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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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mci

Publié à 17:47 par fandeloup Tags : merci amour homme enfants bonjour femmes vie
mci

Dans ma jeunesse : En bas du cahier du jour, une leçon de morale tous les jours et d'instruction civique d'un genre lyrique... Afin de parfaire l'éducation de nos enfants, à leurs donner un sens de la vie dans le temps... Réapprendre à dire bonjour,merci, s'il te plait, de laisser avec amour ta place d'assis aux femmes et personnes âgées, de partager et de savoir aider son prochain de ton temps et de tes mains... Cela n'a jamais fait de mal à forger le caractère de l'homme idéal, que l'on devrait réinstaurer de l'école à la terminale... Vos enfants vous remercieront quand ils seront grands, de leur avoir donné une éducation de respect et de civilité, connaîtrons un bonheur fleurissant d'amour et de liberté...

jeanne moreau

jeanne moreau

Jeanne Moreau est une actrice, chanteuse et réalisatrice française, née le 23 janvier 1928 à Paris en france. Elle est la première femme élue à l'Académie des Beaux-Arts de l'Institut de france (en 2000 au fauteuil créé en 1998 dans la section création artistique pour le cinéma et l'audiovisuel).Elle naît en 1928. Son père est le gérant de la brasserie de La Cloche d'or, au coin de la rue Fontaine, à Paris, tandis que sa mère, anglaise, a été danseuse. Après avoir passé une partie de son enfance à Vichy, elle achève ses études secondaires à Paris et commence à suivre, à l'insu de ses parents, les cours de théâtre de Denis d'Inès, alors doyen de la Comédie-Française. Elle entre six mois plus tard au Conservatoire de Paris. En 1949, elle épouse le réalisateur Jean-Louis Richard avec lequel elle a un fils, Jérôme Duvon. En 1951, Orson Welles la remarque. Elle se remarie avec Teodoro Rubanis en 1966 et divorce un an plus tard, s'établissant avec le réalisateur britannique Tony Richardson. En 1977, après un troisième mariage avec le réalisateur américain William Friedkin (la relation ne durera que deux ans), elle part vivre à New York et découvre le livre Solstice de Joyce Carol Oates, une histoire d'amitié entre deux femmes. Jeanne Moreau veut en faire son troisième film, après Lumière et L'Adolescente. Elle écrit le scénario avec l'auteur du livre, mais les Studios Walt Disney, qui sont contactés comme producteurs éventuels, refusent finalement, considérant qu'il s'agit d'une histoire déguisée de lesbiennes, du fait, dans le scénario, de la relation ambiguë entre les deux femmes. En octobre 1946, elle entre comme auditrice à la Comédie-Française, puis début 1947, elle passe le concours d'entrée au Conservatoire. Elle joue un petit rôle dans Le Lever de soleil. En septembre 1947, elle participe au premier festival d'Avignon, avec des petits rôles dans trois pièces (elle joue la suivante de la reine (Léone Nogarède) dans Richard II) et en décembre 1947 elle obtient le rôle de Joas dans Athalie. Initialement à la Comédie-Française, elle débute réellement fin 1950 dans la pièce Les Caves du Vatican d'André Gide, mise en scène par Jean Meyer, dans le rôle de la petite prostituée. Ce rôle lui vaut la couverture de Paris Match et les félicitations de Paul Léautaud. En 1951, suite à la publication d'une photo d'elle dans la pièce Un mois à la campagne, son père la met à la porte de sa maison. Au festival d'Avignon, elle joue aussi le rôle de l'infante dans le Cid, avec Gérard Philipe, alors qu'elle aurait voulu celui de Chimène. En 1952, elle revient au festival d'Avignon avec le rôle de Nathalie d'Orange dans le Le Prince de Hombourg. Elle obtient