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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Les pompiers se mobilisent

Publié à 18:34 par fandeloup Tags : message photo enfant france
Les pompiers se mobilisent

Les pompiers se mobilisent pour un enfant malade

 Keny, un petit garçon de 11 ans, originaire de Loire-Atlantique, souffre depuis plus de sept ans d'une leucémie.

Fasciné par les soldats du feu il s'est lancé le défi de recevoir des calendriers en provenance d'un maximum de casernes.Keny a déjà reçu près de 1000 calendriers.

Keny à 11 ans et depuis maintenant 7 longues années le petit garçon se bat contre une leucémie.

Une maladie qui ne lui laisse que peu de répit puisque depuis quelques semaines Keny et sa famille ont appris qu'il souffrait d'une rechute.

Mais pour ne pas laisser la maladie prendre toute la place, Keny s'accroche à sa passion : les sapeurs pompiers.

Comme son père avant lui, le petit garçon est littéralement fasciné par les soldats du feu. Des milliers de calendriers Alors en cette période de fêtes de fin d'années, Keny et son père ont lancé un défi sur Facebook.

Appeler toutes les casernes de France à leur envoyer leur calendrier 2015. Comme il l'explique à nos confrères du quotidien régional Ouest France le père de l'enfant à trouvé ce moyen pour lutter contre le désarroi dans lequel le plonge la leucémie de son fils. "Nous avons appris sa rechute fin novembre.Pour se changer les idées et permettre à la famille de penser à autre chose, nous avons lancé ce défi."

Et c'est un succès : le message a bénéficié d'environ 38 000 partages sur Facebook en quelques jours. Depuis lundi dernier, ce sont près de mille calendriers qui ont été envoyés au domicile du petit garçon avec souvent un petit mot pour encourager Keny dans sa lutte contre la maladie. Des courriers en provenance de la Guadeloupe et des Etats Unis "On s’était lancé comme défi d’arriver à mille calendriers. Mais on y est déjà !", déclare la famille comblée par ces nombreux témoignages de soutien.

Il semble même que des courriers sont en route depuis la Guadeloupe, le Canada et les États-Unis.

Une péniche pour les sans-abri

Publié à 15:53 par fandeloup Tags : france photo google bonne amis société animal animaux chien hiver solidarité chiens
Une péniche pour les sans-abri

Une péniche pour les sans-abri et leur animal

Chaque hiver, des sans-abri et leurs chiens sont accueillis sur une péniche cogérée par la Fondation 30 Millions d'Amis et l'Ordre de Malte.

Un lieu unique dans la capitale, indispensable à l'heure où les températures se rafraîchissent.

Le Fleuron : une péniche pour les sans-abri et leur animal de compagnie

Fondation 30 Millions d'Amis

De nombreux sans domicile fixe (SDF) sont chaque jour contraints d’abandonner leur chien s’ils veulent être acceptés dans les structures d’hébergement d’urgence.

Pour la plupart, cette séparation est insupportable, tant le lien qui les unit à leur animal est fort. Beaucoup préfèrent alors rester dehors, même par grand froid, car ce compagnon d’infortune constitue bien souvent leur dernier lien avec la société , et leur seul soutien. Depuis plus de 10 ans, la péniche « Le Fleuron » amarrée sur les bords de Seine dans le 15ème arrondissement de Paris, accueille chaque jour ces « passagers ».

Un lieu unique dans la capitale, au service des plus démunis et de leurs animaux en période de grand froid. Pour Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d'Amis, « un peu de place et de bonne volonté, c'est tout ce qu'il fallait pour accueillir ensemble des sans-abri et leurs chiens. S'organiser : c'était le seul effort à faire pour ne pas laisser ni l’homme, ni l’animal mourir de froid dans la rue. »

Selon elle, « la réussite hors du commun du Fleuron laisse espérer que de nouveaux centres d'hébergement dignes de ce nom verront enfin le jour rapidement partout en France».

Chaque hiver, « Le Fleuron » fait la démonstration que rien n'est impossible avec un peu de bonne volonté et de solidarité.

