Des lapins en enfer

 L'association de protection animale L214 a récemment rendu publiques des images effroyables prises dans un élevage de lapins situé dans le Morbihan.

On peut notamment constater les conditions désastreuses dans lesquels les lapins sont maintenus en captivité pour la courte existence qui leur est réservée.

En plus de la structure concentrationnaire, coutumière dans ce type d'élevage, des lapereaux ensanglantés gisent, agonisant, sur les grilles des cages quand d'autres, morts, y pendent à travers.

C'est un tableau pandémoniaque qui nous est montré: mouches attirées par les cadavres, excréments sur les murs, poussières accumulées indiquant une absence manifeste d'entretien, etc. S'il ne s'agissait pas d'un élevage, nous appellerions cela de la torture. Aucune nécessité économique ne peut justifier de telles conditions d'existence.

Pour cette raison, l'association a demandé aux services vétérinaires de la préfecture du Morbihan la fermeture immédiate de l'établissement litigieux. Dans la foulée, une pétition a été lancée pour soutenir cette demande, récoltant, jusqu'à présent, plus de 140 000 signatures.

Néanmoins, les services vétérinaires ont rejeté cette demande, une visite de contrôle ayant conclu à "une conformité globale de l'élevage aux règles en vigueur relatives à l'environnement et à la protection des animaux". Depuis, les éleveurs ont assigné l'association en justice pour la diffusion de ces images.

La constatation étonnante des services vétérinaires démontre une fois de plus la difficulté de l'État à mettre un place un organe de contrôle suffisamment efficace en France.

La protection animale passe, finalement, bien après les intérêts économiques. En moyenne, un élevage est contrôlé une fois tous les 100 ans.

Lorsqu'un inspecteur soulève, lors de ces quelques contrôles, des manquements à l'égard des textes concernant la protection animale, rares sont les fois où ces constatations sont suivies d'effets et de vérifications a posteriori.

Le statut juridique des animaux mis à l'épreuve La conclusion des services vétérinaires prouve, par ailleurs, le fossé qu'il existe entre l'idéal de la protection animale défini par les textes et leur application concrète. Par exemple, selon l'article L214-1 du Code rural, "tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce".

Comment, précisément dans ce cas, les lapins peuvent-ils mener une existence dans des conditions conformes à leurs impératifs biologiques s'ils ne peuvent que difficilement poursuivre une existence, aussi courte soit-elle?

Comment, en allant plus loin, concilier la mise à mort programmée et le respect des impératifs biologiques propres à une espèce? Il semble que ces quelques dispositions juridiques ne soient que de la poudre aux yeux destinées à rassurer les consommateurs trop soucieux.

La reconnaissance récente des animaux comme êtres vivants et sensibles, par l'Assemblée nationale, est un exemple idoine. L'amendement prévoit la reconnaissance de la sensibilité chez les animaux tout en leur appliquant le droit des biens.

Les animaux d'exploitation, bien qu'étant des êtres sensibles, peuvent être achetés, exploités, tués, maintenus légalement dans des conditions insalubres à l'instar de l'élevage de lapins du Morbihan. Il est à noter que, concernant les lapins en élevages professionnels, 99,9 % naissent et vivent en cage.

Le respect de l'animal, dans ces conditions, est une utopie. Reconnaître la sensibilité des animaux exige, de facto, l'abolition de leur exploitation et de leur mise à mort. Une ambivalence affective Cette enquête révèle également l'envers de nos rapports vis-à-vis des animaux tantôt considérés comme animaux d'agrément, tantôt comme animaux d'exploitation.

Il apparaîtrait comme cruel de laisser le lapin familial agoniser dans l'indifférence. Mais si ce même lapin était destiné à devenir un aliment, alors l'on considèrerait cela comme faisant partie des aléas de l'élevage. Que peut bien signifier l'enfer pour des animaux? Cet enfer n'a rien de mystique ou d'allégorique puisque nous l'avons fabriqué à travers la généralisation de l'élevage en batterie.

Dans cet enfer artificiel, nous y avons enfermé des êtres dont la vie est réduite à une valeur mercantile. Ce sont donc les prouesses macabres d'un système économique qui établissent, aujourd'hui, la manière dont nous devons traiter les animaux.

Mais ne peut-on pas, enfin, considérer que des êtres dont la sensibilité est aujourd'hui largement reconnue puissent obtenir une valeur morale indépendamment du prisme de la cupidité?

Au final, nous sommes dans un système arbitraire où seuls les juges humains ont la liberté de décider de qui doit vivre ou mourir et dans quelles conditions, s'affranchissant de tout examen rationnel.

Nous pouvons nous apercevoir rapidement que tous les animaux sont en réalité des animaux d'agrément satisfaisant les appétits arrivistes d'une seule espèce. Mais heureusement, il est possible de s'opposer à cette industrie de l'indifférence.

Simplement en ne l'encourageant pas. Un mode de vie végan, qui exclut la consommation de produits d'origines animales, ne peut que satisfaire à la nécessité de mettre un terme à l'injustice faite aux animaux .