ensuite un autre rôle de prostituée dans une reprise d'Othello, avec Aimé Clariond dans le rôle titre. C'est à cette occasion qu'Orson Welles, qui prépare l'adaptation cinématographique de la pièce, la découvre. Démissionnant de la Comédie-Française, elle rejoint le TNP de Jean Vilar, se produit au Festival d'Avignon, mais y est mal à l'aise et accepte, sur le conseil de Gérard Philipe, la proposition du Théâtre Antoine pour jouer dans la pièce L'Heure éblouissante d'Anna Bonacci (mise en scène de Fernand Ledoux), un rôle, encore une fois, de prostituée. Lors de cette pièce, elle rencontre Blaise Cendrars. Elle obtient ses premiers rôles au cinéma dans Meurtres de Richard Pottier en 1950, puis dans Touchez pas au grisbi de Jacques Becker en 1954. La même année, elle est une très sensuelle et frivole Reine Margot pour Jean Dréville. En 1956, alors qu'elle joue dans la pièce La Chatte sur un toit brûlant, elle rencontre Louis Malle qui prépare le film Ascenseur pour l'échafaud et le scénariste Roger Nimier qui lui présente Paul Morand. Cette œuvre révèle toute la subtilité de son jeu et Les Amants, qui fait scandale lors de sa sortie, lui donne l'image d'une héroïne moderne. En 1958, lors du Festival de Cannes, elle rencontre François Truffaut qui prépare le film Jules et Jim et Henri-Pierre Roché, l'auteur, qui meurt peu après. Suite au succès du film, elle rencontre Anaïs Nin qui veut Jeanne Moreau pour incarner son héroïne. Le film ne se fait pas, mais une solide amitié est née. Elle part en Californie pour jouer dans une série de films et, lors d'une soirée, Anaïs Nin lui présente Henry Miller qui lui dit un jour : « Surtout, ne dites jamais aux gens avec qui vous travaillez que nous sommes amis, votre réputation serait fichue ». Elle se lie aussi d'amitié avec Tennessee Williams et Peter Brook. Alors qu'elle joue dans la pièce La Chevauchée sur le lac de Constance, elle rencontre Patricia Highsmith, qui vivait près de Fontainebleau, et avec laquelle elle se lie d'amitié. Pour Roger Vadim, elle incarne un avatar de la marquise de Merteuil auprès de son compère de toujours Gérard Philipe dans Les Liaisons dangereuses 1960, transposition contemporaine du roman de Choderlos de Laclos. Elle obtient le Prix d'interprétation féminine du Festival de Cannes 1960 pour Moderato cantabile de Peter Brook, d'après Marguerite Duras. En 1961, Michelangelo Antonioni lui confie le premier rôle de La nuit aux côtés de Marcello Mastroianni et de Monica Vitti. Eva de Joseph Losey, Le Procès d'Orson Welles et La Baie des anges de Jacques Demy confirment sa réputation de comédienne exigeante et rigoureuse, prête à mettre son talent au service d'œuvres ambitieuses et de metteurs en scène audacieux. 1962 marque un tournant dans la carrière de Jeanne Moreau avec le film Jules et Jim de François Truffaut. Le producteur Jacques Canetti sort la bande originale du film Le tourbillon, que Jeanne interprète dans le film avec Serge Rezvani à la guitare. Le succès est immédiat. Sa carrière en tant que chanteuse démarre avec deux albums originaux de Serge Rezvani (alias Cyrus Bassiak) en 1963 et 1967, dont le fameux J'ai la mémoire qui flanche et Tout morose (accompagnée par Elek Bacsik à la guitare, et Michel Gaudry). Suivront d'autres albums dont, en 1981, l'album sur des textes du poète belge Norge (le nombril, Pas bien...), toujours enregistré par Jacques Canetti. Dès lors, elle ne cesse d'être sollicitée par de très grands réalisateurs : Luis Buñuel (Le Journal d'une femme de chambre), Tony Richardson (Mademoiselle, Le Marin de Gibraltar) Bertrand Blier (Les Valseuses), Elia Kazan (Le Dernier Nabab), André Téchiné (Souvenirs d'en france), Rainer Werner