs dizaines d'espèces sauvages dans ses parcs et réserves nationaux, parmi lesquels les lions, les rhinocéros, les autruches, les hippopotames, les girafes et les zèbres.
Au cours de la seule année 2017, 69 éléphants et neuf rhinocéros ont été tués au Kenya, alors que les deux espèces sont menacées. Sélectionné pour vous Koh-Lanta: la version des faits de Candide Renard Un renforcement de la loi depuis 2013 Malgré sa volonté de protéger les grands mammifères sauvages par tous les moyens, le Kenya risque toutefois de se heurter aux injonctions de l'ONU, puisque celle-ci s'oppose à la peine de mort pour tout crime que ce soit.
Selon les autorités touristiques du Kenya, le braconnage est en baisse dans le pays, grâce au renforcement de la loi sur la protection des espèces sauvages, mis en place en 2013 avec le Wildlife Conservation Act, qui prévoit notamment une amende de 200.000 dollars (environ 169.700 euros).
Celui-ci aurait permis de réduire de 85% le braconnage des rhinocéros, et de 78% celui des éléphants, par rapports aux tristes records enregistrés en 2012 et 2013.
MESSAGE DE LA COMPAGNIE DE GENDARMERIE DE DIJON
"Depuis quelques jours, vous êtes nombreux à nous signaler des véhicules et des individus au comportement suspect sur vos communes. Et nous vous en remercions !
Ces personnes semblent s'adonner à du repérage en s'arrêtant ou en ralentissant devant des habitations ou en effectuant du démarchage pour divers travaux chez des particuliers.
Ces repérages sont souvent le préalable de cambriolages de résidences principales. Ils sont parfois accompagnés de signes tracés sur les boîtes aux lettres ou sur les portails d'entrée ou de petits cailloux posés sur les murs de propriété.
En moins d'une semaine, des repérages nous ont par exemple été signalés :
- sur MALAIN par un véhicule Mercedes Sprinter dont l'immatriculation a pu être relevée, avec 2 hommes qui effectuaient du démarchage. Un particulier a par ailleurs signalé qu'il a découvert des petits cailloux sur son muret délimitant sa propriété et des inscriptions sur son portail d'entrée.
- sur SOMBERNON par un véhicule OPEL Movano dont l'immatriculation a là encore été relevée. Un individu a chercher à entrer dans une propriété avant d'être dissuadé par la présence de voisins. Il a rapidement quitté les lieux.
- sur FLAGEY-LÈS-AUXONNE par un fourgon HYUNDAI dont l'immatriculation a été relevée. Deux hommes proposaient de nettoyer des façades d'habitation à des particuliers qui ont signalé ce démarchage.
- sur NOIRON-SOUS-GEVREY par un scooter type CMAX dont l'immatriculation n'a pu être relevée. Deux individus circulaient à faible allure sur ce scooter dans le centre du village. Tous ces exemples de remontée d'information nous intéressent vivement ! Ils peuvent nous aider dans l'élucidation d'un cambriolage, par exemple.
Sans tomber dans la paranoïa, il est important de noter l'immatriculation du véhicule et de contacter immédiatement le 17 ou le numéro de téléphone de votre brigade de gendarmerie afin que nous nous transportions sur place pour contrôler ces individus et connaître leurs intentions réelles avant qu'ils ne prennent la fuite. Merci pour votre vigilance.
Chef d'escadron Emma ARDOUIN, commandant la compagnie de DIJON"
J'ai toujours rejeté la captivité dans toutes ces formes , dites moi comment certaines "plumes" peuvent partager des liens de parcs qui sont de véritables tiroirs caisses et qui exploitent ces loups et autres , tout ça pour le plaisir de les voir , les toucher .... Quand tu opte pour la liberté , tu ne peux pas cautionner ça , a moins d'être égoïste .
Combien il y a t-il de jours fériés en France ? Depuis quand les jours fériés existent ? On vous a tout résumé en une image
L’historien André Kaspi retrace les flottements autour de la commémoration de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais, selon lui, supprimer ce jour férié trop tôt serait une erreur politique.
Férié chômé, puis déplacé, puis simplement férié, puis plus férié du tout avant de ressusciter, quel tournis ce 8 Mai ! Institué en 1953, la journée de commémoration de la victoire sur le nazisme en a connu des avatars. C’est que le 8 Mai a toujours été une date un peu fragile : « Dès l’origine, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond avec », relève l’historien André Kaspi.
En réalité, c’est le 7 mai à Reims que l’acte de capitulation des troupes allemandes est signé sous la houlette du général Eisenhower. Il est ensuite ratifié définitivement dans la nuit du 8 au 9 à Berlin, au quartier général soviétique. Le texte fixe officiellement la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe à 23h01, (soit 1h01 heure de Moscou), ce qui explique qu’aujourd’hui encore, en Russie, on célèbre le jour de la victoire le 9 mai. Mais ce flottement n’est pas qu’une question de calendrier :
« Le 8 Mai, c’est surtout une victoire des Alliés, souligne André Kaspi. La France en a pris sa part et brillamment avec de Lattre de Tassigny et Leclerc, mais son rôle n’a pas été essentiel », rappelle-t-il. Il faudra d’ailleurs attendre 1953 pour que cette date devienne fériée et chômée. Mais en 1959, de Gaulle le supprime. Il veut restreindre le nombre de jours fériés. La victoire de 1945 sera à l’avenir célébrée le deuxième dimanche de mai : « Aux yeux du général, l’Appel du 18 juin et le 25 août 1944, jour de la libération de Paris , comptaient davantage », indique André Kaspi. «Il fait partie de notre mémoire patriotique»
En 1975, c’est au tour de Valéry Giscard d’Estaing de revisiter notre histoire : dans une logique de réconciliation avec l’Allemagne, les deux guerres seront commémorées le 11 Novembre.
