Le cuir peut être fabriqué à partir de vaches, cochons, chèvres, moutons et, les animaux exotiques comme des alligators, des autruches, des kangourous et, et même les chiens et les chats, qui sont abattus pour leur viande et leur peau en Chine, qui exporte leurs peaux dans le monde entier. Parce que le cuir n'est normalement pas marqué, vous ne savez jamais vraiment où (ou qui) il est venu. La plupart cuir provient de pays en développement comme l'Inde et la Chine, où les lois de protection des animaux sont soit inexistantes ou non appliquées. En Inde, une enquête de PETA constaté que les travailleurs rompent les queues des vaches et se frottent les piments et le tabac dans les yeux afin de les forcer à se lever et marcher après qu'ils s'effondrent d'épuisement sur le chemin de l'abattoir. 

Aux États-Unis, la plupart des millions de vaches et d'autres animaux qui sont tués pour leur peau endurer les horreurs de l'élevage industriel extrême surpeuplement et la privation ainsi que la castration, le branding, la caudectomie, et l'écornage, le tout sans aucun analgésiques. Dans les abattoirs, les animaux ont systématiquement égorgés et certains sont même la peau et démembré alors qu'ils sont encore conscients. Acheter cuir contribue directement dans les fermes usines et les abattoirs parce que la peau est le sous-produit le plus important sur le plan économique de l'industrie de la viande. Le cuir est également pas un ami de l'environnement, car il partage la responsabilité de toute la destruction de l'environnement causée par l'industrie de la viande ainsi que la pollution causée par les toxines utilisées dans le tannage. Avec chaque paire de chaussures en cuir que vous achetez, vous condamnez un animal à une vie de souffrance. Au lieu de cela, vous pouvez choisir parmi des centaines de styles de chaussures de nonleather, vêtements, ceintures, sacs et portefeuilles. Départ de PETA cruauté sans vêtements guide pour de bons conseils sur les endroits où trouver des vêtements à la mode encore compassion. La mode doit être un plaisir, pas une fatalité!

LES REHALAS ou L'ENFER DES PODENCOS

Le mot espagnol « rehala » signifie en français « meute »; mais pour les Podencos il est plutôt synonyme d'enfer, de souffrance et de mort. Les médias espagnols et français parlent de plus en plus de la manière cruelle dont sont traités les Galgos pour les chasses au lièvre (pour lesquelles les Podencos sont d'ailleurs également utilisés), mais beaucoup moins de la vie misérable des Podencos des rehalas.

Et pourtant... Les Galgos n'ont rien à envier à leurs cousins primitifs, loin de là. Une rehala est donc une meute d'en général 20 à 30 chiens dont la grande majorité sont des chiens courants, le plus souvent des Podencos, accompagnés de quelques chiens de prises :

pitbulls,dogues argentins, alanos, etc. On trouve aussi dans ces meutes des mastins, cockers, basset... Ils servent à chasser le sanglier, le cerf ou le chevreuil.

Cette forme de chasse reste inaltérée depuis le XVème siècle et rappelle la chasse à courre, les chevaux en moins. La majeure partie de leur vie, les Podencos et autres chiens des rehalas la passent enfermés dans des hangars insalubres, des cages ou des parcs à ciel ouvert.

Pour éviter les tueries, les rehaleros (propriétaires de meute) ont pour habitude de les attacher au sol ou au mur grâce à de très courtes chaînes ; certains chiens ne peuvent même pas se tenir debout. Ils attendent là, dans leurs excréments, dans le froid glacial de l'hiver espagnol, ou en plein soleil sous le cagnard.

Les conditions d'hygiène sont déplorables, il n'est pas rare qu'ils n'aient même pas d'eau à disposition.

Dans les rehalas où les chiens vivent lâchés, les coups de dents pour la nourriture,pour l'espace vital ou une femelle en chaleur dégénèrent fréquemment en tueries.

Et quand vient l'heure du repas, les Podencos et autres chiens n'étant que des outils qu'il faut rentabiliser au maximum, on dépense le moins possible pour les nourrir : ils se contentent de pain sec,ou des restes du repas des maîtres.

D'autant plus que la maigreur est synonyme de performance à la chasse ! Evidemment les femelles sont soumises à la reproduction intensive malgré leur état de santé, et cela sans aucun suivi vétérinaire.

