Recherché pour violence avec armes, il est interpellé à Dijon

Le véhicule de l'homme interpellé a été bloqué par les gendarmes à l'entrée de Dijon.

Ce vendredi, la vigilance d’un réserviste régulièrement employé au peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie d’Is-sur-Tille a permis l’interpellation d’un homme recherché dans le cadre d’une affaire de violence avec armes.

Prudent, le réserviste, qui n’était pas en opération au moment des faits, a alerté le PSIG d’Is-sur-Tille qui a lui-même alerté le centre opérationnel de la gendarmerie.

Très vite, un dispositif de surveillance a été mis en place avec le concours des unités de la compagnie d’Is-sur-Tille, qui recherchaient cet homme de 32 ans depuis plusieurs semaines.

L'hélicoptère de la gendarmerie s'est aussi rendu sur place pour ne pas perdre la trace du véhicule du suspect. Enfin, la brigade anti-criminalité de la police de Dijon avait été alerté pour apporter son assistance si l'homme venait à entrer dans Dijon.

Et c’est à la faveur d’un ralentissement à l’entrée de Dijon, près du rond-point de la Toison d’Or, que les gendarmes ont pu bloquer le véhicule du fuyard et l’ont interpellé.

Il s'agit d'un homme habitant à Is-sur-Tille et qui était recherché par les gendarmes suite à une affaire violences avec arme. De plus, cet individu de 32 ans né à Dijon faisait l’objet de plusieurs fiches de recherches pour purger une condamnation à 30 mois de prison. Il était, ce matin, en garde à vue.

Nord : à 7 ans, il vient à l'école avec un pistolet, 18 mois de prison pour son père

Un enfant de sept ans s'est présenté mardi à son école de Bruay-sur-l'Escaut (Nord) avec un pistolet qui n'était toutefois pas chargé.

Un enfant de sept ans s'est présenté mardi à son école Léo-Lagrange de Bruay-sur-l'Escaut (Nord) avec un pistolet 3.65 qui n'était toutefois pas chargé, indique jeudi François Pérain, le procureur de la République de Valenciennes.

Jugé en comparution immédiate au tribunal correctionnel de Valenciennes, le père du petit garçon a été condamné jeudi à un an et demi de prison ferme.

«Mercredi, le directeur de l'école a prévenu la police et le père a été placé en garde à vue dans l'après-midi pour détention et acquisition d'une arme de catégorie B et mise en danger de la vie d'autrui», précise le procureur. Le jeune garçon avait découvert l'arme dans un tiroir de la salle de bain, avec son frère de 9 ans, et avait décidé de l'apporter à l'école et de la montrer à ses camarades. Les deux enfants vivent seuls avec leur père, qui a été condamné à 28 reprises et fait partie de la communauté des gens du voyage sédentarisés, a-t-on appris de même source.

Le père a expliqué aux policiers avoir acquis la semaine dernière ce pistolet contre la somme de 100 euros «par rapport à des histoires d'avant».

Les armes de catégorie B doivent être stockées dans un coffre fort. Les deux enfants, qui vivaient seuls avec leur père, qui a été condamné à 28 reprises, étaient déjà suivis par un juge des enfants.

«Ce dernier a décidé du placement des deux garçons car il a considéré qu'ils étaient en danger», déclare François Perain.

Vol spectaculaire à Montigny-le-Tilleul: des malfrats attaquent un hôpital au bulldozer

Vol au bulldozer: "Des moyens très impressionnants"

Vol spectaculaire: ils attaquent un hôpital au bulldozer

Une attaque impressionnante s'est déroulée dans la nuit de mercredi à jeudi à Montigny-le-Tilleul, dans le Hainaut. Au moins quatre individus ont défoncé le sas d'entrée de l'hôpital Vésale. Ils ont bouclé l'opération en 6 minutes seulement. Un vol particulièrement spectaculaire est survenu, ce jeudi vers 02h00 du matin, au sein même de l'hôpital André Vésale de Montigny-le-Tilleul.

Malgré la présence de personnel et de patients au sein du bâtiment, au moins quatre malfrats ont en effet défoncé le hall d'entrée, fermé durant la nuit, à l'aide d'un bulldozer volé à Marcinelle (Charleroi).

A l'aide de la benne, les voleurs ont ensuite arraché le distributeur de billets qui s'y trouvait et l'ont chargé sur un pick-up avec lequel ils ont pris la fuite.

L'opération n'a duré que 6 minutes Selon le directeur médical de l'hôpital Vésale, Luc Bissen, l'opération n'a duré que 6 minutes, comme le montrent les caméras de surveillance qui ont filmé la scène.

