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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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bonne nuit

Publié à 20:25 par fandeloup

Il tire sur son chien à bout portant

Publié à 20:10 par fandeloup Tags : photo google mort vie homme chez femme animaux chien
Il tire sur son chien à bout portant

Il tire sur son chien à bout portant, la Fondation porte plainte

 Un chien a miraculeusement survécu à des tirs de plomb. La Fondation 30 Millions d’Amis a porté plainte pour actes de cruauté à l’encontre du propriétaire, qui devra répondre de ses actes devant le TGI du Mans en septembre 2014.

Les autorités d’une commune de la Sarthe viennent d’être saisies pour des faits d’une extrême gravité (17/3/15) : alertée par une détonation, une jeune femme de Montabon (72) découvre un chien gisant dans l’étang du terrain de loisir voisin.

Un homme frappe l’animal à coup de bâtons pour l’empêcher de remonter à la surface. Elle parvient à s’emparer du chien et à le conduire chez le vétérinaire.

L’examen révèle qu’il a reçu deux tirs de fusil à bout portant, avant de subir des coups violents.

NOMBREUSES CONTUSIONS

L’animal s’en sort miraculeusement. Cette petite femelle croisée âgée d’un an - appelée Pépette depuis son sauvetage - s’en tire avec une vingtaine de points de suture sous la gorge et de nombreuses contusions au niveau des yeux, des oreilles et du crâne, selon le rapport vétérinaire. Céline, qui lui a sauvé la vie, lui rend visite tous les jours :

« Elle récupère très vite, témoigne la jeune femme. Elle montre une grande joie de vivre ». Pépette va rester encore une quinzaine de jours à la clinique vétérinaire. « Elle n’est pas craintive, mais a un mouvement de recul lorsque l’on parle un peu fort ou que l’on fait des gestes un peu brusques » complète Céline.

ACTES DE CRUAUTÉS

Quant à son propriétaire, il a été placé en garde à vue puis interrogé par les autorités. Laissé libre, il comparaîtra le 3 septembre 2014 devant le tribunal correctionnel du Mans (72).

La Fondation 30 Millions d’Amis a porté plainte avec constitution de partie civile aux côtés du refuge pour animaux d’Yvré-l’Évêque, pour actes de cruauté. Une autre plainte pour menaces de mort a été en outre déposée par Céline à l’encontre du propriétaire. La Fondation 30 Millions d’Amis vous tiendra informé des suites de cette affaire. A sa sortie de la clinique vétérinaire, Pépette sera proposée à l’adoption, le mis en cause ayant signé un acte d’abandon au profit de la SPA (21/3/2014).

Flashé à 207 km/h

Publié à 19:30 par fandeloup Tags : photo chevaux cadeau rose papier
Flashé à 207 km/h

Flashé à 207 km/h, une semaine après avoir obtenu son permis

Un Marseillais de 18 ans a été contrôlé jeudi à 207 km/h sur une route initialement réglementée à 110 km/h, au volant de la berline allemande de son père.

Il n'aura gardé son permis de conduire qu'une semaine. Le chauffard a été contrôlé à la hauteur de l'aire de Ganagobie dans les Alpes de Haute-Provence, à 207 km/h

La vitesse fait tourner la tête, la vitesse est l'apanage de la jeunesse, "la vitesse est la forme d'extase dont la révolution technique a fait cadeau à l'homme", comme l'écrivait Kundera... Mais il n'y a pas que l'ivresse et le plaisir. Oui, la vitesse tue.

Elle est aussi accessoirement réglementée à 130 km/h, sur les autoroutes françaises ! Jeudi dernier, un Marseillais de 18 ans, très jeune conducteur, a voulu voir ce que la berline de son père avait sous le capot.

L'Allemande et ses nombreux chevaux ont été lâchés sur l'autoroute A 51, entre Gap et Sisteron (Alpes-de-Haute-Provence). Le jeune chauffard, une semaine d'expérience de conduite en poche, a poussé l'engin à 207 km/h.

