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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Un Dijonnais interpellé, 100 kilos de “shit” saisis
Deux préalables quand on bosse dans le milieu de la drogue : en cas d’interpellation, c’est service minimum devant les forces de l’ordre. Et l’on défend l’idée que c’est la première fois qu’on se commet dans ce genre d’affaire.
L’homme interpellé à la frontière luxembourgeoise, dans la nuit de dimanche à lundi, a parfaitement appris la leçon. Il n’a seulement pas osé faire l’ignorant sur la présence des sacs de drogue retrouvés dans le coffre de sa voiture.
Les douaniers, qui se sont intéressés de près à son véhicule au cours d’une opération de contrôles aléatoires, ont trouvé un peu plus de 100 kg de résine de cannabis.
Les pains se trouvaient dans des sacs, « pas spécialement cachés », indique une source. Une belle prise. La plus importante saisie de shit cette année en Moselle, la troisième dans le grand Est.
10 000 € pour transporter la marchandise Le conducteur de 26 ans a passé quatre jours entre les mains des hommes de la police judiciaire de Metz, qui ont tenté de retracer son parcours.
Muet comme une « mule », ce Dijonnais a seulement évoqué sa commission : il aurait été payé 10 000 € pour transporter cette marchandise précieuse d’un point A à un point B. Reste à déterminer ces lieux.
Et trouver pour quel réseau il joue la petite mule ou le passeur professionnel. « C’est rare de confier une telle quantité de drogue à un amateur, souffle un observateur avisé. Certains éléments nous laissent penser en plus qu’il y avait une voiture ouvreuse avec lui. »
Qui n’a pas fait son travail efficacement… « 100 kg de shit, ce n’est pas rien. Il faut avoir le réseau de revente qui va bien. » Et avoir les fonds pour acheter la marchandise. Au prix du marché, la bande a payé 300 000 € à un grossiste installé aux Pays-Bas pour le cannabis. « Selon la qualité, ils pouvaient espérer revendre le produit le double sur le marché. »
Manifestement, l’organisation liée à cette drogue se trouve en région dijonnaise. Raison pour laquelle le parquet de Thionville s’est dessaisi au profit de son homologue bourguignon. Une information judiciaire a été ouverte hier après-midi dans un cabinet d’instruction de Dijon. Le passeur, inconnu des autorités judiciaires jusqu’ici, a été placé sous mandat de dépôt.
C’est le SRPJ de Dijon qui poursuit les investigations.
Abus de faiblesse : Madeleine, 73 ans, séquestrée dans une cabane
La vieille dame a été découverte dénutrie dans un cabanon sur un terrain de Seine-Saint-Denis, retenue par un homme qui lui avait déjà soutiré plus de 150 000 €.
La retraitée était retenue captive dans un cabanon sur ce terrain. Son bourreau et la compagne de celui-ci ont été mis en examen. Coubron (Seine-Saint-Denis), mercredi.
L'état de santé de Madeleine, 73 ans, reste précaire. Cette retraitée, décrite comme « fragile psychologiquement », a été victime d'un enlèvement et d'une séquestration pendant plusieurs jours.
Secourue dans la nuit de lundi à mardi, alors qu'elle était retenue captive dans un cabanon situé dans un champ sur la commune de Coubron (Seine-Saint- Denis), la septuagénaire a peut-être échappé de peu à la mort. Accès aux soins, tiers payant: et si on parlait de l'utilité sociale des mutuelles ?
RDVsolidaire de la Mutualité Française. Les enquêteurs de la brigade de recherche et d'investigations financières (Brif), chargés de cette sombre affaire, ont retrouvé sa trace sur les indications de son geôlier.
Ce dernier a été interpellé, lundi soir, lors de sa descente d'un train, à la gare de Lyon dans le XII e arrondissement à Paris, en provenance d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Hier soir, sa garde à vue, ainsi que celle de sa compagne, arrêtée mardi, était toujours en cours. Après sa découverte, Madeleine a été hospitalisée en urgence alors qu'elle était désorientée et dénutrie.
Hier soir, son état inspirait encore l'inquiétude aux médecins penchés à son chevet. Il exerçait une emprise psychologique sur elle Les policiers de la Brif ont été mis sur la piste du ravisseur de la retraitée après le signalement de sa disparition, le 15 octobre, au commissariat de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), sa ville de résidence.
