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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Une nouvelle étude publiée dans la revue Biological Conservation démontre que le trafic d’espèces sauvages et de leurs produits dérivés constitue l’un des commerces illicites les plus rentables et les plus attractifs au monde, juste derrière le trafic d’armes et le trafic de stupéfiants.
trafic espèces sauvages
Le trafic d’animaux alimente bien la corruption, le terrorisme et les guerres, selon une nouvelle étude « Les organisations criminelles ont régulièrement recours au trafic d’espèces sauvages pour financer leurs activités », affirme Kelvin Alie du Fonds international pour la protection des animaux, (IFAW), co-auteur de l’étude.
« La corruption se propage comme une trainée de poudre et affecte les militaires, les gardes-frontières, la police, le système judiciaire, les services de douane, le personnel des ambassades et même les diplomates de nombreux pays.
Tous profitent du commerce illicite d’espèces sauvages et aident activement les trafiquants. » poursuit-il. Plusieurs groupes de rebelles armés et organisations terroristes tristement célèbres, comme les Janjawids du Darfour et l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) dirigée par Joseph Kony, engrangent des bénéfices considérables grâce au trafic d’espèces sauvages.
Cela contribue à financer les raids, les guerres civiles et tous les autres actes de violence dans lesquels ils sont impliqués. Pourquoi ce trafic est-il particulièrement rentable ?
L’auteur principal de l’article, le Dr Leo Douglas du Centre pluridisciplinaire pour la biodiversité et la conservation du Muséum américain d’histoire naturelle, explique :
« Si ce trafic fait autant d’émules, c’est principalement parce qu’il ne fait pas l’objet d’une véritable stigmatisation sociale, que les risques d’arrestation sont minces et que les quelques criminels traînés en justice n’encourent malheureusement que des peines bien dérisoires. »
Le Dr. Douglas justifie le fait que les espèces sauvages de valeur sont particulièrement convoitées par les groupes criminels d’une façon simple : comparés à l’extraction d’autres ressources de valeur telles que le pétrole, le gaz et la plupart des métaux précieux, les massacres d’animaux sauvages et les activités de contrebande peuvent être perpétrés rapidement et à moindre coût.
« Pour les criminels, les produits dérivés d’espèces sauvages sont une ressource dite « vulnérable« , c’est-à-dire un sous-ensemble de ressources naturelles relativement faciles à voler, mais particulièrement difficiles à surveiller pour la police criminelle », poursuit-il.
Les diamants alluviaux et les pierres précieuses telles que les rubis entrent également dans cette catégorie. Les auteurs de l’article rappellent que le trafic d’espèces sauvages engendre d’énormes bénéfices, estimés à quelques 20 milliards de dollars par an. En outre, les criminologues ont découvert que les animaux sauvages servaient désormais également de « monnaie » pour les organisations terroristes et criminelles.
Aujourd’hui, les produits dérivés de la faune sauvage se trouvent au cœur du trafic de drogue, du trafic d’armes et de la traite humaine, et sont échangés comme de l’argent : le trafic de faune sauvage est devenu une forme efficace de blanchiment d’argent. Les réseaux criminels et les organisations terroristes les plus élaborés œuvrant aux frontières de plusieurs pays pratiquent fréquemment ce type d’échanges.
Du braconnage à l’éco-tourisme illégal D’après l’étude, la nature lucrative du trafic d’espèces sauvages engendre la corruption à haut niveau ainsi que les massacres sanguinaires d’espèces sauvages aussi emblématiques que les lions, les tigres, les éléphants, les gorilles et les rhinocéros. Pire, une nouvelle menace s’est développée en parallèle puisque les groupes de rebelles, les insurgés et les organisations terroristes s’intéressent aujourd’hui de très près aux bénéfices engrangés par les entreprises du secteur de l’écotourisme.
Conscients de la rentabilité du tourisme lié aux gorilles, des rebelles congolais ont ainsi assassiné des garde-forestiers et détourné des services de tourisme durable. De même, au Népal, les rebelles maoïstes ont envahi des zones protégées afin d’y proposer des activités d’éco-tourisme illégales et de mettre sur pied des entreprises de chasse au trophée pour attirer les touristes les plus fortunés.
L’écotourisme est pourtant une composante essentielle dans le développement des produits touristiques et de l’économie de pays tels que le Botswana, le Kenya, l’Afrique du Sud et la Tanzanie.
« La soif d’argent pousse les criminels à redoubler d’efforts dans cette chasse aux espèces sauvages et aux sites d’écotourisme. La lutte contre la criminalité faunique peut et doit absolument devenir une priorité, non seulement au nom des animaux et de la conservation, mais également pour la sécurité nationale et l’équilibre économique à long terme », continue M. Alie.
