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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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mercredi

Publié à 16:16 par fandeloup Tags : amour
mercredi

Envie d'aimer, envie d'rêver, Envie d'y croire ,envie d'pouvoir, Envie de tout oublier ,envie d'espérer ,Envie d'amour ,envie de beau discours ,Envie de réalité ,envie juste de te retrouver

louis jouvet

Publié à 13:49 par fandeloup Tags : film chez enfants mort art concours poésie
louis jouvet

Louis Jouvet est un acteur français, metteur en scène et directeur de théâtre, professeur au Conservatoire national supérieur d'art dramatique, né le 24 décembre 1887 à Crozon (Finistère), mort le 16 août 1951 à ParisJules Eugène Louis Jouvet, est né en Bretagne, à Crozon (Finistère), le 24 décembre 1887. Orphelin de père à 14 ans, il part vivre avec sa mère chez son oncle qui est apothicaire à Rethel dans les Ardennes. Élève studieux et docile, sa famille l'oblige à entreprendre des études pour devenir pharmacien, à Toulouse. À partir de 1904, il étudie à la faculté de Paris, mais passe tout son temps libre dans les théâtres amateurs de l'époque: dans la troupe de Léon Noël, puis celle du Théâtre d'Action d'Art (il part alors en province jouer devant des auditoires populaires), ensuite celle du Théâtre des Arts, puis à l'Odéon, et au Châtelet. En parallèle, il se présente au concours d'entrée du Conservatoire d'Art dramatique de Paris, où il sera recalé trois fois (comme Bernard Blier, Dominique Blanc ou Antoine VitezEn 1912, son diplôme de pharmacien en poche, Louis Jouvet se marie avec Else Collin, avec laquelle il aura trois enfants. À cette époque il court les cachets et fera ainsi une courte apparition dans un film aux côtés de Harry Baur. En 1913, il est engagé avec son ami Charles Dullin par Jacques Copeau, alors directeur du Théâtre du Vieux-Colombier. C'est un véritable tournant dans sa carrière : il y est régisseur, décorateur, assistant et enfin comédien. Il masque alors son bégaiement par une diction syncopée qui le rendra célèbre par la suite 1. En 1914, la Première Guerre mondiale éclate, Louis Jouvet est mobilisé comme ambulancier, puis comme médecin auxiliaire. Démobilisé en 1917, il retrouve la troupe du Vieux-Colombier. En novembre 1917, la troupe du Vieux-Colombier s'installe à New York, au Garrick Theater, pour deux saisons. Le succès obtenu n'est pas à la hauteur des attentes ; les relations entre Jouvet et Copeau se dégradent. En 1920, c'est le retour à Paris : le Vieux-Colombier rouvre ses portes. Entre-deux-guerres[modifier] En 1922, Jouvet rompt avec Jacques Copeau. Commence alors sa carrière de metteur en scène, il installe sa propre troupe au théâtre des Champs-Élysées où il remporte l'année suivante son premier grand succès avec Knock ou le triomphe de la médecine de Jules Romains, qu'il jouera 1500 fois. En 1928, il rencontre Jean Giraudoux dont il crée plusieurs pièces. À partir de 1935, il dirige le théâtre de l'Athénée où il donne la première de La guerre de Troie n'aura pas lieu (1935), d'Ondine (1939). Gaston Baty, Charles Dullin, Georges Pitoëff et Jouvet fondent le 6 juillet 1927 une association d'entraide, le « Cartel des Quatre », qui durera jusqu'en 1940. L'objectif : faire en sorte que le théâtre crée une poésie qui lui soit propre, et faire jouer des auteurs contemporains. On lui propose la direction de la Comédie-Française, qu'il refuse car il est trop occupé par celle de son propre théâtre. À l'Athénée, il triomphe avec des œuvres de Molière, celles écrites par son ami Jean Giraudoux, et diverses autres issues du répertoire classique.

amitié

Publié à 13:45 par fandeloup Tags : amitié sourire heureux
amitié

Chaque seconde est une seconde qui passe, qui ne reviendra pas aussi sachons l'apprécier et en profiter. Ne pas trop se poser questions car chaque problème a sa solution. Pour vivre heureux et bien mieux il faut se faire plaisir en faisant plaisir, offrir son sourire son amitié à qui sait l'apprécier ne pas forcer les choses, agir à petite dose simplement. Vivre l'instant présent l'ici et maintenant.