Pratique : Accueil des « passagers » - adressés par le Samu Social - 7 jours/7 à partir de 18h30 50 places, dont 25 avec animaux 150 bénévoles au total, 8 à 10 bénévoles chaque soir

Permanences médicales assurées 2 fois par semaine par deux médecins bénévoles Permanence vétérinaire assurée par les étudiants volontaires de l’Ecole Vétérinaire de Maisons Alfort (94).

Important :Pour être accueilli à bord du Fleuron, il faut impérativement s'adresser aux services sociaux ou directement au Samu Social.

Si vous croisez des personnes démunies en situation d'urgence, n’hésitez pas : composez le 115 !

La mère de Nesser-Edin B. s’adresse aux victimes

Publié à 18:11 par fandeloup Tags : photos lecture vie moi monde homme chez enfants article femme travail voiture anime
La mère de Nesser-Edin B. s’adresse aux victimes

La mère de Nesser-Edin B. s’adresse aux victimes

Le fameux dimanche soir, dès que Nesser-Edin est monté dans sa voiture, sa mère, inquiète, a téléphoné à la police.

Le jeune homme vivait chez ses parents, dans le quartier Greuze à Dijon. Il enchaînait les séjours en hôpital psychiatrique.

 La mère de l’homme écroué pour tentatives d’assassinats après avoir foncé sur des piétons déplore que son fils n’ait pas pu rester à l’hôpital. Et pense surtout aux victimes.

C’est une femme à la voix fatiguée, qui accepte de nous répondre quelques instants. Depuis le dimanche , la mère de Nesser-Edin B. a très peu dormi. Il y a maintenant un peu plus d’une semaine, son fils quittait son domicile, montait dans sa voiture et renversait 13 piétons dans les rues de Dijon.

Toujours présumé innocent, il est aujourd’hui incarcéré dans une unité psychiatrique à Lyon, et est poursuivi pour tentatives d’assassinats.

Depuis, cette femme aujourd’hui à la retraite « est très fatiguée… Je ne dors plus. » Pourtant, malgré l’état de nerfs permanent dans lequel elle se trouve depuis cette date, la mère de Nesser-Edin B. parle. Des victimes, beaucoup, de son fils, un peu, et d’elle, presque pas.

Surtout, avant de répondre à nos questions, elle interroge, s’enquiert de l’état des victimes. « Vous savez s’il y a encore des gens à l’hôpital ? Combien il en reste ? Ils sont hors de danger quand même, ils ne mourront pas ? », s’inquiète cette femme digne. « Ils passeront la nouvelle année à l’hôpital ? » On lui dit alors que selon nos informations, oui, il reste du monde à l’hôpital, et oui, c’est sur un lit du CHU qu’ils passeront le nouvel an. « Oh… Je pense toujours à eux, beaucoup… J’achète tous les jours les journaux pour essayer d’avoir de leurs nouvelles. » « Ce qui compte, ce sont les victimes »

Son fils, cette mère ne l’a pratiquement pas revu depuis dimanche dernier. Une fois en tout et pour tout, lors de la perquisition à son domicile. « Mon fils, pour le moment, c’est mon problème », évacue la Dijonnaise. « Ce qui compte, ce sont les victimes. » Reste qu’une mère reste une mère, et que depuis ce sinistre dimanche, elle cherche à comprendre. Cette catastrophe, selon la mère de Nesser-Edin, elle aurait pu être évitée.

Par la police, peut-être, « prévenue dès que Nesser-Edin a quitté l’appartement. Il n’était pas bien, je le sentais. J’ai téléphoné au 17, j’ai expliqué que mon fils était malade, qu’ils avaient changé son traitement, qu’il était parti dans sa Clio noire. J’ai donné son nom, son immatriculation… Ils m’ont dit qu’il était majeur, qu’ils ne pouvaient rien faire… »

Surtout, la mère de Nesser-Edin B. se pose la question qui anime beaucoup de monde aujourd’hui. Comment un homme de 40 ans ayant fait 157 séjours en hôpital psychiatrique a-t-il pu « sortir » ? Car la schizophrénie de Nesser-Edin n’était pas nouvelle.

