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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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abandon et maltraitance vidéo

Ce que l'industrie du thon ne veut pas vous montrer

Publié à 16:02 par fandeloup Tags : animaux
Ce que l'industrie du thon ne veut pas vous montrer

La vidéo choc de Greenpeace sur les méthodes des pêcheurs de thon (vidéo)

ENVIRONNEMENT

- Depuis septembre, la pêche au thon est dans le viseur des écologistes. Orchestrée par Greenpeace, la campagne "Que cache votre boîte de thon?" atteint son apogée ce mardi avec la mise en ligne de vidéos choc tournées par des pêcheurs à bord de leurs propres bateaux battant pavillon français et espagnols, et diffusées en avant-première sur le HuffPost (voir ci-dessus).

Ces images décrivent par le menu une des techniques de pêche les plus destructrices. Ici, ce sont effectivement les dispositifs de concentration de poissons (DCP), disséminés dans l'Océan indien, qui sont pointés du doigt.

On découvre dans la vidéo toutes les espèces prises dans les filets des pêcheurs, du requin baleine (espèce protégée), à la raie, en passant par les thons trop jeunes pour être pêchés et les requins soyeux (qui s'associent souvent au thon).

Quelques tortues font même partie des "victimes collatérales" de cette méthode... "Blessés ou parfois déjà morts, ces animaux n'ont quasiment aucune chance de survie une fois pêchés, explique Hélène Bourges, chargée de campagne pour Greenpeace. Ils sont relâchés tels quels dans l'océan, au mépris de toutes les règles de sauvegarde des espèces menacées ou protégées".

pétition

Publié à 19:29 par fandeloup Tags : film merci
pétition

16 élevages, 5 pays, 1 résultat : des millions de lapins élevés dans des minuscules cages nues, sans aucune prise en compte de leurs besoins comportementaux.

Merci de regarder notre film d'enquête aujourd'hui, et de signer la pétition pour créer une nouvelle ère sans cage.

Les détails de l'enquête : http://www.ciwf.fr/campagnes/une-nouvelle-ere-sans-cage/enquete-lapin

La pétition à signer : http://bit.ly/1nx3eKi

choc

Publié à 10:47 par fandeloup Tags : animaux
choc

AUTOROUTES DE L’ENFER (vidéo)

Entassés dans des remorques surchargées et forcés d'endurer des conditions éprouvantes par tous les temps, même les plus extrêmes, sans nourriture, eau ou repos, plus de 8 millions d'animaux de ferme arrivent chaque année dans les abattoirs canadiens déjà morts, ou si malades ou blessés qu'ils doivent être tués lors du déchargement.

Une nouvelle enquête en caméra cachée de Mercy For Animals Canada dévoile des abus choquants et une négligence révoltante envers les animaux au sein de l'industrie du transport des animaux d'élevage.

DEMANDEZ À GERRY RITZ, LE MINISTRE DE L'AGRICULTURE, DE METTRE À JOUR L' ARCHAÏQUE RÉGLEMENTATION CANADIENNE SUR LE TRANSPORT DES ANIMAUX

Monsieur le Ministre,

J'ai été horrifié(e) de voir des images vidéo filmées en caméra cachée et dévoilant l'occurrence d'abus brutaux envers les animaux au sein de l’industrie canadienne du transport d'animaux d'élevage. La vidéo montre des animaux chargés en surnombre dans des camions de transport, sans protection contre les conditions climatiques extrêmes et sans accès à de la nourriture ou de l'eau; des cochons "couchés" si malades ou blessés qu’ ils sont incapables de marcher, recevant de douloureuses décharges d’aiguillons électriques; des travailleurs utilisant des coupe-boulons pour couper, sans aucun analgésique, les défenses des porcs mâles; et des animaux morts pendant leur transport. Peut-être le plus choquant est le fait que tout cela ait lieu sous la surveillance d'inspecteurs du gouvernement.

frank

Publié à 19:04 par fandeloup Tags : vie amour heureux chien
frank

Frank a été battu comme petit chiot et il a passé sa vie à la rue. En plus de toutes ces choses horribles il est sourd à cause d'une infection aux oreilles... Heureusement, Frank a été sauvé, amené à un asile et puis, enfin, il a pu être adopté.