jean marais

Publié à 13:42 par fandeloup Tags : belle homme film mort concours chez
jean marais

Jean Marais (né Jean Alfred Villain-Marais le 11 décembre 1913 à Cherbourg, mort le 8 novembre 1998 à Cannes) était un acteur français. Il était aussi un metteur en scène, écrivain, peintre, sculpteur, potier, cascadeur reconnu. Jean Marais a reçu un César d'honneur en 1993Quand Jean Marais a quatre ans, sa mère alsacienne décide de partir à Paris avec ses deux fils. Elle sera souvent absente. Le petit Jean lui écrit des lettres mais c'est sa tante qui inscrit l'adresse sur l'enveloppe. Il comprendra plus tard que c'était parce que sa mère, kleptomane, effectuait des séjours en prison. Il fut élève au lycée Condorcet. Jean Marais ne reverra son père, un normand, vétérinaire en province, que près de 40 ans plus tard, sans être sûr qu'il soit bien son père. Il a un fils adoptif, Serge. Débuts Il fait de la figuration dès 1933 dans les films de Marcel L'Herbier, qui ne lui donnera jamais sa chance. En 1937, il échoue au concours d'entrée au Conservatoire et étudie chez Charles Dullin, au Théâtre de l'Atelier. Il y découvre les pièces classiques, où il tient des rôles de figuration qui lui permettent de financer ses cours. Jean Cocteau Sa rencontre avec Jean Cocteau en 1937, lors d'une audition pour la mise en scène de sa réécriture d'Œdipe Roi, marque le véritable lancement de sa carrière. Le cinéaste et dramaturge tombe amoureux du jeune acteur, qui sera son amant jusqu'à sa mort en 1963. Cocteau donne à Jean Marais un rôle muet dans Œdipe Roi : Jean Marais y joue le rôle du Chœur1. Il lui écrit rapidement une pièce sur mesure : Les Parents terribles (1938), qui lui donne la reconnaissance de la profession. 1942 le voit aux côtés de Viviane Romance dans l'adaptation par Christian-Jaque de Carmen. En 1943, il joue un Tristan moderne dans L'Éternel Retour de Jean Delannoy. Il a une vive altercation avec le critique artistique Alain Laubreaux, du journal collaborationniste Je suis partout, qui l'avait qualifié de "L'homme au Cocteau entre les dents" (cette altercation a d'ailleurs été reprise dans le Dernier Métro de François Truffaut) et ne doit son salut qu'aux hautes relations de Cocteau. Il devient l'idole de sa génération. En 1944, il monte Renaud et Armide, mais la pièce est victime d'une cabale, semble-t-il menée par les collaborationnistes, et s'arrête très vite. Marais gagne encore en popularité et devient un symbole de résistance à l'occupant. Après la libération de Paris, en août 1944, Jean Marais s'engage dans l'armée française et rejoint la 2ème DB du général Leclerc. A la fin de la seconde guerre mondiale, Cocteau écrit pour lui La belle et la Bête, un film très difficile à tourner, et auquel personne ne croyait. Marais entre alors dans la légende. En 1946, il joue dans la pièce L'Aigle à deux têtes de Cocteau, puis en 1949, dans l'un des plus célèbres films de Jean Cocteau, Orphée. À la fin des années 1940, il entre à la Comédie-Française. Il y est à la fois comédien, metteur en scène et décorateur. C'est la première fois qu'une telle fonction est donnée à un aussi jeune comédien (il a moins de 40 ans). Marais quitte le Français après une altercation avec le directeur. Il tourne auprès des plus grandes vedettes féminines : Les Chouans avec Madeleine Robinson, Ruy Blas avec Danielle Darrieux, Aux yeux du souvenir où il retrouve Jean Delannoy avec Michèle Morgan.

bjr

Publié à 13:40 par fandeloup Tags : amis
bjr

bonzouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuur mes amis

simone signoret

Publié à 13:35 par fandeloup Tags : france roman création fille film soi couples écran vie actrice
simone signoret

