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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Paris : Sous le Monoprix, on a retrouvé 200 squelettes
Appartenant vraisemblablement à des victimes de la peste ou d'une famine, 200 squelettes ont été retrouvés sous un supermarché parisien. Il y a quelques siècles, le lieu faisait office de fosses communes.
Il reste encore une couche de fosse commune à explorer, selon l'archéologue Isabelle Abadie, laissant présager de nouvelles découvertesIl reste encore une couche de fosse commune à explorer, selon l'archéologue Isabelle Abadie, laissant présager de nouvelles découvertes
Etrange découverte en plein ♥ de Paris. Sous un supermarché du 2eme arrondissement, plus de 200 squelettes disposés soigneusement dans des fosses communes ont été mis au jour ce vendredi par des archéologues.
Sont-ils morts de la peste?
Décédés à cause d'une famine?
Les spécialistes s'interrogent car les défunts semblent avoir succombé en masse. Depuis début janvier et jusqu’en mars 2015, une équipe de l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) mène des fouilles sous le Monoprix Réaumur-Sébastopol, boulevard Sébastopol.
À cet endroit, on sait que se trouvait le cimetière de l'Hôpital de la Trinité fondé au 12e siècle et détruit à la fin du 18e. Fosses communes "Dans le cadre du réaménagement du magasin, nous avons décidé de supprimer un promontoire qui se trouvait au deuxième sous-sol, ce qui a déclenché des fouilles préventives", explique Pascal Roy, directeur du magasin. "Nous nous attendions à ce qu'il reste quelques ossements dans la mesure où cela avait été un cimetière mais pas à trouver des fosses communes", ajoute-t-il.
Au moment de la désaffection du cimetière, les restes des défunts avaient été transférés en partie aux Catacombes de Paris où ils sont toujours. "Mais apparemment, le travail n'a pas été bien fait", note l'archéologue Isabelle Abadie, qui dirige les fouilles. "C'est la première fois qu'un cimetière hospitalier est fouillé à Paris", souligne-t-elle en rappelant qu'on en a déjà trouvé à Marseille et Troyes notamment.
Nouvelles découvertes probables Á ce jour, sur la zone de 100 m2 qui fait l'objet de recherches, huit fosses communes ont été découvertes. Sept d'entre elles comptent entre cinq et vingt individus, déposés sur deux à cinq niveaux. La huitième fosse, la plus impressionnante, a permis de découvrir plus de 150 squelettes, disposés sur plusieurs niveaux. "Mais il reste encore une autre couche en dessous…", indique encore Isabelle Abadie, laissant présager de nouvelles probables découvertes.
Rochefort (17) : elle vit dans un garage depuis 4 mois, sans eau ni électricité
Agnès Lanoëlle Micheline, 58 ans, ancienne conductrice de bus tombée dans la précarité depuis plusieurs années, doit quitter le garage qu’elle loue à la fin du mois de mars.
Il y a quatre mois, des voisins s'étaient étonnés de la voir s'installer là, dans ce vieux garage du quartier Champlain. Depuis le mois d'octobre, Micheline, 58 ans, survit dans 10 mètres carrés, sans eau ni électricité, à l'abri des regards.
L'image de ce misérable capharnaüm est glaçante. On pense naufrage plutôt que refuge. Micheline y a entassé ses affaires personnelles, un canapé, un matelas, des couvertures, des sacs d'habits, des photos de familles rangées dans une boîte à chaussures.
Il n'y a pas de quoi se doucher, aller aux toilettes ou se faire simplement chauffer un café. Depuis quatre mois, Micheline est une sans domicile fixe qui loue un garage pour 60 euros. Un garage qu'elle devra quitter d'ici la fin du mois de mars.
C'est la première fois que je me retrouve dans une situation extrême. Sans avenir. Aujourd'hui, je suis presque au fond du trou.Jusqu'à présent, elle avait toujours su rebondir. « Mais c'est la première fois que je me retrouve dans une situation extrême. Sans avenir. Aujourd'hui, je suis presque au fond du trou. Ma vie est une merde et je suis une emmerdeuse. Je ne sers plus à rien », résume-t-elle, en se cachant les yeux.
Divorcée, mère d'un fils de 34 ans qui ne se soucie plus depuis longtemps de ce que devient sa mère, Micheline est une femme à la dérive, en colère et lucide. On ne saura rien d'autre de sa vie personnelle, pourquoi elle a sombré dans l'alcoolisme, comment elle a atterri à Rochefort il y a une quinzaine d'années.
Pendant plus de vingt ans, Micheline, originaire d'Orléans, a travaillé normalement, menant une vie ordinaire. Conductrice de bus pendant treize ans et ensuite de poids lourd pendant sept ans. Puis sa vie a basculé.
