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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le fait divers du jour : un homme tabassé par cinq individus en tenue militaire
Un homme de 43 ans qui voulait porter secours à une femme affirme avoir été tabassé par cinq personnes en treillis vendredi soir à Castelnaudary (Aude).
La victime a eu 8 jours d'ITT. Des personnes en tenue militaire auraient agressé un homme vendredi soir à Castelnaudary.
Des hurlements, des voisins horrifiés déclarant "Il va la tuer !". Pour sauver une femme a priori en danger, Karim, 43 ans, s'est fait tabasser par plusieurs individus.
Selon L'indépendant qui relate ce fait divers, il était 21?h?30 vendredi soir dans la ville de Castelnaudary (Aude) quand l'agression a eu lieu alors que des cris avaient été entendus du côté de la rue des Jardins. Voulant porter secours à une femme supposément en danger, Karim et deux jeunes mineurs qui l'accompagnaient ont fait une très mauvaise rencontre.
Rangers et treillis Arrivés à proximité du lieu où les hurlements, Karim et les mineurs auraient vu un homme au téléphone à son balcon "torse nu, en ranger et treillis militaires".
Quelques minutes plus tard, cinq individus, dont l'homme du balcon, tous en tenue militaire se seraient postés face au quadragénaire et l'auraient roué de coups. Le tabassage se serait arrêté quand trois voitures de gendarmerie sont arrivées sur place.
"La patrouille Légion Étrangère aurait de son côté embarqué les protagonistes" indique L'indépendant. La victime, le corps tuméfié, a été transportée aux urgences.
Elle s'est vu prescrire 8 jours d’ITT (incapacité temporaire de travail) renouvelables. L'indépendant n'avait pas précisé ce dimanche l'état de santé des deux mineurs. On ignorait si eux aussi avaient essuyé des coups.
La Légion, contactée par nos confrères samedi, aurait confirmé "qu’au moins un militaire était impliqué dans cette affaire". La gendarmerie, elle, a reçu les plaintes des mineurs et de Karim qui seront transmises au procureur de la République.
Spécialités du coin, production du terroir, tord-boyaux locaux... On a cherché à prendre en compte le maximum de plats et de critères pour aboutir à un classement rigoureusement non scientifique et totalement subjectif de la gastronomie de nos régions.
22 - Pays de la Loire
Si c'était un classement du sel, ils seraient premiers. spécialités : gros sel, sel fin, fleur de sel
21 - Champagne-Ardenne
Quand on tape “nourriture champagne-ardenne” sur Google, on tombe sur des photos en noir et blanc de la grande famine du plateau de Langres. Puis l'ordi plante. C’est sympa d’avoir du champagne, mais c’est encore mieux d’avoir des raisons d’en boire. spécialités : andouillette de Troyes, champagne, chaource, ratafia
20 - Poitou-Charentes
Le Futuroscope, cette vision née un jour des années 80 : installer au beau milieu de la Vienne une “cité du futur” dédiée aux nouvelles technologies. Mais pourquoi, vous demandez-vous. Ben quoi. Après trois huîtres et une bouteille de Pineau, vous aussi vous pourriez avoir des idées bizarres. spécialités : huîtres d’Oléron, sel de l’île de ré, salicorne, oignon rouge pâle de Niort
19 - Centre
Vous savez cette situation piégeuse en soirée où vous êtes au milieu de la piste de danse et tout le monde applaudit en attendant que vous fassiez un truc ? Ce sentiment de solitude, c’est un peu la malédiction de la région Centre. Une région que les auteurs du découpage de 1956 ont défini par défaut… après avoir délimité toutes les autres. La tarte Tatin, leur seule spécialité valable, est née sur un malentendu. A part ça ? Ils ont le crottin de Chavignol. spécialités : crottin de Chavignol, tarte Tatin
18 - Haute-Normandie
Le hareng-saur, ce n’est pas un personnage malodorant dans Astérix ? Pas seulement, à Dieppe, c’est aussi un repas de fête. spécialités : cidre, tarte aux pommes, hareng saur dieppois
17 - Basse-Normandie
Au niveau arsenal atomique, ils rivaliseraient presque avec l’Iran : usine nucléaire de la Hague, production de Camembert à la chaîne… En revanche, ils préfèrent le cidre au vin, ce qui les rapprocherait plutôt des Anglais. De toute façon, c’est connu : les Normands n’ont jamais su choisir. spécialités : camembert, Pont-Levêque, livarot, andouille de Vire
16 - Ile de France
Commençons par une chose : pour cuisiner les produits des autres, on est les meilleurs. Après, pour ce qui est de la production locale de produits... c’est vrai qu’on est pas au top. Bon, pour une fois qu’on est en bas d’un classement… spécialités : jambon de Paris, champignon de Paris, Brie de Meaux ou de Melun, miel du Gâtinais
15 - Picardie
Spontanément, la gastronomie picarde ne nous évoquait pas grand-chose. Après quelques recherches, on est tombé sur l’endive au jambon - plutôt un mauvais souvenir. Et quelques trucs marrants dont on avait jamais entendu parler, et sur lesquels on n’avait pas trop d’avis. spécialités : endives au jambon, macarons amiénois, gâteau battu, haricots de Soissons
14 - Lorraine
Les dragées ? Même aux mariages, on n’en voit plus. Les madeleines ? OK, super. Bon, la quiche lorraine nous a peut-être aidé à traverser quelques années de famine estudiantine. Mais manifestement, les Lorrains préfèrent les hauts fourneaux à ceux de leurs cuisines. spécialités : dragées, madeleines, quiche lorraine, tarte aux mirabelles