La pétition https://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/m-le-pr%C3%A9fet-du-morbihan-stop-%C3%A0-l-horreur-dans-un-%C3%A9levage-de-lapins

L'horreur" dans un élevage de lapins en Bretagne (vidéo+pétition) MORBIHAN (56).

"Des lapereaux agonisent dans leur cage, d'autres dans la fosse à déjections. Certains pendent à travers les grilles..."

L'association de protection animale L214 a dénoncé, jeudi, "l'horreur" dans un élevage de milliers de lapins du Morbihan, révèle FranceTv.

La préfecture du Morbihan a indiqué, jeudi, attendre les résultats d'une inspection menée mercredi par les services vétérinaires dans cet élevage, qui attesteraient des images diffusées.

Vidéo à l'appui, l'association réclame la fermeture en urgence de cet élevage.

La vidéo https://www.youtube.com/watch?v=u1Xih8Nl36Y

La pétition https://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/m-le-pr%C3%A9fet-du-morbihan-stop-%C3%A0-l-horreur-dans-un-%C3%A9levage-de-lapins

Le site L214 http://www.l214.com/

L'ABANDON EST UN ACTE BARBARE, UN CRIME !

En France, toutes les heures plus de 11 animaux (chiens, chats...) sont abandonnés, soit environ 100 000 abandons par an, dont 60 000 l'été.

Triste constat. Alors que la législation prévoit des peines pouvant s’élever à 2 ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende (Art. 521-1 du code pénal) pour quiconque se rend coupable de l’abandon d’un animal, elles sont rarement voire jamais appliquées.

Et ce sont finalement les victimes sans défense de cet acte odieux qui se retrouvent condamnées à l’errance, à la souffrance, à la faim, au manque d’amour... et dans certains cas, à la mort !

LESanimaux NE SONT NI DES JOUETS NI DES MEUBLES !

Les animaux sont des êtres vivants, sensibles que nous devons protéger et respecter.

L'ADOPTION DOIT ÊTRE UN ACTE RÉFLÉCHI !

Si tous les membres de la famille souhaitent vraiment accueillir un animal et en prendre soin, adoptez-le dans un refuge, ne l'achetez-pas. Les refuges sont plein d'animaux malheureux qui n'attendent qu'une chose... Être adopté et Aimé. "Quand on adopte un ANIMAL c'est MAIN dans la PATTE jusqu'à ce que la mort vous sépare."

A quoi pense un animal abandonné ?Un chien s’inquiétant pour son maître qui vient de l’abandonner…

Quoi de plus fort pour rappeler que les animaux sont des êtres vivants et sensibles ?

Pleine d’émotion, la nouvelle campagne de la Fondation 30 Millions d’Amis oppose avec justesse la sensibilité de l’animal et l'insensibilité de l’homme qui l'abandonne, la fidélité inconditionnelle du chien et la trahison insupportable du maître… et rend l’abandon encore plus odieux !

RETENEZ BIEN CE VISAGE D'ASSASSIN IL EST TRÈS DANGEREUX ET EN LIBERTÉ !!

Le procureur parle « de la plus effroyable des morts ».

Il est implacable dans ses réquisitions et rappelle « l'ablation des doigts des quatre pattes », « Les hurlements du chien ». « Défendre l'indéfendable et expliquer l'inexplicable »

Nous apprenions hier que Stéphanie la maîtresse de Lucky à rencontrée l’assassin de son dalmatien dans un magasin. Devant le sourire de ce psychopathe la bagarre à éclaté, les vigiles ont sorties la jeune femme sous le choc, et SÉBASTIEN CLAUDEL tortionnaire, tueur d’animaux sans pitié porte plainte contre mademoiselle pour coup et blessure !

Le monde à l’envers !

Rappel des faits : http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-%E2%80%93-justice/six-mois-ferme-pour-le-maitre-de-lucky-chien-martyr

Vidéo de l’histoire de Lucky : http://www.youtube.com/watch?v=xiM59kNnDCw&feature=youtu.be

Il avait vingt-deux ans, il vivait a Origny-Sainte-Benoîte, et à Guise, où il était employé municipal.

Les animaux expriment leurs joies, leur bien-être. Mais, face au drame de l'abandon, ils restent sans larmes, sans voix ! Pourtant, ils en souffrent.

Vous N'allez Pas Croire Ce Que Ce Couple Trouvé En Marchant Dans Les Bois! Un Tel Sauvetage Incroyable - Et C'est Tout Sur bande! Lorsque ce couple partit pour une promenade dans les bois, ils ne s'attendaient pas à revenir à la maison avec quatre nouveaux membres de la famille à fourrure. Les chatons qu'ils ont trouvés étaient émaciés et couverts de puces, mais ils n'ont pas eu peur de leurs sauveteurs aimables. Les chances sont, ils ont été abandonnés et livrés à eux-mêmes. Regardez ces pauvres chatons abandonnés, une seconde chance à la vie! Vous ne pouvez pas manquer cela. 

VIDEO. Après la mort de sa mère, un bébé rhinocéros a trop peur de dormir seul Gertjie, un bébé rhinocéros de quatre mois a été recueilli le 7 mai dernier par un centre pour animaux sud-africain après avoir été témoin du meurtre de sa mère par des braconniers.

