Fandeloup

HUMOUR

Il est des moments où il faudrait oublier les vieux espoirs et s'en créer de nouveaux....

Une histoire incroyable qui nous vient des Etats-Unis...

C'est l'histoire de Brett Russel Thompson, un braconnier sans remords, qui roule tranquillement sous le soleil de Floride.

Il aperçoit alors un cerf, et décide, contre toutes les lois qui protègent les animaux, de s'arrêter, de sortir son fusil et de tirer.

Mais qu'elle ne fut pas sa surprise de ne pas pas voir l'animal s'écrouler sur le champ... Peu de chances en effet puisque le cerf en question était un robot !

On vous laisse imaginer aussi sa tête quand des policiers en surveillance, ayant assisté à la scène, lui passe les menottes pour chasse hors saison et coups de feu tirés depuis la route.

Résultat :

un an de prison pour le braconnier ! Cette histoire n'est à priori que le début d'une série "animaux-robots".

En effet, le système des animaux factices n'est pas nouveau, puisque ces animatroniques sont utilisés depuis quelques années déjà, notamment pour piéger les braconniers.

Disposés dans les bois, ces animaux plus vrais que nature sont ensuite téléguidés par des policiers en surveillance, via une télécommande.

Ces faux animaux peuvent par ailleurs recevoir près de 1000 balles, et être contrôlés à près de 15 mètres de distance.

Qu'en pensez-vous ?

Voyager léger, léger... Voir la vie comme elle est... Et espérer...

Tinni et Sniffer, le chien et le renard

Le premier personnage s'appelle Tinni, c'est un chien de chasse.

Le second est un renard sauvage, surnommé Sniffer.

Et ce sont les meilleurs amis du monde !

Un jour, Tinni tombe sur Sniffer, dans une jolie petite forêt en Norvège. Et voilà que les deux commencent alors à entretenir une relation d'amitié unique, tendre et incroyable, combattant tous les préjugés et leurs propres instincts naturels.

Le photographe Torgeir Berge, maître de Tinni, a ainsi assisté au développement improbable de cette amitié, et a décidé de capturer tous ces moments qui réchauffent le coeur, quand les deux meilleurs amis se bagarrent dans l'herbe, jouent ensemble, regardent à l'horizon et se câlinent. Berge est d'ailleurs en train de réaliser un livre pour enfants, dans lequel il racontera les aventures incroyables de ces deux boules de poils.

Il milite du même coup contre le trafic, pas très clair, de fourrure de renard en Norvège et espère lever suffisamment de fonds avec son livre pour financer une campagne contre ce trafic inhumain. Les images

Il est préférable de laisser quelqu’un s’éloigner de toi, que de le laisser t’écraser

Dian Fossey, la femme qui murmurait à l'oreille des gorilles…

Hier, Google rendait hommage avec ses célèbres "doodles", qui apparaissent sur la page d'accueil, à une femme incroyable :

Dian Fossey, une chercheuse passionnée par... les gorilles !

Retour sur un personnage attachant, prêt à donner sa vie pour ces grands singes qu’elle aimait tant…

Reconnue comme une des plus grandes primatologues du monde avec Goodall et Biruté Galdikas, elle fait partie des « Leakey's Angels » (« les anges de Leakey »), un groupe de trois éminentes chercheuses sur les primates, envoyées par l'archéologue Louis Leakey (du National Geographic) à l'étude des grands singes dans leur milieu naturel.

Vous la connaissez surement à travers le film qui l'a rendue célèbre, adapté de son propre livre "Gorilles dans la brume", et sorti en 1988 au cinéma.

Dian est interprétée par Sigourney Weaver ("Aliens") et elle suscite alors l'admiration du monde entier.

On y découvre une chercheuse passionnée et pas comme les autres, qui vivait au milieu de ceux qu'elle étudiait. .

Cette américaine née sous le soleil de Californie en 1932 était la principale scientifique, à l'époque, travaillant sur la physiologie et le comportement des gorilles des montagnes.

Elle les définissait ainsi comme des animaux "dignes, très sociables, doux, avec des personnalités individuelles et des relations familiales fortes".

Tristement cependant, le 27 décembre 1985, Dian Fossey est découverte assassinée dans la chambre de sa hutte dans les montagnes des Virunga, au Rwanda, en Afrique...