Les Podencos ne sortent que pour la chasse et pour les entraînements.Dans le but d'améliorer leurs performances, les rehaleros les attachent à leur 4x4 ou leur quad. Si l'un des chiens n'arrive pas à tenir le rythme, c'est qu'il n'est pas assez performant pour la chasse, et il meurt donc traîné au sol, une sorte de sélection« naturelle ».

Cette pratique de l'entraînement derrière des véhicules motorisés est légale dans certaines régions d'Espagne et est pratiquée même dans celles qui la prohibent. Les parties de chasse avec des rehalas s'appellent des Monterias.

Après avoir été entassés dans des remorques, les chiens sont lâchés derrière le gibier, le plus souvent des sangliers. L'opération va durer 2 à 3h, ce qui représente un exercice intense et stressant pour ces Podencos mal nourris et en mauvaise santé.

Il est fréquent que des chiens meurent sur place, d'épuisement ou blessés par les sangliers. Les plus « chanceux » seront soignés sur place. Ceux qui sont fichus seront abandonnés et agoniseront là, ils ne valent même pas la balle pour les achever...

A la fin de la saison de chasse, tels de simples outils inanimés, ceux qui ne serviront plus l'année prochaine sont tués : à quoi bon garder des bouches à nourrir inutilement ?

On estime qu'un chien de rehala vit entre 2 et 5 ans. Et pour s'en débarrasser, les rehaleros, comme les galgueros font preuve d'une imagination toujours plus cruelle : les chiens sont abandonnés, après avoir eu les pattes brisées, pendus, mutilés, brulés, jetés dans un puits, ou tout simplement attaché à l'écart sans eau ni nourriture jusqu'à ce que mort s'en suive.

Certes il existe des rehalas « de luxe » où les animaux sont bien traités, mais elles sont rares. Et les quelques fois où des bénévoles parviennent à intervenir pour sauver les chiens, le spectacle est affligeant : des squelettes ambulants au milieu de cadavres, recouverts de tiques, sans poils, blessés, meurtris dans leur chair et dans leur tête, comme il y a quelques jours dans la rehala abandonnée de la Finca Agularejo.

Le chasseur n'est plus venu nourrir ses chiens depuis 8 jours par vengeance pour celui qui a abîmé son pare-choc...

(vidéo de la découverte de la rehala :https://www.facebook.com/photo.php?v=469535453172208&set=vb.100003472713318&type=2&theater).

Absolument révoltant, d'autant plus que l'on sait que les rehalas font l'objet d'un véritable business en espagne puisqu'il est possible de louer ces meutes pour des Monterias partout dans le pays. Alors s'il vous plaît, lorsque vous décidez de sauver un lévrier de l'enfer espagnol, pensez aussi à tous ces Podencos qui, comme vous pouvez le lire, subissent dans leur pays une violence égale voire pire que leurs cousins Galgos .

Les Podencos demeurent injustement invisibles aux yeux de la plupart des adoptants. Et pourtant ils méritent eux aussi de goûter au bonheur !

Perrine Mallet, membre fondateur Terre des Lévriers

Les Podencos ont parfois les oreilles coupées en pointe. Les Podencos ont parfois les oreilles coupées en pointe.

Plus d'infos sur les Podencos de la Finca Agularejo sur la page

https://www.facebook.com/matias.elgalgopeludo

Intervention en 2012 dans une rehala de 70 chiens

http://lesangesmartyrs.eklablog.com/operation-rehala-le-sauvetage-a45175117

Intervention dans une rehala de 120 chiens en 2012 à Murcia

http://galgosoleil.e-monsite.com/blog/120-chiens-sur-murcia-au-secours.

html Une page Facebook pour découvrir, échanger et partager sur le Podenco

https://www.facebook.com/LeCercleDesPodencos

Pour en savoir plus sur les races de Podencos :http://terredeslevriers.blogspot.fr/2013/07/les-podencos.html

Voici la vie d'un chien pendant 12 ans dans le pas de calais a lens 4 heure d 'attente de la police qui na pas pue ce déplacer.........

Chien maltraiter laisser a lui même sans rien pas de suivis véto pas de toiletteur,pour le mec il va bien,récupérer ce jours âpres avoir vue veto qui a vue une tumeur de 10 cm ne voyant plus que l'anus un demis centimètre.

(inopérable le chien souffrant horriblement le vétérinaire a préférer dire stop a ce chien ce prénommé snoopy 

Dégouter de cette triste fin.....