Sa nouvelle famille l'a traité avec autant d'affection que le petit Frank est un petit chien tout heureux aujourd'hui qui n'arrête pas de battre avec sa queue en dormant! Partagez cette vidéo, qui est la plus grand preuve pour le pouvoir sacré de l'amour.

Sublime! Est-ce que tu voudrais voire la pouvoir de l'amour? Alors regarde cette vidéo à propos de Frank... Tu ne vas pas pouvoir deviner à quel point ce chien est heureux... même en dormant!!!

honteux

Publié à 19:58 par fandeloup Tags : chez chat infos chats revenu bonne
honteux

Tentative de noyade d’un chat au camping "Les Gardenias" à Remouchamps et complicité entre les gérants du camping pour étouffer ce cas de maltraitance Je sais que la plupart des gens de Fb ne lisent pas plus de trois lignes

Mais je me dois de relater l’histoire des chats du camping « Les Gardenias » de Nonceveux !!

Les faits se sont déroulés le 25 aout, deux résidents du camping sont venus catastrophés à notre domicile nous informant qu’un individu avait voulu noyer un de ses chats noir et par la même occasion ils voulaient que nous recueillions un des deux jeunes chats sauvé.

Nous les avons envoyés chez notre vétérinaire afin d’y déposer la jeune femelle blanche et de vérifier son état général, le temps de l’enquête et nous nous sommes immédiatement rendu sur les lieux pour essayer de récupérer le deuxième.

Le petit rescapé était introuvable.

26 Aout nous sommes retournés à la caravane ou les faits ont eu lieu afin de déposer une trappe car selon le voisinage le jeune chat serait revenu sur place et aurait miaulé pendant des heures, et continuer à récolter des infos.

Peu de temps après notre arrivée, nous avons été interpellé par la « gérante « du camping une dénommée Madame L de Nonceveux, qui a exigé d’immédiatement quitter les lieux. Peu de temps après le propriétaire du camping nous a restitué la cage trappe en nous disant qu’il n’y avait plus de problème et plus de chat noir.

Conclusion :

Je tiens à remercier les résidents du camping pour avoir libéré le chat blanc de la caravane en forçant une fenêtre, car le propriétaire des chats les avait laissés sans nourriture et eau prétendant partir en Espagne.

Je tiens aussi à remercier notre vétérinaire le docteur Culot qui a pu mettre le chat blanc à l’abri et qui va s’occuper de trapper le chat noir car nous sommes indésirables sur le camping qui est un endroit privé. Par contre l’attitude de madame L et du propriétaire du camping est inadmissible, vouloir étouffer une affaire de maltraitance animale sûrement par peur de la mauvaise publicité est des plus bas…

Dommage d’en arriver là afin d’essayer de préserver une bonne réputation. Une plainte pour maltraitance a été déposée à la police d’Aywaille, nous avons toutes les vidéos des témoignages des résidents du camping « les gardénias » …

De notre côté cela n’en restera pas là, une plainte sera déposée au SPF bien être et à la RSPA. Nous vous tiendrons informé de la suite du dossier car le plus important est de retrouver ce jeune chat noir et de le mettre à l’abri… Bien à vous

triste

Publié à 11:37 par fandeloup Tags : enfants vie monde
triste

9 parcs dans le monde détiennent des orques.

Parmi eux, le Marineland d'Antibes. Freya, la seule survivante de captures pourtant récentes (années 70-80) a eu 5 enfants.

4 d'entre eux sont morts.

Si les delphinariums étaient les paradis qu'ils prétendent être, toutes les orques capturées depuis 1970 devraient encore être en vie aujourd'hui.

Phajaan est une méthode traditionnelle pour briser l’esprit

 Phajaan est une méthode traditionnelle pour briser l’esprit

Faire de l'éléphant en Thaïlande... ce qu'on cache aux touristes Après nos récents articles sur nos voyages en Asie, on a reçu quelques commentaires nous conseillant d'aller faire telle ou telle activité avec des éléphants.

Merci des conseils les amis mais en voyageurs un minimum responsables, curieux et qui plus est soucieux de la condition animale, on s'est renseigné avant d'envisager quoi que ce soit. Il ne nous a pas fallu longtemps pour découvrir une face cachée dont peu de touristes ont visiblement conscience.