Fassbinder (Querelle), Michel Deville (Le Paltoquet), Theo Angelopoulos (Le Pas suspendu de la cigogne), Wim Wenders (Jusqu'au bout du monde, Par delà les nuages co-réalisé avec Antonioni) ou plus récemment Amos Gitaï (Désengagement, Plus tard tu comprendras). Elle a retrouvé Truffaut dans un drame policier adapté de William Irish : La mariée était en noir en 1968 et avait également retourné avec Louis Malle trois ans auparavant dans Viva María ! où elle donnait la réplique à Brigitte Bardot. Pour sa prestation, elle avait d'ailleurs remporté un BAFTA en 1967. Losey a aussi fait de nouveau appel à elle pour Monsieur Klein et La Truite. Encouragée par Orson Welles, elle passe à la réalisation avec Lumière en 1976 et L'Adolescente en 1979. Jean-Pierre Mocky révèle ses talents comiques dans Le Miraculé avec Michel Serrault et Jean Poiret et l'adaptation de Frédéric Dard par Laurent Heynemann : La Vieille qui marchait dans la mer, lui vaut le César de la meilleure actrice en 1992. Jeanne Moreau est souvent revenue au théâtre et toujours avec des prestations mémorables comme en 1973 dans La Chevauchée sur le lac de Constance de Peter Handke. En 1986, elle triomphe dans Le Récit de la servante Zerline d'Hermann Broch pour lequel elle obtient de nombreuses distincions dont un Molière. En 1989, elle revient au festival d'Avignon dans le rôle-titre de La Célestine de Fernando de Rojas. Pour la télévision, elle collabore notamment avec Jean Renoir (Le Petit Théâtre de Jean Renoir), Jacques Doillon (L'Arbre) et de nombreuses fois avec Josée Dayan (Balzac, Les Misérables, Les Parents terribles, Les Rois maudits). La réalisatrice lui offre d'ailleurs, pour le grand écran, le rôle de son amie Marguerite Duras dans Cet amour-là, d'après le témoignage du dernier compagnon de l'auteur. Actrice célébrée par les cinéphiles du monde entier, jouissant d'une filmographie de grand prestige, elle reçoit des mains de Sharon Stone en 1998 un hommage de l'Académie des Oscars pour l'ensemble de sa carrière. Il s'agit de la plus haute distinction délivrée par cette Académie pour une comédienne internationale, en reconnaissance de sa contribution à l'histoire du cinéma. avec Juliette Binoche en 2009 Elle a également interprété de nombreuses chansons en français, écrites principalement par Serge Rezvani, Géo Norge, Elsa Triolet, Marguerite Duras (India Song), ainsi que certaines inspirées par la musique brésilienne composées par Antoine Duhamel sur ses propres textes. Elle est la seule comédienne à avoir présidé deux fois le jury du Festival de Cannes : en 1975 et en 1995. Elle y a aussi été plusieurs fois maîtresse de cérémonie. Elle a également présidé l'Académie des Césars entre 1986 et 1992. La filmographie de Jeanne Moreau a toujours laissé une place importante à la jeune génération de cinéastes européens. De fait, elle participe activement depuis 2003, d'abord comme présidente du jury, puis comme marraine fidèle, au Festival international des jeunes réalisateurs Premiers plans d'Angers. En 2005, en parallèle au festival Premiers plans, Jeanne Moreau crée une école de cinéma, Les Ateliers d'Angers qui est une main tendue à la relève. Chaque année depuis 2005, cette formation accueille une vingtaine de jeunes réalisateurs européens en quête de perfectionnement en techniques cinématographiques, afin de passer du court métrage au long métrage. En 2010, elle enregistre l'intégrale du "Condamné à mort" de Jean Genet, interprété avec Etienne Daho et réalisé par ce dernier, à l'occasion du centenaire de l'anniversaire de naissance de l'écrivain. Elle revient en Avignon en Juillet 2011 pour interpréter avec Etienne Daho l'intégrale du "Condamné à mort" .