UNE PLAINTE ACTE DE CRUAUTÉ VA ÊTRE DÉPOSER

Le chameaux est un des animaux plus aimables pour les humains, ils sont très social et intelligent, le rapport du Talmud que les chameaux ont une capacité de mémoire de 60 ans en arrière ! ils ont aidé les hommes à construire ce monde avec leur transport à très longue distance et dans les déserts... sauvé de la vie humaine et bien plus encore...

Malheureusement, ils sont cruellement massacrés et exploitées dans de nombreux pays tiers...et en Australie!

j'ai réuni ci-dessous quelques histoires de pays différents, s'il vous plaît ,prendre un moment pour lire ! Merci

? Inde

chaque mois environ 6 000 du Rajasthan sont pris là. Ils sont soit illégalement abattus pour leur viande, cuir et des os, ou sont passés en contrebande direct ainsi que des vaches au Bangladesh (par les autres États) où ils sont tués pour la viande.Ils les font marcher de longues distances, même si leurs pieds saignent, ils subissent en route de grandes difficultés dans leur destination. De même, des milliers sont retirées de Rajasthan plus et atterrir vers le haut dans les différents États et les villes de l'Inde, où ils sont exploités commercialement.

Malgré les souffrances ils finissent par mourir, c'est dommage que le Rajasthan n'a pas interdit que les chameaux ne doivent pas sortir de l'État. Malheureusement, chameaux du Rajasthan ont été également prises pour différents États comme Jharkhand et abondamment utilisé comme « véhicules de la campagne » pour les élections de 2009.

Ils étaient drapées dans des bannières et  se déplacait autour de la ville pour Rs 500 /-à Rs 1000 /-par jour. C'est triste que les politiciens ont montré que sans se préoccuper des animaux. Dans un premier temps, la viande de chameaux est illégale parce qu'il est au meilleur de notre connaissance aucune abattoirs en Inde n'ont délivré des licences pour les chameaux à être tué.

Autour de 2004 quelques riches musulmans d'Hyderabad ont commencé l'achat et de sacrifier les chameaux à Hyderabad. De l'Andhra Pradesh la pratique se propage aux autres États du Sud comme Karnataka, Kerala, Tamil Nadu et même du Bengale occidental.

Ils sont abattus pour Bakri Idd dans des espaces ouverts et même dans les zones résidentielles, rues et de voies, en violation flagrante des lois municipales et le règlement sur la santé.

Par ailleurs les tueries indiscutablement contrevient à la lois de l'État se rapportant à des sacrifices d'animaux.

Et comment l'on peut oublier que les pauvres chameaux ont involontairement parcouru des milliers de kilomètres du désert avec leurs éleveurs perfides qui les vendent en fin de compte à l'abattage sacrificiel...!!

Pastirma est assaisonné et viande de chameau – il peut aussi être de la viande de porc, buffle, agneau ou de chèvre, mais qu'il est le plus prisé de chameau séchée. Il est produit et consommé principalement dans les pays de la Turquie, le Moyen-Orient et l'Europe de l'est.

Saccadé sont de fines lanières de chameau-viande marinée, brûlée, qui, ainsi que des steaks de chameau, sont des aliments traditionnels de fantaisiepromus en Australie.

Read plus de détails ici :

http://www.bwcindia.org/Web/Awareness/LearnAbout/Camels.html

 Australie jusqu'à 50, 000 les indésirables des chameaux sauvages en Australie sont destinées à être abattu à l'aide d'hélicoptères... Ariel chasse conduit souvent à cruels, lent, décès angoissantes que les animaux sont uniquement des animaux blessés ou mutilés et jeunes meurent de faim et de déshydratation.

S'il vous plaît regardez également ce rapport d'AL JAZEERA

http://www.aljazeera.com/programmes/aljazeeraworld/2012/12/20121226115848287535.html

 contexte historique des chameaux en Australie ! Comment l'Australie est devenue abriter une grande population de chameaux sauvages, et comment elle souhaite réduire leur nombre en tuant les animaux avec des tireurs d'élite, est un parfait exemple de ce qui peut arriver lorsque les espèces non indigènes sont importés.

Les anglais introduisent des chameaux de l'Inde et le Pakistan en Australie entre 1840 et 1907 comme animaux de bât.

