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HUMOUR

Un Pit Bull échappe à l’euthanasie et sauve la vie d’un enfant de 4 ans

Sauvé à peine quelques heures avant d’être euthanasié, un Pit Bull de dix mois a rendu la pareille à sa maîtresse en sauvant son fils de quatre ans, succombant à une baisse brutale de son taux de sucre dans le sang en pleine nuit.

C’est grâce aux aboiements incessants du Pit Bull et de son comportement visant à alerter sa maîtresse, que l’enfant a pu être sauvé d’urgence.

Christi Smith, originaire du Minnesota aux États-Unis, était à la recherche d’un Pit Bull à adopter quand elle à rencontré Gator, un jeune Pit Bull abandonné dans un refuge de Minneapolis.

Le chien était sur le point d’être euthanasié. En voyant le jeune Pit Bull, Christi s’est dit qu’il était bien trop énergique et fougueux pour l’adopter, elle recherchait un chien plus calme.

L’association avec qui elle entreprenait les recherches (Ruff Start Rescue), lui a suggéré de sauver ce Pit Bull en attendant de lui trouver une famille, c’était une priorité puisqu’il allait être euthanasié.

Le 28 septembre dernier, Christie Smith accueille donc le Pit Bull chez elle en attendant de lui trouver une famille adoptive définitive. Elle le renomme TatorTot. La complicité s’installe vite entre Christi et TatorTot et dès les premières ballades, après s’être dépensé au parc, le Pit Bull obéit à sa maîtresse et revient au rappel.

Quatre jours après avoir adopté le jeune chien sur le point d’être euthanasié, Christi couche son fils Peyton âgé de quatre ans, il est 20h30.

Mais environ cinq heures plus tard, l’enfant se réveille et réclame un verre d’eau à sa mère. Chose faite, la mère sur le point de quitter la chambre, constate un comportement étrange chez son fils et le Pit Bull.

TatorTot est très agité, fait des allers-retour entre la mère et l’enfant pour la prévenir que l’enfant ne va pas bien. Christi Smith ne le sait pas encore mais son fils est en danger de mort. Le chien n’arrête pas d’aboyer, lèche sans cesse le visage de Payton et lui met des coups de patte pour essayer de le réveiller.

Christi mesure alors la gravité de la situation : son fils n’a aucune réaction alors que le chien aboie sans relâche et lui met des coups de patte.

Malgré ses tentatives pour le réveiller, elle constate que son fils est dans un état de létargie très préoccupant. Les parents conduisent immédiatement leur enfant de quatre ans aux urgences.

Les médecins détectent un taux de sucre très bas dans la sang (glucose) qui aurait pu entraîner la mort si le chien ne l’avait pressenti.

L’enfant sera réanimé à l’aide de doses d’adrénaline : Les niveaux de Peyton étaient si bas qu’il aurait pu avoir une crise, tombé dans le coma, ou encore mourir.

Les chiens qui alertent sur les problèmes de santé ne sont pas rares, mais ils sont en général formés pour cela.

Avec TatorTot, j’ai été extrêmement chanceuse et bénie qu’il ait détecté que quelque chose n’allait pas.

L'empathie c'est notre capacité à mesurer l'intensité de ce qui est vivant chez l'autre quand certains de ses besoins sont nourris, ou pas

En juillet dernier, à la suite d’une réunion avec les communautés musulmanes de l’agglomération d’Alès, le syndicat des producteurs ovins du Gard contacte les éleveurs en vue de l’approvisionnement de la si mal nommée «Fête du mouton».

Ceux-ci sont invités, «afin de mieux valoriser nos agneaux dans le cadre de cette fête», à indiquer le nombre de bêtes qu’ils veulent vendre.

«Aucune», répond un éleveur bio opposé à l’abattage rituel, qui nous contacte:

«Étant profondément attaché aux valeurs de laïcité de notre République, j’ai été surpris et même choqué que des organismes publics s’attribuent de telles fonctions et participent au “bon” déroulement d’une quelconque fête religieuse.

À quand l’organisation par la préfecture de l’Ascension pour les chrétiens ou de Pessah pour les juifs?»

