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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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marcher

Publié à 11:56 par fandeloup
marcher

Marcher l'un pour l'autre, l'un contre l'autre, l'un et l'autre, l'un avec l'autre, l'un près de l'autre mais jamais l'un sans l'autre



il y a

Publié à 11:29 par fandeloup Tags : vie mort
il y a

Il y a des choses qu'on ne décide pas. Des événements qu'on ne voit pas venir. Et quand ils se produisent ou sont sur le bord de se produire, c'est déjà trop tard. Il y a des chemins qu'on emprunte sans se douter du danger, tout a l'air calme autour, pourquoi on se méfierait, pourquoi on serait sur ses gardes .. Il y a des gens vers qui on va, sans les craindre, sans rien attendre d'eux, on est persuadé qu'on ne croisera plus jamais leur chemin et puis un jour, ils sont là, à nouveau, devant nous, et on est surpris mais pas inquiet, on leur tend la main, on accepte de boire un verre, ou d'échanger une cigarette, ou de parler du temps qu'il fait, de la vie qu'on voudrait et voilà, on est mort sans s'en apercevoir. Il y a des moments de presque rien, des minutes ordinaires, on en a traversé des tas comme ça avant, mais un beau matin, c'est une fraction de temps pendant laquelle tout bascule. Des silences qui paraissent anodins, on n'éprouve pas le besoin de les remplir, on y est bien mais on appuie le regard un peu trop, on accroche ses yeux à l'autre une seconde de plus qu'il ne faudrait et ça remplit le silence d'un coup, on fait loger un destin dans ce silence.



rester

Publié à 10:44 par fandeloup
rester

Rester calme et attendre la fin de l'agression de l'autre



si

Publié à 10:36 par fandeloup Tags : moi bonne fond femme heureux sourire vie
si

Si j’étais un pur esprit je prendrais la forme d’un sourire, et j’irais me poser sur les lèvres de quelqu’un qui est triste. Je prendrai le son d’un rire, et j’irais le faire éclater au milieu d’une table d’amis. Je prendrais la saveur d’un baiser, et j’irais me cacher tout au fond du cœur des amoureux. J’irais voir les gens compliqués, je monterais l’échelle jusqu’au subconscient du troisième étage, et je leur chuchoterais : Profite de la vie ! Elle est trop courte pour la vivre à moitié. C’est aujourd’hui que tu dois être heureux, ici et maintenant,et ça leur résonnerait dans la tête encore et encore ; Et moi, je déverrouillerais les portes, je les aiderais à délabyrinther pour pas qu’ils s’enferment a l’intérieur d’eux-mêmes, je secouerais le p’tit bonhomme ou la p’tite bonne femme qui dort au fond d’eux . Je leur apprendrais à oublier les problèmes qu’ils s’inventent, je les inviterais à regarder la lumière pour ne pas qu’ils restent tout seul dans le noir. J’arriverais à leur faire briller les yeux. La Vie, ils voudront la croquer comme une pomme, mais il faudra qu’ils montent tout au sommet de la montagne pour trouver sa pleine saveur



humour

Publié à 09:33 par fandeloup
humour

Nos problèmes sont comme des nuages, ils semblent troubler la sérénité d'un ciel clair, cependant ils contiennent l'humidité fertile qui nourrit la croissance



