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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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bisous

Publié à 21:26 par fandeloup Tags : pensées pensée
bisous

j attends le soleil pour qu’il me chauffe le cœur ,quand rebrillera t il enfin pour que je sente enfin ses rayons dorés ,m'offrir la joie, le bonheur, juste un moment, juste un instant, pour essayer de revivre ,pour me donner sa force et son énergie, pour la saison qui va suivre ,mon visage esquisse un petit sourire, mes pensées s'envolent d'un rien vers le plaisir, de cet éte si joli dans mon esprit

francois berleand

Publié à 21:24 par fandeloup Tags : écran art mort film enfants homme france livre
francois berleand

François Berléand est un acteur français, né le 22 avril 1952 à Paris (france) d'un père russe d'origine arménienne1 (importateur en france des premiers gadgets américains qui firent fureur à la même époque), et d'une mère française.Il raconte son enfance dans un livre paru en novembre 2006, Le Fils de l'homme invisible ; il y relate le traumatisme qui lui fit voir à partir d'onze ans les portes de la folie, traumatisme étrangement causé par une unique affirmation de son père : « De toute façon, toi, tu es le fils de l'homme invisible », allusion au célèbre feuilleton de l'époque.Au cours d'études dans une école de commerce, il suit une formation théâtrale, un peu malgré lui, et débute sur scène dans une pièce intitulée Sur une plage de l'Ouest. Ses études terminées, il s'inscrit au cours d'art dramatique de Tania Balachova, et rencontre Daniel Benoin, un metteur en scène sous l'égide duquel il travaillera de 1974 à 1981, participant à une quinzaine de spectacles, classiques comme contemporains. Après avoir fréquenté l'équipe du Splendid, il débute sa carrière cinématographique en 1978. Il enchaîne alors des seconds rôles dans des comédies à succès dans les années 1980. Après une série de seconds rôles très remarqués, dont Ma petite entreprise pour lequel il obtient le César du meilleur acteur dans un second rôle en 2000, il obtient son grand premier rôle dans le film Mon idole de Guillaume Canet qui va le révéler au public. Mais aussi grâce à son ancienne compagne, la comédienne-réalisatrice Nicole Garcia. Dans Martin et Léa, il incarne un inspecteur de police, fonction qu'il va encore exercer de nombreuses fois à l'écran (La Balance, Les mois d'avril sont meurtriers, Marche à l'ombre, L'Appât, La mort du Chinois, Fred, Le Sourire du clown, Ne le dis à personne, Le Transporteur 1, 2, et 3) en raison d'un physique froid, distant, et à un regard perçant. Il sera aussi militaire (L'Otage de l'Europe, Stella, Les Milles, Capitaine Conan, Le Prince du Pacifique), détective (Suivez cet avion), curé (Au revoir les enfants) et psychiatre dans Le Septième ciel, le film qui le révèle réellement au grand public, fin 1997. Il est en couple avec Alexia Stresi, qui lui a donné deux jumelles Adèle et Lucie nées en décembre 2008. Il est le papa de deux autres grands enfants âgés de 26 et 31 ans.

main

Publié à 21:21 par fandeloup Tags : coeur
main

Une main qui se tend est un très beau geste... Alors laissez vous guider par votre intuition et votre sensibilité . De grandes souffrances se cachent parfois derrière un sourire. De grandes faiblesses se cachent parfois sous le masque de la sévérité. Des mots tus, sont des paroles dites en dedans qui ne peuvent ni s'envoler, ni résonner... Sachons être les oreilles et le langage, de ceux qui ne peuvent ou ne savent s'exprimer. Le langage du  est un langage universel...

gaby andreu

Publié à 21:17 par fandeloup Tags : photo fille amitié actrice enfant
gaby andreu