indien

Publié à 17:38 par fandeloup Tags : homme
indien

L'homme naît sans dents, sans cheveux et sans illusions, et il meurt de même, sans cheveux, sans dents et sans illusions..!!!!

danielle darieux

Publié à 17:33 par fandeloup Tags : bébé musique france fille film femmes mort art prénom actrice
danielle darieux

Danielle Darrieux, née le 1er mai 1917 à Bordeaux, est une actrice française. En huit décennies de carrière, Danielle Darrieux a traversé l’histoire du cinéma parlant et a une carrière parmi les plus longues du cinéma. Elle est aujourd'hui l'une des dernières actrices mythiques du cinéma mondial. Excellente comédienne, elle s'est montrée à son aise dans tous les genres, avec un égal bonheur, depuis les jeunes filles ingénues dans des comédies musicales « à la française », aux jeunes filles romantiques de drames historiques, la Marie Vetsera de Mayerling (1936) d’Anatole Litvak et la Catherine Yourevska de Katia (1938) de Maurice Tourneur, en passant par les mélodrames et les comédies pétillantes d’Henri Decoin dont Abus de confiance (1938), Retour à l'aube (1938), Battement de cœur (1939), Premier rendez-vous (1941), jusqu'aux sommets de sa carrière que représentent notamment Occupe-toi d'Amélie (1949) de Claude Autant-Lara, La Vérité sur bb Donge (1952) de Decoin et surtout les films de Max Ophüls. Après la bourgeoise de La Ronde, Ophüls lui fera jouer une prostituée dans Le Plaisir et enfin lui offrira son plus beau rôle dans Madame de... La comédienne, bien des années avant Brigitte Bardot, va imposer les initiales de son prénom et de son nom : DD. Danielle Darrieux voit le jour en 1917 à Bordeaux au sein d’une famille de mélomanes, mais passe son enfance à Paris. La mort prématurée de son père contraint sa mère à donner des leçons de chant pour subsister. Danielle en retire très tôt un goût prononcé pour la musique. Elle est dotée d’une voix menue mais juste et claire. Elle prend également des cours de violoncelle et de piano, rentrant même au Conservatoire de musique (études de violoncelle).

C’est par l’intermédiaire du mari d’une élève de sa mère, Marie Serta, qu’elle apprend que deux producteurs, Delac et Vandal, recherchent une héroïne d'environ treize ou quatorze ans pour leur prochain film Elle se présente et passe des essais aux studios d’Epinay qui se révèlent concluants. Elle débute à 14 ans pour un premier rôle dans Le Bal (1931) de Wilhelm Thiele et tout de suite, séduisant les producteurs par son allant et sa spontanéité, elle décroche un contrat de cinq ans. Danielle Darrieux ne pensait pas initialement exercer le métier d'actrice, et n'a jamais pris de cours d'art dramatique. « Jeune première idéale » du cinéma français dans les années 1930, elle a connu un succès qui ne s'est jamais démenti. Elle a beaucoup tourné, évoluant discrètement avec les années. » Sa carrière commence avec des rôles de gamine facétieuse et fantasque aux côtés des plus grands acteurs populaires du cinéma français d'avant-guerre : Jean-Pierre Aumont, Henri Garat, Pierre Mingand et surtout Albert Préjean avec qui elle forme, en six films, le couple de charme des comédies musicales françaises des années 1930 (La crise est finie, Dédé, Quelle drôle de gosse...) Dès son premier film,elle chante et interprète, dans bon nombre de ses films (bien souvent dans des compositions de Georges Van Parys) des chansons populaires qui font la joie du public. La crise est finie, Un mauvais garçon, Une charade et Premier rendez-vous que la france entière fredonnera pendant des mois durant l’Occupation. Durant cette période, elle a aussi tourné dans le film Mauvaise graine (1933), réalisé par un scénariste autrichien exilé, fuyant l’Allemagne nazie, Billy Wilder. Un film tourné dans les rues de Paris en décors naturels, « C’était une sorte de film d’avant-garde » dira Wilder2. Elle devient en 1935, l'épouse du réalisateur Henri Decoin, rencontré un an plus tôt lors du tournage de L'Or dans la rue3, il lui fait tourner des comédies charmantes qui, aujourd'hui encore, font la joie des cinéphiles : J'aime toutes les femmes, Le Domino vert, Mademoiselle ma mère... On la surnomme alors, la fiancée de Paris  et elle triomphe déjà au box-office. « Le succès, c’est un mystère, j’ai réussi peut-être parce que mon personnage n’était pas courant sur les écrans : je veux dire par là que je n’étais simplement qu’une jeune fille, alors que les autres gamines de quatorze ans jouaient déjà à la vamp.