Il passera par la case tribunal Mais le pied au plancher n'aura pas fait long feu. Il a été contrôlé à la hauteur de l'aire de Ganagobie dans les Alpes de Haute-Provence. Adieu papier rose chèrement acquis. Son permis lui a été suspendu.

Pourtant le chauffard avait prévu un stratagème. Il avait mis du scotch sur les plaques d'immatriculation pour éviter de se faire prendre. Rien n'y a fait?! Il devra se présenter le 8 décembre devant le tribunal de Manosque pour s'expliquer.

loups

Publié à 19:03 par fandeloup Tags : nature
loups

Encore une preuve , s'il en fallait encore, que l'humain n'est qu'un petit élève indiscipliné !! Il se croit au dessus de tout, pense dominer et gérer la nature.... Grossière erreur !!!! Regardez le maître en la matière.... Le loup

pole emploi

Publié à 18:41 par fandeloup Tags : soi moi monde chez travail
pole emploi

Dijon : une équipe de CRS déployée devant Pôle Emploi pour s’assurer que les chômeurs cherchent réellement un travail

Mesure phare de la gauche forte et décomplexée, le ministre du Travail a mis en place une équipe de contrôle à l’entrée de l’agence de recherche d’emploi.

Ce dispositif vise à s’assurer que les sans-dents sont bel et bien à l’affût d’un travail et non encore en train de pomper le sein vide et ridé de l’État Providence.

C’est d’une voix grave et chevrotante qui n’est pas sans rappeler celle de Johnny Halliday un lendemain de cuite que François Rebsamen a enfin percé le furoncle de la démagogie la semaine dernière chez nos confrères i-Télé : ces putains de fainéants précaires une ont une fâcheuse tendance à plomber les chiffres du chômage.

Écartant pour le moment l’option d’un génocide, le ministre a proposé de les dissuader d’une quelconque forme de laxisme en les menaçant de coups de matraque dans les rotules.

Tabasser plus pour chômer moins

Devant l’agence ce matin, les chômeurs filent droit : agglutinés de manière pathétique devant les tableaux d’affichage, ils semblent soudain très motivés pour rentrer enfin dans le monde du travail. Il faut dire que la matraque qu’arbore Jean-David, CRS réputé dans le petit monde de la sécurité dijonnaise, a quelque chose de très dissuasif :

« J’en ai déjà rossé quatre depuis ce matin », s’amuse le nouvel employé, « enfin même quinze si on compte les Arabes ». De son côté, Daniel l’intermittent du spectacle s’indigne comme sa posture de social-vive-la-gauchiste lui impose :

« C’est tout simplement fasciste d’agir comme ils le font : non seulement j’ai du me lever à 10h du matin pour venir, mais en plus on me propose des offres d’emploi qui menacent de m’exploiter 15h par semaine ! ».

Fort heureusement, un coup de batte bien placé vient achever les propos insupportables de Daniel dont le nom va bientôt être transféré de la liste des demandeurs d’emplois à celle des demandeurs d’organes.

« Quand on cherche vraiment, on trouve » Interrogé sur ces méthodes avant-gardistes, Rebsamen explique qu’il fait avant tout la chasse à la mauvaise foi :

« Je ne peux pas supporter l’idée qu’une personne vivant sur notre territoire ne travaille pas. Quand on cherche vraiment, on trouve : moi par exemple, j’ai cinq boulots et une dizaines de titres alors ne me dites pas qu’un type ne peut pas trouver AU MOINS un travail».

Il va de soi qu’un tel zèle découle d’une volonté compréhensible de se faire apprécier de Manuel Valls et des autres membres de l’UMP. Si toutefois François Rebsamen échouait dans son ambition de calmer l’érection de la courbe turgescente du chômage, il sait qu’un siège de maire est bien gardé au chaud pour lui dans la cité de Ducs.