Pour le Dr Douglas, les acteurs de la conservation doivent désormais recadrer leur expertise sur les espèces sauvages menacées dans une perspective intégrant les relations internationales, les questions de sécurité et les considérations politiques intrinsèquement liées au trafic de faune sauvage.
Si Différentes planètes du système solaire étaient aussi près de la Terre que la Lune (excluant tous les autres facteurs)...ça ressemblera à ça ...
Comportements limités
Étendre les ailes, se dresser, fouiner, ronger, explorer, élever ses petits, se déplacer, prendre l’air... la liste des comportements entravés est longue dans la plupart des élevages.
En France, plus de 80% des animaux sont élevés en bâtiments fermés, parqués en cage ou sur des caillebotis sans accès à l’extérieur.
Mortalité en élevage
De nombreux animaux meurent avant d’avoir atteint l’âge où ils sont abattus. A titre d’exemple, dans les élevages cunicoles, ils sont 25% à trépasseret 20% dans les élevages porcins Transportés sur de longues distances
Les animaux peuvent être transportés sur de longues distances. Les trajets à travers l’Europe restent fréquents. Le chargement, le transport et le déchargement sont de grandes sources de stress pour les anuimaux.
Nombre d’entre eux en meurent. S’il existe un règlement européen en la matière, le rapport de l’office vétérinaire européen dresse un état des lieux mitigé de la situation en France Abattus à la chaîne Une directive européenne tente de limiter les souffrances inévitables de la mise à mort des animaux.
Si des progrès notables ont été réalisés grâce à cette réglementation, les infractions restent nombreuses tant du point de vue de la protection des animaux que du point de vue sanitaire Agir pour les animaux
On reconnaît désormais que les animaux vertébrés, les céphalopodes et divers crustacés éprouvent des sensations et émotions et possèdent des capacités cognitives.
Certains labels, comme le bio ou le Label Rouge, ont des cahiers des charges qui permettent aux animaux de pouvoir exprimer une gamme plus importante de comportements.
Avec les niveaux de consommation actuels, il reste toutefois illusoire d’espérer améliorer le sort d’un si grand nombre d’animaux, nécessairement confinés dans des espaces restreints, et « traités » par un nombre réduit de travailleurs.
C’est pourquoi diminuer significativement sa consommation de produits animaux est indispensable, tout en se détournant des produits issus de l’élevage intensif. Il est aussi possible d’éviter de contribuer à la souffrance et à la mort des animaux d’élevage en s’abstenant d’en consommer.
A deux doigts, elle se faisait happer par le train Quand les barrières de sécurité s’abaissent, il ne faut pas tenter le diable pour gagner une pauvre minute. a2doigtsellesefaisaithapper2 La scène s’est produite aux Pays-Bas. Un groupe de voyageurs ont traversé les voies alors que les barrières s’abaissaient. Mais une femme est arrivée après tout le monde et a tenté à son tour de traverser les voies.
Les animaux les plus dangereux de la planète ne sont pas forcément ceux auxquels vous pensez en premier. Preuve en est avec cette liste qui classe la dangerosité des animaux selon le nombre de morts qu’ils causent par an chez l’homme. Et les requins arrivent avant-derniers.
Les moustiques
Ce sont les animaux les plus dangereux de la planète, au sens où ils causent chaque année le plus grand nombre de morts. Selon l’Institut océanographique de Monaco, les empêcheurs de dormir en rond feraient entre 800 000 et 2 millions de morts.
En cause : la faculté, et la facilité, qu’a mademoiselle (seule les femelles piquent) à propager virus, bactéries et autres parasites qui répondent bien souvent au nom de dengue, chikungunya, virus du nil occidental ou encore paludisme. Les régions tropicales et en particulier l’Amérique du Sud ainsi que le continent africain sont les plus touchées.
Les serpents venimeux
Les serpents venimeux sont responsables de la mort d’environ 100 000 personnes par an sur l’ensemble de la planète, toujours selon une étude de l’Institut océanographique de Monaco relayée par Lefigaro.fr.
Le cobra royal est considéré comme le serpent le plus venimeux du monde. Il peut mesurer entre 3 et 5 mètres et se dresser d’un tiers de la longueur de son corps s’il se sent agressé, avant d’attaquer. Son venin neurotoxique attaque le système nerveux, brouillant la vision, occasionnant des vertiges et une paralysie faciale. Le système respiratoire cesse ensuite de fonctionner, entraînant la mort. Il se rencontre principalement en Asie.
Plus au sud, en Australie, c’est le serpent-tigre qui réputé être très venimeux.
Les scorpions
On comptabilise entre 2 000 et 5 000 morts par an suite à la piqûre d’un scorpion, principalement en Amérique tropicale, en Afrique et en Asie ; au Mexique, un peu plus d’un millier de cas sont recensés chaque année.
