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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Voici une histire des plus surprenantes! Un homme passionné de chasse et son chien se trouvaient à bord d’une embarcation similaire à un canoë. Une fois dans un marais peu profond, le maître quitta son poste afin de placer des pièges. Il avait laissé son fusil sur la proue du bateau selon l’auxiliaire du shérif du comté de Box Elder, Kevin Potter.
« À ce moment, le chien a fait quelque chose qui a permis au fusil de se décharger. Je ne sais pas si le cran de sûreté était en place. Ce n’est pas impossible que le chien ait enlevé la sûreté », a-t-il expliqué.
L’animal était heureux de rejoindre son maître dans le marais. Dans son élan d’enthousiasme, il aurait sauté sur le bateau et accroché le fusil.
L’homme de 46 ans a été touché dans les fesses par 27 balles de petitcalibre servant à tuer des oiseaux, du moins en temps normal. Grâce à ses cuissardes, « des bottes ayant la possibilité de s’étendre au-dessus de la jambe », ainsi que son appel au service d’urgence 9-1-1, la victime a pu éviter une blessure sérieuse
La tite blague du soir ; Quelle est la différence entre François Hollande et un fauteuil ??? - - - - - - -
Aucune ; Ils sont tout les deux là pour meubler !!!
À l'état sauvage, les éléphants sont connus pour marcher jusqu'à 30 km par jour. Dans le cirque, leurs chaînes & chaînes seulement leur permettent de faire un pas vers l'avant ou vers l'arrière
(http://peta.vg/1eee partager si vous #BoycottTheCircus ! (
Bienvenue dans le zoo de #Madrid. Cette image fait partie de l'enquête d'égalité animale dans les zoos espagnols. Voir pourquoi des millions de personnes ont cessé d'aller à ces prisons d'animaux appelé Zoo-
L'animal le plus dangereux est celui qui est capable de rendre un autre agressif et dangereux à vie...
Une femme paralysée retrouve l’usage de ses jambes grâce à un impressionnant exosquelette imprimé en 3D C’est une nouvelle qui a de quoi redonner espoir aux personnes paralysées !
Des chercheurs ont mis au point une structure sur-mesure permettant à une femme de remarcher alors qu’elle avait perdu l’usage de ses jambes depuis 22 ans.
Cette merveille technologique a été rendue possible grâce à une imprimante 3D. En 1992, Amanda Boxtel s’est retrouvée paralysée des deux jambes suite à une accident de ski.
Les médecins lui ont assuré qu’elle ne pourrait plus jamais marcher. Elle y est pourtant parvenue 22 ans plus tard, grâce aux chercheurs de 3D Systemset d’EskoBionics.
Ils ont en effet crée un exosquelette grâce à une imprimante 3D qui permet à la femme handicapée de se lever, marcher et se déplacer d’elle-même.
Cette prothèse externe, la première en son genre, a été conçue sur-mesure. Les designers de 3D Systems ont d’abord scanné tout le corps d’Amanda pour numériser les contours de son épine dorsale, ses cuisses et ses tibias, ce qui a permis de modéliser les composants de sa future combinaison robotique.
Ces différentes pièces ont été assemblées et combinées à des contrôles et activateurs fabriqués par EskoBionics. Le résultat aboutit à ce que l’on peut appeler le premier exosquelette fonctionnel destiné au grand public.
Le concept de cet exosquelette est encore très jeune et pour le moment, les pièces qui le constituent sont uniquement disponibles sur-mesure.
Nous espérons qu’il sera très vite démocratisé afin que de nombreuses personnes paralysées puissent de nouveau marcher. Pensez-vous qu’il sera bientôtpossible de croiser dans la rue des gens infirmes marchant grâce à cet exosquelette ?
Au sud-est de l’Alaska, une famille a échappé à une mort certaine grâce à son lapin domestique. L’animal a réveillé la propriétaire en grattant sur sa poitrine à l’aide de ses pattes, selon le Ketchikan Fire Department. La propriétaire se réveilla et constata la maison envahie de fumée,elle réveilla sa fille et s’échappa en quelques instants. Le feu a été maîtrisé par les pompiers sans problème. Les dommages causés par la fumée et l’eau sont considérés comme étant modérés. Malheureusement, le lapin héroïque n’a pas eu autant de chance; l’animal est mort par suffocation.