Quelque 20 000 ont été importées pour le transport de fret et de personnes dans l'outback, seulement pour être relâchées dans la nature par leurs gestionnaires asiatiques qui ne voulaient pas les détruire dans les années 1920 et 1930 ,une fois que les trains et routes sont apparus et les chameaux étaient devenues inutiles. Les chameaux qui errent aujourd'hui dans l'outback australien sont grands arrières petits-enfants de ceux d'origine. Alors que leurs ancêtres ont joué un rôle clé dans la création de l'Australie moderne, les chameaux « sauvages » sont considérés comme une « peste », affirme un article de 2011 en découverte.

Les chameaux peuvent prendre dans plus de 50 gallons d'eau à trois minutes de trous d'eau et ont été connus pour tirer des pipes et des unités de climatisation sur les murs et briser les systèmes de plomberie. Ils sont capables de manger haut dans les arbres et leur alimentation a conduit à certaines espèces de plantes qui a localement disparu ; ils ont endommagé des sites d'importance culturelle pour les peuples autochtones. Comme les chameaux n'ont aucuns prédateurs naturels en Australie, ils ont un faible taux de mortalité. Une étude en 2011 par le gouvernement australien est Ministère du changement climatique et l'efficacité énergétique, chameaux décrit comme une source importante d'émissions de gaz à effet de serre avec chaque chameau estimé pour produire 100 livres de méthane par an.

Mais les experts en chameaux ont répliqué que ces conclusions comme "faux et stupide... une aberration scientifique. » La sécheresse a réduit le nombre de chameaux à environ 750, 000 en 2009 mais le gouvernement australien veut abaisser leurs numéros plus loin et a surveillé les chameaux.

Sous son australien Feral Camel Management Project (AFCMP), le gouvernement a voulu contrôler sa population chameau sauvage de 1,2 millions par un effort agressif d'abattage.

Des entrepreneurs privés ont été tirer les chameaux depuis un hélicoptère, avec les carcasses laissé dans le désert. « L'élimination » des chameaux est "pas le but et il pourraient jamais être atteint dans tous les cas", affirme le site AFCMP du gouvernement australien.

(Rédigée en bonne bureaucratique) vise à « réduire la densité des chameaux sauvages à un niveau où les impacts négatifs sont dans des limites acceptables ».

On ne sait ne pas comment de nombreux efforts, le gouvernement australien a fait pour trouver des solutions plus humaines à un problème créé, après tout, par les humains. Le gouvernement dit qu'il envisage « propositions viables pour exporter des chameaux au Moyen Orient », comme « une bonne solution pour une réduction relativement faible densité chameau. »

De 1988 à 2007, il a exporté 4, 761 chameaux, mais dit qu'il n'y a actuellement « aucune incitation pour les entreprises et les propriétaires fonciers individuels d'investir dans les infrastructures ». Défenseurs du bien-être des animaux et beaucoup d'autres ont exprimé leur indignation devant le massacre de chameaux sauvages.

En particulier, Qataris et des autres Arabes sont, dit Al Jazeera, « horrifiés par les vidéos de Youtube et les photographies du chameau voir vous plus tard » que « pour les arabes, les chameaux occupe une place importante dans la culture, l'histoire et l'économie. »

Un homme d'affaires Qatari, Ali Sultan Al Hajri, qui a grandi à analphabète et et l'élevage des chameaux jusqu'à ce qu'il avait 17 — il maintient toujours un troupeau de chameaux — a voyagé en Australie et examine s'il existe une alternative à la politique actuelle de l'Australie d'avoir tué les chameaux sauvages, dit Al Jazeera.

Les nombreux chameaux sauvages en Australie offrent un récit très édifiant des résultats de l'importation d'espèces non indigènes sans tenir compte des conséquences à long terme.

En tout respect des chameaux du rôle important joué dans le développement de l'Australie, le gouvernement doit augmenter ses efforts pour trouver des solutions de rechange sans cruauté de contrôler sa population de chamelle sauvage plutôt que d'embaucher chasseurs à tirer sur la gâchette sur eux.