« Une voisine de la victime est venue signaler sa disparition alors que cela faisait quelques jours qu'elle ne la voyait plus, indique une source judiciaire. Au départ, ce sont les policiers de la ville qui ont été chargés de la retrouver mais, très vite, il est apparu que les enquêteurs de la Brif avaient déjà été désignés, en parallèle, pour mener une enquête sur un abus de faiblesse dont cette personne avait été victime. »
Informés de la disparition de Madeleine, ces derniers découvrent qu'elle a été abordée, le 15 octobre, à la sortie de son domicile par un homme, originaire de Chelles (Seine-et-Marne). Membre de la communauté des gens du voyage, Marcel A., 35 ans, est alors activement recherché avant d'être retrouvé du côté de Lançon-de-Provence où sa belle-famille réside.
« En revanche, il n'a pas été possible de localiser tout de suite la victime, poursuit la même source. Ce suspect était apparu dans son entourage à la fin de l'année 2013, alors qu'il n'a aucun lien de parenté avec elle. Il est soupçonné d'avoir abusé de la faiblesse physique et psychologique de cette retraitée avant de parvenir à lui soutirer près de 150 000 € en l'espace de quelques mois. »
Au cours de la perquisition au domicile du gardé à vue, les policiers ont saisi plusieurs armes de différents calibres ainsi que deux 4 x 4 de marque BMW et Nissan et 4 000 € en argent liquide.
« La victime est restée plusieurs jours recluse dans cette cabane, révèle un proche de l'affaire. Son examen psychologique a démontré qu'elle n'était plus en possession de toutes ses facultés intellectuelles et que son ravisseur exerçait une réelle emprise psychologique sur elle. Cette affaire aurait pu très mal se terminer. »
Joinville-le-Pont : une nonagénaire agressée sexuellement à son domicile
Une femme de 90 a été victime d'une agression sexuelle ce jeudi à Joinville-le-Pont (Val-de-Marne).
Horrible découverte pour cette aide-soignante à Joinville-le-Pont (Val-de-Marne). Alors qu’elle vient s’occuper d’une personne âgée atteinte de la maladie d’Alzheimer, à son domicile, ce jeudi matin, elle constate que la porte d’entrée est étrangement ouverte et entend des cris provenant de l’intérieur.
Dans la salle de bain, elle découvre l’occupante de la maison, âgée de 90 ans, en train de se faire agresser sexuellement par un homme.
Un premier pédophile condamné grâce à une fillette virtuelle
La fillette virtuelle Sweetie, créée par l'ONG Terre des hommes pour piéger les Internautes qui fréquentent les sites de pédopornographie. « Sweetie » avait déjà permis de repérer plus de 20 000 prédateurs sexuels. Pour la première fois, l'utilisation de cette fillette philippine virtuelle, créée par une ONG, a mené à la condamnation d'un pédophile.
Un Australien de 38 ans a été condamné, mardi 21 octobre, à deux ans d'emprisonnement pour avoir utilisé un fournisseur de services aux fins de communiquer de manière indécente avec un mineur, et pour possession de matériel à caractère pédophile. L'ONG Terre des hommes avait annoncé en novembre 2013 avoir créé cette fillette virtuelle de 10 ans, baptisée « Sweetie », ajoutant qu'elle avait été contactée par des milliers de « prédateurs » de 71 pays. Un millier d'entre eux avaient été identifiés par l'ONG et leurs identités transmises aux autorités compétentes.
« DES DEMANDES ET DES GESTES VRAIMENT OBSCÈNES »
Terre des hommes avait expliqué qu'elle s'était bornée à attendre que les pédophiles présumés contactent Sweetie : « Se mettre dans la peau d'une fillette philippine de 10 ans et voir ce que certains hommes veulent de vous a été une expérience choquante. Il y avait des demandes et des gestes vraiment obscènes. »
L'ONG souhaitait sensibiliser l'opinion publique et les autorités au phénomène de la prostitution des enfants sur internet. Elle s'était aussi indignée du nombre réduit de personnes interpellées pour « tourisme sexuel avec enfant par webcam », seules six dans le monde ces dernières années, selon elle.
En France, 2,7 millions d’enfants vivent en dessous du seuil de pauvreté
Leur enfance : Fousseny et Boubou, alors âgés de 3 ans et 2 mois, vivaient avec leur maman entre les hôtels sociaux et les foyers d’hébergement.