A lui tout seul, Jadav Payeng a fait pousser une vaste forêt sur un banc de sable de 550 hectares situé au milieu du fleuve Brahmapoutre.
Le site compte désormais plusieurs animaux dont l’espèce est en voie de disparition, dont au moins cinq tigres. Une femelle a eu deux petits récemment. L’endroit se situe à Jorhat, à 350 kilomètres de route de Guwahati, et il n’est pas facile d’accès.
Il faut quitter la voie principale et prendre une petite route sur une trentaine de kilomètres pour arriver au fleuve. Là, avec de la chance, on trouve des bateliers pour passer sur la rive nord.
Après 7 kilomètres de marche, on arrive près de chez Payeng. Les gens du coin appellent cet endroit Molai Kathoni (“le bois de Molai” – d’après le surnom de Payeng).
Tout a commencé en 1979. Des crues avaient rejeté un grand nombre de serpents sur le banc de sable. Après le retrait des eaux, Payeng, qui n’avait que 16 ans, trouva le site couvert de reptiles morts. Ce fut le tournant de sa vie.
“Les serpents étaient morts de chaleur, il n’y avait pas d’arbres pour les protéger. Je me suis assis et j’ai pleuré sur leurs corps sans vie. C’était un carnage. J’ai alerté le ministère des Forêts et leur ai demandé s’ils pouvaient planter des arbres. Ils m’ont répondu que rien ne pousserait ici et m’ont dit d’essayer de planter des bambous. C’était dur mais je l’ai fait. Il n’y avait personne pour m’aider”, raconte Payeng, qui a désormais 47 ans. Le jeune homme quitta ses études et son foyer, et se mit à vivre sur le banc de sable. Contrairement à Robinson Crusoé, il accepta volontiers cette vie d’isolement.
Et non, il n’avait pas de Vendredi. Il arrosait les plants matin et soir et les taillait. Au bout de quelques années, le banc de sable est devenu un bois de bambou. “J’ai alors décidé de faire pousser de vrais arbres. J’en ai ramassé et je les ai plantés. J’ai aussi rapporté des fourmis rouges de mon village : les fourmis rouges changent les propriétés du sol. J’ai été piqué plusieurs fois”, raconte Payeng en riant. Bientôt, toute une série de fleurs et d’animaux s’épanouirent sur le banc de sable, y compris des animaux menacés, comme le rhinocéros à une corne et le tigre royal du Bengale.
“Au bout de douze ans, on a vu des vautours. Les oiseaux migrateurs ont commencé à arriver en masse. Les daims et le bétail ont attiré les prédateurs”, déclare Payeng, qui s’exprime comme un écologiste chevronné. “La nature a créé une chaîne alimentaire : pourquoi est-ce qu’on ne s’y tient pas ? Qui protégera ces animaux si nous, les êtres supérieurs, nous nous mettons à les chasser ?”
Le ministère des Forêts de l’Assam n’a entendu parler de la forêt de Payeng qu’en 2008, lorsqu’un troupeau d’une centaine d’éléphants sauvages s’y est réfugié après avoir ravagé les villages voisins. Ils ont aussi détruit la cabane de Payeng. C’est là que Gunin Saikia, conservateur assistant des forêts, a rencontré Payeng pour la première fois. “Nous avons été surpris de trouver une forêt aussi dense sur le banc de sable.
Les gens du coin dont la maison avait été détruite par les pachydermes voulaient abattre ce bois, mais Payeng leur a dit qu’il faudrait le tuer d’abord. Il traite les arbres et les animaux comme si c’étaient ses enfants. Quand on a vu ça, on a décidé de contribuer au projet, raconte-t-il. Payeng est incroyable. Ça fait trente ans qu’il est là-dessus. Dans n’importe quel autre pays, il serait un héros.” "