C’est en 1999, « sans prévenir », que le jeune homme, alors âgé de 25 ans, commence à déraper. « Il entendait une voix, il avait l’impression que c’est elle qui commandait. » La famille, qui vit alors à Strasbourg, déménage à Dijon en 2000, mais rien ne change. Nesser-Edin devient un habitué des séjours à la Chartreuse. « Je voulais qu’il soit gardé à l’hôpital »

Au mois de septembre, à l’hôpital, le traitement de Nesser-Edin « est modifié ». Et quand il sort, sa mère remarque tout de suite que ça ne va pas. « Quand il a quitté l’hôpital, il était très nerveux, il n’allait vraiment pas bien », se souvient cette mère de trois enfants. « Moi, j’ai demandé à ce qu’il soit gardé à l’hôpital. C’est là-bas qu’il aurait dû être ce dimanche. »

D’ailleurs, de nombreuses fois avant le drame, Nesser-Edin était, de lui-même, retourné à la Chartreuse en urgence. « Quand il avait un coup de cafard, ou que la voix devenait trop forte, une ambulance allait le chercher. Mais plusieurs fois, il a même pris sa voiture pour y aller tout seul. Il restait avec les “petits vieux”, au calme, ça lui faisait du bien. »

Son dernier passage volontaire remontait à la fin novembre. Mais ce dimanche , quand Nesser-Edin a quitté l’appartement « en colère » et que sa mère lui a demandé s’il retournait à l’hôpital, « il a répondu “Non”.J’ai appelé la police, mais c’était trop tard… »  

Le vrai problème... Voilà que "Lecture et culture" sait tout sur tout et amalgame sur les gens qui militent FN avec cet article qui fait débat sur le sujet.

Bien sûr que cette dame est sûrement une des victimes de tout ce dont sa vie est emaillée mais de là à conclure que c'est de la faute des militants FN, ce n'est plus un pas mais une botte des sept lieux d'oser de faire la comparaison...

Quant au personnel de prison et gardiens, je pense qu'il y en a de trés bien et même avec ce travail pas facile. Alors je pense que votre dernière phrase n'était pas utile !

Voila le vrai problème....Bravo Madame (Source France2)

Depuis 30 ans on détruit les structures pour soigner les Gens souffrant de problèmes psychiatriques et pour le cacher on les traite comme des délinquants. Ces pauvres bougres sans traitement adaptés finissent en isolement et sont des proies privilégiées pour les gardiens et personnel de prison.

On les punis, les humilient. On daigne leur donner à manger sur la cuvette des toilettes, etc. Alors quand je lis les commentaires journaliers de gens qui militent pour le FN et n'ont aucune connaissance

 Courage à vous Madame.. Il faut qu'il arrive un malheur pour que l'on prenne en compte la détresse de ces personnes qui sont malades !!Quand on voit ce qu'il faut faire aujourd'hui pour faire hospitaliser une personne malade psychologiquement après il ne faut pas s'étonner !!

Il y a des fois c'est lamentable !! Bon courage à vous Madame..

Je souhaite bon courage à cette mère de famille Maintenant que faire ? (...)

Prison avec sursis

Publié à 15:27 par fandeloup Tags : photo chez enfants femme nuit pouvoir

Prison avec sursis pour avoir laissé ses enfants pour faire la fête

 Le tribunal de Saint-Omer (Pas-de-Calais) a condamné, mardi, cette mère de cinq enfants . En juin, elle avait été arrêtée, vers 2h30, dans un bar de nuit de Saint-Omer, alors que sa progéniture était seule chez elle. C'est une voisine qui a donné l'alerte.

Selon la justice, cette femme de 35 ans s'est soustraite à ses obligations légales de mère.Selon la justice, cette femme de 35 ans s'est soustraite à ses obligations légales de mère.

Une mère de cinq enfants a été condamnée, ce mardi, à trois mois de prison avec sursis par le tribunal de Saint-Omer (Pas-de-Calais).