Gaby Andreu ou Gaby André est une actrice française, de son vrai nom Gabrielle Louise Mathilde Andreu, née à Châlons-sur-Marne actuellement Châlons en Champagne (Marne) le 5 mars 1920. Elle décède à Rome d'un cancer, le 27 août 1972, où elle est inhumée.Mariée le 06 février 1947 avec l'industriel : ELI SMITH Ils eurent un enfant : Carole André, née en 1953.Cette jolie blonde (ou brune) parut au cinéma sous le nom de Gaby Andreu puis, internationalisation oblige, sa carrière en 1950 aux Etats-Unis et en Italie, elle devint Gaby André. Starlette, élue Miss photo en 1937, elle débuta réellement l'année suivante avec Entrée des artistes de Marc Allégret sous la bienveillance paternelle de Louis Jouvet et l'amitié des jeunes débutantes d'alors : Janine Darcey, Odette Joyeux, Dora Doll... En 1939, dans L'héritier des Mondésir, elle interprète la ravissante petite postière dont tombe amoureux Fernandel. L'année suivante, pour Les gueux au paradis, l'aimable farce de René Le Hénaff, elle incarne la vierge Marie devant Raimu et Fernandel médusés...pour son premier rôle en vedette, pourquoi pas ?. En 1950, elle fait un virage vers les U.S.A où elle tourne aux côtés de Deborah Kerr, Glenn Ford, Robert Walker et Peter Lawford. Le succès se fait attendre et elle cède finalement aux propositions qui lui viennent d'Italie. Néanmoins elle y achèvera, sans plus de réussite sa carrière de comédienne. Mariée le 6 février 1947 à l'industriel Eli Smith, ils eurent une fille : Carole André, née en 1953, qui fit aussi trois petits tours devant les caméras avant de diriger, plus tard, une société de relations publiques dans la capitale italienne.

sourire

Publié à 21:10 par fandeloup Tags : vie
sourire

Il y a des jours ou j'aimerais tout laisse tombé et me replié sur moi-même ,et dans ses moments ,je repense au étapes que j'ai vécu et qui m'ont fait grandir ,et apprendre sur moi.. Maintenant ,malgré tout, je garde la tête haute ,peux importe l'épreuve, et je souris à la vie

catherine deneuve

Publié à 21:02 par fandeloup Tags : image femme belle france roman homme fille film femmes livre voiture vie actrice
catherine deneuve

