Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux argent article bébé belle bonne

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

bulles

Publié à 19:00 par fandeloup
bulles

Il y a toujours une bulle à vivre quelque part. Et même si elle éclate tôt ou tard, sa magie restera encore longtemps au coin des yeux.

mireille darc

Publié à 18:53 par fandeloup Tags : france chez homme enfants fille mort art voiture bleu vie actrice
mireille darc

Mireille Darc, de son nom patronymique Mireille Aigroz, est une actrice et réalisatrice française née le 15 mai 1938 à Toulon (Var). Elle fut durant quinze ans la compagne d'Alain Delon.Elle passe toute son enfance à Toulon où sa mère tient une épicerie1. Elle suit sa scolarité à l'école de Valbourdin puis au collège de Jeunes filles1 avant d'entrer au Conservatoire d'art dramatique de Toulon. Elle en sort en 1957 avec un prix d'excellence et décide de devenir comédienne. Elle est à Paris en 1959, gagne sa vie pour payer ses cours de théâtre à Paris en posant pour un peintre et en gardant des enfants. Elle tiendra seulement un petit rôle au théâtre avant de commencer sa carrière devant la caméra. C'est la télévision qui la révèle grâce à La Grande Bretèche de Claude Barma, en 1960 et à Hauteclaire de Jean Prat, en 1961, où elle est le personnage féminin principal. C'est Georges Lautner, avec qui elle tourna treize films, qui va faire d'elle une star. Son premier rôle important au cinéma est Pouic-Pouic en 1963 réalisé par Jean Girault où elle est la fille de Léonard et Cynthia Monestier, incarnés par Louis de Funès et Jacqueline Maillan. En 1965, elle tourne Galia de Georges Lautner. Elle joue aux côtés d'Alain Delon dans L'Homme pressé, mort d'un pourri, Madly, Jeff, Les Seins de glace, Il était une fois un flic, Borsalino et en 2003 avec lui dans la série télévisée Frank Riva. Elle joue le rôle de la strip-teaseuse de Fantasia chez les ploucs, celui de madame Michalon dans Ne nous fâchons pas. Elle joue aussi le rôle de Georgina dans La Chasse à l'homme d'Édouard Molinaro. Dans les années 1970, elle tourne toujours avec Georges Lautner dans Il était une fois un flic (1971) ou dans La Valise (1973), mais surtout avec Pierre Richard avec Le Grand Blond avec une chaussure noire (1972) puis Le Retour du grand blond (1974) d'Yves Robert où elle fait sensation avec une robe ultra-sexy. Ces rôles lui permettent de confirmer son statut de sex symbol et d'actrice phare du début des années 1970. Dans les années 1980, sa carrière est interrompue par une opération à cœur ouvert. Puis, suite à un accident de voiture dans lequel elle est grièvement blessée, et sa séparation d'avec Alain Delon après quinze ans de vie commune, elle quitte alors le cinéma et revient à la télévision dans les années 1990. Elle y interprète de nombreux rôles. Elle est en bourgeoise redoutable dans Les Cœurs brûlés ou Les Yeux d'Hélène. Suivent Terre indigo, Le bleu de l'océan et Frank Riva où elle retrouve Alain Delon. Elle a également réalisé une série de reportages de société pour france Télévisions. En 2006, Jacques Chirac remet à Mireille Darc les insignes de la Légion d'honneur. Début 2007, elle monte sur les planches et interprète Sur la route de Madison au Théâtre Marigny en compagnie d'Alain Delon. Depuis 2005, Mireille Darc est la marraine de l'association humanitaire La Chaîne de l'Espoir2 pour laquelle elle a reçu le Prix Clarins3 en 2006. Depuis 2008, Mireille Darc est la marraine de l'opération + de vie, opération de solidarité pour améliorer le quotidien des personnes âgées hospitalisées

erreur

Publié à 18:50 par fandeloup Tags : vie
erreur

L'erreur est humaine, chacun d'entre nous peut déraper, mais on ne peut juger, ne connaissant pas leur passé et leur vie.