Leur situation actuelle : Après 4 ans d’accompagnement à la Chrysalide, les enfants grandissent sereinement et ont retrouvé une stabilité. Kany travaille et la famille a désormais trouvé un logement.
Leur projet : Kany souhaite offrir le meilleur avenir à ses enfants. De leurs côtés, Fousseny et Boubou souhaitent continuer d’aller à l’école et s’amuser avec leurs camarades.
Projets :La Chrysalide et l’Île aux enfants Terrain : Bobigny, France Bénéficiaires : 87 bénéficiaires directs (mères et enfants de 0 à 6 ans) La Chrysalide, créée par Asmae en 2007, est une structure d’hébergement qui propose des logements autonomes à des mères et leurs enfants.
Ce centre maternel met 19 logements à disposition. Il soutient les très jeunes mères (entre 18 et 25 ans) et leurs enfants dans une situation instable ou de rupture sociale et affective. Une équipe de travailleurs sociaux a pour mission l’accompagnement des mères sur le volet de la parentalité, de l’insertion et de la resocialisation, à travers notamment des ateliers collectifs : apprendre à vivre dans un logement, gérer un budget, expression corporelle, …
L’objectif est de permettre à ces femmes de se reconstruire, de s’insérer professionnellement et socialement, afin de repartir dans la vie en offrant de meilleures chances à leurs enfants. Dans cette continuité, Asmae a créé L’Île aux enfants, une crèche familiale, pour accueillir les enfants en bas âge du centre maternel et de la ville de Bobigny.
Elle est composée d’assistantes maternelles qui accueillent les enfants et veillent à leur développement physique et affectif. Elle apporte un soutien aux parents, en leur permettant de concilier vie professionnelle et vie familiale.
Dans le cadre de la protection de l’enfance, la crèche peut également, dans les moments difficiles pour les mères, proposer des accueils de nuit et garantir aux enfants un relais sécurisant. Ces projets sont nés de la volonté de sœur Emmanuelle.
À son retour du Caire, elle découvre la précarité en France et consciente du danger que cela représente pour le maintien du lien mère-enfant et pour le développement de l’enfant, elle a encouragé la création de la Chrysalide.
Suite à cela, le projet « L’île aux enfants » a vu le jour. La Chrysalide et l’Île aux enfants en 2013 :
* La Chrysalide :
75 bénéficiaires dont 46 enfants et 16 professionnels
* L’Île aux enfants :
35 enfants bénéficiaires, dont 23 enfants du centre maternel et 16 professionnels En Seine-Saint-Denis, 27% des familles sont monoparentales (contre 22% en France) et 23% de la population vit sous le seuil de pauvreté (contre 12,5% en France).
Dans ce contexte de précarité, il est nécessaire d’accompagner les mères fragilisées dans leur parentalité et d’offrir à leurs enfants un environnement stable et sécurisant.
Asmae reconnaît la spécificité de l’attention à porter aux jeunes enfants. En effet la petite enfance est une période où les enfants sont particulièrement fragiles et vulnérables, alors que ces premières années de l’enfance posent les bases de tous les apprentissages ultérieurs.
Les activités de la crèche favorisent l’éveil de l’enfant et lui permettent de trouver des repères qui vont le sécuriser. Danielle Versaveau, à L’Île aux Enfants, accompagne chaque enfant, selon son rythme et ses besoins.
Rouen : à 3 ans, elle survit plusieurs jours près du cadavre de sa mère
A Rouen, une fillette de 3 ans a été retrouvée vivante près du corps de sa mère morte il y a plusieurs jours.
Une fillette de 3 ans a été retrouvée mercredi soir par les sapeurs-pompiers près du corps de sa mère dans un appartement de Rouen (Seine-Maritime). Selon le site 76actu qui révèle l'affaire ce jeudi, la femme âgée de 46 ans serait morte depuis plusieurs jours, voire une semaine. Les secours, alertés par une voisine inquiète, sont parvenus à pénétrer dans l'appartement par une fenêtre.
La petite fille, vivante, aurait survécu en mangeant ce qu'elle a pu trouver dans le logement. Transportée au CHU de Rouen, elle ne souffrirait que d'une «légère déshydratation», selon une source judiciaire citée par 76actu, qui précise que le père ne vivait pas dans le logement. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de la mort de la mère.
Pour l'instant, la piste du crime semble écartée.
