aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Photos d'enfants sur le web : Pourquoi il ne faut pas les poster.
Le signal d'alarme est tiré par la spécialiste d'internet Ammy Webb. Pour elle, les logiciels de reconnaissance faciale permettront de reconnaître, adultes, les enfants dont les photos sont en ligne.
ANONYMAT.
À la tête de Webbmedia Group, Ammy Webb, l’une des plus influentes stratège actuelle, ne mâche pas ses mots : "poster" en toute insouciance sur les réseaux sociaux commeFacebook, Twitter ou YouTube des photos de ses enfants peut gravement compromettre leur avenir.
Car les techniques de reconnaissance faciale n’en sont qu’à leur début. "À terme, ces enfants devenus adultes pourront aisément être identifiés " prévient-elle.
Et ce d’autant plus facilement qu’un nombre considérable de documents peut se retrouver mis en ligne.
Fini l’anonymat !
Reconnaissance faciale : gare aux photos d'enfants sur les réseaux sociaux! Ammy Webb, l’une des stratèges américaines les plus pertinentes aujourd’hui sur les développements du web, met en garde contre la mise en ligne des photos de vos enfants sur Facebook… ou ailleurs.
En cause :
les techniques de reconnaissance faciale.
Aucun adulte ne pourra plus échapper aux « tags » si ses parents, agissant en toute innocence, ont posté des photos de leur première communion, de leur premier plongeon dans la piscine, de leur anniversaire avec papy et mamie… ou de leur large sourire cerné par l’acier disgracieux d’un appareil dentaire.
Chacun devra donc assumer, à son corps défendant, un passé qu’il ne tient pas forcément à exposer surtout à l’heure où les entreprises « scannent » les réseaux au moment de recruter un collaborateur.
On peut également penser aux services de police de tous ordres, très intéressés par ces développements qui permettraient si nécessaire de remonter des pistes familiales ou amicales lointaines pour des individus recherchés…
Pour l’heure, les techniques de reconnaissance sont loin d’établir de telles performances, et ne seront sans doute jamais à même de le faire pour des visages d’enfants âgés de moins de sept ans : leurs traits sont en effet trop changeants et différents de ceux qu’ils seront adultes pour pouvoir établir des points de comparaison nécessaires aux algorithmes.
C’est du moins ce que montrent les recherches de Stuart Gibson, chercheur à l’université de Kent. Mais dans quelques courtes années, voire décennies ? Des essais de « vieillissement » des visages sont d’ores et déjà tentés, notamment dans le cadre de la recherche d’enfants disparus depuis de longues années.
Voilà pour le « bon » côté de cette application.
Mais l’inverse ? Si l’on parvenait à « rajeunir » le visage, quelle boîte de Pandore ouvrirait-on ?
Vous savez que le mot « curieux » vient du mot latin cura : le soin ? Soyons fiers de notre défaut ; être curieux, c'est prendre soin. Soin du monde et de ses habitants.
J'observe 3 principes qui sont chers à mon ♥.
Le 1er est la bonté.
Le 2ème, la frugalité.
Le 3ème, la modestie.
Parce que je suis bon, j'ai du courage. Parce que je suis modeste, je peux ëtre un guide.
La joie de vivre est la chose la plus facile à transmettre et à communiquer.
A tous ceux qui enseignent aujourd'hui n'oubliez pas pourquoi vous enseignez ,merci pour eux
Vous dites : c’est fatigant de fréquenter les enfants. Vous avez raison. Vous ajoutez : parce qu’il faut se mettre à leur niveau, se baisser, s’incliner, se courber, se faire petit. Là, vous avez tort. Ce n’est pas cela qui fatigue le plus. C’est plutôt le fait d’être obligé de s’élever jusqu’à la hauteur de leurs sentiments. De s’étirer, de s’allonger, de se hisser sur la pointe des pieds. Pour ne pas les blesser.
La douceur est ce qui ressemble le plus à l'Amour, oui plus encore que la générosité, plus encore que la compassion. Elle ne se confond d'ailleurs ni avec l'une, ni avec l'autre, quoiqu'elle les accompagne le plus souvent.
Quand on quitte l'enfance, on s'en rend compte du jour au lendemain...
Quand on n'a plus envie de monter sur le siège auto dans la voiture,
quand on n'a plus envie de jouer à la poupée et aux polly pockets,
quand, subitement, on se dit que c'est débile de s'amuser à dessiner des soleils sur une feuille,
et que c'est stupide de laisser une veilleuse allumée dans le coin de sa chambre pendant la nuit;
quand on ne pique plus de colère parce que notre doudou préféré s'est caché sous le lit, alors on n'est plus un enfant.
Mais quand on est un adolescent, on se cherche, on ne sait pas. On se pose plein de questions, on ne sait pas quoi faire, on s'ennuie. On rigole pour des choses qui petit à petit ne nous font plus rire. On réfléchit, on se raisonne, puis on fait des choix, on fixe nos priorités. On s'attache aussi, et on s'endurcit à chaque épisode pénible de notre vie. On souffre, bien souvent. Trop souvent. On se renferme sur nous-même, au coeur de la dépression. On dérape, on va de plus en plus mal, puis on décide, aussi subitement que d'arrêter de sucer son pouce, de reprendre notre vie en main, de faire le tri dans nos amis, d'arrêter de critiquer tous ces gens desquels on s'est moqué sans raisons. Tout ça, on le rectifie. Puis on ne pense plus à maintenant, mais à après, et on se dit que tout ne va pas être si simple.
On commence à avoir peur de se lancer tout seul, fragile, dans la vraie vie. On redoute ce moment où il faudra penser à tout, ou du moins, essayer d'oublier le moins de choses possible. On redoute tous ce moment où nous n'aurons plus autant de temps pour nous amuser, où nous n'en serons plus capables... On ressasse, on rumine. On se dévalorise, aussi. On se rabaisse, on se croit inférieur au moindre être vivant que l'on croise. Puis avec le temps, on se dit qu'il y a peut-être un peu d'espoir pour que nos rêves se réalisent, on y croit, dur comme fer, parce que l'espoir fait vivre. On y croit, on veut se surpasser, on veut y arriver.
Et n'oublions pas, nous aimons, aussi. Nous aimons comme nous détestons. Nous sommes munis des deux extrêmes qui sont à utiliser à bon escient. Malgré cela, bien souvent, nous ne contrôlons pas nos sentiments. Nous vivons sur un petit nuage, qui s'évapore trop de fois. Nous sommes alors abattus, mais nous nous relevons, toujours plus forts pour affronter l'avenir, sans pour autant oublier le passé. Tous ces symptômes sont parfois durs à reconnaître et à admettre, mais une fois dépisté, le diagnostic de cette maladie très contagieuse est facile à établir.
Cette maladie qui a touché tant d'enfants? Grandir...