Read plus:

 http://www.care2.com/causes/stop-australia-kill-a-camel-policy.html AFGHANISTAN 

Une chienne victime d'actes de barbarie MONTABON • Céline Lagorce affirme avoir sauvé "Pépette" des griffes de son propriétaire qui cherchait à l'achever hier vers 19h. Selon le vétérinaire, l'animal survivra. Miraculeux

Les images dont on ne montre que celles qui sont supportables, parlent d’elle même. Le reste, c’est Céline Lagorce qui le raconte. Cette éleveuse de Husky sibérien est voisine du terrain de loisirs où se sont déroulés les faits lundi 17 mars vers 19h. “J’ai entendu un coup de feu, mes chien se sont mis à aboyer comme des fous. Un ami était là, je lui ai dit : j’espère qu’il n’a pas tiré sur sa chienne. Il l’avait déjà tabassé suite à une fugue“, explique Céline Lagorce.

L’ami s’est alors rendu le long du terrain où les coups de feu avaient été tirés. “Il a vu le voisin qui avait balancé la chienne dans l’étang et qui lui donnait des coups de bâtons“, rapporte l’éleveuse. La jeune femme a alors décidé de s’en mêler. Elle est allé au devant de ce voisin, un retraité qui passe beaucoup de temps sur ce petit terrain de loisir équipé d’un chalet et d’une caravane à la sortie de Montabon. “Il avait bu. Je lui ai demandé ce qu’il faisait, il m’a répondu qu’il la baignait. Il la tenait par une longe pour la ramener vers lui et la frapper encore. Je l’ai poussé et j’ai pris la chienne. Elle perdait beaucoup de sang“, affirme Céline Lagorce. Après elle a conduit l’animal couvert de sang chez le vétérinaire à Château-du-Loir. “Une collègue s’en est occupée jusqu’à 22h. Je ne peux pas vous en dire plus“, indique-t-on au cabinet vétérinaire qui a tout de même accepté de préciser que le pronostic vital de la petite chienne ne semblait plus engagé. En clair, elle survivra très probablement. Pour les séquelles, il est trop tôt pour se prononcer.

D’après les constats vétérinaires, rapportés par Céline Lagorce, “Pépette”, le nom que lui a donné celle qui a sauvé l’animal, aurait reçu deux tirs à bout portant, comme le montre la radio où l’on distingue un très grand nombre de plombs au niveau de l’échine.

La chienne portait aussi une très grande entaille au niveau du cou laissant apparaître une vilaine plaie à vif qui a été recousue ainsi que les points d’entrée des tirs à la base du crâne.

Céline Lagorce a très certainement sauvé la vie de la petit chienne. Contactée, la SPA de la Sarthe a fait savoir qu’elle allait porter plainte, comme elle le fait toujours dans les cas de suspicion d’actes de violences envers les animaux. Si les faits sont avérés, l’auteur devra très certainement en répondre devant la justice.

Souffrance animale: l’ignoble traitement des chevaux de boucherie

Enquête en Amérique chez les fournisseurs des supermarchés français C'est la plus vaste investigation internationale jamais menée sur la viande de cheval en provenance des Amériques vendue dans les supermarchés français.

Pendant 2 ans, nos enquêteurs ont suivi le calvaire des chevaux à travers les Etats-Unis, le Canada, le Mexique, l'Uruguay et l'Argentine.

Le constat est terrible : des chevaux émaciés, malades ou blessés s’échangent au prix de 9$ sur les marchés aux enchères américains. Des bétaillères bondées, parcourent des milliers de kilomètres au cours desquels les chevaux n'auront ni eau, ni nourriture. Des centres de rassemblement regroupent des milliers de chevaux exposés à la neige et au grand froid au nord tandis qu'au sud, le soleil est impitoyable pour ces chevaux laissés sans abri.

Nous avons filmé de nombreux chevaux avec des plaies ouvertes, des yeux crevés, des membres déboités ou cassés, laissés sans soin ; d'autres morts, en décomposition, dans les feedlots.

En plus du traitement inacceptable des chevaux, l'utilisation de phénylbutazone ou d'autres substances dangereuses interdites dans l'UE est courante. Dans plusieurs de ces pays, la phénylbutazone est en vente libre, les contrôles vétérinaires sporadiques, les registres inexistants ou non fiables.

Plusieurs chevaux ayant reçu de la phénylbutazone ont été tracés jusque dans les abattoirs canadiens. « Nous demandons aux grandes surfaces de cesser de commercialiser de la viande de chevaux en provenance des Amériques.

L’importation de viande de cheval contribue à maintenir le système en place et à faire subir aux animaux des traitements cruels, d'ailleurs illégaux en Europe. » déclare Brigitte Gothière, porte-parole de L214. Enquête internationale au Far West Lasagnes à la viande de cheval, chevaux volés, chevaux issus de l’industrie pharmaceutique ou de centres équestres : plusieurs scandales ont fait la une des journaux l’an dernier sur la viande chevaline made in France.