Main tendue
Depuis trois ans, elle louait un petit appartement en centre-ville. Mauvaises fréquentations, difficultés pour payer le loyer… son propriétaire a fini par mettre un terme au bail au mois d'octobre dernier. Depuis c'est la dégringolade, une vie de pauvreté extrême, sans chaleur humaine. Les services sociaux de la Ville lui ont tendu la main à plusieurs reprises.
Récemment, Micheline a encore refusé de partager un appartement avec une jeune fille de 22 ans que lui proposait l'association Altéa-Cabestan. « Nos deux vies étaient incompatibles. Est-ce que vous pouvez vous mettre à ma place, vous qui avez un boulot et un toit ? » lance-t-elle à ses interlocuteurs pour les mettre mal à l'aise. Micheline a eu envie de témoigner pour tous les exclus
Il y a de la rage derrière la provocation. Ses mots tremblent mais elle ne craque pas. Dans un dernier sursaut, Micheline a eu envie de témoigner pour tous les exclus qui vivent comme elle dans une voiture ou dans la rue mais aussi pour crier sa colère à la figure de la société.
Quand elle n'est pas dans son garage, Micheline fait parfois la manche sur un parking et se débrouille comme elle peut pour trouver une douche. Ses voisins, qui s'étaient émus de sa présence dès le début, l'ont visiblement vite oubliée.
Des vagues (presque) gelées impressionnantes aux Etats-Unis
INSOLITE - Lorsque Jonathan Nimerfroh est allé à la plage par une journée à -19 degrés la semaine dernière, il a vu quelque chose qu'il n'avait jamais pu observer auparavant.
Sur la petite île américaine de Nantucket dans l'océan Atlantique, au large du Massachusetts, ce surfeur qui est aussi photographe a pu regarder des vagues en train de geler sous ses yeux...
"Je n'en croyais pas mes yeux, je voyais une série de petites vagues qui avançaient au ralenti", raconte-t-il à nos collègues du HuffPost US. Actuellement, le nord et l'est des Etats-Unis traversent une vague de froid sans précédent, durant laquelle plusieurs records de températures négatives ont déjà été battus. »
On parie que vous ne saviez pas que tout ça pouvait geler?
ÉTATS-UNIS - Les températures ont battu des records mardi 7 janvier aux Etats-Unis -avec jusqu'à -37 degrés relevé dans le Minnesota- et cela a peu de chances de se réchauffer d'ici la fin de semaine.
Ce froid extrême transforme en tout cas le quotidien de plusieurs dizaines de millions d'Américains ces jours-ci, et surtout les objets et l'environnement qui les entourent.
Voitures, animaux , portes, parcmètres... Il est parfois bien difficile d'évoluer dans un univers totalement gelé.
Portables en prison : l'installation de nouveaux brouilleurs généralisée
Christiane Taubira a annoncé jeudi l'installation de nouveaux brouilleurs d'ondes de téléphones portables dans les prisons françaises.
Les prisons françaises vont bientôt être équipées de nouveaux brouilleurs d'ondes, plus précis et plus efficaces. L'annonce a été faite jeudi par la ministre de la Justice Christiane Taubira, en marge d'un déplacement à la direction interrégionale des services pénitentiaires à Fresnes (Val-de-Marne).
Deux prisons franciliennes ont déjà testé ces nouveaux brouilleurs, de marque Thalès, et l'expérience «semble probante», selon la garde des Sceaux.
Avant ce test, des brouilleurs étaient déjà installés en détention, mais le modèle utilisé n'était pas «extrêmement efficace», de l'aveu même de la directrice de l'administration pénitentiaire, Isabelle Gorce.
Pour y remédier, l'administration a donc mis à l'essai un nouveau modèle conçu par le groupe de haute technologie Thalès et adapté à l'univers carcéral. Il permet notamment de brouiller les communications dans des zones plus restreintes et plus ciblées, évitant ainsi de perturber les communications des personnels surveillants.
Ces nouveaux brouilleurs devraient permettre aux prisons françaises de bloquer tous les contenus que les détenus tentent d'envoyer vers l'extérieur et sur la Toile.
Début janvier, des prisonniers des Baumettes à Marseille (Bouches-du-Rhône) s'exhibaient sur Facebook avec des liasses de billets ou encore de la drogue.
«Cette prison est devenue un centre de vacances», s'indignait une syndicaliste de FO. Plusieurs enquêtes avaient alors été ouvertes. «700 à 800 téléphones portables» ont été saisis en 2014 dans des colis adressés aux personnes incarcérées.
New York cernée par la banquise
Manhattan cernée par la banquise, le 25 février. New York affronte des températures polaires depuis le 20 février. (AFP/TIMOTHY A. CLARY.) L'air glacial venu de Sibérie et de l'Arctique provoque des records de froid dans l'est des Etats-Unis.