Tempête des associations d’anciens combattants. Les élus locaux font de la résistance. C’est François Mitterrand qui remet les pendules à l’heure : en 1981, le 8 Mai retrouve son caractère férié.
Va-t-il à nouveau valser ? Depuis une loi votée le 20 février 2012, le 11 Novembre - jour de l’armistice de 1918 - est devenu « journée en hommage à tous les morts de la France ». Il est possible de refusionner le 8 Mai et le 11 Novembre, comme l’avait fait VGE. Mais pour André Kaspi, auteur en 2012 d’un rapport sur les commémorations, « ce serait une faute politique de le faire trop tôt » : « Le 8 mai 1945, ce n’est jamais qu’il y a 73 ans. Il fait partie de notre mémoire patriotique, au même titre que le 14 Juillet et le 11 Novembre. N’oublions pas qu’elle correspond aussi avec la fin des camps de concentration. Tant qu’il restera des survivants, tant que la mémoire de cette guerre existera, il faut la conserver. »
Le décès de Naomi Musenga, 22 ans, ravive le débat sur le fonctionnement du SAMU et des ARM. Voici le système de fonctionnement actuel
Mort de Naomi Musenga : «Ce n’est pas un cas isolé»
Alors qu’il faisait une crise cardiaque, Gilles Gauvain a contacté le Samu qui lui a répondu «d’aller dormir».
Le décès de Naomi Musenga, dont l’appel n’a pas été pris au sérieux par le Samu du Bas-Rhin, ravive les plaies d’autres patients mal pris en charge par le 15, comme Gilles.
Dans quelques jours, Gilles Gauvain prendra sa retraite. Si le tout jeune sexagénaire a des projets plein la tête, le sport, sa passion de toujours n’en fait plus partie. « J’ai refait un bilan la semaine dernière, j’ai perdu 60 % de mes capacités cardiaques. Je ne veux pas ressasser, mais le fait est que je suis intimement persuadé que les dommages de mon infarctus auraient été moindres si j’avais été pris en charge correctement par le Samu », explique ce photographe parisien.
Car voilà, le décès de Naomi Musenga, dont l’appel n’a pas été pris au sérieux par le 15 du Bas-Rhin, a non seulement suscité une immense vague d’émotion dans le pays mais aussi ouvert la boîte de Pandore des témoignages. Bien sûr, la grande majorité des 20 millions de dossiers traités chaque année par le Samu le sont de manière rigoureuse par des professionnels investis et dévoués mais non, clament des patients, « Naomi n’est pas un cas isolé ».
L'enregistrement de la conversation avec l'opératrice du Samu Ce soir-là, Gilles, marathonien chevronné, rentre du travail à vélo quand une « grosse douleur » le prend dans la poitrine. « Comme cela empirait, j’ai appelé le 15 dès que je suis arrivé chez moi. J’avais beau essayer de dire que mes symptômes étaient anormaux et atypiques, ils se sont focalisés sur le fait que j’avais par ailleurs des maux de ventre, ont mis ça sur le compte d’une gastro et m’ont dit d’aller dormir. » Sauf que Gilles est en train de faire une crise cardiaque.
Plus tard, il appelle SOS Médecins qui s’occupe de lui. À l’hôpital, deux stents -des ressorts au cœur- lui sont posés. « Trois ou quatre heures sont passées entre-temps. Or, on sait que dans l’infarctus, plus on attend, plus le cœur se nécrose. Cet appel au Samu reste pour moi un traumatisme. L’effroyable histoire de Naomi m’a rappelé à mes mauvais souvenirs », souffle-t-il, dénonçant un système « qui ne fonctionne pas ».
Moqué alors qu’il fait un AVC Naomi, a aussi « ravivé la plaie » de Dominique, 64 ans aujourd’hui. « Je pense beaucoup à sa famille. Je sais ce que c’est d’être moqué », assure ce Parisien, formateur en hygiène alimentaire. Un matin de 2011, il sent sa jambe droite « comme endormie », puis son bras dans le même état. « J’avais vu un documentaire sur les AVC (NDLR : accident vasculaire cérébral), j’ai pris peur », confie-t-il.
« Je tentais d’expliquer à l’opératrice ce que j’avais mais ma bouche se paralysait, j’avais du mal à articuler alors elle me répétait, moi qui ne consomme pas d’alcool, que j’avais bu, que c’était sûr. J’ai dit : Madame, je pense que j’ai un début d’AVC. Elle m’a répondu que si j’étais médecin je n’avais pas besoin d’elle et qu’on n’envoyait pas le Samu comme ça. »
Il faudra l’arrivée d’un ami, puis un second coup de fil pour que Dominique -dont l’AVC le fera passer dix jours à l’hôpital- soit pris en charge par une ambulance. Ce que veulent aujourd’hui Gilles et Dominique ? « Rien », répondent-ils chacun de leur côté. Seulement, clament-ils, que leur témoignage aide à prendre conscience que le système doit évoluer.