Or, en France, au moins 60% de la viande chevaline importée provient du continent américain, soit plus de 9000 tonnes.

L214 s’est associée à Tierschutzbund Zürich (TSB/AWF), Animals Angels’ USA, GAIA, Eyes on Animals pour mener une vaste enquête en 2012 et 2013 aux États-Unis, au Canada, au Mexique, en Uruguay et en Argentine, principaux pays fournisseurs de viande de cheval des supermarchés français.

Notre équipe internationale a mené ses investigations sur les marchés aux enchères, dans les stations de collecte, dans les enclos d’exportation, aux frontières, aux points de contrôles vétérinaires, dans les feedlots et les abattoirs.

Circulez, y’a rien à voir !

Le marché est dominé par quelques compagnies d’importation. Leurs déclarations, relayées par les supermarchés, concernant le bien-être des animauxet la protection des consommateurs marquent un saisissant contraste avec la réalité : les chevaux vivraient en liberté et recevraient des soins appropriés.

De plus la traçabilité serait garantie depuis la ferme d’origine, les conditions de transport seraient correctes, inférieures à 12h et l’abattage sans souffrance.

Les preuves accumulées par nos équipes révèlent une toute autre réalité. Du nord au sud, triste destin pour les chevaux Les chevaux en route pour les abattoirs sont des chevaux indésirables, devenus inutiles ou encombrants.

Ces chevaux émaciés, malades ou blessés peuvent s’échanger au prix de 9$ sur les marchés aux enchères américains. Nous les avons vus malmenés, frappés à coups de bâtons ou de cordes, d’aiguillons électriques (interdits dans l'UE) et mordus par des chiens. Nous les avons filmés à terre dans les bétaillères, morts ou agonisants, piétinés par les autres.

Nous les avons suivis pendant des dizaines d’heures par tous les temps, alors qu’ils étaient privés d’eau et de nourriture. Nous avons constaté les heures où ils sont restés exposés en plein soleil, sans eau ni nourriture, lors d’un passage de frontière par des températures de plus de 40°C, la bétaillère scellée empêchant le chauffeur de venir en aide à des chevaux tombés à terre.

Nous les avons observés dans la neige, par grand froid, au milieu d’un feedlot sans endroit où s’abriter. Nous avons croisés des chevaux obèses au Canada, gavés de céréales, et d’autres émaciés, avec juste la peau sur les os.

Nous avons vu des fractures ouvertes des pattes, des plaies infectées, des juments mortes en cours de mise bas en plein milieu de feedlots.

Nous avons vu ces chevaux agonisants abandonnés à même le sol des abattoirs pendant que les autres paniquaient poussés vers le box d’abattage par des ouvriers brutaux.

Nous les avons vu, le crâne percuté par un matador s’écrouler et mourir, après un éprouvant périple. Des chevaux non destinés à la consommation humaine Dans la plupart de ces pays, les chevaux ne sont pas mangés, ne sont pas considérés comme de la nourriture potentielle.

En Argentine, une loi en interdit même la commercialisation. Les propriétaires ne sont donc pas alertés sur le fait que les animaux dont ils ont la charge finiront dans des assiettes et il n’y a pas de législation qui impose un carnet de suivi.

Les traitements médicamenteux sont adaptés aux pathologies du cheval : il n’est pas rare que ces traitements, souvent en vente libre et disponibles sans prescription, soient interdits en Europe pour les chevaux destinés à la boucherie : c’est le cas pour la phénylbutazone.

Ces chevaux, qui finissent néanmoins à l’abattoir, sont des animaux en fin de carrière (sport, travail ou loisirs), vieux, malades ou blessés, considérés comme désormais inutiles ou encombrants. La traçabilité repose sur des déclarations, considérées comme non fiables par l’Office Alimentaire et Vétérinaire européen (OAV).

Les chevaux nés en France ont un document d’identification qui les suit tout au long de leur vie. Ce document permet de savoir si le cheval peut être abattu pour la consommation humaine. Des réglementations et des pratiques différentes Les standards en vigueur dans l'UE, notamment pendant le transport, ne sont pas exigés dans les pays tiers.