Cette nouvelle poussera malheureusement Alain Millot à se rendre à son tour à Pôle Emploi où, espérons-le, Jean-David fera preuve d’un peu plus de bienveillance.

acariens

Publié à 17:38 par fandeloup Tags : chez vie enfants nuit
acariens

Notre visage abrite plusieurs millions d'acariens

Une étude publiée le 27 août révèle que le visage des adultes est un nid à acariens. Deux espèces se partagent les pores de nos joues, notre front et notre nez.

Vous auriez voulu l'ignorer toute votre vie mais des chercheurs en ont décidé autrement. Une étude publiée mercredi 27 août dans le journal Plos One a révélé la présence de millions d'acariens vivant dans les pores de la peau du visage.

Ce sont précisément deux espèces d'acariens qui squattent notre peau : les "Demodex brevis" et les "Demodex folliculorum".

Les premiers sont nichés dans les glandes sébacées, chargées de produire le sébum protecteur de notre peau, et les autres, bien planqués dans les cellules qui produisent les poils, au niveau des cils, du nez, du front et des joues. Ces petites bêtes sont dotées de 8 pattes, d'un corps en forme de vers et mesurent quelques dixièmes de milimètres de long. Une femelle peut pondre plus de 20 oeufs dans un seul folicule pileux !

Autre information extrêmement rassurante : les Demodex se déplacent surtout la nuit , à la surface de la peau. Des maladies bégnines. Fait surprenant, les acariens vivant sur notre visage sont très semblable, qu'ils aient été observés en Chine ou aux Etats-Unis. Et si les scientifiques n'en ont trouvé que dans 14% des échantillons prélevés sur des individus, 100% d'entre eux portaient une trace génétiques de la présence de ces acariens.

On ignore encore les raisons de la présence de ces habitants microscopiques mais le fait qu'ils soient moins présents chez les enfants laisse penser que la contamination est progressive. Quoi qu'il en soit, la cohabitation avec ces parasites ne semble pas poser de gros problèmes. Ils pourraient être à l'origine de maladie bégnine comme "l'acné rosacée", indique Didier Raoult, professeur de microbiologie à la faculté de médecine "La Timone" à Marseille.

donneur

Publié à 16:54 par fandeloup Tags : enfant cadre vie monde enfants france photo mort
donneur

L'émouvant hommage d'une équipe de chirurgiens devant un enfant donneur d'organes

C’est une simple photo, mais pourtant très chargée en émotion. Une scène poignante face à laquelle nous ne pouvons rester de marbre. Ce cliché a fait le tour du monde. Il montre une équipe de médecins dans la salle d’opération d’un hôpital chinois, s’inclinant pour rendre hommage à un petit garçon de 11 ans, Liang Yaoyi. Une mère effondrée en arrière-plan, et une armée de blouses bleues, debout dans le cadre aseptisé et froid de l’hôpital, se confrontent au corps allongé de l’enfant que l’on devine sous le drap central. Liang Yaoyi était malade d’un cancer et se savait mourant. Mais avant de rendre son dernier souffle, l’enfant avait fait part à son entourage de son vœu de faire don de ses organes. C’est à l'école que le petit garçon avait pris conscience de l’importance de ce geste.

Atteint d’une tumeur maligne au cerveau depuis ses 9 ans, Liang Yaoyi n’avait cependant jamais baissé les bras. Son combat à lui était devenu celui d’aider les autres. Après cette réflexion à l’école, il a donc convaincu sa mère de faire don de ses organes après sa mort. Cette dernière a expliqué que son fils lui avait déclaré :

« Il y a beaucoup de gens qui ont fait de grandes choses dans le monde. Ce sont des personnes bien et je veux aussi être un enfant bien ».

Liang Yaoyi est décédé des suites de son cancer le 6 juin dernier. Les médecins ont alors respecté ses vœux et prélevé certains de ses organes, après avoir procédé à ce salut rituel pour rendre hommage au défunt.