francis blanche

Publié à 18:46 par fandeloup Tags : france mort
francis blanche

Francis Blanche, de son nom complet Francis Jean Blanche, né le 20 juillet 1921 à Paris et mort le 6 juillet 1974 dans la même ville, est un auteur, acteur et humoriste français. Issu d'une famille d'artistes, et en particulier d'acteurs de théâtre, parmi lesquels son père Louis Blanche, mais aussi son oncle le peintre Emmanuel Blanche, il fut, à l'âge de quatorze ans, le plus jeune bachelier de france. Il forma, avec Pierre Dac, un duo auquel on doit de nombreux sketches dont Le Sâr Rabindranath Duval (1957), et un feuilleton radiophonique, Malheur aux barbus !, diffusé de 1951 à 1952 sur Paris Inter (deux cent treize épisodes), et publié en librairie cette même année ; personnages et aventures furent repris de 1956 à 1960 sur Europe 1, sous le titre Signé Furax (soit mille trente-quatre épisodes). Ces émissions sont suivies par de nombreux auditeurs. Toujours avec Pierre Dac il créa le Parti d'en rire. Il fut également l'auteur de canulars téléphoniques qui furent diffusés régulièrement à la radio dans les années 19601. On lui doit également des poèmes, des paroles de chansons comme Débit de l'eau, débit de lait chanté par Charles Trenet. Parallèlement à sa carrière sur scène, il a tourné sans discontinuer dans des films où il est souvent intervenu aussi comme scénariste et dialoguiste. Sa composition la plus populaire est celle du commandant Obersturmführer Schulz face à Brigitte Bardot dans Babette s'en va-t-en guerre (1959). Il était un des acteurs favoris de Georges Lautner (Les Tontons flingueurs). Il meurt d'une crise cardiaque à cinquante-deux ans, peut être à cause de son traitement négligé du diabète de type . Il est enterré à Èze, Alpes-Maritimes. Très affecté, Pierre Dac (quatre-vingt-un ans) le suivra quelques mois plus tard

citation

Publié à 18:42 par fandeloup

paul meurisse

Publié à 18:41 par fandeloup Tags : film mort extrait
paul meurisse

Paul Gustave Pierre Meurisse est un comédien français, né le 21 décembre 1912 à Dunkerque et décédé le 19 janvier 1979 à Neuilly-sur-Seine. Il est inhumé au cimetière ancien de Neuilly-sur-Seine.Issu d'une famille bourgeoise, il passe son enfance en Corse puis fait ses études de droit à Aix-en-Provence où il devient clerc de notaire. Attiré par les tréteaux, il monte à Paris en 1936 pour participer à un radio-crochet, qu'il remporte. Il devient danseur de revue au Trianon, puis présente un tour de chant dans les cabarets, en interprétant de façon lugubre des chansons gaies. Pierre Dac le remarque et l'emmène en tournée. Dans son premier film, 24 heures de perm', tourné en 1940 mais sorti en salles en 1945, on le voit dans un court extrait de son tour de chant. En 1939, il interprète sur scène Le Bel indifférent, de Jean Cocteau, aux côtés d'Édith Piaf, qui devient sa compagne jusqu'en 1942. Par la suite, il se mariera avec trois actrices : Michèle Alfa (de 1942 à 1946), Micheline Cheirel (de 1951 à 1955) et Micheline Gary (de 1965 à sa mort, en 1979). Mobilisé en 1939, il retourne au music-hall après la défaite et côtoie Maurice Chevalier sur scène. Après quelques rôles secondaires, sa carrière cinématographique démarre véritablement en 1946 avec Macadam dans lequel il interprète un voyou. Acteur prolifique au cinéma, c'est aussi un comédien de tout premier plan au théâtre. Il a été pensionnaire de la Comédie-Française entre 1956 et 1958 mais a refusé de signer son contrat de sociétaire. Il interprète la plupart de ses rôles avec la même élégance et le même flegme, tour à tour ironique ou inquiétant. Il publie ses mémoires, Les Éperons de la liberté, quelques mois avant sa mort, en 1979.

bienvenue

Publié à 18:39 par fandeloup Tags : bienvenue

arnold scharzenegger

Publié à 18:22 par fandeloup Tags : homme histoire fantastique
arnold scharzenegger

Arnold Alois Schwarzenegger est un acteur, culturiste, homme d'affaires et homme politique américain né Autrichien le 30 juillet 1947 à Thal, en Autriche. Surnommé le « Chêne Autrichien » (Austrian Oak) pendant ses années de culturisme, puis « Schwarzy » pendant sa carrière d'acteur, et plus récemment « Gouvernator » (mélange des mots Gouverneur et Terminator), il se fait connaître universellement en devenant un des plus grands culturistes de l'Histoire, avec notamment 5 titres de Monsieur Univers et 7 titres de Monsieur Olympia. Son physique exceptionnel lui a ouvert les portes d'Hollywood, dont il devient l'une des plus grandes vedettes du cinéma d'action dans les années 1980-1990, ainsi qu'en témoigne son importante filmographie, dans laquelle figurent aussi bien le genre fantastique que la comédie, en passant par la science-fiction : Conan le Barbare, Terminator, Terminator 2 : Le Jugement dernier, True Lies, Predator, Last Action Hero, Total Recall, Un flic à la maternelle, Jumeaux et Junior. Engagé politiquement avec le Parti républicain, il fut élu 38e gouverneur de l'État de Californie le 17 novembre 2003. Il est réélu à ce poste le 7 novembre 2006. Jerry Brown, qui lui a succédé le 3 janvier 2011, fut déjà le successeur à ce poste, en 1975, de l'ex-acteur Ronald Reagan. En 2004 et 2007, Arnold Schwarzenegger fait partie du Time 100, classement établi par le magazine Time des 100 personnes les plus influentes dans le monde1,2. Le 4 avril 2011, il est fait chevalier de la légion d’honneur à Cannes. La médaille lui a été remise par le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand

message

Publié à 18:21 par fandeloup

erich von stroheim

Publié à 18:16 par fandeloup Tags : france homme film femmes livre mode argent écran
erich von stroheim