il était

il était
Il était une fois un enfant des villes qui rêvait de fleurir le monde : « Quand je serai grand, je serai jardinier pour toute la terre » disait-il.
Ses parents lui disaient qu’il pourrait avoir un petit jardin et que ça serait bien suffisant.
A l’école, malheureusement, il n’y avait pas de cours de jardinage et il s’ennuyait, sauf cette fois où la maîtresse leur a fait planter une graine de haricot sur du coton mouillé… il était fasciné de voir cette graine pousser à travers le pot en verre… et cela lui renforça son amour des plantes.
Parfois, il allait chez son grand-père qui avait un beau jardin potager, mais il n’y avait pas beaucoup de fleurs.
Et ce sont les fleurs qu’il aimait par-dessus tout.
Alors, il se mit à lire tout ce qu’il trouvait sur le jardinage et sur les fleurs.
Il imaginait et dessinait de beaux jardins et voyait déjà de nombreuses personnes repartir de chez lui avec de gros bouquets de fleurs.
Il n’y avait pas de collège horticole dans sa région alors, il passa un diplôme pour devenir peintre en bâtiment, mais il n’aimait pas ce métier
Comme beaucoup de jeunes hommes, il dut partir faire son service militaire, puis il trouva un travail dans une entreprise de peinture et pendant des années, il peint, et chaque couleur lui faisait penser à une fleur.
Trop rêveur, son patron le renvoya et ceci se représenta plusieurs fois.
Un jour, eu bord du désespoir, il parti marcher dans la nature et pensait mettre fin à sa vie, lorsqu’il vit une magnifique grande marguerite. La plus belle de sa vie.
En la voyant, il se dit ‘Voilà ce que je veux faire de ma vie ! Faire pousser d’aussi belles fleurs !’ Et, délicatement, il prit des rejets qui sortaient de la plante et les fit pousser dans un grand pot.
Il chercha du travail chez les horticulteurs du coin et impressionnait par ses connaissances.
« Dommage que tu n’aies pas de diplômes » lui disaient-il, « on ne peut pas t’embaucher »… et ils embauchaient des ‘certifiés’ qui n’aimaient pas ce qu’ils faisaient… certains auraient même préférés être peintres en bâtiment…
Il rassembla ses économies, loua un grand terrain, acheta le matériel, une serre et commença à cultiver des fleurs.
Il allait chercher des graines dans le grand voisinage et mettait tout son cœur à les faire pousser. Il créait des variétés nouvelles que beaucoup de personnes appréciaient et il avait de plus en plus de visiteurs qui rapportaient des plantes chez eux et le félicitait pour le bonheur qu’il leur donnait.
Il chantait et était très heureux et cela dura quelques années. Il avait de plus en plus de clients satisfaits. Son entreprise prenait de l’ampleur.
Un jour pas fait comme un autre, il reçu des experts mondiaux en horticulture qui avaient entendu parler de sa réussite et analysèrent sa façon de travailler.
Ils conclurent qu’il n’était pas du tout apte à faire cet emploi.
Ils constatèrent qu’il n’avait pas de diplôme et cultivait certaines plantes dangereuses comme le muguet ou le joli datura et ils estimèrent qu’il était même dangereux pour les clients.
Ils mirent tout en œuvre pour qu’il ferme son entreprise.
Dépité, il ne savait que faire : écouter les centaines de personnes heureuses de ses productions ou écouter les spécialistes ? Son moral baissait fortement et il sombra dans le désespoir. Il n’avait plus de revenus, plus de joie, plus de courage et plus d’envies.
Ses plantes mouraient les unes après les autres, car il n’avait même plus le courage de les arroser. A quoi bon ?…
Et pourtant de nombreuses personnes lui en demandaient toujours, car elles avaient quelques choses de lui, que les autres n’avaient pas…
Voyant toutes ses plantes mortes, son rêve détruit par des ‘experts’, il décida, comme des années plus tôt, d’en finir avec la vie qui ne lui faisait pas de cadeau… lorsqu’il vit, derrière des cageots, un plant de grande marguerite qui résistait.
Son cœur se réjouit et il alla vite l’arroser. Elle était encore vivante ! Et son rêve avec.
Il se souvenait de la comptine : Je t’aime, un peu, passionnément, à la folie ou pas du tout…
Tout était question de choix de pétales.
Il reprit de l’assurance, ressema, refit des plants encore plus magnifiques et continua de vivre son rêve…
La vie lui donnait son plus beau diplôme : celui de l’amour et de l’assurance d’être à sa juste place.
Il avait retrouvé foi en la vie et peu importe les jugements limités des experts, les résultats tangibles étaient là pour lui prouver le contraire.
Il comprit que ces personnes faisaient leur travail selon leur conception de la santé, dans la justesse de leurs connaissances, sans le connaître vraiment et les remercia de lui avoir permis de renforcer sa foi dans sa mission.
Sa nouvelle entreprise prit de l’ampleur. Il rencontra une jolie fleuriste, se marièrent et eurent de beaux enfants, tous amoureux des fleurs.
Il créa une société d’envoi de fleurs dans le monde entier, croisa et inventa de nouvelles variétés et eut l’honneur de rencontrer les stars marraines de ses nouveautés.
Il fonda une association pour envoyer gratuitement dans le monde, aux personnes défavorisées, des graines de fleurs et, petit à petit, à son échelle, son rêve prit forme.
Réalisant son rêve d’enfant, avec courage et passion, au-delà des peurs, à sa mesure, il fleurissait la terre.
A toutes les personnes qu’il rencontrait, il disait : « Croyez en vos rêves et quoi qu’il arrive, faites tout pour les réaliser, car ils sont l’assurance de votre bonheur


aucun

Publié à 07:48 par fandeloup Tags : amis pensées
aucun

Aucun des malheurs du passé, rien de ce qui m'est arrivé de désagréable ou de tragique ne pénétrera dans mon esprit. Seules, les bonnes pensées, la joie, les amis de mon bonheur, de ma paix, de mon succès, pourront trouver accès dans mon âme aujourd'hui. Je ne permettrai pas que quoi que ce soit vienne me dérober mon bonheur; j'ai le droit de vivre vraiment pendant cette journée, et non pas seulement d'exister. Quoi qu'il arrive, je ne veux pas être malheureux aujourd'hui. Je veux vivre et jouir complètement de ce jour. Je ne permettrai pas aux ennemis de mon bonheur de venir le ternir



bonne nuit

Publié à 19:47 par fandeloup

émotion

Publié à 19:34 par fandeloup Tags : photo
émotion

S'il n'y a pas d'émotion, s'il n'y a pas un choc, si on ne réagit pas à la sensibilité, on ne doit pas prendre de photo.

C'est la photo qui nous prend



ford

Publié à 19:26 par fandeloup
ford

La Ford T est l'une des toutes premières voitures produites en série. "Celle qui mit l'Amérique sur des roues" a été vendue à près de 16,5 millions d'exemplaires entre 1908 et 1927



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