Faut il faire de l'éléphant en Asie ? (ou ailleurs dans le monde)

À peine arrivés à Ayutthaya on a rapidement croisé le chemin d'éléphants en vadrouille dans la ville. En les observant, on a vite remarqué que quelque chose clochait : tous ces éléphants semblaient morts de l'intérieur, comme des zombies ayant perdu leurs âmes, tristes, déprimés.

Pour satisfaire la demande touristique (mais ce n'est pas la seule raison), tous ces éléphants ont dû être dressés. Mais apprivoiser une telle force de la nature et un être aussi intelligent n'est pas chose facile... La solution trouvée par les locaux est la violence, ou pour être précis, la torture. Mais comment font-ils ?

Les éléphants sont pris en main par des mahouts (des dresseurs) dès le plus jeune âge (2-3 ans). La demande d'éléphanteaux est forte et la capture en milieu sauvage bien qu'illégale est très répandue. On anesthésie les éléphanteaux dans la nature et on chasse/tue tout éléphant qui voudrait venir le secourir.

On estime que 4 éléphants adultes sont tués en moyenne pour chaque bébé attrapé. Ces éléphanteaux une fois capturés doivent être domestiqués et donc subir un rituel connu sous le nom de "phajaan".

Qu'est ce que le phajaan ?

C'est "broyer" l'éléphant. L'origine du phajaan vient de la croyance ancestrale que l'on peut séparer l'esprit d'un éléphant de son corps afin qu'il perde ses réflexes et son instinct naturel sauvage et être complètement sous le contrôle de l'homme. Cette pratique n'est rien d'autre que de la torture poussée jusqu'au point où l'éléphant accepterait n'importe quoi pour ne plus revivre ce moment traumatisant. On instaure dans leurs mémoires une peur irréversible de l'homme.

Concrètement, les éléphants sont enfermés dans des cages exiguës et maltraités pendant de nombreux jours. Ils sont attachés, incapables de bouger le moindre de leurs membres, puis frappés à des endroits stratégiques... comprenez, les endroits les plus sensibles où la peau est très fine (articulations, oreilles, tête, joues...). blog voyage promenade elephant thailande asie phajaan Pour les frapper les dresseurs utilisent entre autre un bullhook (ou goad). Cet outil ancestral ressemble à un marteau pointu ou plutôt un pic à glace.

Comme si cela ne suffisait pas, pendant tout ce processus (environ une semaine) les éléphants sont gardés éveillés, étouffés, électrocutés, et ils sont aussi affamés/assoiffés. Une fois que les dresseurs estiment que l'âme de l'animal a quitté son corps, il lui est donné un peu de répits... Les éléphants sont alors entièrement soumis, la peur de l'homme gravée dans leurs mémoire pour toujours. Ils sont malléables et c'est le moment où le dressage commence avec les commandes de base, comme se diriger. Mais aussi l'apprentissage de tâches plus folkloriques destinées à égayer les touristes.

De nombreux éléphants ne survivent même pas à ce traitement puisqu'environ 50% meurent pendant le phajaan. Sur la moitié qui reste en vie, une bonne partie d'entre eux devient fou ou garde des troubles de cette expérience... donc ils sont tués. La quasi totalité des éléphants domestiqués ont subi cette torture. Après le phajaan, comment sont maltraités les éléphants? Le phajaan n'est que le début d'un long processus qui continuera tout au long de la vie des éléphants. Les dresseurs ont pour habitude de donner des "piqures de rappel" aux pachydermes en les frappant à certains endroits pour leur remémorer qu'ils peuvent à tout moment revivre le phajaan. Dans la majeure partie des cas, l'éléphant a un point sensible (voir une plaie constante) sur lequel le dresseur appuiera de façon discrète.

Aujourd'hui les éléphants sont utilisés principalement pour trois activités: les travaux, le tourisme et la mendicité. Lorsqu'ils font des travaux, les éléphants sont frappés et poussés à l'épuisement pour être plus performants. En Thaïlande, les éléphants ont été très longtemps utilisés dans le milieu forestier. À cause de la déforestation, une loi a été votée en 1989 empêchant l'utilisation d'éléphants domestiques à ces fins.