Le service de gardiennage de l'ISPPC (Intercommunale de Santé Pulique du Pays de Charleroi) disposait de deux agents au sein de l'hôpital ainsi que d'un patrouilleur.

Ce dernier était passé devant le hall quelques minutes avant les faits. Alerté par une alarme d'ouverture de porte, son collègue s'est rendu sur place et a été confronté au bulldozer.

Au moins un des malfrats était armé, contrairement au garde de sécurité qui a donc rebroussé chemin pour alerter la police. Pas de blessé, mais des dégâts matériels considérables "Aucun patient ni membre du personnel n'a été impacté lors de ce vol", précise le directeur médical. "Les bâtiments principaux sont en effet en retrait du hall d'accueil qui était fermé au moment des faits.

Les dégâts matériels sont néanmoins considérables. Le bulldozer a tout arraché sur son passage. Une conduite d'eau a notamment explosé", indique-t-il. Pour l'heure, le service de gardiennage redirige le public par l'entrée de la radiothérapie.

La police judiciaire fédérale de Charleroi a quant à elle repris l'enquête. "Le butin est inutilisable" Selon Belfius, l'automate arraché dispose toutefois d'un système anti-effraction qui projette de l'encre sur l'argent, le rendant inutilisable. "Ce dernier a manifestement fonctionné puisque des traces d'encre ont été retrouvées sur place.

Cette opération commando n'a donc servi à rien, hormis à causer d'importants dégâts", a indiqué la porte-parole de Belfius, Ulrike Pommée.

Une grand-mère fait courir sa petite-fille à mort

Joyce Garrard, une grand-mère de l'Alabama, n'échappe pas à la justice. Son procès s'est ouvert hier pour le meurtre de sa petite-fille de 9 ans qu'elle a fait courir jusqu'à ce que l'enfant défaille et meurt.

Il y a trois ans en février 2012, l'Américaine a décidé que Savannah en guise de punition transporterait du bois en courant, rapporte Q13 Fox News. Le procureur de la poursuite, Marcus Reid, affirme que Garrard a fait courir l'enfant pour la punir d'avoir menti quand elle lui a demandé si elle avait mangé des bonbons dans l'autobus scolaire.

Toujours selon la poursuite, la fillette était épuisée au terme de trois heures de course à transporter des bûches. Totalement déshydratée, elle est entrée en convulsions et en est morte.

Des ordres militaires

Hier, lors de l'ouverture du procès de la sans cœur aïeule, l'avocat de Joyce Garrard a soulevé un doute quant à la cause de la mort de la gamine de 9 ans. Dani Bone avance que le rapport d'autopsie montre plutôt que Savannah avait un faible taux de sodium dans le sang, mais beaucoup d'eau dans le corps, qu'elle n'était pas déshydratée.

Des voisins de la grand-mère ont affirmé lundi au tribunal qu'ils ont entendu Garrard crier après l'enfant, l'obligeant à continuer à courir, lui donnant des ordres comme un sergent le ferait avec des militaires à l'entraînement, le jour de la mort de sa petite-fille.

Joyce Garrard.

Supplications Des témoins ont dit avoir vu la petite vomir et supplier sa grand-maman de la laisser tranquille. Quand les ambulanciers sont arrivés sur les lieux en février 2012, appelés par la grand-mère, l'enfant était froide au toucher, ses vêtements et ses chaussures étaient détrempés.

Garrard n'aurait jamais informé les ambulanciers que la fillette avait couru, elle leur aurait simplement dit qu'elle avait fait un malaise dans la cour, a soutenu le procureur Reid. La belle-mère de la petite Savannah, Jessica Mae Hardin, attend pour sa part son procès pour la mort de le petite, car elle était là quand l'enfant a supplié sa grand-mère de cesser de la faire courir et elle n'est pas intervenue.

La mort expliquée par une petite fille atteinte d'un cancer en phase terminale

« Quand je serai morte, je pense que ma mère sera très triste et qu'elle aura de la nostalgie. Mais je n'ai pas peur de mourir. Je ne suis pas née pour cette vie ! »

TEAM ALETEIA

Comme cancérologue, fort de mes 29 années d'expérience professionnelle, je peux affirmer que j'ai grandi et changé avec les drames vécus par mes patients.

Nous ne connaissons pas notre véritable dimension tant que, confrontés à l'adversité, nous ne nous découvrons pas que nous sommes capables d'aller bien plus loin.

Je me souviens avec émotion de l'Hospital do Câncer de Pernambuco (HCP), au Brésil, où j'ai fait mes premiers pas comme professionnel... J'ai commencé à fréquenter le service des enfants et me suis passionné pour l'oncopédiatrie.

J'ai vécu le drame de mes petits patients, victimes innocentes du cancer. Avec la naissance de ma première fille, j'ai commencé à trembler à la vue de la souffrance des enfants.