Elle a été tuée sauvagement par plusieurs coups de machette, un objet qu'elle gardait chez elle en décoration...

Plus de 25 ans après, son assassin n'a toujours pas été identifié.

Référence en terme de défense de la cause animale, Dian s'est opposée plus d'une fois aux pressions et intérêts, souvent économiques, qui pouvaient menacer l'environnement et la vie des gorilles.

Elle a aussi été une des premières, une femme qui plus est, à s'installer en Afrique et à adopter les moeurs et traditions du pays dans lequel elle se sentait si bien. Cette femme au courage exceptionnel a t-elle été la victime de braconniers ? En guerre ouverte avec eux, ils ne sont malheureusement pas les seuls sur la liste des suspects...

Dian était aussi en combat perpétuel avec les éleveurs qui venaient chasser dans le parc national réservé aux gorilles, ou encore avec le préfet de la région à l'époque, qui a aussi dirigé l'enquête sur sa mort  Protais Zigiranyirazo, alors soupçonné d'être à la tête d'un trafic de bébés gorilles...

Et comme les gorilles se battent jusqu'à la mort pour protéger leurs petits, les enlèvements se traduisent souvent par la mort d'une dizaine de gorilles adultes... Selon ses souhaits, elle a été enterrée dans le cimetière des gorilles qu'elle avait fait construire, au milieu des volcans du Rwanda : "Je veux être enterrée ici, dans le cimetière où reposent mes gorilles"...

VILLES DE MALTRAITANCES 

Quel chien n'aurait pas envie de s'évader quand il est enfermé, seul, 24h/24.

L'enquête avance à grands pas pour expliquer la mort d'un adolescent de 13 ans retrouvé pendu à son lit, pieds et mains liés, mercredi, au domicile familial de Chantemerle-les-Blés (Drôme).

Selon le Dauphiné.com, pour expliquer ce terrible drame familial, les gendarmes privilégieaient jeudi la thèse d'un jeu qui aurait mal tourné.

La terrible mort d'un adolescent de 13 ans Dès mercredi après-midi, quelques heures après la découverte de l'enfant, les gendarmes de la brigade de Romans, épaulés par trois techniciens de l'identification criminelle de Valence, écartaient de manière catégorique la thèse criminelle, selon le Dauphiné.com.

C'est le père de famille qui, rentrant déjeuner à la maison vers 12H15, a découvert le corps sans vie de son fils, pendu à son lit, dans sa chambre, «avec les pieds et les mains liés», avait déclaré un représentant du parquet.

L'enfant était aussi, semble-t-il, en partie dévêtu. La corde utilisée «semble être une sangle servant à fixer les valises sur une galerie de voiture», ajoutait la même source.

Les circonstances exactes du décès restaient toutefois mystérieuses 

comment l'adolescent a-t-il pu se pendre à un simple lit au sol, tout en ayant les pieds et les mains entravés ?

A-t-il agi seul ou avec l'aide d'autres personnes ?

A-t-il voulu se suicider ou est-ce un jeu qui a mal tourné ?

Visiblement, c'est cette dernière thèse qu'exploitent désormais au plus près les enquêteurs.

«On va essayer de déterminer tout ça», soulignait le magistrat sur les lieux mercredi en début d'après-midi. L'adolescent n'avait pas classe mercredi La jeune soeur de la victime se trouvait dans une pièce voisine au moment du drame, alors que la mère de famille était au travail. «Mais on pense qu'elle n'a rien vu», a souligné le magistrat.

La fillette, dont l'âge n'a pas été précisé, a été entendue dans l'après-midi par les gendarmes.

On ignorait si son audition a pu les éclairer, notamment sur l'emploi du temps de son frère, qui n'avait pas classe mercredi.

Dès mercredi en début d'après-midi, une douzaine de gendarmes de la brigade de Romans ainsi que trois techniciens de l'identification criminelle de Valence ont investi la maison, située au bout d'une longue allée au milieu des vignes, dans cette commune rurale d'un millier d'habitants au nord de Tain-l'Hermitage.

Mercredi après-midi, les techniciens en investigation criminelle ont procédé à de multiples prélèvements sur le corps, les vêtements et la corde utilisée, partant à la recherche d'éventuelles traces de sang ou de lutte dans la chambre pour confirmer ou infirmer leurs hypothèses.

L'autopsie aura lieu vendredi à Grenoble (Isère).