Les propriétaires de ces éléphants apprivoisés ont donc cherché comment pouvoir continuer à les exploiter pour gagner leurs vies... Ils ont été reconvertis dans des activités touristiques ou dans la mendicité et le business grandit depuis sans relâche. Les éléphants mendiants sont emmenés en ville, où ils subissent l'agression urbaine et le stress.

Dans le tourisme. Il y a la balade à dos d'éléphant mais aussi des activités encore plus ridicules comme des éléphants footballeurs, des éléphants peintres, des éléphants acrobates... Aux yeux de n'importe quel touriste/spectateur l'éléphant semble s'amuser et le moment est unique... mais en réalité ce n'est rien de plus qu'une sorte de supplice auquel l'animal est contraint sous peine de nouvelles maltraitances... Il semble évident qu'il n'y a absolument rien de naturel là dedans !

Avec les promenades sur le dos de l'éléphant, ce sont les touristes eux-même qui torturent l'éléphant du simple fait de grimper dessus. On a vu des photos de brochure avec des nacelles pouvant accueillir jusqu'à 8 personnes sur le dos de l'animal!L'éléphant peut supporter jusqu'à 150kg sur son dos. Avec la nacelle (jusqu'à 100kg), les touristes (± 140kg) et le mahout (± 60kg), on se rend vite compte à quel point l'éléphant n'est pas ravi de promener les touristes qui lui lacèrent la colonne vertébrale à longueur de journée.

Les "elephant rides" se poursuivent en boucle tout au long de la journée. À peine débarqués, d'autres touristes se jettent déjà dans la nacelle et c'est reparti pour un tour! Les pauvres bêtes sont épuisées et n'ont pas assez de temps pour manger et boire. La plupart du temps, ils n'ont même pas une minute sans avoir des touristes sur le dos.

Hors spectacles et balades, les animaux sont attachés avec une petite chaîne (laissant à peine 2 mètres de liberté) pour qu'ils ne soient pas dangereux pour les visiteurs. Beaucoup d'entre eux deviennent fous, ont des troubles neurologiques, secouent la tête d'un côté et de l'autre, en attendant d'être "libérés". Certains sont laissés au soleil, sans nourriture ni breuvage.

Un éléphant doit manger 200kg de nourriture et boire 200 litres d'eau par jour. Pour ingérer tout ça, en temps normal, ça lui prend 18h par jour. On comprend donc pourquoi cet enchaînement est une vraie torture. Si vous avez un jour l'occasion d'apercevoir des éléphants domestiques, observez les. Hasard ou pas, tous les éléphants que nous avons croisé portaient des signes de maltraitance récente, des cicatrices, des traces évidentes de mauvaise santé. Certains sont plus abimés que d'autres et il est extrêmement rare de voir un de ces animaux bien traité.

Mais pourquoi ça existe encore et pourquoi c'est autorisé? Du côté des exploitants, ça rapporte un maximum d'argent! Un éléphanteau soumis (qui a donc vécu le phajaan) vaut entre $15 000 et $20 000. Quand on connaît le niveau de vie moyen en Asie, on comprend pourquoi son exploitation continue. Le business de l'éléphant représente (par définition) une énorme part des retombées touristiques un peu partout en Asie et fait donc vivre toute une filière...

Ces éléphants ne sont pas vendus qu'en Asie, mais aussi en Occident dans les zoos et cirques. La demande croissante met en péril l'avenir de l'espèce. Au début du 20ème siècle, on comptait environ 100 000 éléphants en Thaïlande. Aujourd'hui on estime qu'il en reste un peu moins de 5000 (la moitié domestiqués). À ce rythme là, la race pourrait disparaitre d'ici 30 ans.

Les animaux maltraités font moins d'enfants et un grand nombre d'éléphants sauvages adultes meurent lors des captures de bébés. Dans de nombreux pays d'Asie, les éléphants sauvages sont protégés légalement. Mais cette protection est facilement détournable. Par exemple, en Thaïlande on doit déclarer la possession d'un éléphant domestique à partir de ses 3 ans.

C'est absurde puisqu'une personne peut aller dans la nature capturer un jeune éléphant sauvage, lui infliger le rituel du phajaan et aller tout naturellement déclarer l'éléphant comme domestiqué à l'age de 3 ans. De plus, le commerce d'ivoire et de peau d'éléphants domestiques est souvent légal. L'exploitation de l'animal et sa domestication est donc toujours très intéressante d'un point de vue financier. Du côté du touriste, c'est tout simplement un manque d'information! Une rapide recherche sur internet nous montre à quel point l'activité est répandue et recherchée par les voyageurs. Mais en partant du principe que chaque touriste a le choix, il peut à son échelle faire un petit pas en faveur de la condition des éléphants...

