Fandeloup

BONNE NUIT

Deux belles billes noisette poser sur moi .Une main frôlant sa petite tête Dd bois

L’amour est un vent tournant .Souvent chaud. Mais il perd avec le temps si ont ne le porte haut. Il craint le froid. Parfois il peut tout autant se briser sans vérité .L’amour est un vent tournant .Il change avec le temps. Il devient plus fort si l’amour est d’or

Parfois à marée basses ont découvre des cœurs échoués sur la plage sec et couvert de sable. Vestige d’un amour tragique a rendre leurs derniers souffles ,comme certains animaux. Parfois aussi Une main tendre et d’une douceur extrême remet un cœur à l’eau sur cet océan qu’est la vie. Puis Le soir ont peut entendre au loin ces chants étranges des cœurs revenir a la vie

Le silence de la neige c’est un appel de la nature a la l’apprentissage de la beauté

Il ferme les yeux sous le soleil ,écoute le vent,prend tout sont temps .Il voudrait seulement en les ouvrants que rien ce soit vrai. Qu’elle soit encore là devant lui.Les larmes brulent .Il se rappelle ce geste délicat d’une main qui le caresse.Enfin tout ce qu’il imaginait pouvoir vivre un jour est là dans sa mémoire,éparpillé au milieu du refuge

C’est l’histoire d’un homme qui attend sous la pluie,le regard perdu en somme,oubliant ce qu’il avait fuit. Il attend sa correspondance,le regard dans les flaques a rêver une autre chance. Éviter les pensées maniaques. Il attend un regard .Un mouvement, un parfum. Là sur ce quai de gare qu’elle lui prenne la main. C’est son sourire qu’il attend

Je rêve les yeux ouverts. Ma terre et l’eau autour de mes frères, sans détour .Des lieux. Des instants .Ces heures incandescentes quand tombe le vent .Des aubes tendres aux soirs de cendres .Je rêve de ma terre et l’eau autour. Cet endroit .Mon berceau

Les tons légers ou appuyés. Des paysages trop sages. Les couleurs parfois fluettes. La douceur sur une toile muette .Teintes pales et subtiles s’emballent Là !sur mon ile .Délicate dentelle de vie posée sur le papier devient aquarelle .Enfin la lumière s’enracine sur la toile. Les jours d’hier surgissent du voile

Je regarde dehors, rien ne bouge ni vis. Là de l’autre coté du mur ,juste un souffle, à peine un murmure .J’étouffe un cri .Tout autour plane la vie,et moi damné au cœur brulé, un jour de plus en sursis. Le regard perdu sur de vieux souvenirs. Des visages aux sourires figés .J’ai fermé la porte sur un passé. Qu’est ce qui me retient encore ? Pourquoi faire des efforts. Le soir j’ai le silence pour compagnon et à ne pouvoir le fuir. Le pousser dans un coin du refuge. Mais ont ne peut le réduire. Je respire mais c’est tout .Alors j’ai laissé mes rêves pendus a mon cou .Jamais je n’aurais de trêve