Catherine Deneuve, née Catherine Dorléac le 22 octobre 1943 à Paris, est une actrice française.Son père, Maurice Dorléac, était acteur de théâtre et de cinéma mais également directeur de doublage à la Paramount Pictures. Sa mère, Renée Simonot, dont elle a utilisé le véritable patronyme : Deneuve, avait été pensionnaire du théâtre de l'Odéon, où sa grand-mère avait été souffleuse. Elle est la troisième des quatre filles de Renée Simonot ; ses trois sœurs sont Danielle (née en 1937 du comédien Aimé Clariond), Françoise (née en 1942, morte dans un accident de voiture en 1967) et Sylvie (née en 1946). Elle débute au cinéma en 1956, sous son nom (Catherine Dorléac), avec un petit rôle dans Les Collégiennes d'André Hunebelle. « Je joue en uniforme de collège, et c'est là que j'apprends à nouer des cravates1. » dira-t-elle. Quatre ans plus tard, sa sœur Françoise lui dit : « Tu sais. Ce serait amusant que tu fasses des essais. Je dois tourner cet été un film qui s'appelle Les portes claquent et le réalisateur, Jacques Poitrenaud, cherche une jeune fille pour jouer ma sœur. Tu devrais y aller. » Après avoir obtenu l'accord de ses parents, Catherine Deneuve passe des essais et elle est choisie pour le rôle. Elle n'est cependant pas intéressée par le métier. Cet épisode l'amène cependant à interrompre ses études, alors qu'elle se trouvait en classe de seconde4. Le réalisateur Mel Ferrer lui trouve une ressemblance avec Audrey Hepburn et l'engage pour tourner L'Homme à femmes, avec Danielle Darrieux3. Les critiques saluent sa performance. « La révélation du film, c'est une petite personne exquise qui s'appelle Catherine Deneuve. Discrète, sans être empaillée, proprette sans être banale, ingénue sans être niaise, et jolie, si jolie, sans avoir l'air de le savoir. Elle devrait être d'ici à trois mois la proie favorite des metteurs en scène fatigués du style Saint-Germain-des-Prés. » — france Roche, france Soir (1960). En 1962, elle rencontre Roger Vadim à l'Epi Club de Montparnasse. « Ce fut le coup de foudre. Vadim m'apprit à devenir femme, à me faire une personnalité et à vivre dans le bonheur », pense Catherine Deneuve. Il lui offre un rôle dans Le Vice et la Vertu en 1962. Elle vit ensuite avec le cinéaste, de quinze ans son aîné, dont elle a un fils, Christian, né le 18 juin 1963 En 1964, elle incarne le premier rôle féminin du film musical de Jacques Demy, Les Parapluies de Cherbourg, récompensé par la Palme d'or au Festival de Cannes et par le Prix Louis Delluc. Tout le monde ne parle que d'elle, de sa beauté, de sa grâce, de cette manière d'être à la fois légère et profonde, gaie et mélancolique. Elle est la révélation de l'année 1964 et devient l'incarnation de l'idéal féminin. La rencontre avec Jacques Demy est un tournant dans sa carrière puisqu'elle devient l'un des visages les plus emblématiques de l'univers poétique, enchanté et grave du réalisateur. Elle tourne encore trois films avec lui : Les Demoiselles de Rochefort dans lequel elle donne la réplique à sa sœur Françoise Dorléac, Peau d'Âne et L'Événement le plus important depuis que l'homme a marché sur la Lune. En revanche, elle renonce au rôle d'Edith dans Une chambre en ville, parce que Jacques Demy refuse qu'elle chante elle-même les dialogues. Cela entraine la suspension du projet, qui sera tourné sept ans plus tard avec Dominique Sanda dans le premier rôle.En 1965, roman Polanski révèle une facette plus sombre de sa personnalité dans Répulsion où elle joue une femme perturbée qui sombre dans la schizophrénie meurtrière. Dans un registre différent, elle est une jeune femme rayonnante et débordante de vie dans La vie de château de Jean-Paul Rappeneau. Dans belle de Jour de Luis Buñuel, elle interprète aux côtés de Michel Piccoli, Pierre Clementi et Francis Blanche, l'épouse d'un interne en médecine qui, malgré sa richesse, se livre à la prostitution occasionnelle. Ce film lui donne une imege de beauté froide, ambiguë et retorse à laquelle elle reste fidèle. Elle retrouve Buñuel avec Tristana, présenté à Cannes en 1970. Elle a vécu avec le réalisateur Roger Vadim, dont elle a eu un fils, Christian (né le 18 juin 1963). En 1965, elle épouse le photographe David Bailey, dont elle se sépare en 1967, mais le divorce n'est prononcé qu'en 1972. Elle vit par la suite avec Marcello Mastroianni, dont elle a une fille, Chiara (née le 28 mai 1972, elle-même actrice), puis avec l'homme d'affaires Bertrand de Labbey, qui reste son agent et avec l'homme de médias Pierre Lescure dans les années 1980. Elle a également eu une liaison avec le réalisateur François Truffaut. Elle vit à Paris, près de l'église Saint-Sulpice, et possède un château près d'Oulins, dans l'Eure-et-Loir, à moins de 20 km de Dreux

tristesse

Publié à 21:01 par fandeloup Tags : vie
tristesse

La vie change tellement, le temps passe tellement trop vite. On à même pas le temps d'apprécier les choses que la vie nous donne, les plus beaux moments passe à la vitesse de l'éclair tandis que les moins beaux prennent du temps à avancer, C'est injuste

edwidge feuillere

Publié à 20:54 par fandeloup Tags : exposition actrice oiseau artiste bleu vie amour photos musique amis film art livre
edwidge feuillere