indien

Publié à 17:30 par fandeloup Tags : vie
indien

Chacun recèle en lui un trésor inestimable, un potentiel de vieextraordinaire qui lui donne le pouvoir de mener une existence heureuse et riche. L'esprit humain est d'une incroyable maléabilité , celuis qui sait comment infléchir son esprit dans le sens de ses aspirations possède incontestablement les clefs de son destin. Se libérer de ses tendances ...

greta garbo

Publié à 17:27 par fandeloup Tags : actrice amour film vie écran
greta garbo

Greta Garbo, de son vrai nom Greta Lovisa Gustafsson, est une actrice suédoise, née le 18 septembre 1905 à Stockholm en Suède et morte le 15 avril 1990 à New York, aux États-Unis. Elle fut surnommée « la Divine ». Federico Fellini a dit d'elle : « Elle fut la fondatrice d'un ordre religieux appelé cinéma ». Garbo a gardé sa vie privée hors des feux de la rampe. « I want to be alone » (« Je veux être seule »), l'une de ses tirades les plus célèbres à l'écran, dans Grand Hotel, lui a été faussement attribuée à la ville. Garbo rectifia cependant après le film, arguant qu'elle n'avait jamais dit qu'elle voulait être seule, mais qu'elle voulait qu'on la laisse tranquille (« I never said, 'I want to be alone.' I only said, 'I want to be let alone.' There is all the difference. »). Selon les lettres privées dont la publication a été autorisée en Suède en 2005 pour marquer le centenaire de sa naissance , il semblerait qu'elle ait été enfermée sur elle-même et assez dépressive. Il semblerait également que Greta Garbo soit restée célibataire aux États-Unis en raison d'un amour homosexuel pour l'actrice suédoise Mimi Pollak avec qui elle entretint une relation épistolaire qui dura 60 ans. Lors de la naissance du fils de Mimi Pollak, elle lui envoie un télégramme en ces termes : « Incredibly proud to be a father » (« Incroyablement fière d'être père »). Sa liaison hétérosexuelle la plus célèbre fut avec l'acteur John Gilbert. Se partageant le premier rôle pour la première fois dans Flesh and the Devil, leur « intensité érotique » se retrouve hors des studios. Il est dit que Gilbert demanda Greta Garbo en mariage trois fois et qu'il ne fut pas le seul. L'éditeur suédois Lars Saxon l'aurait aussi demandée en mariage, mais lui reçut une lettre qui confirmait que Garbo « resterait toute sa vie célibataire. Le mot « épouse » est tellement laid » (« I will probably remain a bachelor all my life. "Wife" is such an ugly word. »). Elle fut également la maîtresse du chef d'orchestre Leopold Stokowski qui avait quitté pour elle son épouse Olga Samaroff. En dépit de certaines rumeurs, il ne fut pas question de mariage entre eux. L'écrivain Mercedes de Acosta, dont les lettres de Garbo lui étant adressées furent publiées en 2000, dit avoir eu une longue relation avec elle. Elle a également été liée de façon plus ou moins platonique avec les actrices Marlene Dietrich, Claudette Colbert, Joan Crawford, Louise Brooks, Ona Munson, avec l'auteur Salka Viertel. Son biographe Barry Paris note « qu'elle était techniquement bisexuelle, principalement lesbienne

muriel

Publié à 17:21 par fandeloup Tags : amis coeur livre
muriel

Chacun de nous a son passé renfermé en lui comme les pages d'un vieux livre qu'il connaît par coeur, mais dont ses amis pourront seulement lire le titre...

richard burton

Publié à 17:15 par fandeloup Tags : homme enfants travail fille film mort vie poésie
richard burton