Simone Signoret, de son vrai nom Simone Kaminker, était une actrice française, née le 25 mars 1921 à Wiesbaden (Allemagne), alors sous occupation française suite à la Première Guerre mondiale, et décédée le 30 septembre 1985 à Autheuil-Authouillet, Normandie, FrancElle est la fille aînée d'André Kaminker (1888-1961), un traducteur juif polonais, et de son épouse française, née Signoret. Elle a eu deux jeunes frères, Alain et Jean-Pierre. André Kaminker avait travaillé avec Jacques Paul Bonjean comme journaliste au Poste Parisien, il avait aussi réalisé en 1934 une traduction simultanée d’un discours d’Hitler à Nuremberg. Il rejoint en 1940 la france libre à Londres puis devient speaker à Radio Brazzaville. Encore plus tard il devient chef interprète du Conseil de l'Europe. Il participe à la création de l'Association internationale des interprètes de conférence (AIIC) dont il est le président. Séjournant en Bretagne pendant la Seconde Guerre mondiale, Simone est élève au lycée de Vannes, où elle a, pendant quelques mois, pour professeur d’histoire Lucie Aubrac dont elle parle dans La nostalgie n'est plus ce qu'elle était. De retour à Paris, elle devient, en 1941, la secrétaire de Jean Luchaire et fait de la figuration au cinéma grâce à la fille de celui-ci Corinne. Au moment de choisir un nom de scène, elle décide de substituer à son nom de famille (Kaminker) celui de sa mère (Signoret eUn temps secrétaire de la comédienne Corinne Luchaire, elle rencontre Yves Allégret en 1943. Leur fille Catherine naît le 9 avril 1946. Cette même année, sa carrière est lancée avec le film Macadam pour lequel elle obtient le Prix Suzanne Bianchetti en 1947. Ils se marient en 1948. Allégret donne à Simone Signoret ses premiers rôles importants, notamment dans Dédée d'Anvers. En août 1949, sur un coup de foudre pour Yves Montand rencontré à Saint-Paul de Vence, elle quitte Yves Allégret. Sitôt divorcée, elle épouse Montand en décembre 1951 avec qui elle partagera le restant de sa vie. Le 4 avril 1960, elle obtient l'Oscar de la meilleure actrice pour son interprétation dans le film Les Chemins de la haute ville (Room at the top) de Jack Clayton. Elle est la seconde actrice française à recevoir ce prix, après Claudette Colbert qui l'a reçu en 1935 pour son rôle de Ellie Andrews dans New York-Miami. Toutefois, Claudette Colbert ayant quitté la france en bas âge et ayant été naturalisée américaine, Simone Signoret est souvent considérée comme la première actrice française à avoir obtenu cette récompense. Il faudra attendre 1997 et le sacre de Juliette Binoche pour Le Patient anglais puis 2008 avec Marion Cotillard à Los Angeles pour qu'une autre actrice française lui succède. Durant son séjour aux États-Unis pour recevoir son Oscar, Simone Signoret et Yves Montand rencontrent Marilyn Monroe, alors mariée à l'écrivain Arthur Miller. Les deux couples sympathisent et Marilyn impose Yves Montand à ses côtés dans le film Le Milliardaire de George Cukor. Simone Signoret retourne en france tandis qu'une liaison passionnée — et connue de tous — se noue entre Montand et Marilyn pendant quelques mois. L'acteur français rejoint cependant son épouse après la promotion du film. Lorsque des années plus tard, un journaliste évoquera avec Signoret cette liaison, elle répondra qu'elle regrettait simplement que Marilyn Monroe n'ait jamais su qu'elle ne lui en avait pas voulu. De retour en france après avoir tourné quelques films aux États-Unis entre 1965 et 1968, Simone Signoret incarnera des rôles forts et puissants, parfois politiques comme dans L'Aveu de Costa-Gavras. En 1976, elle publie son autobiographie : La nostalgie n'est plus ce qu'elle était, et en 1985 le roman : Adieu Volodia. En 1978, son interprétation de Madame Rosa dans le film La vie devant soi, lui vaudra le César français de la meilleure actrice. Ses dernières années[modifier] À partir de 1981, la santé de Simone Signoret (qui fume et boit beaucoup) se détériore sérieusement : elle subit une première opération à la vésicule biliaire, puis elle devient progressivement aveugle, ne distinguant plus à terme que la silhouette des objets. Ses apparitions à l'écran deviennent rares, malgré la poursuite de sa carrière cinématographique. Une de ses dernières apparitions marquantes est dans l'émission 7 sur 7 présentée par Anne Sinclair où elle a demandé à la journaliste de présenter à la caméra le logo de SOS racisme "Touche pas à mon pote". Atteinte d'un cancer du pancréas, elle subit une dernière intervention chirurgicale en août 1985 mais dont le résultat est voué à l'échec. Elle meurt à son domicile le 30 septembre 1985 vers 7 h 30 à l'âge de 64 ans. Elle est inhumée au cimetière du Père Lachaise, et repose désormais aux côtés de son mari Yves Montand, décédé six ans plus tard en novembre 1991.

