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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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grenouille

Publié à 07:07 par fandeloup
grenouille

La Grenouille de verre. Cette grenouille à la particularité d’avoir la peau complètement transparente. Ainsi on voit distinctement ses organes vitaux à l’œil nu.

bonne nuit

Publié à 20:23 par fandeloup

requin lutin

Publié à 20:17 par fandeloup
requin lutin

Le requin lutin (shark goblin) vit dans les eau de l’Atlantique et de l’océan Indien à un peu plus de 500 mètres de profondeur. Il a une particularité bien à lui: une double bouche…

amitié

Publié à 19:59 par fandeloup Tags : amour tendresse amitié sourire
amitié

Le bonheur c'est peu de chose, juste un instant parfait simple et complet. Un sourire juste un grain, un tout petit grain de tendresse. Oui le bonheur c'est peu de chose juste un peu d'amour ou d'amitié !

aye aye

Publié à 19:35 par fandeloup
aye aye

Le Aye-Aye est un primate vivant à Madagascar, considéré comme vulnérable à l’extinction. Ce lémurien combine des incisives de rongeurs, des oreilles de chauve-souris, une queue d’écureuil et un troisième doigt extrêmement allongé

baleinier

Publié à 19:22 par fandeloup Tags : animaux mer monde texte création
baleinier
LES BATEAUX DE Sea Shepherd RENTRENT AU PORT EN CRIANT VICTOIRE

Les navires de Sea Shepherd, endommagés lors de heurts avec les baleiniers japonais, sont rentrés au port mercredi en Australie au terme d'une âpre campagne de harcèlement dans les eaux glacées de l'Antarctique

Le Steve Irwin, le Bob Barker et le Sam Simon ont tous trois accosté avec des avaries occasionnées lors de leurs confrontations avec les navires-harponneurs nippons et estimées à environ 805.000 euros. 

Le quatrième navire, le Brigitte Bardot, se trouvait en un endroit non communiqué, avec à son bord le Canadien Paul Watson, recherché par Interpol à la demande du Costa-Rica où il est accusé d'avoir mis en danger un équipage lors d'une opération contre la chasse aux requins en 2002.

Le Japon s'était fixé cette année un quota de plus de 1.000 petits rorquals (ou baleine de Minke) ou rorqual commun. Sea Shepherd affirme que seulement 75 ont été harponnés.

Les navires des écologistes avaient pris la mer en novembre. Le capitaine du Bob Barker, Peter Hammarstedt, estime que la campagne a été la plus fructueuse, mais également la plus dangereuse, des neuf opérations saisonnières menées depuis sa création par l'organisation.

"Ca a été une longue campagne, certainement la plus dangereuse jusqu'à présent. Les baleiniers japonais n'avaient jamais été aussi agressifs, irresponsables et violents", a-t-il déclaré à son débarquement à Melbourne.

"Mon bateau porte les cicatrices de la bataille et ces cicatrices ont été causées par des baleiniers japonais illégaux qui tuent des baleines sans autorisation dans les eaux territoriales australiennes de l'Antarctique", a-t-il martelé.

Paul Watson le fugitif
Sea Shepherd et l'Institut japonais de recherche sur les cétacés s'accusent mutuellement d'abordage en pleine mer.

Watson, 61 ans, fondateur de Sea Sheperd, avait été arrêté à l'aéroport de Francfort le 13 mai 2012. Il s'était enfui en dépit d'une assignation à résidence.

Le ministre australien de la Justice, Mark Dreyfus, a fait savoir que Watson n'encourait pas de poursuites en Australie. "M. Watson ne fait l'objet d'aucun mandat d'arrêt par aucune juridication australienne", a-t-il dit.

Le Japon tue des baleines en vertu d'une tolérance de la Commission baleinière internationale (CBI) pour la chasse à des fins de recherche, bien que la chair des animaux finisse sur les étals nippons.

Récemment interrogé, le ministre japonais de l'Agriculture et des pêches, Yoshimasa Hayashi, a prévenu que Tokyo entendait continuer de harponner les baleines dans l'Antarctique.

"C'est une culture, et une longue tradition historique", avait-il expliqué.