Depuis une semaine, à New York, l'Hudson River a pris des allures de banquise. Le 20 février, les températures sont descendus en-dessous des 15 degrés à Central Park. Aucun dégel n'est envisagé avant le 1er mars prochain.
Nancy : quatre ados mis en examen après avoir piégé un homosexuel
Trois adolescents ont été mis en examen au tribunal pour enfants de Nancy (ici, la cité judiciaire).
Quatre adolescents scolarisés dans le même lycée de Nancy (Meurthe-et-Moselle) soupçonnés d'avoir frappé et volé un sexagénaire qu'ils avaient contacté via un site de rencontres puis attiré dans un guet-apens, ont été mis en examen.
Les mineurs, âgés de 15 à 17 ans, «reconnaissent partiellement les faits, mais ils insistent surtout sur le fait qu'il n'y avait aucune visée homophobe dans leurs actes», a expliqué Me Isabelle Coche-Mainente, une de leurs avocates.
L'agression avait eu lieu le 2 février, sur un parking en banlieue à Vandœuvre-lès-Nancy, dans la proche banlieue nancéienne, selon le site Ici-c-nancy.fr.
Un homme de 63 ans s'y était rendu en pensant avoir rendez-vous avec un jeune homme , rencontré sur internet . Mais quatre adolescents l'avaient molesté et frappé avec une barre de fer, avant de lui voler son téléphone portable et sa voiture.
D'après ce site, ils auraient reconnu plusieurs tentatives sur d'autres victimes, mais pas forcément homosexuelles. Le véhicule volé, destiné à la revente, avait été retrouvé dans l'agglomération de nancéienne par la brigade des violences urbaines, chargée de l'enquête.
Cette dernière était notamment remontée jusqu'aux auteurs présumés grâce à l'analyse de la téléphonie mobile. Trois d'entre eux ont été présentés devant un juge des enfants de Nancy, alors que le quatrième, qui faisait déjà l'objet d'un suivi, a été présenté à Metz (Moselle).
Poursuivis pour vols et violences, ils ont tous été placés sous contrôle judiciaire. Le parquet de Nancy était injoignable jeudi pour commenter ces informations.
Les capsules funéraires permettent de devenir un arbre quand vous mourez.
Comme les gens le savent, la mort est peut-être l’une des choses les plus terrifiantes qui soit. C’est démontré par nos tentatives répétées d’expliquer le phénomène. La plupart des gens espèrent que nous vivons en tant qu’esprit, ou même se réincarner.
Mais comment vous sentiriez-vous si vous saviez que votre corps pourrait nourrir un arbre après la mort?
Cette admirable capsule funéraire le permet. Anna Citelli et Raoul Bretzel, deux designers italiens, ont créé ce concept, appelé le Capsula Mundi.
C’est un conteneur ayant une forme étrange et parfaite, ressemblant à un oeuf, fabriqué avec un matériau moderne, du bio-plastique à base d’amidon, dans lequel le corps est placé dans une position fœtale. Un arbre ou une graine est ensuite planté sur l’œuf qui est ensuite alimenté, et nourri par le corps en dessous .
L’arbre est choisi lorsque la personne est vivante, les parents et les amis s’en occupent lorsque la mort survient. Un cimetière ne sera plus rempli de pierres tombales et deviendra une forêt sacrée.
Selon leur site web: « Capsula Mundi sauve la vie d’un arbre et propose d’en planter un de plus. En plantant différents types d’arbres les uns à côté des autres, cela crée une forêt. Un lieu où les enfants pourront apprendre tout sur les arbres. C’est aussi un lieu pour une belle promenade et une façon de se souvenir de nos proches. » En savoir plus sur http://www.sante-nutrition.org/les-capsules-funeraires-permettent-devenir-arbre-mourez/#P1Mkb3qe4kAuUQVR.99
«Monstrueux» : un nouveau trou noir supermassif intrigue les astronomes Des astronomes ont découvert un «monstrueux» trou noir, extrêmement ancien, qui défie les théories actuelles sur la façon dont ces objets se sont développés dans les débuts de l'Univers.
Comme si les trous noirs n'étaient déjà pas assez effrayants comme ça. Des astronomes viennent d'en découvrir un «monstrueux», dont la masse est - tenez-vous bien -, 12 milliards de fois supérieure à notre soleil.
En plus d'être l'un des plus gros trous noirs jamais recensés, ce géant représente un véritable défi théorique pour l'astronomie, de par son âge extrêmement avancé : il est né seulement 900 millions d'années après le Big Bang, âgé lui même de 13,7 milliards d'années, du jamais vu pour un trou noir aussi massif.