tristesse

Publié à 13:32 par fandeloup Tags : pensées
tristesse

Je me sens cOmme dans une bulle... Seule je déambule Je suis là sans être là Est-ce que quelqu'un me vOit ?! Je me perds sOuvent dans mes pensées... Dans cette bulle Oubliée

arletty

arletty

Arletty, pseudonyme de Léonie Bathiat, née le 15 mai 1898 à Courbevoie (Seine, aujourd'hui Hauts-de-Seine) et morte le 23 juillet 1992 à Paris, est une actrice française.Elle est la fille de Michel Bathiat, chef du dépôt des tramways de Courbevoie et de Marie Dautreix, blanchisseuse. Elle a un frère cadet, Pierre. Elle fait de bonnes études dans une institution privée, puis entreprend d'étudier la sténographie chez Pigier. La guerre de 1914 fauche sur le champ de bataille son premier amour, qu'elle surnommait « Ciel » à cause de la couleur de ses yeux. En 1916, son père meurt, écrasé par un tramway. Arletty, son frère et sa mère sont expulsés du dépôt. Elle se laisse alors séduire par un banquier, Jacques-Georges Lévy. Ils ont le même âge. Il l'amène dans sa villa 18, avenue Alphonse-de-Neuville, à Garches. Ils ont pour voisins Coco Chanel et André Brulé. Jacques-Georges lui fait connaître le théâtre, les grands couturiers, les bons restaurants et la haute société parisienne. Lorsqu'elle le quitte, elle rencontre Paul Guillaume, le marchand de tableaux qui révéla Picasso, Modigliani et Soutine, qui épousera Marie-Thérèse Walter. Arletty est recommandée à Armand Berthez, directeur du petit théâtre des Capucines. Elle était mannequin chez Poiret sous le pseudonyme d'Arlette, elle devient donc Arletty pour jouer dans des revues de Rip, où la fantaisie et le luxe sont de mise. Elle débute au cinéma en 1930, dans La douceur d'aimer, auprès de Victor Boucher. Dès 1931, elle se distingue dans un premier rôle dans le ravissant film de Jean Choux, Un chien qui rapporte. Elle inspire les peintres Marie Laurencin, Kees van Dongen, Moïse Kisling et Jean-Gabriel Domergue, qui la prennent comme modèle. Elle a pour ami Pierre de Régnier, fils de Marie et Henri de Régnier, mais enfant naturel de Pierre Louÿs. En 1928, elle rencontre Jean-Pierre Dubost, qui restera son fidèle compagnon. Sa carrière sur scène prend un tournant décisif dans l'opérette de Raoul Moretti, Un soir de réveillon, en 1932 aux Bouffes-Parisiens, avec Henry Garat, Dranem et Koval. Elle joue ensuite dans une opérette de Sacha Guitry, sur un livret de Reynaldo Hahn. Puis c'est Le Bonheur mesdames avec Michel Simon, joué près de 500 fois sans interruption, malgré leurs désaccords successifs. Elle fait la connaissance de Louis-Ferdinand Céline. Elle tourne La Guerre des valses de Ludwig Berger avec Fernand Gravey, Dranem et Madeleine Ozeray. C'est dans Pension Mimosas de Jacques Feyder, avec Françoise Rosay, qu'elle fait la connaissance de Marcel Carné. Maison d'Arletty à Belle-Île-en-Mer Jacques Prévert et Marcel Carné lui offriront au cinéma ses plus beaux rôles, dont un film de Carné-Jeanson, Hôtel du Nord, qui la rend célèbre et la fait entrer de son vivant dans la légende du Paris populaire. « Atmosphère, atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? » lance-t-elle à Louis Jouvet, aux pieds d'une passerelle qui enjambe le canal Saint-Martin. Dans un même registre, elle incarne Marie qu'a-d'ça dans Circonstances atténuantes de Jean Boyer, auprès de Michel Simon. Elle lance, gouailleuse : « Pas folle, la guêpe ! » Elle enregistre la chanson de ce film Comme de bien entendu et de nombreuses ritournelles de ses revues ainsi que La Java et Mon homme, pour rendre hommage à sa