La Norvège et l'Islande sont les deux seuls pays au monde à pratiquer une chasse commerciale au petit rorqual, en dépit d'un moratoire international entré en vigueur en 1986 mais auquel les deux pays ne s'estiment pas liés, ayant émis des réserves officielles à l'égard du texte.

disparition

Publié à 18:19 par fandeloup
disparition

Toutes les 60 secondes, une espèce animale disparaît à jamais. Près d'un quart des espèces animales et végétales pourrait disparaître d'ici le milieu du siècle en raison des activités humaines.

ogm

Publié à 18:07 par fandeloup Tags : photos monde fond histoire cadre
ogm
Une étude russe qui prouve que les OGM stériliseront l'humanité au bout de 3 Générations
 
On soupçonnait déjà que la perte de la fertilité était au nombre des graves dégâts occasionnés, une étude récente va dans ce sens. Une étude qui, si elle n'est pas étouffée, pourrait avoir un grand impact sur les décisions à prendre à l'avenir!
En 2009, près de 3% des terres agricoles étaient couvertes d'OGM avec 134 millions d'hectares, selon l'ISAAA, qui, chaque année, fait état des ...cultures des plantes transgéniques dans le monde. Et le dossier des OGM alimentaires - dont de très nombreuses pages restent encore floues à ce jour - pourrait bien s'alourdir prochainement alors qu'une nouvelle pièce en provenance de Russie est sur le point d'y être ajoutée. 

Celle-ci prend la forme d'une étude, dont les résultats les plus frappants viennent d'être présentés à la presse en Russie dans le cadre de l'ouverture dans ce pays des Journées de Défense contre les Risques Environnementaux. Elle est même évoquée par Jeffrey Smith, fondateur de l'Institute for Responsible Technology aux Etats-Unis et auteur de référence dans le monde des OGM avec notamment son ouvrageSeeds of Deception (littéralement «les semences de la tromperie») publié en 2003. Menée conjointement par l'Association Nationale pour la Sécurité Génétique et l'Institut de l'Ecologie et de l'Evolution, cette étude russe a duré deux ans, avec pour cobayes des hamsters de race Campbell, une race qui possède un taux de reproduction élevé. Ainsi, le Dr Alexey Surov et son équipe ont nourri pendant deux ans et d'une manière classique les petits mammifères, à l'exception près que certains d'entre eux ont été plus ou moins nourris avec du soja OGM (importé régulièrement en Europe) résistant à un herbicide.

Au départ, quatre groupes de cinq paires (mâles / femelles) ont été constitués: le premier a été nourri avec des aliments qui ne contenaient pas de soja, le second a, quant à lui, suivi un régime alimentaire qui comportait du soja conventionnel, le troisième a été alimenté avec en complément du soja OGM et enfin le quatrième groupe a eu des plateaux repas dans lesquels la part de soja transgénique était encore plus élevée que dans ceux du troisième.
 
A la fin de cette première phase, l'ensemble des quatre groupes a eu en tout 140 petits. L'étude s'est poursuivie dans une deuxième phase par la sélection de nouvelles paires issues de chacun de ces premiers groupes. Et, dans la logique du déroulement, les nouvelles paires de la deuxième génération ont, elles aussi, eux des petits, créant de fait la troisième et dernière génération de cobayes. Ainsi, il y a eu au final 52 naissances parmi les spécimens de troisième génération qui n'ont pas consommé du tout de soja, 78 parmi ceux qui ont consommé du soja conventionnel.
 
Mais le troisième groupe, celui qui a été nourri avec du soja OGM, n'a eu que 40 petits, dont 25% sont morts. Et, pire, dans le groupe qui a mangé le plus de soja génétiquement modifié, une seule femelle a réussi à donner naissance, soit 16 petits au total, dont 20% sont finalement morts.
 
Ainsi, à la troisième génération, les hamsters qui, pour les besoins de l'étude, ont eu, dans leur menu, une part importante de soja OGM, n'étaient plus capables de se reproduire...
 
Mais une autre surprise de taille a été observée: certains de ces hamsters issus de la troisième génération se sont retrouvés avec des poils ... dans la bouche, un phénomène d'une extrême rareté.
 
Selon Jeffrey Smith, l'étude du Dr Surov et de son équipe pourrait bien «déraciner» une industrie qui vaut plusieurs milliards de dollars. L'affaire est donc à suivre, mais, quoi qu'il en soit, depuis l'introduction en 1996 dans l'environnement et dans la chaîne alimentaire de produits agricoles transgéniques (issus de semences dans lesquelles y sont ajoutées un ou plusieurs gênes étrangers afin de conférer à la plante une propriété spécifique), les risques qui y sont liés restent encore très largement inconnus car très peu observés, faute d'études suffisamment longues et indépendantes, mais aussi à cause du refus des semenciers de publier leurs propres études (sauf sous la contrainte juridique) pour des raisons de stratégies industrielles et commerciales.
 