Edwige Feuillère, de son vrai nom Edwige Caroline Cunati, est une actrice française de théâtre et de cinéma, née le 29 octobre 1907 à Vesoul (Haute-Saône) et décédée le 13 novembre 1998 à Boulogne-Billancourt.Ancienne élève du conservatoire d'art dramatique de Dijon, elle y obtient un premier prix de comédie et de tragédie en juillet 1928 ; elle fait une carrière de plus de soixante années sur les planches (1930-1992) et plus de quarante années au cinéma (1931-1974). Elle incarne Marguerite Gautier dans La Dame aux camélias d'Alexandre Dumas fils en 1939, au Théâtre des Galeries Saint Hubert à Bruxelles et en 1940 au Théâtre Hébertot à Paris puis de nouveau en 1942, avant d'interpréter le personnage de Lia dans Sodome et Gomorrhe de Jean Giraudoux en 1943. Au cinéma, elle débute sous le nom Cora Lynn en 1931 dans le Cordon bleu. Elle tourne dès lors avec les grands metteurs en scène de l'époque ; Edwige Feuillère devient célèbre en 1935 par son interprétation dans Lucrèce Borgia, un film d'Abel Gance. Elle tourne également avec Max Ophüls dans Sans lendemain en 1939 et interprète en 1940 le rôle de Sophie dans De Mayerling à Sarajevo du même réalisateur ; elle obtient encore un grand succès avec Mam'zelle Bonaparte de Maurice Tourneur en 1941. Un autre de ses films majeurs date de 1941, La Duchesse de Langeais d'après Honoré de Balzac avec des dialogues de Jean Giraudoux, un film dans lequel elle interprète une coquette rattrapée par le grand amour interprété par Pierre Richard-Willm, le partenaire de ses débuts au cinéma dans Barcarolle en 1935. Devenue une des vedettes les plus populaires de sa génération, elle joue avec Gérard Philipe dans l'Idiot en 1946, d'après Fiodor Dostoïevski, et avec Jean Marais dans L'Aigle à deux têtes de Jean Cocteau en 1947. Elle incarne Julie de Carneilhan en 1949, la Dame en blanc dans le Blé en herbe en 1954 et La Folle de Chaillot de Jean Giraudoux en 1965. Au théâtre, elle s'illustre dans Partage de midi de Paul Claudel aux côtés de Jean-Louis Barrault et Pierre Brasseur ; elle était alors la muse de Paul Claudel. Elle joue en 1971 dans Doux Oiseau de jeunesse de Tennessee Williams, traduit par Françoise Sagan, dans une mise en scène André Barsacq au Théâtre de l'Atelier. Elle joue en 1975 dans la Chair de l'orchidée de Patrice Chéreau et, en 1984, la grande-mère dans le Tueur triste. En 1992, elle revient au théâtre grâce à Jean-Luc Tardieu, Directeur de la Maison de la culture de Loire-Atlantique et metteur en scène, dans un spectacle intitulé Edwige Feuillère en Scène, c'est un florilège des plus beaux moments de sa carrière, des extraits de ses plus grands rôles, et le souvenir de ses chers amis acteurs et auteurs, elle se produisit à Nantes à l'Espace 44 et au Théâtre de la Madeleine à Paris pour 50 représentations. En 1993, la chaîne ARTE propose un documentaire filmé au Musée Jacquemart-André à Paris, sur la carrière d'Edwige Feuillère, intitulé Vertige Feuillère ; la comédienne y raconte sa longue carrière en feuilletant un grand livre dans lequel on peut voir quelques extraits de ses plus grands films : Sans lendemain en 1939, l'Aigle à deux têtes en 1947, etc. Son dernier rôle est, en 1995, celui de la princesse de Blomont-Chovry dans la Duchesse de Langeais de Jean-Daniel Verhaeghe.L'actrice est représentée dans la fresque peinte en trompe-l'œil par Charles Hoffbauer (1875-1957), Grand Prix de Rome 1924, au plafond de la coupole du château d'Artigny à Montbazon (Indre-et-Loire), ancienne propriété du parfumeur François Coty (1874-1934). Elle a souhaité être inhumée dans le cimetière communal de Beaugency (Loiret), et un site porte son nom dans un village proche de cette ville. L'association Les Amis d'Edwige Feuillère, créée en avril 2003 à Paris, perpétue la mémoire de l'artiste. Une place de Paris est baptisée Edwige Feuillère le 30 mars 2007 ; elle est située dans le VIIe arrondissement, à l'angle des rues Sédillot et Dupont des Loges. Le centenaire d'Edwige Feuillère s'inscrit dans la liste des célébrations nationales en 2007. À cette occasion, le théâtre de Vesoul, sa ville natale, qui porte son nom, lui a consacré en novembre 2007, une exposition de photos et un cycle de films. Le 20 février 2008, la Mairie de Paris a fait apposer une plaque au 16 Avenue de la Bourdonnais Paris 7e, à l'endroit où Edwige Feuillère vécut de 1937 à 1970 ; cette manifestation est à l'initiative de la Mutuelle Générale des Artistes TAYLOR, de l'Union Chrétienne du Théâtre et de la musique, et de l'Association Les Amis d'Edwige Feuillère. Alain Feydeau (1934-2008), petit-fils du célèbre auteur dramatique, était le confident, le biographe et l'ami d'Edwige Feuillère, il a fait don de beaux documents et de milliers de photographies de la comédienne à la Bibliothèque Nationale