Si, pour exporter, un abattoir doit être agréé et appliquer la réglementation européenne, il n’est rien exigé concernant le transport. En Europe, le transport des animaux est encadré par le règlement 1/2005. Les législations dans les pays tiers sont très différentes. Ainsi, les chevaux peuvent légalement être transportés jusqu’à 36h d’affilée en Argentine, en Uruguay et au Canada (contre 24h en Europe), dans des bétaillères sans ventilation, sans séparation voire sans toit.

Il n’est alors pas rare de trouver des chevaux piétinés par les autres, des chevaux déshydratés et épuisés par ces transports très longs et éprouvants. Nous en avons rencontrés beaucoup au cours de notre enquête.

Jane Goodall est mondialement reconnue pour ses découvertes qui dévoilèrent notamment la capacité des chimpanzés de fabriquer et d’utiliser des outils dans leur vie quotidienne, ainsi que le fait qu’ils sont dotés d’émotions. Elle modifia ainsi la limite homme-animal et força la science à repenser la définition du propre de l’Homme. Aujourd’hui, le Dr. Jane Goodall se donne deux principales missions : alerter l’opinion publique des dangers qu’encourt notre planète, et faire évoluer les comportements individuels vers une meilleure prise de conscience de notre environnement. A 80 ans, Jane Goodall continue de travailler et de militer sans relâche pour la préservation de la planète. En voyageant en moyenne 300 jours par an à travers des dizaines de pays, elle transmet son expérience de vie, son message de paix et d’espoir pour qu’ensemble nous fassions de ce monde, un endroit où il fait bon vivre en harmonie : animaux, humains et environnement. Nous vous annonçons que le Dr. Jane Goodall sera en France au mois de mai prochain, différents événements seront organisés et nous y fêterons notamment ses 80 ans !

UN ESPOIR POUR LES LEVRIERS ESPAGNOLS Une proposition de loi a été déposée en espagne visant à interdire la chasse avec des lévriers, comme dans la grande majorité des autres pays européens. Nos amis du refuge de P. avec lesquels nous travaillons depuis des années sont venus à Madrid soutenir et débattre de la nécessité absolue qu'une telle loi voie le jour. Cette loi pourrait changer radicalement la manière dont sont traités les lévriers dans leur pays, nous espérons que Chesus Yuste (député du Congres, dépositaire de cette proposition de loi) sera entendu.

Merci de visionner cette vidéo tellement triste et de signer la pétition Procter & Gamble achète de l'huile de palme a des compagnies qui détruisent les forêts, habitats des orang-outans, éléphants et tigres.

SIGNEZ LA PETITION ICI:

http://dirtysecret.greenpeace.org/fr-BE

Des lions enfermés pour être mieux chassés par de riches touristes : cruel et intolérable...

LE PLUS. Le 15 mars prochain, aura lieu la marche mondiale contre la "chasse en boîte".

Cette pratique répandue en Afrique du Sud, consiste à garder un animal dans un enclos afin qu'il soit à disposition des chasseurs. Pour Muriel Fusi, défenseur de la cause animale, ces méthodes sont indignes de l'humain.

Un mois après la manifestation de Lille contre les "Cht’is Fox Days", un autre type de chasse particulièrement cruelle pourrait se trouver dans la ligne de mire des défenseurs des animaux, mais cette fois-ci à l’échelle mondiale.

Des manifestations sont en effet prévues dans plusieurs capitales du monde, dont Bruxelles, à l’occasion de la marche mondiale contre la "chasse en boîte", qui aura lieu le 15 mars prochain.

Une chasse aux trophées cruelle La "chasse en boîte", également appelée chasse close ou chasse en cages, est une chasse aux trophées dans laquelle les animaux sont maintenus dans un enclos à la merci des chasseurs.

Cette chasse est dénoncée par les défenseurs des animaux pour sa cruauté. Mais elle est aussi décriée par la majorité des chasseurs, qui estiment qu’elle dévoie le véritable esprit de la chasse, en ôtant un élément fondamental : la possibilité pour l’animal de s’échapper.

En effet, outre le fait d’être tenues prisonnières, les proies ont souvent été élevées par l’homme et ne s’en méfient pas. Il est alors très facile de les abattre.

Cette chasse existe dans de nombreux pays et touche différentes espèces mais aujourd’hui, ce sont bien les lions qui en sont les grandes victimes, avec seulement 20.000 individus à l’état sauvage en Afrique.