Paris : un père saute du 21e étage avec sa fillette dans les bras
Désespéré, un homme s'est tué dans la nuit de mardi à mercredi en se jetant de son appartement situé au 21e étage d'une tour à Paris, avec sa fille de 2 ans dans les bras.
Le drame s'est produit dans le quartier des tours du XIIIe arrondissement de la capitale. Le père de 28 ans et la fillette, dont les corps ont été retrouvés au bas de leur immeuble, «sont tous les deux morts sur le coup», a précisé une source policière. Le père a laissé une lettre dans son appartement pour expliquer son geste, évoquant «une séparation douloureuse avec sa compagne», selon cette source.
Un drame similaire s'était noué le 23 septembre au Mée-sur-Seine (Seine-et-Marne) : une mère célibataire de 33 ans s'était défenestrée en sautant du 5e étage de son immeuble avec son garçonnet de 4 ans dans les bras.
Elle était morte peu après l'arrivée des secours. Son enfant était mort le lendemain des suites de ses blessures.
La justice européenne rend son nom au couteau Laguiole
La justice européenne a rendu son nom aux couteaux Laguiole, en annulant mardi la marque déposée par une personne étrangère au village aveyronnais pour vendre de la coutellerie.
La justice européenne a rendu son nom aux couteaux Laguiole, en annulant mardi la marque déposée par une personne étrangère au village aveyronnais pour vendre de la coutellerie, tout en l'autorisant à le faire pour une série d'autres produits.
Ravi, Vincent Alazard le maire de Laguiole s'est écrié «Vive l'Europe», en apprenant la décision du tribunal de première instance de l'UE. SUR LE MÊME SUJET Gilbert Szajner, un habitant de Saint-Maur (Val-de-Marne), avait déposé la marque Laguiole en France en 1993 pour vendre non seulement de la coutellerie, qui a fait la réputation mondiale de ce bourg du sud-ouest de la France, mais également du linge de maison, des vêtements, des meubles, des briquets, des tapis et des jouets, au total 38 classes de produits, souvent importés de Chine ou du Pakistan.
Conséquence :
tous ceux qui veulent apposer la célèbre marque de couteaux sur leurs produits doivent automatiquement passer par lui. Et ce n'est évidemment pas du goût du village qui fabrique ces couteaux fermants depuis le XIXe siècle. En 2001, Gilbert Szajner a demandé l'enregistrement de la marque au niveau européen auprès de l'OHMI, l'office chargé de l'enregistrement des marques dans l'Union européenne.
Celui-ci lui a été accordé en 2005. La société «Forge de Laguiole», qui avait relancé en 1987 la fabrication du fameux couteau dans le village, a alors demandé l'annulation de la marque, ce qui lui a été accordé en 2011.
Gilbert Szajner a alors introduit un recours devant la justice européenne. «L'usurpateur» privé des couteaux Mardi, le tribunal de l'UE a indiqué que la protection de la dénomination sociale «Forge de Laguiole s'étendait exclusivement aux activités effectivement exercées par cette société à la date de la demande de la marque Laguiole en 2001».
Soulignant qu'avant cette date, «Forge de Laguiole exerçait uniquement des activités dans le secteur de la coutellerie et des couverts ainsi que dans le secteur des cadeaux et souvenirs», il a conclu que la marque Laguiole pouvait être enregistrée par M. Szajner «pour les produits et services d'autres secteurs».
S'agissant de la coutellerie et des cadeaux et souvenirs, les juges ont estimé qu'un «risque de confusion» existait pour un certain nombre de produits, dont les «outils et instruments à main entraînés manuellement», ce qui inclut les fameux couteaux.
La liste comprend aussi les cuillères, les scies, rasoirs, lames de rasoirs et nécessaires de rasage, les limes, pinces à ongles, coupe-ongles et trousses de manucure, les coupe-papiers, les tire-bouchons et ouvre-bouteilles, les blaireaux à barbes et nécessaires de toilettes, les coupe-cigares et cure-pipes.
Pour tous ces produits, le tribunal a confirmé l'annulation de la marque Laguiole de M. Szajner. Cette décision peut faire l'objet d'un pourvoi devant la Cour de justice de l'UE dans les deux mois. Une décision que la France n'a pas encore prise, regrette le maire
En France, la cour d'appel de Paris a débouté en avril la commune de Laguiole qui souhaitait voir la justice reconnaître «une spoliation, une pratique commerciale trompeuse et une atteinte à son nom, à son image et à sa renommée».