Aussi surprenant que cela puisse paraître, le principe de précaution, dans ce domaine, semble effectivement illusoire, alors que les incertitudes scientifiques qui demeurent devraient justement le mettre au cœur du processus d'évaluation. Et, d'ailleurs, l'on peut même supposer que cetteabsence de précaution large et de manque de transparence vis-à-vis du public nuisent par la même occasion aux OGM agricoles expérimentaux (de seconde génération) qui ne peuvent pas être évalués dans les meilleures conditions puisque ceux qui sont actuellement sur le marché ne l'ont été que partiellement (voir le proverbe de la «charrue avant les boeufs»...).
 
Car l'ennui, au fond, c'est que nous tous, les consommateurs, sommes au bout de cette chaîne alimentaire: alors finalement dans l'histoire, qui sont réellement les cobayes?

humour

Publié à 16:52 par fandeloup Tags : humour

vaccin

Publié à 16:45 par fandeloup Tags : voiture société vie monde chez enfants 2010 bretagne
vaccin
Des milliers de cas de narcolepsie après le vaccin H1N1 – étude du BMJ

Le British Medical Journal (BMJ), une des plus prestigieuses revues médicales au monde, a publié une étude prouvant une spectaculaire hausse de la narcolepsie provoquée par le vaccin Pandemrix, très largement utilisé contre la grippe H1N1 en 2009. (1)

Le problème avait été signalé par les autorités finlandaises et suédoises dès le mois d’août 2010, qui avaient constaté une multiplication par 13 du risque... de narcolepsie chez les enfants et les jeunes vaccinés. (2) Le Pandemrix est un produit de la société pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK).

La narcolepsie est un trouble neurologique dévastateur. Les personnes atteintes peuvent s’effondrer endormies après la moindre émotion, comme par exemple un simple éclat de rire. Peut-on imaginer pareille vie où le fait de rire devient dangereux ? Ce n’est malheureusement pas là le seul symptôme de la narcolepsie. Elle peut également provoquer des hallucinations, des paralysies, des difficultés de concentration, de l’agitation, des difficultés à s’endormir normalement, de terribles cauchemars, de la catalepsie : la personne s’écroule alors qu’elle est en train de vaquer à ses occupations quotidiennes. Les personnes atteintes ne peuvent donc plus faire aucune activité potentiellement dangereuse, y compris conduire une voiture.

Il n’existe aucun remède connu. On administre généralement aux victimes de puissants médicaments pour contrôler les symptômes. Il s’agit notamment d’amphétamines ou de médicaments apparentés comme l’Adderall. Tous ces médicaments peuvent provoquer de graves effets secondaires comme la tachycardie, de la diarrhée, de la nervosité, de la fatigue, des vomissements, de l’anxiété, des palpitations, des tremblements et des épisodes maniaques.

Le déni… puis l’aveu
Devant cette catastrophe sanitaire, il a d’abord été expliqué que la hausse de la narcolepsie observée en Finlande et en Suède était probablement liée à des particularités locales.

D’importantes études furent néanmoins entreprises dans d’autres pays. Et de fait, une étude française coordonnée par le Dr Antoine Pariente, faisant partie d’une série d’études européennes rendues publiques le 20 septembre 2012, évoqua à son tour un risque multiplié par quatre chez les personnes vaccinées de développer une narcolepsie, et ce sur des patients français.

La nouvelle fit quelques entrefilets dans les journaux en septembre dernier, (2) mais, aujourd’hui, c’est le British Medical Journal lui-même qui tire la sonnette d’alarme. Et l’étude sur laquelle il s’appuie, réalisée sur des patients en Grande-Bretagne, fait état d’une hausse plus forte encore qu’en Finlande et en Suède, le risque étant multiplié par 14,4 !

Selon les chercheurs, les cas de narcolepsie provoqués par le Pandemrix devraient se compter par milliers.

Une étude rigoureuse
Les chercheurs ont examiné les dossiers des enfants dont le diagnostic de narcolepsie avait été établi au cours de la période où le vaccin fut administré. Ils se sont procuré les listes des 23 centres spécialisés en narcolepsie auprès de la British Sleep Society et de la British Paediatric NeurologyAssociation. Ils ont fixé des normes strictes pour exclure de l’étude tout enfant dont le diagnostic de narcolepsie n’avait pas été clairement établi.