Les astronomes pensaient jusqu'ici que les plus gros de ces mastodontes, véritables ogres aspirant tout ce qui les entoure, y compris la lumière, étaient bien plus jeunes.
Leur appétit sans fin requiert en effet énormément de matière interstellaire à «consommer», et l'univers plus moderne, plus dense, paraît plus propice à leur développement.
Ainsi, avant cette découverte, le plus gros trou noir connu datant de l'univers le plus primitif (moins de 1 milliard d'années), ne faisait que 5 milliards de fois la masse du soleil.
«Difficile à interpréter»
Pourtant, selon la revue Nature, qui publie ces travaux, ce monstre a bel et bien été détecté dans un quasar - objet ultra lumineux qui émet une énergie colossale - qui existait lorsque l'univers n'était qu'un enfant, âgé de de 857.000.000 années, soit 6 ans pour un homme centenaire. Cette découverte est donc «difficile à interpréter avec les théories actuelles», a ainsi souligné l'un des auteurs de l'étude, Fuyan Bian, de l'Université Nationale Australienne, dans un communiqué.
Autre défi pour les astronomes : avec une telle masse, ce super trou noir doit forcément «grandir plus rapidement que sa galaxie hôte», selon Akos Bogdan, astrophysicien à Cambridge (Massachussets), interrogé par le site Discovery.
Or, on pensait jusque-là que les galaxies et les trous noirs qu'elles abritent se développaient conjointement. C'est quoi, un trou noir? Si une bonne part de mystère plane encore sur l'origine des trous noirs supermassifs, qu'on trouve au centre des galaxies, on en sait un peu plus aujourd'hui sur les trous noirs stellaires, qui ne sont pas des trous mais bien des objets célestes, naissant de l'«effondrement» sur elles-même d'étoiles massives arrivées en fin de vie.
Un peu comme si notre soleil se recroquevillait sur lui-même avant d'être littéralement aspiré par son propre noyau. Ces phénomènes sont issus d'une attraction gravitationnelle phénoménale et aspirent ainsi tout ce qui se trouve à proximité, la matière interstellaire, parfois d'autres trous noirs, et même la lumière.
Dans le mouvement s'aspiration, la matière est toutefois chauffée à un niveau tel que des rayons X sont émis, ce qui permet de détecter depuis la Terre ces ogres invisibles.
Un italien de 28 ans a ému des milliers d'internautes avec cette photo postée le soir du 31 décembre.
On y découvre Giancarlo qui tient sa grand-mère Antonia dans ses bras. A 87 ans, Antonia est atteinte de la maladie d'Alzheimer... Son petit fils a décidé de passer sa soirée du nouvel an avec sa mamie et a posté ce message:
"C'est ça l'amour, écrit le jeune homme en légende de sa photo. Ça n'a pas été le meilleur 31 décembre de ma vie, mais cela fait aussi partie de mon quotidien. Une fois tu m'as porté sur tes genoux et maintenant, je le fais à mon tour, ma petite mamie, sans honte ni peur (...) Dans la vie on se doit d'être présent pour les autres, quelles que soient les circonstances... Ceci est mon vœu pour 2015 : que quelqu'un soit toujours à tes côtés pour te protéger et te réconforter, et que tu sois souriante et heureuse avec nous..."
Respect ?
Roubaix : «J’ai tué mon chien mais je croyais que c’était mon mari»
Jugée pour acte de cruauté envers un animal, après avoir tué son chien, une habitante de Roubaix a expliqué aux policiers qu'elle pensait qu'il s'agissait de son mari.
Elle l'adorait, l'appelait «mon bébé», mais l'a lardé de coups de couteau.
Le 29 janvier au soir, Cathy H. a tué l'un de ses deux chiens. En garde à vue, relate «La Voix du Nord», elle s'est défendue de façon pour le moins surprenante auprès des policiers :
J’ai tué mon chien mais je croyais que c’était mon mari.
Ce soir-là, son époux a eu le bras tailladé. Cette habitante de Roubaix (Nord), comparaissait lundi pour acte de cruauté envers un animal. Son avocate a évoqué de possibles hallucinations, expliquant que sa cliente lui avait notamment confié :
«J’étais sûre que c’était l’autre chien qui était mort, le grand…» «Cela fait trois fois que vous vous en prenez à votre mari», a grondé la procureur, qui a demandé le placement de cette femme de 46 ans en détention provisoire.
«Il convient de ne pas attendre qu’elle tue son mari», a abondé la défense. Celui-ci portait encore des traces de coups au visage il y a quelques jours.
Cathy H. sera suivie par le tribunal. L'affaire a été renvoyée. Elle sera jugée le 23 mars.