Le petit garçon, qui voulait devenir médecin pour sauver de vie, serait fier de savoir que ses reins et son foie ont été transplantés avec succès sur des petits patients.

Le don d’organes en France .Les Français restent frileux par rapport au don d’organes. Sujet souvent tabou, cette pratique, en légère hausse depuis quelques années, pourrait permettre de sauver la vie de nombreux malades.

Mais près d’une famille sur trois s’oppose au prélèvement d’organes sur leur défunt. Les enfants, eux aussi, peuvent être donneurs, la décision revenant aux parents ou aux tuteurs légaux. En 2013, 3,5% des prélèvements d'organes ont eu lieu sur des mineurs de moins de 17 ans.

alpha

Publié à 16:03 par fandeloup
alpha

Comment appelle-t-on le couple dominant dans une meute de loups ?

Un calvaire de seize ans

Publié à 15:55 par fandeloup Tags : fille monde bonne chez 2010 travail cadre nuit automne éléments revenu
Un calvaire de seize ans

Patricia manifeste seule devant l'Hôtel-de-Ville, depuis dix mois Pour sa fille handicapée, cette aide-soignante est en bagarre avec l'AI et la caisse de pension de l’État depuis 2004. Une petite porte s'ouvre enfin.

Patricia Lacour ne manque pas de ténacité. Ou d'entêtement. Cette Genevoise travaille de nuit à l'Hôpital cantonal. Elle est aide-soignante aux urgences. Et passe

– «quand je ne suis pas trop crevée», dit-elle – des heures devant l'Hôtel-de-Ville, assise sur une chaise en plastique. La fille de Patricia a aujourd'hui 43 ans. Sourde de naissance, elle souffre de spondylarthrite ankylosante, une maladie rare et évolutive «qui ne se voit pas, mais qui l'empêche de travailler ».

Entre 2006, fin de son arrêt maladie, et octobre 2010, date de sa première rente AI à 100%, Nadia n'a eu aucun revenu . Sur sa chaise, Patricia dit réclamer ses droits: Que l'AI reconnaisse l’invalidité de sa fille depuis 2006 et que la caisse de retraite des fonctionnaires lui verse la rente invalidité auquel elle a droit.

«Ma fille s'est battue pour travailler, proclame-t-elle, elle n'a pas à recourir à l'aide sociale.» Aux dernières nouvelles, la caisse de pension de l'Etat va la recevoir. Au cœur de son combat, une grosse différence d'interprétation entre les médecins qui l'ont mis en arrêt de travail dès 2004 et les experts de l'AI qui n'ont décrété l'invalidité à 100% qu'à partir de la fin 2010.

Députés distraits, fonctionnaires formalistes Des députés se sont arrêtés devant la manifestante solitaire. Quelques-uns ont demandé des explications. Mais rien. Depuis novembre 2013, date à à laquelle elle a repris son combat, sa pancarte n'agite pas la République. L'Hôtel-de-Ville semble aveugle et sourd.

L'Office cantonal des assurances sociales répond régulièrement à ses lettres. La dernière date du 28 juillet 2014. La réponse ne varie guère d'une missive à l'autre. L'AI a refusé le 8 mai 2007 l'octroi d'une rente, lit-on, parce que le degré d'invalidité évalué à l'époque était de 20%, bien inférieur au 40%, le seuil qui déclenche l'octroi d'un quart de rente.

Cette décision suffit à la caisse de pension CEH, devenue CPEG, pour refuser l'octroi d'une rente invalidité au titre du 2e pilier. «Un degré d'invalidité de moins d'un tiers n'est pas pris en considération par la Caisse, de sorte que nous ne sommes pas tenus de verser une pension d'invalidité rétroactive pour la période s'écoulant de février 2006 à février 2009.»