Des questionnaires furent envoyés aux différents médecins traitants pour s’assurer que ces enfants avaient bien reçu le vaccin Pandemrix et à quelle date. Ces informations furent comparées aux dates d’apparition des narcolepsies. Ce que ces chercheurs ont trouvé est net :

« Cette étude montre une augmentation significative du risque de narcolepsie chez les enfants ayant, en Angleterre, reçu la souche du vaccin pandémique Pandemrix avec l’adjuvant AS03 (squalène). Notre étude a donné un quotient de probabilité de 14.4 (4.3 à 48.5) pour l’analyse primaire. Ces chiffres sont compatibles avec le risque relatif de 13 trouvé en Finlande dans une étude rétrospective (de cohorte). »

Leurs résultats indiquent que le Pandemrix a provoqué 14,4 fois plus de cas de narcolepsie que ce à quoi on aurait normalement dû s’attendre !

Une des raisons qui pourrait expliquer que l’augmentation de la narcolepsie n’a pas été notée en Angleterre est le fait que la vaccination Pandemrix chez les enfants n’avait pas été généralisée, alors qu’en Finlande où la tragédie a été rapidement signalée, la couverture vaccinale était généralisée. En Angleterre, la couverture vaccinale générale était de 27,3% ; de 43,9% dans les groupes à risques (les personnes infectées par le H1N1 étaient considérées à haut risque) et de 26,2% pour les enfants qui n’étaient pas à risque.

Des milliers de cas de narcolepsie
Ce qui est maintenant tout à fait clair, c’est que partout dans le monde, le Pandemrix a provoqué des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants en l’espace de quelques années.

Il n’y a aujourd’hui plus moyen de nier la réalité de ces drames provoqués par un vaccin qui a été imposé aux populations dans la précipitation, après une campagne alarmiste pour une maladie qui était en fait bénigne.

Les chercheurs ont déclaré encore plus explicitement :

« Le risque accru de narcolepsie après une vaccination avec l’adjuvant ASO3 du vaccin pandémique A/H1N1 indique une association causale, conformément aux conclusions de la Finlande. »

Il n’y a donc plus moyen d’échapper à la réalité : l’adjuvant ASO3 du Pandemrix provoque la narcolepsie. La question est maintenant de savoir quelles autres maladies auto-immunes risquent d’apparaître au cours des prochaines années à la suite de ce vaccin ?

Squalène : l’adjuvant qui détruit des vies
Les chercheurs ont également clarifié le fait que c’était l’adjuvant ASO4 utilisé dans le Pandemrix qui a provoqué la narcolepsie. Nombreuses sont les voix qui ont voulu mettre en garde contre les risques du fait que l’ingrédient actif du ASO4 est le squalène.

Même si le squalène était interdit, le problème des adjuvants dangereux resterait entier. Les chercheurs ont démontré que l’aluminium, un autre adjuvant pour les vaccins, est à l’origine d’une vaste palette d’effets indésirables comme le lupus érythémateux, la myofasciite à macrophages, l’arthrose rhumatoïde, le syndrome des antiphospholipides, ainsi que d’autres troubles gravement débilitants.

Enfin, il y a la nouvelle génération d’adjuvants transgéniques réalisée avec des bactéries qui fabriquent des particules de type antigène. Ces dernières jouant le rôle d’antigènes et d’adjuvants, comportent des risques similaires à ceux du squalène. Ce sont tous des lipides. Depuis des décennies, on sait que l’injection d’un lipide est susceptible de provoquer des maladies auto-immunes. Au cours des premières années d’expérimentation de ces types d’adjuvants, on avait pu déterminer qu’ils étaient trop dangereux pour être utilisés dans les vaccins. En fait, ces adjuvants sont utilisés dans des expérimentations animales pour provoquer des troubles auto-immuns afin de permettre la mise au point de traitements pour les maladies humaines qu’ils répliquent.

Comment est-il possible de prétendre que pareils adjuvants sont sans danger ?

Le fait est que la tragédie évoquée ici était tout à fait évitable. Les dangers de l’injection de squalène sont connus depuis des dizaines d’années. Aucune excuse n’existe pour leur utilisation dans les vaccins.

Le prix payé
Ces enfants atteints de narcolepsie sont condamnés à une vie de handicap, en conséquence de la narcolepsie mais aussi des médicaments qui leur seront prescrits contre la narcolepsie. Quand, en outre, on réalise que la maladie contre laquelle ils étaient censés être protégés s’est avérée bénigne, on réalise que la tragédie est totalement inexcusable.

Il devient également très clair que ces enfants auront à souffrir pour le restant de leur vie, sans avoir jamais la chance de jouir pleinement de la vie et cela pour une seule et unique raison : la cupidité. Car les personnes souffrant de narcolepsie suite à l’utilisation du Pandemrix payent en fait le prix fort pour la cupidité de GSK, celle des agences gouvernementales et des médecins.