Erich von Stroheim, de son vrai nom Eric Oswald Stroheim, est un acteur et réalisateur américain, né le 22 septembre 1885 à Vienne (Autriche), et décédé le 12 mai 1957 à Maurepas (FranceEnfance et formation restent obscurs. Sa biographie autorisée est assez fantaisiste. Fils de Benno Stroheim et de Johanna Bondy, tous deux juifs pratiquants, il se déclare par la suite catholique, et comte Eric Oswald Marc Hans Carl Maria von Stroheim et Nordenwall, fils d'une notabilité autrichienne. La carrière militaire, dont il parle beaucoup, n'est pas prouvée. Il semble avoir travaillé quelque temps dans l'atelier de chapeaux de paille de son père. Il émigre aux États-Unis en 1909, sans motif clairement établi, avec le financement d'un oncle. Il entame une carrière d'acteur et d'assistant de cinéastes, notamment auprès de D.W. Griffith sur le tournage de Naissance d'une nation, avant de s'imposer comme metteur en scène avec des films muets très ambitieux et visionnaires, sur un mode pessimiste et cynique. Dès son premier film, La Loi des montagnes, ses obsessions sont manifestes : l'argent, le sexe, les blessés et les infirmes, l'officier de l'armée qu'il joue souvent lui-même. Cela se retrouve dans les rôles qu'il interprète par la suite, tant en france qu'aux États-Unis. Avec Folies de femmes, il brosse un portrait au vitriol d'une société corrompue par l'argent et le sexe. Perfectionniste, il exige que les armoires et les commodes, qui ne sont pas une seule fois ouvertes, soient remplies de vêtements. Avec La Veuve joyeuse, il détourne une opérette pour en faire un film sur les orgies dans une cour royale avec infirmes, obsédés sexuels et monarques dégénérés. Lâché par les producteurs de Hollywood qui l'ont affublé du titre de "l'homme que vous aimerez haïr", en rapport avec ses tournages exigeants qui nécessitent des budgets faramineux pour l'époque, il abandonne la mise en scène, n'étant pas convaincu par le parlant, et se consacre à sa carrière d'acteur. Il émigre en france où il est considéré comme le plus grand cinéaste de son temps, avec Charlie Chaplin, et va jouer dans de nombreux rôles à la hauteur de son talent. L'un des rôles les plus marquants est celui du commandant à la minerve dans La Grande Illusion, réalisé par Jean Renoir, heureux de faire jouer celui qui l'a décidé à devenir cinéaste, en 1937. Aux côtés de Pierre Fresnay, Jean Gabin et Marcel Dalio, Von Stroheim livre l'une de ses plus belles prestations. La même année, Pierre Chenal le sollicite pour L'Alibi ; le magnifique face-à-face avec Louis Jouvet vaut à lui seul le déplacement. L'année suivante, il joue face à Michel Simon dans Les Disparus de Saint-Agil, de Christian-Jaque. Nouveau chef-d'œuvre avec ce rôle de professeur d'anglais plein d'humanisme. Il est Beethoven dans Napoléon de Sacha Guitry en 1954, l'un de ses derniers rôles. Il retourne aux États-Unis au début des années 40, et poursuit sa carrière d'acteur avec en point d'orgue Boulevard du crépuscule de Billy Wilder, véritable diamant noir qui n'épargne pas l'industrie hollywoodienne. Buster Keaton, Cecil B. DeMille y jouent leurs propres rôles aux côtés de Gloria Swanson qui investit beaucoup d'elle-même dans le rôle de Norma Desmond. Quant à Erich Von Stroheim, il est troublant de vérité dans le personnage du majordome, ancien réalisateur de films muets de Norma Desmond. Il faut préciser que Von Stroheim avait tourné Queen Kelly avec Gloria Swanson, dans les années 1920. Réalité et fiction se confondent, et la scène finale, avec la descente d'escalier de Norma Desmond qui a sombré dans la folie, se croyant redevenue la reine de Hollywood, est bouleversante d'humanité, de tristesse et de cynisme. Erich Von Stroheim dirige les cameramen de la télé et prend conscience de sa propre misère, lui qui n'a jamais pu diriger de films depuis la fin du muet. Ce n'est pas l'acteur mais le metteur en scène dont le destin fut brisé que l'on voit à l'écran. Eric von Stroheim fut un spectateur assidu du Théâtre du Grand Guignol au temps de l'administration de José de Bérys.