Jusqu'au jour où un ange est passé près de moi ! Mon ange a revêtu la forme d'une petite fille de 11 ans, éprouvée par de longues années de traitements variés, de manipulations, d'injections et de tous les désagréments causés par les chimiothérapies et radiothérapies.

Mais je n'ai jamais vu mon petit ange flancher. Je l'ai vu pleurer souvent ; j'ai vu aussi la peur dans ses petits yeux ; mais, c'est humain ! Un jour, arrivé à l'hôpital très tôt, j'ai trouvé mon ange toute seule dans sa chambre. Je lui demandai où était sa mère.

Encore aujourd'hui, je ne parviens à raconter la réponse qu'elle m'a donnée sans éprouver une émotion profonde.

- Tu sais, me dit-elle, ma mère quitte parfois la chambre pour pleurer en cachette dans les couloirs... Quand je vais mourir, elle aura du chagrin, de la nostalgie. Mais je n'ai pas peur de mourir. Je ne suis pas née pour cette vie ! - Et la mort, qu'est-ce que c'est pour toi, trésor ?

- Tu sais, quand nous sommes petits, parfois nous allons dormir dans le lit de nos parents, et le lendemain nous nous retrouvons dans notre propre lit, pas vrai ? (Je me suis souvenu de mes filles, âgées à l'époque de 6 et 2 ans, avec elles je faisais exactement la même chose.) C'est pareil. Un jour, je dormirai et mon Père va venir me prendre. Je me réveillerai dans sa Maison, dans ma vraie vie !

Je suis resté abasourdi, je ne savais pas quoi dire. Bouleversé par la maturité précoce – forgée par la souffrance –, la vision et la spiritualité de cette petite fille.

- Et ma mère aura beaucoup de chagrin, de nostalgie, reprit-elle.

Bouleversé, retenant mes larmes, j'ai demandé :

- Et que signifie pour toi la nostalgie, trésor ?

- La nostalgie, c'est l'amour qui reste ! Aujourd'hui, à 53 ans, je défie quiconque de donner une meilleure définition du mot nostalgie : c'est l'amour qui reste !

Mon petit ange s'en est allée, voici de nombreuses années. Mais elle m'a laissé une grande leçon qui a contribué à améliorer ma vie, à essayer d'être plus humain et attentionné avec mes patients, à repenser mes valeurs.

La nuit venue, si le ciel est clair et que je vois une étoile, je l'appelle « mon ange », qui brille et resplendit dans le ciel. J'imagine qu'elle est une étoile fulgurante dans sa nouvelle et éternelle maison.

Merci petit ange, pour la belle vie que tu as eue, pour les leçons enseignées, pour l'aide apportée. Quelle bonne chose que la nostalgie existe ! L'amour qui est resté est éternel.

Ils Déballent un Cheeseburger qu'ils avaient mis de Coté pendant 20 Ans !

Edward Nitz et Casey Dean, 13 et 14 ans à l'époque, ont acheté un cheeseburger en 1995 et ont décidé de le mettre de coté pour le rouvrir..

Deux décennies plus tard !! Aujourd'hui, 2015, le temps est révolu, découvrez avec eux à quoi ressemble désormais le sandwich.

Cabourg : un lama échoue mystérieusement sur une plage

Aucune disparition n'ayant été signalée, la découverte d'un jeune lama mort sur une plage de Cabourg (Calvados) intrigue la police et la population. Il semble avoir passé plusieurs jours dans l'eau.

Macabre et mystérieuse découverte, samedi, à Cabourg (Calvados). Au détour de sa promenade sur la plage, une femme est tombée sur un lama, échoué sur le sable.

Selon «Le Pays d'auge», l'animal était en état de décomposition avancée. Ce jeudi encore, l'étrange trouvaille anime les conversations dans les bistrots normands: mais d'où vient ce camélidé plus coutumier d'Amérique du Sud que de l'Europe?

Un évadé de cirque?

«Serge le lama» qui s'est lassé des virées en tram et des Girondins de Bordeaux? Que les fans se rassurent, la fourrure de Serge la superstar était plus blanche que celle de la pauvre bête échouée sur les plages de Normandie.

Apporté par la marée?

Après sa découverte, la police municipale de Cabourg s’est rendue sur place. La piste d’un chien ou d’un bovin a été immédiatement écartée. La fourrure et la forme de la mâchoire n'ont laissé que peu de doutes.

Mais comment ce lama est-il arrivé là?

Selon le journal local, aucune disparition n’a été signalée dans le secteur ces derniers jours. L'état de décomposition de la bête suggère toutefois qu'elle a pu rester longtemps dans l'eau. Elle peut donc avoir parcouru plusieurs kilomètres, surtout en ces temps de grandes marées.