Richard Burton, né Richard Walter Jenkins le 10 novembre 1925 à Ponthrydyfen (Pays de Galles) et décédé le 5 août 1984 à CDe son vrai nom Richard Walter Jenkins, Richard Burton naît le 10 novembre 1925 dans le village de Ponthrydyfen, près de Port Talbot, au Pays de Galles. Il est le douzième des treize enfantsde Richard Walter Jenkins (1876-1957) et Edith Thomas (1883-1927). Il grandit dans une communauté de mineurs de confession presbytérienne, où le gallois est la langue d'usage. La mère de Richard Burton meurt des suites d'une fièvre puerpérale après avoir donné le jour à Graham (1927). C'est alors sa sœur aînée, Cecilia, qui prend soin de lui et l'élève avec son mari, Elfed James. Toute sa vie, Richard Burton restera très proche de son deuxième frère aîné, Ifor Jenkins (1906-1972), dont la mort le laissera désemparé et le fera plonger dans son addiction à l'alcool. Très tôt, Richard se révèle très bon élève et se passionne pour la poésie et l'écriture. Mais à l'âge de seize ans, il est forcé d'arrêter l'école et de trouver un travail. Son ancien professeur, Philp Burton, qui reconnaît son talent et l'encourage à perdre son accent gallois, l'adopte légalement et lui permet de retourner étudier. Richard prend alors son nom et devient: Richard Burton. En 1943, il est autorisé à entrer pour six mois au Collège d'Exeter, au sein de la prestigieuse Université d'Oxford, parce qu'il appartient à la Royal Air Force. En 1952, Richard Burton devient célèbre pour son rôle dans Ma cousine Rachel, de Henry Koster, qui lui vaudra une nomination aux Oscars. En 1954, il débute à la radio en tant que narrateur de Under milk wood, de Dylan Thomas, rôle qu'il va reprendre au cinéma vingt ans plus tard. C'est au cours du tournage de Cléopâtre que Richard va rencontrer Elizabeth Taylor, avec laquelle il va entretenir une liaison plus qu'orageuse très médiatisée. À bord d'un vol le ramenant du Mexique en Californie, Richard Burton est assis à côté d'un jeune homme travaillant dans le marketing, mais très intéressé par le métier d'acteur. Il lui conseille alors de tout abandonner et de se consacrer uniquement au cinéma s'il veut réussir dans cette voie. Le jeune homme en question n'est autre que Kevin Costner, qui, apparemment, a suivi à la lettre les conseils de Richard Burton... Alors qu'il allait s'envoler le lendemain pour Berlin pour commencer le tournage du film Les Oies sauvages II, Richard Burton décède subitement d'une hémorragie cérébrale le 5 août 1984 à Céligny (canton de Genève), où il est enterré au vieux cimetière à côté de l'écrivain Alistair MacLean éligny (Suisse) à 58 ans, était un acteur gallois.Insomniaque et alcoolique notoire, Richard Burton se mariera cinq fois, dont à deux reprises avec Elizabeth Taylor. Le 5 février 1949, il épouse Sybil Williams (née le 27 mars 1929), dont il aura deux enfants : Kate Burton, (10 septembre 1957), et Jessica Burton, (1960), née autiste. Le 5 décembre 1963, il divorce afin de pouvoir épouser sa maîtresse Elizabeth Taylor le 15 mars 1964. Ensemble, ils adopteront une fille, Maria, née en Allemagne en 1961. Après un premier divorce prononcé le 26 juin 1974, Richard et Elizabeth se remarient le 10 octobre 1975 et divorcent à nouveau le 1er août 1976. Ils auront une relation tumultueuse marquée par des coups et blessures. De 1976 à 1982, Richard est marié à Susan Hunt ; le mariage se solde là aussi par un divorce. Enfin, le 3 juillet 1983, Richard épouse Sally Hay, qui partagera sa vie jusqu'à sa mort.