Le prix: «Nous vendons en moyenne nos agneaux bio 120 euros l’unité, pour l’Aïd, un agneau équivalent et non bio se négocie entre 160 et 250 euros l’unité…»

Article L. 237-2 I du Code rural: «L’immobilisation par un procédé mécanique est obligatoire, avant et pendant la saignée.  Il est interdit de suspendre un animal encore conscient.»

Vendredi 26 et samedi 27 octobre, sur le site Vestric-et-Candiac, seul abattoir temporaire agréé dans le Gard, environ un millier d’agneaux ont été égorgés dans les pires souffrances et dans les pires conditions sanitaires, celles pratiquées dans un abattoir.

Stupéfiant: le site ne dispose même pas de système de contention!

Un témoignage, photos à l’appui: «Les berceaux où sont posés les animaux sont en simple “ferraille”, alors qu’ils doivent être en acier inoxydable, avec un système d’immobilisation.

À côté de la zone de tuerie se trouve une écurie, aucune séparation étanche — il faudrait au moins des rideaux en plastique —, juste une petite barrière métallique.

Dans cette même zone, le corps d’un agneau, décapité, est appuyé contre un homme. La tête se trouve au sol, au milieu des excréments.

Un autre, tout juste (mal) égorgé, se relève et cherche à fuir. Dans cette salle de tuerie, des ficelles bleues, récupérées sur les ballots de paille ayant servi à la litière de l'écurie adjacente, seront utilisées pour attacher les carcasses.

Le dépeçage se fait sur des berceaux en bois, ce qui est strictement interdit dans un abattoir, vu le risque de contamination (excréments, viscères, contenu gastrique…).

Dans cette même zone, les enfants jouent avec les tripes.»Le tout en présence des services vétérinaires!

Un procès-verbal de gendarmerie a —quand même — été dressé. J’ai aussitôt prévenu Frédéric Freund, directeur de l’OABA, Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs (www.oaba.fr ):

«Ces photos démontrent une fois de plus que la pratique est bien éloignée de la théorie. Depuis l’intervention de l’OABA, Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs, auprès du Conseil d’État en 2001, les sites d’abattage dérogatoires sont interdits en France. Tout abattage d’animaux doit être effectué dans un abattoir agréé par les services vétérinaires.

Mais ces abattoirs agréés temporairement pour les deux trois jours de l’Aïd-el-Kébir ne sont bien souvent que des fermes sommairement aménagées où les règles relatives à la protection animale, l’hygiène alimentaire sont bafouées.

Les agents d’inspection sont en nombre insuffisant et il y a une forte pression pour faire agréer le site même s’il ne correspond pas tout à fait (loin s’en faut) aux exigences normatives.

Pour le préfet, mieux vaut un site même mal équipé plutôt que pas de site, synonyme d’une multitude de sites illégaux. Depuis le 1er juillet 2012, les abattoirs (même les temporaires) qui souhaitent ne pas étourdir les animaux lors de l’abattage doivent obtenir un agrément spécifique.

Les services de la préfecture doivent pour cela vérifier que sur le site d’abattage temporaire seront présents «un matériel d’abattage adapté, un personnel formé et un niveau d’hygiène adapté»…

Le directeur général de la DGAL, direction générale de l’alimentation, écrivait en août dernier que les autorisations préfectorales seraient attribuées “avec la plus grande vigilance”! Vaine promesse. Il y a eu autant d’agréments temporaires cette année que les années précédentes. Contactée par l’OABA, la DDPP, Direction départementale de la protection des populations, du Gard précise que ce site temporaire s’améliore d’année en année tout en reconnaissant qu’il y a encore des progrès à faire… Ce sera sans aucun doute l’avis du chef vétérinaire officiel, représentant la France auprès de la Commission européenne, à qui ces photographies ont été transmises.»

PHOTO;Salle de tuerie avec paquet de ficelles bleues récupérées sur les ballots de paille ayant servi à la litière de l'écurie adjacente et utilisées pour attacher les carcasses.