Mais pourquoi ça existe encore et pourquoi c'est autorisé? Du côté des exploitants, ça rapporte un maximum d'argent! Un éléphanteau soumis (qui a donc vécu le phajaan) vaut entre $15 000 et $20 000. Quand on connaît le niveau de vie moyen en Asie, on comprend pourquoi son exploitation continue. Le business de l'éléphant représente (par définition) une énorme part des retombées touristiques un peu partout en Asie et fait donc vivre toute une filière...

Ces éléphants ne sont pas vendus qu'en Asie, mais aussi en Occident dans les zoos et cirques. La demande croissante met en péril l'avenir de l'espèce. Au début du 20ème siècle, on comptait environ 100 000 éléphants en Thaïlande. Aujourd'hui on estime qu'il en reste un peu moins de 5000 (la moitié domestiqués).

À ce rythme là, la race pourrait disparaitre d'ici 30 ans. Les animaux maltraités font moins d'enfants et un grand nombre d'éléphants sauvages adultes meurent lors des captures de bébés. Dans de nombreux pays d'Asie, les éléphants sauvages sont protégés légalement. Mais cette protection est facilement détournable.

Par exemple, en Thaïlande on doit déclarer la possession d'un éléphant domestique à partir de ses 3 ans. C'est absurde puisqu'une personne peut aller dans la nature capturer un jeune éléphant sauvage, lui infliger le rituel du phajaan et aller tout naturellement déclarer l'éléphant comme domestiqué à l'age de 3 ans.

De plus, le commerce d'ivoire et de peau d'éléphants domestiques est souvent légal. L'exploitation de l'animal et sa domestication est donc toujours très intéressante d'un point de vue financier. Du côté du touriste, c'est tout simplement un manque d'information! Une rapide recherche sur internet nous montre à quel point l'activité est répandue et recherchée par les voyageurs.

Mais en partant du principe que chaque touriste a le choix, il peut à son échelle faire un petit pas en faveur de la condition des éléphants...

Si vous souhaitez absolument rencontrer des éléphants il y a plusieurs solutions plus respectueuse de l'animal :

 

 

• Voir des éléphants sauvages à distance accompagné d'un guide dans un parc national comme Khao Yai en Thaïlande ou à Chitwan au Népal (safari à pied ou en 4x4)

.

• Aller dans un centre de recueil d'animaux comme Elephant Nature Park, Boon Lott"s Elephant Sanctuary ou Friends of the Asian Elephant où vous pouvez côtoyer ces gros mammifères sans leurs causer de tord. C'est en grande partie à cause des touristes que ce business fonctionne, il revient donc aux touristes de prendre les bonnes décisions. L'avenir et surtout le bien-être de milliers d'éléphants est en jeu.

Si la demande baisse, l'offre s'adaptera en baissant aussi et pourquoi pas, à terme, disparaitre? Des programmes sérieux de réintroduction d'éléphants domestiques dans leurs milieu naturel existent et fonctionnent très bien, les animaux retrouvent un comportement sauvage et naturel.

Pour finir, ce n'est pas notre petit article de défenseurs des animaux du dimanche qui va changer les choses et faire abolir ces pratiques atroces... ce sont les humains eux-même ! Donc, si il y a tonton Robert ou votre collègue du service comptabilité qui vous dit qu'il part en vacances en Asie, n'hésitez pas à lui faire part de cette information, peut-être réfléchira-t-il à deux fois devant la brochure d'une de ces agences et vous aussi aurez participé à empêcher que ce business prenne encore de l'ampleur.

N'hésitez pas à en parler autour de vous de façon à alerter les consciences.

À RETENIR

- Un éléphant domestique a forcement été et continue à être maltraité

 

- Tout ce que l'éléphant fera pour le touriste n'est pas naturel : porter des rondins de bois, faire du football, peindre avec sa trompe (dont il a besoin pour respirer)...

 

- Renseignez vous au mieux sur les centres qui exploitent les éléphants qui font souvent de la fausse publicité éthique.