Selon La Voix du Nord, cette femme de 35 ans a laissé seuls ses enfants âgés de 8 mois à douze ans, vers 23h30 le 14 juin, afin de sortir dans un bar de nuit.

Appelée par le père des enfants en instance de divorce, la police avait alors découvert les enfants endormis sur des canapés. Ils avaient ensuite interpellé cette femme dans l'établissement nocturne vers 2 h 30, avec un taux d'alcoolémie de 1,10 mg.

La voisine qui gardait les enfants était la maîtresse du mari

L'alerte a été Selon la justice, cette femme de 35 ans  s'est soustraite à ses obligations légales de mère.donnée par une voisine à qui la mère avait confié la responsabilité de venir les surveiller chaque heure, jusqu’à son retour vers 3 heures. Lors du procès, on apprendra que celle-ci était également la maîtresse du père des bambins.

Selon le tribunal, la mère de famille, qui a également contesté travailler comme hôtesse dans le bar, s'est soustraite à ses obligations légales.

Ses enfants, dont un hémiplégique âgé de 8 ans, ont été placés, faute de pouvoir être hébergé par le père. La maman a également été condamnée à une obligation de soins et à effectuer un stage de parentalité.

un homme traité par erreur pour Alzheimer

Publié à 11:59 par fandeloup Tags : histoire travail chez homme vie
un homme traité par erreur pour Alzheimer

Lorraine: un homme traité par erreur pour Alzheimer pendant 10 ans

Un Mosellan cherche à obtenir réparation auprès du CHU de Nancy après s'être soigné pendant 10 ans contre la maladie d'Alzheimer, qu'il n'a en fait jamais eue.

 

Le CHU de Nancy, responsable de cette erreur de diagnostic, estime qu'«en l'état des connaissances en 2004 on ne pouvait pas faire autrement que de poser le diagnostic d'Alzheimer», selon l'avocat de la victime.  Une histoire à peine croyable.

Un quinquagénaire croyant être atteint de la maladie d'Alzheimer a suivi pendant 10 ans des traitements en conséquence, alors que le diagnostic initial, fait en 2004 au CHU de Nancy, était erroné !

«Il a perdu dix ans de sa vie, dix ans d'angoisse», selon son avocat Me Jean-Christophe Duchet. Le tournant de sa vie Déclaré inapte après ce diagnostic, l'homme perd son travail, vit reclus chez lui, consomme une quantité de médicaments avec des effets secondaires redoutables:

«Etat dépressif, vomissements, nausées, problèmes de mémoire...» a énuméré l'avocat. En réalité il souffrait simplement de troubles cognitifs «probablement liés à un ancien traumatisme crânien», a-t-il affirmé. «Avoir Alzheimer lorsqu'on n'a qu'une quarantaine d'années (...), je l'ai ressenti comme une catastrophe. Je me suis dit qu'il fallait faire quelque chose pour ne pas être un légume ni un poids. Mais je n'en ai pas eu le courage», a confié cet homme sous couvert de l'anonymat au Républicain Lorrain, qui a révélé l'affaire samedi.

«La question maintenant c'est de savoir si cette erreur de diagnostic était admissible ou pas», explique Me Duchet, qui va prochainement saisir un juge administratif pour solliciter une expertise judiciaire devant déterminer s'il y a eu faute médicale ou non. Questions sur une erreur de diagnostic A la suite d'une procédure de conciliation avec le CHU de Nancy, l'hôpital a expliqué qu'«en l'état des connaissances en 2004 on ne pouvait pas faire autrement que de poser le diagnostic d'Alzheimer» a rapporté Me Duchet.

Pourtant «en dix ans les données médicales ont considérablement évolué sur cette maladie», a-t-il pointé, s'étonnant que sur toute cette période le diagnostic n'avait pas été remis en cause alors que l'état du patient ne s'aggravait pas. Sollicitée par l'AFP, une porte-parole du CHU de Nancy n'était pas en mesure de s'exprimer sur l'affaire. "Il faudra attendre les résultats de l'expertise judiciaire", a-t-elle précisé.

Quatre chats derrière les barreaux !