grande amie Mistinguett. Sous l'Occupation, elle a l'occasion d'interpréter ses plus beaux rôles : Madame sans gêne, de Roger Richebé, et surtout Dominique dans le film Les Visiteurs du soir, avec Alain Cuny, Jules Berry, Marie Déa, et Garance des enfants du paradis de Marcel Carné, avec Jean-Louis Barrault, Pierre Brasseur et Maria Casarès. Le scénario est signé Jacques Prévert. Au théâtre des Bouffes-Parisiens, elle est isabelle dans Voulez-vous jouer avec moa, une comédie de Marcel Achard, avec Pierre Brasseur. Après la Libération, Arletty est arrêtée, non pour faits de collaboration, mais en raison d'une liaison avec Hans Jürgen Soehring (1908-1960), un officier allemand. Ils s'étaient connus à Paris, le 25 mars 1941. Soehring lui avait été présenté ce jour-là par Josée de Chambrun, épouse de René de Chambrun et fille de Pierre Laval. Soehring était à l'époque assesseur au conseil de guerre de la Luftwaffe à Paris. Elle aurait dit à Michèle Alfa et Mireille Balin, qui avaient aussi comme amants des officiers allemands : « On devrait former un syndicat. » Elle est internée quelques jours à Drancy puis à Fresnes. Libérée, on lui conseille de quitter la capitale. Elle trouve refuge pour 18 mois au château de La Houssaye-en-Brie, chez des amis résistants. Prise à partie par l'un des FFI à son arrestation, elle a cette réponse : « Si mon cœur est français, mon cul, lui, est international ! »[réf. nécessaire] Elle aurait aussi rétorqué à un juge d'instruction qui lui demandait des nouvelles de sa santé : « Pas très résistante ! »[réf. nécessaire]. Après la guerre, Hans Soehring se mariera et deviendra consul de la République fédérale d'Allemagne à Léopoldville (aujourd'hui Kinshasa) en République démocratique du congo où il mourra, tué par un crocodile1. Plaque commémorative au n° 14 de la rue de Rémusat à Paris, où Arletty vécut de 1969 à sa mort Au théâtre, elle joue Un tramway nommé désir de Tennessee Williams, avec Daniel Ivernel et un débutant nommé Louis de Funès, puis La Descente d'Orphée avec Jean Babilée. Elle paraît aussi dans Un otage de Brendan Behan avec Georges Wilson. Au cinéma, elle joue dans des films tels que Portrait d'un assassin avec Erich von Stroheim, Gibier de potence avec Georges Marchal, L'Amour Madame, aux côtés de François Périer, Le Grand Jeu avec Gina Lollobrigida, Maxime d'Henri Verneuil avec Michèle Morgan et Charles Boyer. En tournant Et ta sœur, elle fait la connaissance de Jean-Claude Brialy qui débute. Plus tard, elle retrouve Marie Déa et Hélène Perdrière, des amies qui lui resteront fidèles. En 1966, elle perd son frère et Jean-Pierre, son ami intime et unique compagnon de route, malgré des « hauts et des bas ». Elle perd aussi partiellement la vue et doit interrompre Les Monstres sacrés de Jean Cocteau, au théâtre des Ambassadeurs. Elle disparaît de la scène et de l'écran, mais prête sa voix pour différents reportages. A partir de 1984, elle soutient activement l'Association des Artistes Aveugles et sa Présidente fondatrice Marguerite Turlure (qu'elle surnomme "ma Marguerite du Faubourg St-Martin" en ajoutant toujours "moi aussi je suis une fleur des faubourgs" - témoignage de Didier Guelfucci, habitué des après-midi de la rue Rémuzat et bras droit de Mme Turlure), amie de longue date rencontrée par l'entremise de la chanteuse Renée Lebas... Jusqu'à sa mort, Arletty restera fidèle à l'Association des Artistes Aveugles dont elle est pour toujours la Présidente d'Honneur...

humour

Publié à 12:49 par fandeloup
humour

Pourquoi les vaches ne parlent pas ?