 

- Si vous souhaitez quand même participer à ça, ne prenez pas les offres premiers prix. L'entretien d'un éléphant coûte cher, si les prix sont bas c'est que l'animal est surexploité ou que son entretien laisse à désirer.

nourriture

Publié à 15:43 par fandeloup Tags : société animal animaux chien chat chiens chats
nourriture

Après le chien, le chat, plat pour gourmets au Vietnam (vidéo)

Au Vietnam, friand de viande de chien, le chat fait aussi le bonheur des gourmets. Au grand dam des propriétaires de ces "petits tigres", souvent volés avant de finir frits à l'ail, bouillis ou rôtis.

Dans un restaurant de Hanoï qui propose du chat au menu, les animaux sont noyés, rasés puis plongés dans la poêle à frire. "Beaucoup de gens mangent de la viande de chat. C'est nouveau, ils veulent essayer", assure To Van Dung, gérant de l'établissement qui explore ce créneau plus rare que la classique viande de chien, également très recherchée en Chine voisine.

"Certains pensent que manger du chat au début du mois lunaire porte chance. C'est différent de la viande de chien. Nous mangeons de la viande de chien à la fin du mois lunaire.

Le chat, c'est pour le début du mois", explique ce Vietnamien de 35 ans. La viande de chat est officiellement illégale au Vietnam, les autorités l'ayant interdite par souci de préserver ces utiles chasseurs de rats. Mais ce restaurant assure n'avoir aucun problème avec les autorités.

Un jour de grande affluence, plus d'une centaine de clients peuvent commander du chat dans le restaurant de To Van Dung. L'établissement s'approvisionne auprès de rares éleveurs locaux mais aussi d'autres fournisseurs proposant de la viande sans grande traçabilité, qui peut parfois venir du Laos ou de Thaïlande.

- Les chats, rares dans les rues - Il est rare de voir des chats en liberté dans les rues de Hanoï, leurs propriétaires les enfermant dans les maisons, la viande de "petit tigre" étant particulièrement appréciée. La viande de chat reste moins répandue que celle de chien, que l'on peut acheter à chaque coin de rue.

Elle est particulièrement appréciée pour accompagner les apéritifs, avec une bière de fabrication locale. Les Vietnamiens ont une propension à manger des animaux qui sont considérés dans d'autres pays comme des animaux domestiques, donc tabous.

Selon Hoang Ngoc Bau, un des rares vétérinaires de Hanoï, cela s'explique par une conjonction de facteurs historiques, notamment le manque de nourriture pendant les nombreuses années de guerre.

"Le pays était très pauvre et nous avons eu une longue guerre. Nous mangions tout ce que nous trouvions pour rester vivants (...). Insectes, chiens, chats, même des rats. C'est devenu une habitude", raconte-t-il.

Mais le docteur Hoang Ngoc Bau, 63 ans, ne mange pas de viande de chien, ayant eu une vocation de vétérinaire à sept ans, quand son chien l'a sauvé d'un serpent venimeux.

"Depuis ce moment-là, j'ai une dette envers les chiens et je suis devenu vétérinaire", dit-il. Il a vu néanmoins la société vietnamienne évoluer, depuis l'ouverture économique des années 1990 opérée par le régime communiste à parti unique, loin d'une époque où le fait même de parler à un étranger sans autorisation était répréhensible.

"Tant de choses ont changé, si vite. Cela fait que les gens perçoivent les animaux différemment. De plus en plus de gens aiment les animaux", explique-t-il. Cette évolution se heurte néanmoins à une tradition qui reste une menace pour tout animal domestique quittant son foyer.

En l'absence de filière d'élevage de chiens et de chats destinés à l'abattoir, "presque tous les animaux cuisinés dans les restaurants proviennent du vol", assure le vétérinaire. Le Ngoc Thien, chef cuisinier, a lui-même un chat... qui passera à la casserole dès qu'il sera assez gros, alors que les animaux se négocient plus de 30 euros pièce.

"Quand mes chats sont vieux, nous les tuons. Car selon nos traditions, quand un chat vieillit, nous devons le changer et en prendre un plus jeune. En plus, les chats adultes aiment s'enfuir, c'est pour cela qu'on les vend et qu'on les tue", explique ce cuisinier.

