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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ce que l'on donne à un enfant, il le rend un jour. Et ce qu'on lui refuse, il le refuse. Et le mal qu'on lui fait, il peut le faire. Mais si l'on gonfle ses jeunes voiles au souffle de la force, du courage et de la droiture, alors il vogue et sait affronter la tempête. Éduquer un enfant , c'est s'offrir à lui en exemple.
Ceux qui attendent les grandes occasions pour prouver leur tendresse ne savent pas aimer.
Un chien famélique et apeuré dans la cour. Dans un cabanon, une femelle bouvier bernois qui gémit devant un Jack Russel couché sur le flanc, mort. A côté, un crâne de chien. Plus loin, dans un autre abri, un grand dogue argentin blanc, étendu de tout son long, le museau sur un ballon crevé, yeux grands ouverts devant sa gamelle vide. Mort, lui aussi.
Des bêtes livrées à elles-mêmes dans une cour d'Abzac, en Nord-Charente, à la limite de la Vienne, et découvertes il y a un mois, le 4 février dernier, après un signalement, par une équipe de la SPA de Mornac accompagnée des gendarmes et d'un adjoint au maire, en l'absence du locataire.
"Quand on est sur place, on ravale la colère et les larmes", réagit Nadine Boissout, coordinatrice du refuge. "On se demande comment les gens peuvent trouver le sommeil." Un spectacle de désolation qui rappelle celui d'Ecuras, dans l'est de la Charente: une quinzaine de chiens et chats étaient découverts abandonnés.
Trois chiens n'avaient pas survécu. Un mois et demi plus tard, leurs deux maîtresses étaient condamnées par le tribunal correctionnel d'Angoulême à six et huit mois de prison avec sursis.
"On se rend compte que la maltraitance au quotidien est de plus en plus récurrente dans nos campagnes", se désole Nadine Boissout, appelant à signer une pétition que la fondation 30 Millions d'Amis adressera à la ministre de la Justice Christiane Taubira pour réviser le statut de l'animal, assimilé à un bien selon le Code civil.
Les deux chiens, qui ont survécu, ont été recueillis au refuge SPA de Mornac. L'association a porté plainte auprès du procureur de la République d'Angoulême.
Les enfants sont des énigmes lumineuses. Aidons les enfants d'Amazonie à protéger leur forêt.
Vivre de peu, vivre sainement en préservant la nature et en respectant les autres...
La Mobilisation nationale indigène
C'était encore l'aube lorsque les peuples indigènes ont commencé à arriver sur la pelouse de l'esplanade du Congrès National. Avec des bambous et des toiles, ils ont monté le campement qui deviendra une grande aldeia (village) de 1400 personnes, de diverses ethnies, durant cette semaine de mobilisation nationale.
513 ans après la "découverte" du Brésil, des activistes de Greenpeace ont déployé, sous le drapeau brésilien de la Place des Trois Pouvoirs, un autre drapeau arborant le visage d'un Indien. La symbolique de cet acte a ému tous ceux qui étaient présents.
En cette période où nous assistons à un mépris de la Constitution Brésilienne avec les projets de loi à l'étude (ou plutôt en marchandage politique) soutenus par le puissant groupe ruraliste dont l'intérêt est de paralyser les démarcations de terres (en retard de 20 ans sur le chronogramme établi par la Constitution) et de réviser les terres indigènes déjà démarquées, un drapeau représentant un Indien aux cotés du drapeau national montre clairement que la composante indigène de la société brésilienne n'acceptera plus de se voir privée de ses droits par le gouvernement lui même.
À quelques jours du 25º anniversaire de la Constitution Fédérale, les peuples indigènes, quilombolas et traditionnels affrontent le grave risque de ne plus avoir de terre où vivre à cause de lois proposées par le groupe ruraliste.
Alors qu'ils dansaient et chantaient pour se préparer aux activités de la journée, la police militaire les a interpellés, et leur a demandé de n'utiliser ni arcs ni flèches. Ces objets ne sont pas seulement les armes de ces guerriers, ils font partie des cultures de ces peuples, mais l'état brésilien, à travers sa police, montre encore une fois son ignorance et son mépris des peuples originaires du pays.
Plus tard, les représentants indigènes et quilombolas ont été victimes de l'arrogance de la police législative. Il avait été convenu que la Commission des Droits de l'Homme du Sénat recevrait 70 représentants, mais il n'y avait à l'entrée qu'une autorisation pour 20 personnes.
Les indigènes ont alors décidé que soit tout le monde entrait, soit ce ne serait personne. Après plus d'une heure d'attente et d'âpres négociations, ils ont enfin tous été autorisés à entrer, mais ont dû laisser à l'entrée leurs armes et leurs instruments de musique. À la Commission des Droits de l'Homme du Sénat, présidée par la sénatrice Ana Rita, du PT de Espirito Santo, les indigènes ont eu droit à une demande d'excuses. "Je voudrais vous demander à tous des excuses au nom du Sénat Fédéral pour l'humiliation et les difficultés pour venir à cette audience."
Puis divers représentants indigènes ont affirmé que leur but était que le gouvernement respecte la Constitution. Sonia Guajajara, de l'Articulation des Peuples Indigènes du Brésil (APIB), a rappelé les articles de la Constitution qui déterminent la démarcation des terres et a demandé aux sénateurs présents de respecter les droits constitutionnels de son peuple.
De nombreuses femmes indigènes ont pris la parole dans cette audience. Parmi elles, Lucélia Pankará qui a dénoncé la construction d'une usine électro-nucléaire sur les terres de son peuple, dans l'état de Pernambouc : "Pourquoi le gouvernement fait-il toujours des projets qui portent préjudice à notre peuple ?
La Funai doit démarquer nos terres, car tant que ce ne sera pas fait, nous aurons à souffrir de ces atrocités." Le dernier à prendre la parole fut Unina uan qui a cité le devoir du Congrès National de respecter le Statut des Peuples Indigènes en les consultant avant tout projet ou loi qui les affecterait.
Il a aussi précisé la nécessité de la part de la Funai de remplir son devoir pour achever les démarcations qui ne sont pas encore conclues. Il a terminé en disant : "Si les pouvoirs de notre pays ne nous respectent pas, nous non plus n'avons aucune obligation de les respecter." Bien que d'autres représentants souhaitaient s'exprimer, la présidente de la Commission a terminé l'audience en alléguant que le temps prévu s'était écoulé.
La journée s'est poursuivie avec des rituels et une grande manifestation à partir de 16h. La semaine ne fait que commencer...
Votre lutte est ma lutte, votre victoire est ma victoire... nous sommes frères...
La communauté Guarani Kaiowá la plus menacée fait face à une nouvelle restitution de terres.
"...Nous ne sortirons jamais d'ici. Si ils nous tuent, je demande qu'ils amènent des pelles pour nous enterrer. Même si ils viennent nous envahir, nous ne partirons plus jamais. Nous allons rester ici. Même si ils nous menacent nous resterons ici. La lutte va toujours continuer, même si je meurs, parce que j'ai beaucoup de petits-enfants..."
Quand on se suffit à soi-même, on arrive à posséder ce bien inestimable qu’est la liberté