Parce que sur le panneau il y a écrit : " La ferme "

lino ventura

Publié à 11:49 par fandeloup Tags : amour chez france enfants fille amis film mort divers neige sport vie complément
lino ventura

Lino Ventura (de son nom complet Angiolino Giuseppe Pasquale Ventura), né le 14 juillet 1919 à Parme en Italie - mort le 22 octobre 1987 à Saint-Cloud, est un acteur italien du cinéma français. Il a débuté dans la lutte professionnelle chez les poids moyens (champion d'Europe poids moyens de lutte gréco-romaine en 1Lino Ventura est le fils de Giovanni Ventura et Luisa Borrini. En 1927, il est âgé de sept ans lorsqu'il quitte l'Italie avec sa mère pour rejoindre son père parti travailler comme représentant de commerce à Paris quelques années auparavant. Par fidélité à ses origines, il n'a jamais consenti à prendre la nationalité française, comme cela lui fut souvent suggéré. Lino Ventura parlait le français sans aucun accent, ayant passé l'essentiel de sa vie en france, et s'exprimait au contraire en italien avec une pointe d'accent français. Il quitte rapidement l'école et commence à travailler dès l'âge de huit ans. Il exercera successivement divers métiers : groom, mécanicien, représentant de commerce et employé de bureau. C'est le sport qui va l'emporter. Il devient lutteur professionnel poids moyens sous le nom de Lino Borrini (qui fut plus tard, de manière erronée, considéré par certains comme son véritable nom). Il sera aussi catcheur. En 1942, il épouse Odette Lecomte son amour de jeunesse dont il a quatre enfants : Mylène en 1946, Laurent en 1950, Linda en 1958 et Clelia en 1961. En 1950, il est champion d'Europe poids moyens de lutte gréco-romaine, puis à la suite d'un accident, une grave blessure à la jambe droite au cours d'un combat contre Henri Cogan (qui deviendra acteur lui aussi), il est obligé d'arrêter. Passionné par son activité, il se reconvertit en organisateur de combats. Il est notamment un habitué de la Salle Wagram à Paris. En 1953, tout à fait par hasard, un de ses amis parle de lui au réalisateur Jacques Becker qui cherchait un italien pour jouer face à Jean Gabin dans son film Touchez pas au grisbi. La rencontre se fait et Jacques Becker lui propose illico le rôle d'Angelo que Lino refusera dans un premier temps. À la sortie de Touchez pas au grisbi, sa présence est telle que toute la profession le remarque. Tombe de Lino Ventura Il est immédiatement adopté par le milieu du cinéma, par Jean Gabin avec qui il devient grand ami et par le public grâce à sa carrure, sa « gueule » et son exceptionnel naturel de comédien qui font de lui l'interprète idéal du film noir, de truand et de policier dur à cuire au grand cœur. Sans avoir pris de cours de comédie, il va rapidement gravir les échelons ; il est tout d'abord acteur de complément, puis accède rapidement aux premiers rôles, son jeu d'acteur s'affinant. Il devient l'un des poids lourds du cinéma hexagonal et restera à tout jamais reconnu comme l'un des meilleurs acteurs du cinéma français. De 1972 à 1982, il aura une liaison avec Yanou Collart, une des plus prestigieuses attachées de presse sur la place de Paris. Ils ne s'en seront jamais cachés. Père d'une enfant présentant un retard mental, à cause d'un problème à la naissance, sa fille Linda née en 1958, il a créé avec son épouse Odette en 1966 l'association humanitaire Perce-Neige à Saint-Cloud, là où il vivait, avec pour but « l'aide à l'enfance inadaptée ». Il décède le 22 octobre 1987 à Saint-Cloud, à l'âge de 68 ans d'une crise cardiaque après 34 ans de carrière cinématographique et 75 films. Il repose au cimetière du Val-Saint-Germain dans l'Essonne.