Fandeloup

Ajourd'hui on crie au scandale lorsque les syndicats organisent une grève ou manifestent ou bloquent les routes, voilà comment ça se passait en 1960 et c'est grâce à ces gens que nous avons obtenu les acquis sociaux d'aujourd'hui et que le gouvernement MR-NVA est en train de détricoter.

N'oublis pas que tu es aimé

Ezanville : «Il a tapé ma mère... Après elle était morte»

 Quelques jours après la mort d’Amina, une marche silencieuse avait réuni une centaine de personnes.

Quelques jours après la mort d’Amina, une marche silencieuse avait réuni une centaine de personnes.

La petite fille serre une peluche dans ses bras et balance ses pieds sous sa chaise d’enfant. S., cinq ans, a assisté peu de temps auparavant à la mort de sa maman, battue sous les coups de son père le 13 octobre 2013 à Ezanville, lorsqu’elle est auditionnée par les gendarmes.

Une audition « Mélanie », réalisée dans une salle spécialement dédiée à cet effet et entièrement filmée, que la cour d’assises du Val-d’Oise a visionné, alors qu’elle juge depuis ce mardi matin Bouillé K. pour meurtre.

« Il a tapé ma mère et après il a mis un coup de pied… Elle est tombée par terre. Après elle était morte. » La fillette évoque les coups assenés « avec les chaussures qui font mal », alors que sa maman est au sol.

La vidéo dure une dizaine de minutes, pendant lesquelles l’enfant confie aussi que son père allume le feu à la cuisinière, fait chauffer une casserole, avant de s’en prendre encore à la victime.

« Il a touché sur la joue et sur la tête. » Le gendarme lui demande si c’est la première fois. « Il y a eu plein de fois », dit-elle, parlant notamment de ce jour où il a obligé sa femme à se déshabiller et à rejoindre la salle de bain pour la corriger, demandant à sa fille de la frapper aussi. « Je n’étais pas d’accord », dit la petite fille . « Je ne voulais pas. Je n’aurais pas dû. » « C’est la première fois que je vois une femme avec autant de lésions sur le corps » La cour a entendu peu avant la voisine à qui elle a été confiée avec sa petite sœur après le drame.

« Elle m’a dit, assez froidement : Mon papa va aller en prison. Il a défoncé maman. Ces mots, de la part d’une enfant de cinq ans, je m’en souviendrai toujours », témoigne-t-elle. Elle cite encore la petite : « Papa et maman se disputent tous les jours. C’est un secret, il ne faut pas le dire. »

Ce qui n’est pas un secret, c’est l’acharnement de l’accusé la nuit des faits.

« J’ai 18 ans d’ancienneté. C’est la première fois que je vois une femme avec autant de lésions sur l’ensemble du corps », lâche à la barre le directeur d’enquête de la gendarmerie.

« Le professeur qui a pratiqué l’autopsie m’a dit qu’en 32 ans de carrière il n’avait jamais vu cela non plus. » Une scène qu’un des pompiers n’a pas surmontée.

« Il est tombé en larmes, confie à la barre son chef d’agrès. Il m’a dit qu’il n’était pas fait pour accumuler ce genre d’interventions. Il a arrêté les pompiers. »

L’accusé encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Les nerfs à fleur de peau, décrit tout au long du dossier comme un homme impulsif et violent, incapable de maîtriser la frustration, il reconnaît avoir porté les coups, tout en niant avoir voulu tuer sa femme. Selon lui, les problèmes survenus dans son couple trouvent leur origine dans son appartenance à un groupe religieux musulman, qui l’a amené à passer sept ans en Egypte pour apprendre le Coran.

« Une secte » selon lui, dont il s’est extirpé avant de se retrouver, avec sa femme rencontrée via ce groupe, complètement isolé. Il a multiplié ensuite les sorties nocturnes et la consommation d’alcool, finissant par s’en prendre à son épouse.

Décrite comme douce, gentille et effacée, Amina n’avait pas le droit de regarder les séries télé et devait demander l’autorisation pour chacun de ses gestes, y compris sortir les poubelles. Sa voisine ne l’avait jamais vue.Le procès se termine vendredi.

Il y a des paysages qu'on ne peut oublier , il se grave dans notre mémoire comme le soleil s'accroche au ciel..... Bon matin à tous, le mot du jour , Avances avec confiance....

Parfois, nous sommes au bout du rouleau, nous voulons parfois en finir, ne trouvant pas d'autre issue pour résoudre nos problèmes et pourtant, il ne faut pas abandonner...Car la vie est ainsi faite d'obstacles...De peine, mais aussi de joie...De moments de plaisir...De succès et de réussite... Alors nous pouvons être épuisés à un moment de notre vie...Reposons nous, mais surtout n'abandonnons pas... Car une fois au fond du puits, nous ne pouvons que remonter et alors prendre conscience de sa vie différemment pour avancer... Apprendre à voir autrement...Pour qu'enfin le calme, la Paix et la Sérénité règnent dans notre cœur et notre Esprit.

Bâtons et pierres peuvent me briser les os... Mais, à moins que je n’y consente, les injures n’ont pas le pouvoir de me meurtrir... Que j’apprenne à faire courants d’air pour chasser les tristesses importunes... Que j’apprenne à distinguer les perceptions erronées de la vérité... Que j’apprenne à maintenir la paix dans le refuge intérieur silencieux de mon cœur

A TOUS

Mon âme, ma meilleure amie... Pour entamer ce chemin d'harmonisation...Il est important de consacrer chaque jour un moment privilégié où l'on se dédie exclusivement à la communion avec son âme... Afin de créer une sorte d'amitié, une intimité, une complicité grandissante... Alors la vie devient beaucoup plus simple, toutes les portes commencent à s'ouvrir et la vie nous mène à incarner ce pourquoi nous sommes là.

Lorsque la fillette faisait de la luge, quelque chose a attiré son attention. C’est absolument génial!

C’est souvent les moments les plus inattendus, comme celui-ci, qui sont les plus mémorables.

Et grâce à la technologie d’aujourd’hui, plus précisément les Smartphones, nous pouvons capturer ces moments.

Dans cette vidéo, nous voyons une jeune fille qui s’amuse sur la glace. Elle était en train de faire de la luge, quand soudain elle voit quelque chose qui attire son attention.

Après quelques seconds, nous sommes tout aussi impressionnés par ce que nous voyons. Un chien glissant vers le bas d’une colline congelée! C’est un moment tellement drôle entre une fille et son chien.

Nous adorons les moments comme celui-ci! S’il vous plaît, pensez à partager cette vidéo avec vos proches.

Dijon va accueillir le plus grand hôtel à insectes de France!

Vendredi 22 janvier sera inauguré au Grand Dijon "La Bourdonnerie", un immeuble situé au sein de l'écoquartier Heudelet qui regroupera les bureaux de deux associations à objet environnemental :

Alterre Bourgogne et Réserves Naturelles de France.

Particularité de ce bâtiment, il accueillera le plus grand hôtel à insectes sur sa façade ouest qui aura, entre autres, pour vocation à accueillir des abeilles solitaires menacées par les pesticides.

"Cette façade d’hôtel à insectes constitue une mini-réserve naturelle verticale, un observatoire de l’évolution de l’écosystème de l’éco-quartier, une manifestation des enjeux environnementaux du quartier et de l’immeuble et enfin un affichage des objectifs des deux associations", précise l'Atelier Calc dans un communiqué.