Vichy : secourue, puis dépouillée par trois hommes

A la mi-février, une femme de 49 ans a été victime d'un malaise sur la voie publique, secourue par trois hommes avant d'être dépouillée à son domicile par ses sauveurs...

Une femme de 49 ans a été secourue par trois jeunes hommes après avoir fait un malaise sur la voie publique. Pour les remercier, elle les a invités à son domicile mais s'est faite détroussée de ses bijoux... 

 En quelques heures, trois hommes vont effectuer un très bel acte citoyen en aidant une femme de 49 ans à se relever d'un malaise dans les rues de Vichy (Allier) avant de se rendre coupable d'un vol de bijoux au domicile de cette même dame.

Deux d'entre eux sont poursuivis pour vol et recel, le troisième a été mis hors de cause. Les faits remontent à la mi-février. Le dimanche 15, en soirée, la Vichyssoise de 49 ans perd connaissance sur la voie publique, rapporte «La Montagne».

Trois sauveurs, âgés de 19 à 32 ans, viennent l'aider et la raccompagnent à son domicile. Aussitôt, elle les invite à prendre un verre pour les remercier.

Vers 22 heures, les trois hommes s'en vont mais la femme constate alors la disparition de ses bijoux. Elle prévient les forces de l'ordre et dépose une plainte. Le lendemain, trois individus en scooters sont interpellés pour un contrôle de routine par les policiers, raconte toujours «La Montagne».

Des bijoux sont trouvés et la police fait le rapprochement avec la plainte de la veille. La femme de 49 ans reconnaîtra ses bijoux dans la foulée et les trois hommes seront interpellés et mis en garde à vue. Deux d'entre eux sont aujourd'hui poursuivis.

Bretenière : un panneau qui fait réagir

 À Bretenière, ce panneau incitant les automobilistes à lever le pied fait débat.

Photo Darius JF.

Les buralistes lancent une campagne contre les paquets de cigarettes neutres qui pourraient être imposés en France en 2016.

 Les buralistes partent en guerre contre le paquet de cigarettes neutre dans une campagne de sensibilisation auprès du grand public alors que les anti-tabac plaident l'efficacité de ce type de paquet.

Depuis ce mercredi, les 27 000 buralistes de France vont installer dans leurs commerces des affiches sur lesquelles on peut lire: «Oui à la prévention, non à la punition» ou encore «Ça c'est de l'humiliation» côtoyant une image horrible de pied gangréné. «Nous demandons à être traités de la même façon que les autres pays européens.

Là, Marisol Touraine (Ndlr: la ministre de la Santé) va trop fort, trop vite. La France aurait pu se contenter d'appliquer la directive européenne anti-tabac qui prévoit déjà d'accroître la taille des avertissements sanitaires sur les paquets, avec des images choc et des slogans couvrant 65%, c'était largement suffisant», s'est insurgé Pascal Montredon, président de la Confédération des buralistes. Les paquets neutres ne sont pas propres à la France.

Ils ont été instaurés pour la première fois en Australie, fin 2012, où ils ont été standardisés. Ils ont la même forme, la même taille, la même couleur et la même typographie, sans aucun logo. En France, ils pourraient arriver dès 2016 dans le cadre du plan anti-tabac présenté fin septembre dernier par la ministre de la Santé. Ils ne seront pas totalement «neutres» car le nom de la marque continuera d'apparaître.

L'Irlande et le Royaume-Uni y viennent également L'Irlande a, de son côté, voté la semaine dernière une législation imposant le paquet de cigarettes neutre. Et au Royaume-Uni, le Premier ministre David Cameron a annoncé fin janvier qu'il allait présenter un projet de loi en ce sens avant le fin de la législature en cours, soit avant fin mars.

Les buralistes français expliquent qu'ils ne sont pas contre une politique de santé publique mais «il faut que le gouvernement prenne en compte nos réflexions», a ajouté Pascal Montredon en ajoutant qu'en «attendant un rendez-vous à l'Elysée dans les prochains jours, nous rencontrons le maximum de députés, de sénateurs pour leur faire entendre raison.»

A l'inverse, les anti-tabacs militent pour cette mesure. «Si ce paquet neutre était si peu efficace, est-ce-que Philippe Morris porterait plainte contre le gouvernement en Australie?», s'est interrogé Yves Martinet, président du Comité national contre le tabagisme (CNCT). Selon ce professeur de pneumologie au CHU de Nancy (Meurthe-et-Moselle), le paquet neutre est «peu efficace sur les fumeurs déjà établis mais efficace pour prévenir l'entrée dans le tabagisme.»