Publié à 11:03 par fandeloup Tags : femmes chat chats
Quatre chats derrière les barreaux !

Quatre chats derrière les barreaux !

Charly, Rocco, Minouche et le petit dernier n’ont rien à envier aux autres félins en liberté.

À la prison de Berkendael, ces quatre chats  règnent en maîtres !

Chouchoutés et dorlotés en permanence, les quatre félins sont si bien considérés derrière les barreaux qu’ils en sont même devenus obèses ! C’est qu’à force d’être nourries tant par les détenus que les agents, ces petites bêtes à poils ont pris trop de poids.

Du coup, le vétérinaire chargé de leur suivi a donné comme consigne aux surveillants de les soumettre à un petit régime temporaire. Pas d’excès donc pour les fêtes pour nos quatre félins qui, aussi surprenant que cela puisse paraître, sont considérés comme des membres du personnel de la prison pour femmes de Berkendael.

"Mais oui, ce sont nos collègues, ironise un agent. Ils travaillent durement et nous sont vraiment d’une précieuse aide", ajoute notre agent.

trafc

Publié à 10:38 par fandeloup Tags : divers cadre coeur femme
trafc

Trafic de stupéfiants : coup de filet à Sisteron

Le restaurant était sous surveillance depuis plusieurs semaines. Matthias Julliand Plusieurs personnes interpellées et des plants de cannabis saisis... une opération anti-drogue menée ce mardi matin par les gendarmes de la section de recherche de Marseille a visé le restaurant "les becs fins" au coeur de la ville de Sisteron.

Selon nos informations, c'est tout un réseau de trafic de drogue qui serait aujourd'hui sur le point d'être démantelé. L'enquete, débutée voilà plusieurs mois dans le département du Var, a permis de mettre au jour diverses ramifications dans d'autres départements de la région Paca et même au-delà.

C'est dans le cadre de ces investigations que les enquêteurs se seraient intéressés au restaurant "Les Becs fins" à Sisteron. Sous l'autorité du parquet de Toulon, les gendarmes sont donc passés à l'action ce mardi matin.

Une demi-douzaine de personnes auraient été interpellées avant d'être placées en garde-à-vue. Tandis que les militaires procédaient à la saisie d'environ 400 pieds de cannabis, découverts dans des salles aménagées au-dessus de l'établissement.

De Sisteron aux Pays-Bas Ce coup de filet a mobilisé au total une centaine de gendarmes dans le Var, les Bouches-du-Rhône et les Alpes-de-Haute-Provence et s'est soldé par l'arrestation d'une quinzaine de personnes soupçonnées de participer à un trafic de drogue international.

Selon la source proche de L'enquete, la "tête pensante" présumé du réseau, qui produisait à Sisteron et écoulait la marchandise aux Pays-Bas, a été interpellée dans les Bouches-du-Rhône, à Vitrolles.

Selon la source proche de L'enquete, quatre individus, trois hommes et une femme, tous âgés d'une trentaine d'années avec parmi eux le gérant du restaurant, ont été interpellés à Sisteron. Le trafic durait depuis plusieurs mois.

CHAMBERY La fontaine n'a plus ses éléphants

Publié à 19:16 par fandeloup Tags : éléments cadre article
 CHAMBERY La fontaine n'a plus ses éléphants

La fontaine n'a plus ses éléphants

Le quatrième et dernier éléphant de la fontaine des éléphants vient d’être décroché. Les quatre pachydermes vont être installés sur une remorque et partir en direction des ateliers de la fonderie Vincent à Brignais. Premiers retours prévus le 6 mai.

En attendant des travaux sur la colonne de l’édifice vont s’enclencher à partir du 5 janvier.

 Le troisième éléphant a abandonné la fontaine de Chambéry. Sous la pluie, quelques curieux étaient présents pour immortaliser le moment. Ne reste désormais plus qu’un éléphant à désolidariser de l’édifice.

Les ouvriers sont venus à bout du deuxième éléphant de la fontaine. Deux éléphants doivent encore être enlevés.