Traumatisé, le jeune animal ne peut dormir qu'avec ses soigneurs. Gertjie, un bébé rhinocéros de sexe féminin, âgé de quatre mois, n'arrive pas à se remettre du meutre brutal de sa mère par des braconniers dans la savane sud-africaine.

Témoin de la scène, l'animal, aujourd'hui traumatisé, refuse de dormir seul, selon le Huffington Post. La jeune femelle a été recueillie le 7 mai dernier par une équipe du centre de recherche et d'élevage des espèces en voie de disparition d'Hoedspruit. Des soigneurs du centre ont expliqué que Gertjie avait refusé de quitter le cadavre de sa génitrice.

"C'était un spectacle terrible, elle ne voulait pas partir et pleurait, elle était inconsolable", se souvient le groupe.

Une chasse aux rhinocéros Selon le ministère sud-africain de l'Environnement, 1004 rhinocéros ont été abattus en 2013 par des braconniers.

Ces derniers leur coupent la corne et la revendent ensuite illégalement en Asie, et notamment au Vietnam, en Chine et en Thaïlande, où on lui prête d'importantes vertus thérapeutiques, rapporte Le Parisien. Les cornes de rhinocéros sont également convoitées dans la fabrication de bijoux et d'objets d'art, explique Le Monde qui précise que "le prix de la corne a atteint la barre des 60 000 dollars le kilo".

Il existe cinq espèces de rhinocéros dans le monde (les blancs, noirs, de Sumatra, de Java et les Indiens). La sous-espèce des rhinocéros noirs de l'Afrique de l'Ouest a été classée comme éteinte, selon une étude de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) datée de 2011.

Il reste actuellement 28 000 rhinocéros, dont 60% à 70% d'entre eux se trouvent en Afrique. 

LA VIVISECTION C'EST QUOI ?

Voici quelques exemples de tortures infligées sur les animaux 

*Privation d’oxygène, de sommeil afin de créer de l’anxiété, de l'agressivité, de la folie, des convulsions, de l’hypertension...

*Transplantation, greffes de têtes, d'organes, décharges électriques, tumeurs provoquées...

*Ablation de nerfs, absorption de drogues, d'alcool, noyade forcées, essais de gaz toxiques, expériences sur les cerveaux...

*Manipulation génétique, productions de monstres en embryologie ...

*Injection de nicotine, animaux ligotés devant des cigarettes se consumant ou relié directement à des tubes qui leurs font artificiellement consumer la cigarette...

La vidéo

La corrida n’est autre, en effet, qu’une suite de tortures infligées à l’animal

La souffrance n'est pas un spectacle !

Piques, banderilles, douleur et sang : voilà ce qui caractérise l'un des « spectacles » les plus meurtriers de notre siècle : la corrida. Cette pratique barbare consiste à scier à vif 5 à 10 cm de corne.

L'opération dure 25 minutes et génère d'horribles souffrance pour l'animal ; il est enfermé dans un caisson et seules les cornes dépassent. Cette mutilation modifie la perception de l'espace pour le taureau.

En termes de douleur, cette ' intervention ' reviendrait à nous scier une dent à vif… Cette opération a pour but de désarmer le taureau. L’animal ainsi tourmenté, torturé, garrotté, piégé, encagé; ses plaintes, ses mugissements n’empêchent rien.

Les cornes sont ensuite poncées et éventuellement reconstituées avec de la résine. Le taureau ne dispose pas d’un délai suffisant pour prendre connaissance de la nouvelle longueur de ses cornes et d’y adapter son coup de tête.

Le transport Les taureaux sont ensuite transportés vers les villes taurines; c’est une épreuve douloureuse. Ces transports pouvant durer plusieurs jours, sur un plan incliné pour les fatiguer, les animaux ne reçoivent ni nourriture, ni boisson.

C’est ainsi qu’en 2001, plusieurs taureaux déshydratés ont été retrouvés sans vie dans ces camions de la mort. La préparation au combat Avant le combat, le taureau est préparé.

*Yeux enduits de vaseline (afin de le désorienter), usage en dose massive de tranquillisants, hypnotisants, et même sprays paralysants (les mêmes utilisés par les forces de l’ordre, qui ont pour effet d’altérer la vue).

*Pattes enduites d’essencede térébenthine, qui lui procure des brûlures insupportables, dans le but de l’empêcher de rester tranquille. *Aiguilles cassées dans les testicules, dans le but d’empêcher le taureau de s’asseoir ou de s’affaler.

*Coton enfoncé dans les narines et qui descend jusque dans la gorge, dans le but de rendre plus difficile la respiration.

*Coups de pieds et de planche sur l’échineet sur les reins, pour ne laisser aucune traces.

*Les sabots sont limés, voire incisés et on enfonce des coins de bois entre les onglons, cette opération est faite pendant la contention dans la boîte à treuil.

*Et juste avant de rentrer dans l’arène, on lui laissera tomber une trentaine de fois des sacs de sable de 100 kg sur les reins, après l’avoir immobilisé. Et maintenant… le spectacle peut enfin commencer. La vidéo