larmes

Publié à 20:51 par fandeloup
larmes

Dans toutes les larmes s'attarde un espoir.

darry cowl

Publié à 20:48 par fandeloup Tags : france homme enfant livre argent livres
darry cowl

Darry Cowl, de son vrai nom André Darricau, est un musicien et un comédien français, né le 27 août 1925 à Vittel (Vosges), décédé le 14 février 2006 à NeuillyDarry Cowl est né le 27 août 1925 à Vittel en france d'un père médecin. Il quitte les Vosges en 1934 pour Menton où son père a été nommé chef de clinique. Il fait du scoutisme à la 42ème Paris (Notre Dame de la Croix de Ménilmontant) sa promesse en avril 1939, et commence à faire bien rire ses camarades en s'essayant sur les planches dans les fêtes de groupe, avec son frère Albert. Après une grave blessure à la hanche en demi-finale du championnat de france de pelote basque, il commence des études musicales et remporte des premiers prix de fugue et d'harmonie. Il s'oriente ensuite vers le cabaret où il met au point son personnage ahuri et zozoteur de « frisotté à lunettes » comme il le désigne lui-même. Sacha Guitry l'engage dans Assassins et Voleurs (1957) et il se tourne vers le cinéma, où son rôle dans Le Triporteur le rend rapidement célèbre. Mais il apparaît surtout dans d'innombrables comédies, souvent des navets, pour assouvir un besoin d'argent découlant d'une passion du jeu qu'il reconnaît volontiers. Il connait un premier triomphe au théâtre avec Docteur Glass à la Porte Saint-Martin, et donne un nouveau ton à sa carrière avec des films plus ambitieux comme Augustin, roi du kung-fu d'Anne Fontaine. Son dernier rôle est celui d'un enfant adopté dans L'homme qui rêvait d'un enfant de Delphine Gleize. Il a également obtenu le Molière du meilleur second rôle masculin en 1995 et un César d'honneur en 2001. En 2004, lui est attribué le César du meilleur second rôle pour le rôle de Mme Floin dans Pas sur la bouche d'Alain Resnais. Il a écrit trois livres de souvenirs, Le flambeur (1986) en référence à sa passion pour le jeu, Le triporteur se livre (1994) et Mémoires d'un canaillou (2005). Il avait prévu de faire son retour au théâtre en septembre 2005 au côté de Jacques Balutin dans Hold Up, une pièce de Jean Barbier mise en scène par Jean-Luc Moreau, mais sa santé, fragilisée par un cancer, l'en avait empêché. Marié deux fois, il décède le 14 février 2006 à son domicile de Neuilly-sur-Seine des suites d'un cancer du poumon. Il fut incinéré et ses cendres déposées au cimetière du Père-Lachaise avant d'être transportées, le 6 septembre 2006, au cimetière de Neuilly-sur-Seine, ville dans laquelle il résidait. L'association Vive Darry, présidée par son épouse Rolande Kalis, décerne chaque année le Prix Darry Cowl à un talent pluridisciplinaire reflétant l'esprit du comédien. -sur-Seine (Hauts-de-Seine).