HUMOUR

Recueillie à l’âge de 17 ans, une chienne abandonnée découvre la joie d’être aimée

 Après avoir donné un amour inconditionnel à ses maîtres pendant 17 ans, Smokey a été lâchement abandonnée dans un refuge alors qu’elle vivait les derniers moments d’une vie pénible au sein d’une famille irresponsable.

Ses « maîtres » l’ont tout simplement abandonné alors que la chienne était sur le point de mourir, souffrant d’arthrose et dans un état de santé qui ne présageait que la mort.

La chienne a été laissée au refuge telle un objet désuet, remplie de puces, dans un état de saleté incroyable et avec les griffes très longues, signe que la chienne n’était que très peu sortie.

Au bout d’une semaine passée au refuge, allongée sur le béton brut, sans couverture ni coussin, Smokey ne pouvait presque plus marcher et souffrait atrocement de ses douleurs liées à l’arthrose.

Lorsque des volontaires de l’association « Young at Heart Senior« , chargés de sauver des chiens âgés abandonnés et très souvent condamnés à l’euthanasie, se sont rendus au refuge, ils avaient très peu d’espoir de sauver la chienne.

D’ailleurs ce jour là était annoncé comme le dernier jour de la vie laborieuse de cette chienne qui n’a jamais connu un amour réciproque.

Mais l’association ne pouvait pas laisser Smokey mourir si injustement sans qu’elle connaisse la joie et l’amour, telle est leur mission. Et l’incroyable s’est produit peu de temps après que l’association ait recueilli la chienne âgée.

Petit à petit, Smokey a baissé la garde, faisant de plus en plus confiance à ses sauveurs dont la mission première était de redonner de la joie a cette chienne blessée et tellement désemparée.

Déchirements et tristesse se lisaient dans ses yeux. Les chiens ne mentent jamais, leur regard est le reflet de leurs sentiments les plus profonds. Mais avec beaucoup d’amour et de tendresse, la chienne a commencé à esquisser des sourires, sa queue s’est mise à remuer de nouveau : Smokey connait enfin la joie de vivre.

Grace à des soins appropriés, des médicaments et un coussin orthopédique, la chienne est enfin soulagée de ses douleurs. Elle ressent un confort qu’elle n’avait plus connu depuis de nombreuses années.

Enfin, à l’âge de 17 ans, Smokey a appris ce qu’est la joie de vivre comme le dit l’association : Smokey peut témoigner qu’être enfin aimé à la fin de sa vie est simplement le meilleur cadeau que l’on puisse recevoir.

Un grand merci a cette association qui aide et recueille des chiens âgés, lâchement abandonnés par des maîtres égoïstes et irresponsables.

Pour terminer voici la vidéo très émouvante de Smokey réalisée par l’association. Vidéo un grand moment d’émotion

HUMOUR

On prend les petites décisions avec la tête,et les grandes avec le ♥!

Lorsque nous sommes au point de tout laisser tomber, il faut réfléchir à ce qui autrefois nous donnait des ailes et constater que nous pouvons construire ce qui nous permettra de voler de nouveau

Malheureusement, la triste réalité de notre pays à l'heure actuelle ...

Dans ce monde, il existe tant de misères De choses atroces qui me désespèrent, Pourtant, rien ne pourra me faire oublier Le regard d’un enfant qui a été frappé. Ce visage tuméfié, empli de coups donnés Par une main aimée, par un être adoré. Un père, une mère qui frappent leur enfant Ne méritent pas d’être reconnu parent. Ce petit être fragile vient pour être aimé, De l’enfance il attend des rêves à garder… Souvenirs de tendresse, de chaleur, d’amour Pour demain, à garder dans son cœur pour toujours. Mais lui, il a connu les cris, la peur, les coups. Des coups marquant le corps, le visage, le cou. Des bleus qu’il faut cacher, surtout ne pas montrer Pour ne pas recevoir encore une raclée. Devant ton regard qui n’a rien de l’enfance, Ton enfance qui n’a rien d’une romance, Devant ton désespoir et ta résignation Mon cœur pleure d’impuissance, d’indignation. Petit, je voudrais être là, te prendre la main Et t’emmener très loin, vers d’autres lendemains… T’aimer, te cajoler pour te faire oublier La folie des humains qui vient tant me hanter.