La lettre précise encore que la Caisse de pension n'a pas à verser une rente invalidité au titre de la prévoyance professionnelle, puisque l'aggravation de la situation de Nadia est intervenue après sa cessation d'activité et son affiliation à la Caisse de pension le 31 juillet 2006. Un trou de trois ans Patricia Lacour n'en démord pas.

Pour elle, c'est un scandale. Pourquoi ma fille a-t-elle été mise en arrêt maladie dès 2004, c'est bien déjà en raison de sa maladie évolutive. Et pourquoi a-t-il fallu attendre fin 2011 pour que l'AI lui accorde une rente, laissant un trou de trois ans entre la fin des rapports de travail et le début de la rente?

Pas de réponse. Or c'est ce trou qui permet à la Caisse de pension de ne rien nous accorder? «Mauro Poggia connaît bien notre dossier, indique celle que la Tribune a appelé mère Courage le 22 novembre 2011 quand, au terme de sa longue course d'obstacles, elle a reçu la lettre de l'AI accordant à Nadia une rente d’invalidité complète avec effet rétroactif au 1er octobre 2010.

Mauro Poggia connaît bien le dossier L'avocat Mauro Poggia, devenu conseiller d'Etat l'automne dernier, confirme. «L'action de cette mère est admirable. Nous avons obtenu, avant que je sois au Conseil d'Etat, une victoire avec l'AI, qui reconnaît maintenant le droit à une rente entière.

Toutefois, la LPP refuse d'intervenir, car l'AI a laissé un «trou» d'un peu plus de deux 2 ans, entre la fin des prestations perte de gain maladie de l'assureur de son dernier employeur, et le début de la rente.» Et, se souvient le magistrat, cela en raison d'expertises hautement discutables, qui ont considéré, à un moment donné, que l'invalidité n'atteignait pas 40%, seuil nécessaire pour ouvrir le droit à la rente. Mauro Poggia promet de rencontrer la manifestante.

«Mme Lacour devrait agir par une procédure contre la caisse de pension, pour obtenir la reconnaissante de son droit à une rente d'invalidité selon la LPP», conclut provisoirement le conseiller d'Etat. Le Dr Bertrand Buchs, dont l'expertise avait ouvert le droit à une rente AI à Nadia, est un peu plus circonspect. En Suisse, les décisions de l'AI déterminent l'ouverture des droits aux autres assurances sociales et au 2e pilier. Le montant versé par la caisse de retraite dépend de la durée de cotisation. Ensemble, la rente AI et la pension ne peuvent pas excéder 80% du dernier salaire. L'expert médical rappelle que si ces montants sont inférieurs aux minima sociaux, la personne peut obtenir une rente complémentaire de l'Etat, une allocation logement et la prise en charge de sa caisse maladie. Une réponse que Patricia connaît par cœur. Le droit qu'elle réclame pour sa fille, c'est la reconnaissance que son invalidité remonte à 2006.

«Mon combat je le mène pour Nadia, explique longuement cette citoyenne assise sur sa chaise, mais aussi pour tous ceux qui sont dans la même situation. Si l'AI revenait sur l'avis de ses experts pas mal de monde pourrait récupérer des droits.» Depuis novembre 2013, Patricia fait donc à nouveau le siège des institutions.

«Si j'obtiens gain de cause, ma fille touchera un petit supplément qui devrait lui permettre d'habiter son propre logement», espère Patricia. Actuellement mère et fille vivent sous le même toit.

«Elle n'a rien fait; ce n'est pas de sa faute; elle a le droit de vivre comme vous, comme moi», dit la Perlysienne. Petite ouverture du côté de la caisse de pension

Du côté de la caisse de pension de l'Etat, sa porte-parole Fabienne Bouvier, ouvre une légère porte: «Si la reconnaissance d’une invalidité par l’assurance invalidité intervient après la fin de l’affiliation d’un assuré à sa caisse de pension, un examen approfondi de son dossier s’impose. Il s’agit en particulier de déterminer si la cause de l’incapacité de travail est survenue pendant la durée d’affiliation et si elle est à l’origine de l’invalidité reconnue par l’assurance invalidité au sens des dispositions légales et de la jurisprudence en la matière. Cet examen se fonde sur les éléments médicaux du dossier AI et, si nécessaire, sur l’avis du médecin-conseil de la caisse de pension.»