Le village a décidé en septembre de se pourvoir en cassation. Il doit s'armer de patience : une décision n'est pas attendue avant 18 mois. Le maire de Laguiole est néanmoins un peu amer : «Ce qui me fait mal, c'est que ce soit l'Europe qui ait le bon sens de reconnaître les choses avant notre pays.»
Les déchets plastiques tuent 1,5 million d'animaux par an Pollution au large des côtes du Sri Lanka. Pollution au large des côtes du Sri Lanka.
« Dans le Pacifique Nord, 30% des poissons ont ingéré du plastique durant leur cycle de vie », explique une chercheuse. Des toxines qui se retrouvent, au final, dans notre assiette.
«Le septième continent» poursuit sa mise à mort de la faune. En 2013, un million et demi d'animaux ont été victimes des déchets plastiques présents dans les océans du monde. Selon Laurence Maurice, de l'Institut français de recherche pour le développement, le problème risque de s'aggraver. Les conséquences de cette pollution marine sur les animaux sont énormes.
«Dans le Pacifique Nord, 30% des poissons ont ingéré du plastique durant leur cycle de vie», a expliqué Laurence Maurice durant un forum organisé cette semaine à Quito en Equateur.
Toutes les espèces sont touchées, des oiseaux aux baleines en passant par les tortues. Beaucoup se nourrissent de ces déchets, ce qui leur est généralement fatal.
«Un jeune albatros a été découvert mort, l'estomac rempli de plastiques car ses parents avaient confondu des bouchons de bouteilles avec des aliments», a-t-elle déploré. Le septième continent croit de 80.000 km² par an
Lorsqu'on évoque «le septième continent», on imagine un amas compact de bouteilles et de bidons plastiques. En réalité, il s'agit d'un ensemble de microparticules difficilement repérable, bien qu'on retrouve évidemment des bouchons et autres sacs de temps à autre. On dénombre cinq formations de ce type qui se situent au sein du Pacifique Nord, du Pacifique Sud, de l'Atlantique Nord et Sud et au milieu de l'Océan Indien.
Cette pollution est le résultat à la fois de l'action de l'homme, mais aussi des courants marins qui favorisent la concentration de ces microparticules. La principale zone de concentration mondiale de microparticules se situe entre la Californie et Hawaï. Découverte en 1997, sa taille atteint aujourd'hui 3,5 millions de kilomètres carrés, l'équivalent de sept fois la superficie de la France.
Chaque année, cet amas de plastique croît de 80.000 kilomètres carrés. Quant à l'alerte de cet organisme français, ce n'est pas la première du genre. En 2011, la Société pour la conservation des baleines et des dauphins avait déjà dénoncé cette pollution marine. Cette dernière était qualifiée en 2012 de «soupe mortelle» pour les animaux par la revue Biologie Letters.
«Les particules en matière plastique ingérées par les organismes marins introduisent dans la chaîne alimentaire des toxines que nous retrouvons ensuite dans nos assiettes», expliquait en mai 2012 au Figaro Patrick Deixonne, membre de la Société des explorateurs français.
Chikungunya: 4 personnes infectées à Montpellier après des piqûres de moustiques
Des moustiques tigres dans un laboratoire de Montpellier, en 2012.
Quatre personnes ont contracté le virus chikungunya, à Montpellier. Elles auraient été contaminées par des piqûres de moustiques. Le virus chikungunya s'installe à Montpellier: quatre personnes l'ont contracté, selon l'Agence régionale de santé du Languedoc-Roussillon, jointe par BFMTV.com.
Elles auraient attrapé le virus par des piqûres de moustiques tigres, au centre ville, selon France 3 Languedoc-Roussillon. L'ARS a prévu de tenir une conférence de presse à 16h30 pour en dire plus sur l'état des malades.
Forte fièvre et courbatures Le moustique tigre est l'un des principaux transmetteurs du virus. Touchant surtout les zones tropicales où ces moustiques pullulent, la maladie se caractérise par de fortes fièvres, et d'importantes douleurs articulaires, des courbatures. Elle peut être fatale pour les personnes faibles.
En juin dernier, le moustique tigre était déjà implanté dans 18 départements du sud de la France. Jusqu'ici, la plupart des cas enregistrés en métropole étaient issus de personnes revenant des Antilles.