chien et chat

Publié à 17:12 par fandeloup Tags : vie amour
chien et chat

La seule vérité c'est de s'aimer, et s'accepter tel que nous sommes. Nous avons en nous tant de richesse, à partager aussi si nous voulons, donner le meilleur de nous même, il est indispensable de s'aimer. Notre faculté à développé notre amour, grandit alors de jour en jour, et nous pouvons partager ainsi, ce don que nous a donner la vie

james dean

Publié à 17:08 par fandeloup Tags : chez travail film mort pub sport
james dean

James Byron Dean (né le 8 février 1931 à Marion - 30 septembre 1955 à Cholame en Californie) était un acteur américain. Comme Bruce Lee ou Marilyn Monroe, son décès tragique et prématuré, au faîte de sa gloire, a participé au mythe et à son inscription au panthéon du cinéma américain. Il est le symbole de la jeunesse en désarroi des années 1950 et a reçu deux nominations à l'Oscar du meilleur acteur à titJames Dean naquit à Marion dans l’Indiana le 8 février 1931 comme fils unique de Winton Dean (1907-1995) et Mildred Wilson Dean (1910-1940). Sa naissance 6 mois après le mariage de ses parents fut mal perçue dans cette petite ville de l'Indiana. Il se sentit très proche de sa mère aimante mais resta incompris par son père froid et distant. Six ans après l'abandon du travail de la ferme par son père pour devenir technicien dentaire dans un laboratoire, sa famille partit s’installer à Santa Monica en Californie. James Dean entra alors à la public school du quartier de Brentwood à Los Angeles. Il y resta jusqu’à la mort de sa mère en juillet 1940 alors qu'il avait 9 ans. James Dean ne sut apparemment pas les causes du décès de sa mère — un cancer du col utérin — le cancer était un sujet tabou à l'époque. Cette disparition le laissa dans un profond désarroi. James Dean confia plus tard à Elizabeth Taylor qu'il fut violé à l'âge de 11 ans par son pasteur. Cette révélation fut rapportée par une interview réalisée en 1994 par Kevin Sessums1. Incapable d'élever son fils, Winton Dean l'envoya dans l’Indiana à Fairmount, pour vivre chez son oncle et sa tante, Marcus et Ortense Winslow. Il reçut une éducation quaker. Au lycée, il s’initia au théâtre et pratiqua le basket-ball. Sa taille de 1m73 (selon IMDB) ne l’empêcha pas d’être un très bon joueur mais sa myopie l'empêcha de se révéler complètement dans ce sport. Après avoir obtenu son diplôme en 1949, à l'âge de 18 ans, il quitta Fairmount pour Los Angeles, où il rejoignit son père qui s'était remarié. Il entra à l'Université de Santa Monica où il fut intégré dans la confrérie des Sigma Nu. Il fut ensuite transféré vers l’Université de Californie à Los Angeles. À cette époque il s’investit totalement dans le théâtre malgré l'opposition de son père. James Dean quitta le domicile de son père pour vivre dans un appartement avec son ami William Bast. Il vécut grâce à des petits boulots tels que gardien de parking. James Dean commença sa carrière d’acteur en tournant dans une pub pour le Pepsi-Cola. Il quitta l’université pour pouvoir se consacrer entièrement à sa passion de comédien et s'inscrivit comme auditeur puis élève des cours de comédie à l'Actors Studio de New York. Il fit alors des apparitions dans différentes séries de télévision comme : Kraft Television Theater, Studio One, Lux Video Theatre, Danger, Robert Montgomery Presents et General Electric Theater. Il joua également au théâtre où il connut un grand succès à Broadway à New York, jouant le rôle du jeune Arabe Bachir dans la pièce d’André Gide, L'Immoraliste, qui le fit obtenir le prix du jeune acteur le plus prometteur de l'année et le propulsa dans le monde du cinéma. Il apparut dans différents films peu connus, mais c’est son rôle de Cal Trask dans À l’est d’Éden, où il reçut d’ailleurs une nomination aux Oscars dans la catégorie meilleur second rôle masculin (première nomination posthume de l’histoire des Oscars), qui le rendit célèbre et révéla tout son génie dramatique. Il enchaîna ensuite avec La Fureur de vivre, puis Géant, son dernier film pour lequel il reçut également une nomination aux Oscars dans la catégorie meilleur acteur.