Un calvaire de seize ans Patricia raconte inlassablement le combat qu'elle mène pour sa fille; une hallucinante course d’obstacles. Qui commence en 1995 par un premier IRM et se conclut seize ans plus tard par une décision de l’AI datée du 16 novembre 2011. Dans cette lettre on peut lire: «Vous n’aurez plus besoin de vous geler devant chez nous, la rente de votre fille a été acceptée et sera payée depuis 2008.» En prime l'AI écrit: «Nous vous devons aussi des excuses pour la durée de la procédure.» Enfin une bonne nouvelle. Mais pour Patricia et Nadia, la victoire n'est pas totale. L'AI n’accepte pas de reconnaître l'incapacité de travail de Nadia entre 2006 à 2009. Ce qui entraîne un malencontreux refus d’entrer en matière sur ses droits au 2e pilier. Nadia aurait contracté la maladie à la suite d'un vaccin contre l'hépatite B qui était obligatoire dans le cadre de sa formation d'aide familiale à domicile. Un soupçon que Patricia ne peut pas démontrer. L'invalidité de Nadia était patente dès 2004, affirme sa mère sur la foi d'expertises contestées par les médecins de l'AI. Longtemps l’AI a accusé ma fille de feindre. Une accusation qui frappe Patricia au cœur. «Je peux certifier que ma fille s'est battue comme peu de personnes l'auraient fait pour garder son poste d'assistante à domicile jusqu'en 1999, date où l'hôpital lui a dit qu'elle ne pouvait plus continuer cette activité. Ma fille serait la première à troquer sa place, son vaccin, ses douleurs et sa jeunesse foutue. Stop, crie Patricia, je suis fatiguée, fatiguée!»

honteux

Publié à 14:37 par fandeloup Tags : chien internet annonce homme chez animal animaux
honteux

Macabre découverte dans un lac ardennais SEDAN (08).

Le chien a été mis dans un sac-poubelle avant d’être jeté dans l’eau. Ne pouvant plus s’en occuper, sa propriétaire l’avait donné sur internet.

Le jack russel a été retrouvé dans un état de décomposition avancé.

Le sac flottait depuis quelque temps dans le lac de Sedan, derrière le centre aquatique. Les pompiers ne s’étant pas déplacés, c’est finalement la fourrière qui l’a repêché.

À l’intérieur, le cadavre d’un chien, un jack russel, en décomposition. Le chien portait encore une puce au nom de la propriétaire, qui expliquera ne plus être la maîtresse de l’animal.

« Je l’avais donné au mois de juin, explique Nathalie Marin. J’avais mis une annonce sur leboncoin.fr. Un jeune homme et sa copine m’ont appelée et comme ils m’ont promis qu’il serait bien avec eux, je le leur ai laissé. »

Jusqu’au début du mois d’août, elle reçoit régulièrement des nouvelles, puis plus rien jusqu’à la macabre découverte. Une plainte doit être déposée L’association de protection des animaux Lisa a récupéré la dépouille hier.

« On va l’emmener chez le vétérinaire pour voir s’il est possible de le faire autopsier », explique Sabrina, membre de la structure. L’examen pourrait permettre de déterminer si l’animal était encore vivant au moment de l’immersion, et de détecter des traces de maltraitance.

Quoi qu’il en soit, Nathalie Marin ne compte pas en rester là. « Je porte plainte », affirme-t-elle. La Lisa, quant à elle entend se constituer partie civile et tient à rappeler : « On ne doit jamais donner un animal à un inconnu ou passer par internet. Il y a des associations pour cela. »