C’est sous la pluie que se poursuit la dépose des quatre éléphants de la fontaine de Chambéry. Les opérations mettent plus de temps que prévu afin de régler les petits détails. Le deuxième éléphant est en cours d’enlèvement. 1

Ce mercredi matin 11h15, le premier éléphant a été enlevé de la fontaine.

Ce mercredi matin a débuté la dépose des quatre éléments clés de la Fontaine des éléphants, à savoir… les éléphants. L’entreprise Vincent s’attaque actuellement au premier pachyderme. Les différentes parties sont décelées de la colonne.

L’enlèvement de chaque éléphant prendra environ une heure. Dans l’après-midi la Fontaine sera nue de ses quatre piliers. Cette grande opération (la dernière datait de années 85-86) se fait dans le cadre de la rénovation complète de l’édifice. Le retour des éléphants est prévue pour le mois de mai.

huit enfants découverts morts

Publié à 17:53 par fandeloup Tags : enfants femme
huit enfants découverts morts

Australie : huit enfants découverts morts auprès de leur mère blessée

Trois jours après la sanglante prise d'otages de Sydney, l'Australie est endeuillé par un nouveau drame. Les corps de huit enfants âgés de 18 mois à 15 ans ont été découverts au côté d'une femme blessée, vendredi, dans une maison de Cairns, dans le nord-est du pays.

Selon la police, les enfants ont été poignardés. Le Premier ministre Tony Abbot a immédiatement réagi, estimant que l'Australie vivait «des jours difficiles». «Ce soir, le pays versera des larmes et dira des prières» après ce «crime innommable», a-t-il déclaré dans un communiqué.

Bébé mort secoué

Publié à 16:54 par fandeloup Tags : divers photo bébé moi enfants mort fille
Bébé mort secoué

Bébé mort secoué : une mère de famille condamnée à 15 ans de prison

Une mère de famille a été condamnée à 15 ans de prison en appel à Nancy (Meurthe-et-Moselle) près avoir mortellement secoué son nourrisson.

La Cour d'Assises de Meurthe-et-Moselle a condamné en appel une mère de famille de 37 ans à quinze ans de réclusion criminelle. Elle était jugée pour la mort de son nourrisson de 2 mois et demi prénommé Arthur en 2006.

La Cour a estimé que la responsabilité de la mère était entière après la mort de l'enfant du syndrome du "bébé secoué". Pire, cette mère de famille était aussi poursuivie pour avoir frappé à plusieurs reprises son autre enfant victime de fractures importantes.

Picot veille sur l’alimentation de votre bébé depuis 1896 Picot veille sur l’alimentation de votre bébé depuis 1896 Les laboratoires Picot, spécialistes du lait et de la nutrition infantile pour les plus jeunes bébés, innovent pour répondre à tous leurs besoins, même les plus spécifiques.

En partenariat avec Picot En 2013, la Cour d'Assises avait condamné l'accusée à dix ans de réclusion criminelle en première instance. La justice a estimé que la mort du nourrisson et la maltraitante du second enfant relevait d'actes de "torture et de barbarie".

D'ailleurs les enquêteurs avaient d'abord estimé que le bébé était mort de manière naturelle en classant l'affaire sans suite mais ce n'est qu'en relevant les faits sur le second enfant qu'une autopsie a été pratiquée sur le bébé. Le second bébé était frappé Le second enfant, âgé de 2 moi et demi également est né un an après le premier.

La petite fille avait été admise en urgence à l'hôpital de Nancy pour plusieurs fractures. Les médecins avaient conclut à "des violences répétées". Une seconde enquête avait alors été ouverte, au cours de laquelle des experts avaient cette fois-ci mis en évidence des lésions traumatiques et plusieurs fractures antérieures, corroborant la piste des violences volontaires sur la petite victime.

Le père de famille, un militaire du régiment de Dieuze (Moselle) n'a pas été inquiété par la justice. Les enquêteurs ont estimé qu'il n'était pas responsable des faits de violence et a fini par reconnaître que sa compagne pouvait être violenté avec leurs enfants. L'avocat de la prévenue a estimé durant le procès qui s'est ouvert ce lundi que le doute est permis.