"La viande de chat est meilleure que celle de chien, elle est plus tendre", dit-il. Phuong Thanh Thuy, propriétaire d'un restaurant de viande de chien, se désole elle du vol récurrent de ses chats, qui protègent ses cuisines des rats.

"Ma famille est triste parce que nous passons beaucoup de temps et d'énergie à élever nos chats. Quand nous en perdons un, nous souffrons", explique la restauratrice, une portée de chatons récemment achetés jouant à ses pieds.

Des pionniers de la défense des animaux ont lancé une modeste campagne de sensibilisation pour faire changer leurs habitudes alimentaires aux Vietnamiens. Sans grand succès pour l'heure.

La vidéo http://actu.orange.fr/video/societe/apres-le-chien-le-chat-plat-pour-gourmets-au-vietnam-afp_CNT0000003hJYa.html

honteux

Publié à 13:47 par fandeloup Tags : internet animaux chiens
honteux

Bali : l'abattage de chiens pour lutter contre la rage fait scandale (vidéo)

Entre les plages de sable fin et les villas de luxe, les autorités de l'île indonésienne très populaire de Bali continuent d'abattre en masse des chiens pour lutter contre la rage après l'apparition d'une vidéo en ligne provoquant de vives critiques.

Cette vidéo de 16 minutes visible sur YouTube montre plus d'une trentaine de chiens apeurés aboyer sans cesse avant de recevoir une injection létale et de tomber les uns sur les autres en poussant des cris et en faisant des mouvements violents avant de mourir.

Alors que des défenseurs de la cause animale se sont insurgés contre ces "abattages inhumains", le chef des services sanitaires des animaux à Bali, Putu Sumantra, a déclaré à qu'il n'était pas question d'interrompre ces pratiques.

"Les chiens abattus ont été amenés illégalement (à Bali). Dans de tels cas, nous essayons de retrouver les propriétaires pour leur rendre (les chiens) et de nous assurer qu'ils sont vaccinés. Mais quand ils n'appartiennent à personne, nous devons les abattre", a expliqué M. Sumantra, estimant que ce problème permanent nécessitait une "action ferme".

La vidéo avait été placée sur internet une première fois en avril, et une nouvelle publication la semaine passée a été vue plus de 40 000 fois en l'espace de trois jours.

L'association de défense des droits des animaux Peta a fermement condamné ces pratiques "inhumaines": "des groupes locaux de défense des animaux ont mis en place avec succès des programmes de vaccination, et le nombre d'humains affectés par la rage a considérablement chuté", a indiqué Peta dans un communiqué. Les autorités indonésiennes ont également pris des mesures qui ont abouti à la vaccination de plus de 300 000 chiens contre la rage, faisant chuter drastiquement le nombre de décès parmi les humains qui ont contracté le virus à Bali.

Depuis 2012, dix personnes ont succombé à la maladie, contre 147 quelques années auparavant. Une pétition sur la plateforme Change.org appelant à mettre fin à cette abattage massif de chiens a recueilli plus de 20 000 signatures, et Peta a mis en garde contre les répercussions sur le tourisme à Bali, destination très fréquentée par les Occidentaux, estimant que "nombre de personnes éprouvant de la compassion" après avoir découvert ces pratiques "vont renoncer à se rendre à Bali".

indifférence

Publié à 09:27 par fandeloup Tags : vie france animal
indifférence

Pour tous ceux qui sont encore dans l'omnivorie insouciante (vidéo) Pas une goutte de sang dans ce reportage tourné sur le terrain il y a quelques jours en France; pour une fois l'on peut non pas y voir mais y ENTENDRE ce que le choix de consommer la chair d'un animal engendre. Et n'oublions jamais que...

« Une alimentation végétalienne bien planifiée et les autres types d’alimentations végétariennes sont appropriées à toutes les périodes de la vie y compris la grossesse, l’allaitement, la petite enfance, l’enfance et l’adolescence »

< --- Conclusion formelle de Association américaine de diététique, qui regroupe 70 000 diététiciens et nutritionnistes (qui doivent s’arracher les cheveux devant le gigantisme de l’implantation de McDo et autres dans leur pays - autant au détriment de la santé des américains en les rendant obèses et malades du cœur qu’à celui de millions de vies animales .)