Le Leiurus quinquestriatus, surnommé « le rôdeur de la mort » en français, est considéré comme l’espèce la plus mortelle. La piqûre provoque des douleurs intenses, de l’hypertension puis la paralysie respiratoire entraînant la mort. L’animal vit sur le continent africain. Mieux vaut éviter sa rencontre.
Cependant, les scorpions étant généralement de nature peureuse, sauf lorsqu’ils se sentent agressés, les piqûres sont souvent dues à des accidents.
Dans l’hexagone, les cinq espèces recensées sont inoffensive assure le CHU de Lille.
Les abeilles
Si les attaques d’abeilles sont rares, elles n’en restent pas moins spectaculaires comme ici, en mai 2012 en Haute-Garonne ou là, en août 2013, en Afrique du Sud. Si certaines espèces sont réputées agressives, notamment celle surnommée d’abeilles tueuses, une espèce qui a commencé à envahir le sud des Etats-Unis dans les années 90, les abeilles ne causent, chaque année, la mort « que » de 400 personnes. Les enfants et les personnes âgées sont les plus vulnérables.
Les éléphants
Et oui, les éléphants sont des animaux plus que dangereux, et plus mortels, que les requins. Derrière leur image de bête nonchalantes et flegmatiques, ils peuvent se révéler dangereux et agressifs, notamment quand les mâles sont en rut. En groupe, si un troupeau se met à charger, les éléphants peuvent déplacer leurs 5 tonnes à une vitesse maximale de 24 km/h. Peu de choses résistent à leur passage.
Le crocodile du Nil
Présent sur le continent africain, le crocodile du Nil est responsable de la mort de plus de 200 personnes par an. C’est l’un des plus grands reptiles vivants avec le crocodile marin, l’anaconda et le python réticulé.
Avec la tortue luth, il est aussi l’un des reptiles les plus lourds et peut atteindre les 500 kg.
Ses cousins, à savoir le crocodile Indo-Pacifique et l’alligator américain n’ont eux que de rares décès à leur actif (entre 1 à 4 chaque année).
Les grands félins
Les félins sont des prédateurs et chassent à ce titre pour se nourrir. Ils peuvent devenir agressifs s’ils se sentent menacés ou en cas d’intrusion sur leur territoire.
En Afrique , les lions sont responsables chaque année de la mort d’une centaine de personne.
Plus à l’est, en Inde, les tigres tuent une cinquantaine de personnes par an.
En Amérique du nord, le puma est responsable, lui, de moins d’une dizaine de décès par an.
L’hippopotame
Oui, l’hippopotame tue. On estime qu’il est responsable chaque année d’une centaine de décès, notamment en Afrique. Les décès sont souvent dus à des accidents, à cause de la méconnaissance des touristes ou des locaux du fonctionnement de l’animal. Très territorial, il chargera invariablement quiconque se trouvera sur ce qu’il a décrété être chez lui. Il peut déplacer ses 300 kilos à près de 40 km/h, et tout piétiner sur son passage.
Les requins
Chaque année, entre 50 et 100 personnes meurent sous les dents acérées des requins qui confondent bien souvent surfeurs… et loutres. Des attaques toujours spectaculaires, nourries dans l’inconscient collectif par l’agressivité supposée des squales mis en scène dans Les dents de la mer. Un chiffre cependant bien faible au regard du million de décès causés par les moustiques ou par les accidents de la route.
Les espèces responsables des décès sont surtout le »Bull Shark », le requin-tigre, le »Oceanic White tips » et le grand requin blanc. Les attaques ont principalement lieu en Australie, en Afrique du Sud, en Floride et aux îles Hawaï.
Les méduses
S’il existe bien une espèce particulièrement venimeuse de méduse, surnommée « méduse-boite » que l’on retrouve au nord de la côte est australienne, les décès dus à une rencontre avec une de ces bêtes est relativement rare. Moins d’une dizaine par an. Les trois espèces de méduses que l’on retrouve sur les côtes françaises ne sont pas mortelles.
Plante des choux avec le nez, construit une maison en carton, trempe une souris dans l'huile... Tu m'étonnes que les jeunes fument du shit.
Les animaux ne nous appartiennent pas . Ce sont des êtres vivants capables de ressentir la douleur .Arrêtons de penser que, puisqu’il n’est pas doté de la parole, nous pouvons minimiser son importance et ainsi en faire une espèce inférieure destinée à être considéré comme objet dépourvu de sensibilité. Un nouveau statut de l’animal applicable à tous les animaux permettra aussi à terme “de renforcer les peines sanctionnant des actes de cruauté et maltraitance, les trafics, recels, vols, etc.”.
La grossesse c’est comme un iceberg : il y a la partie visible, celle que tout le monde voit, et ce qu’on peut appeler la partie immergée, celle dont personne ne parle. Le Printemps arrive, c’est la fonte des glaces : on te montre tout ! (On plaisante, hein... Parfois c'est pire :-D)