13 - Limousin
700 000 habitants, 1 million de vaches. C’est ça qui est frustrant : ils ont parmi les plus belles bêtes de France, mais apparemment pas les moyens de les garder pour eux. Du coup, ils se sont spécialisés dans les abats. spécialités : langue de mouton, abats, boudin aux châtaignes, moutarde violette de Brive
12 - Nord Pas-de-Calais
Il y a un signe qui ne trompe pas : leurs spécialités, ils se les sont gardées. Le welsh ? un bout de pain imbibé de bière recouvert de trois centimètres de fromage fondu et d’un oeuf au plat. Le reste de la France a dit non. spécialités : welsh, carbonade flamande, maroilles, fricadelle, bêtises de Cambrai
11 - Auvergne
Qui a dit que les Auvergnats étaient pingres ? Ils ont inventé le plat le plus riche du monde : l’aligot. Des pommes de terre, du fromage, du beurre et de la crème pour lier le tout : sans doute l’aliment dont la texture se rapproche le plus du plâtre. Et aussi une épreuve par laquelle tout homme doit passer un jour. spécialités : aligot, truffade, pounti, tripoux
10 - Bretagne
Ils avaient du beurre, ils avaient du sucre. Alors ils ont inventé la beurre-sucre. Franchement, ils n’ont aucun mérite : un enfant de 4 ans aurait pu le faire. Et d’ailleurs, de très mauvais cuistots tiennent de très mauvaises crêperies un peu partout dans le pays. Mais bon, à part ça, ils ont quand même de bons fruits de mer. spécialités : galettes, crêpes, kouign amann, cidre, andouille de Gueméné, far breton, fruits de mer
9 - Midi-Pyrénées / Languedoc Roussillon
Vivement le nouveau découpage régional : il rassemblera ces deux régions que, très franchement, on confond un peu. Et en même temps, il réunira un des plus beaux patrimoines gastronomiques du pays : magret du Gers, roquefort, crème catalane… et surtout, le cassoulet. La paternité du cassoulet, les deux régions se la disputent depuis des années. Et dire que ça va se terminer sur une égalité... spécialités : cassoulet, magret du Gers, crème catalane, roquefort, rocamadour, safran du Quercy
7 - Franche-Comté
Ils ont non seulement les plus grosses saucisses de France (celles de Morteau), mais aussi les plus grosses meules : jusqu’à 75cm de diamètre et 45kg pour un Comté de belle taille. De telles dimensions, ça impose forcément le respect. spécialités : saucisse de Morteau, comté, cancoillotte, rösti, comté, Mont d’or rôti
6 - Alsace
Rien à voir avec une bouffe chez Flam’s après un mauvais concert. Certes, l’influence allemande met les deux birkenstocks dans le plat : ils ont quand même inventé un plat dans lequel il y a des côtes de porc, du petit salé, des lardons et des saucisses. Et pour enchaîner ? Rien de tel qu’un petit kouglof. La gastronomie alsacienne est peut-être la plus grande menace qui plane sur le Parlement Européen. spécialités : baeckeoffe, flammeküche, schiffele, choucroute, kouglof
5 - Corse
Bon, franchement les gars on vous aime bien et on veut pas d’ennuis. Mais quand même, faut bien avouer que vos spécialités ont un petit côté explosif : fromages radioactifs, charcuteries à faire pâlir les plus grands amateurs de viande mâturée... Mais comme on vous disait : nous aussi on adore quand ça se corse. spécialités : charcuterie, figatelli, brocciu, sanglier
4 - Bourgogne
Ils nous ont fait connaître dans le monde entier, pour le meilleur et pour le pire : la moutarde de Dijon pique même le nez des américains. Mais c’est aussi à cause des Bourguignons que ces mêmes américains nous surnomment les snail-eaters… On pourrait leur en vouloir, s’ils ne nous offraient pas, une fois par an, une grande amnésie collective goût banane : le Beaujolais nouveau. spécialités : Boeuf bourguignon, vins, volaille de Bresse (seule AOC au monde), moutarde de Dijon, escargots
3 - Aquitaine
Cochons truffiers réduits en esclavage, canards et oies gavés jour et nuit avant les fêtes... Bon d’accord, l’Aquitaine, c’est pas la SPA. Mais qu’est-ce que c’est bon ! Agneau de Pauillac, boeuf de Bazas, truffes du Périgord, foie gras des Landes et vins de Bordeaux... Se faire un road trip dans la région, c’est comme faire ses courses sur le plus beau marché du monde. spécialités : vins de Bordeaux, huîtres, canelés, foie gras, axoa basque, confits, piments d’espelette
2 - Provence-Alpes-Côte d'Azur
Il payait pas de mine ce cuistot avec son pantacourt et ses lunettes Oakley. Mais quand les plats sont arrivés, vous avez tout de suite beaucoup moins rigolé : fougasses aux olives, aïoli, tapenade, socca, pissaladière… Des produits gorgés de soleil, une gastronomie qui chante comme un supporter de l’OM après une tournée de pastis... Aussi irrésistible que les pasta della mamma. spécialités : fougasses, pastis, calissons d’Aix, bouillabaisse, socca niçoise, pan bagnat, panis, tapenade, aïoli, pistou, pissaladière
1 - Rhône-Alpes
Il n’y a qu’à Lyon qu’on adore passer des heures dans les bouchons, ces bistrots traditionnels qui sont tout simplement les paradis de l’apéro : charcuteries en pagaille, quenelles, mâchons, gâteau de foie… Et puis dès que la neige tombe, direction la Savoie pour s’envoyer fondue, raclette et tartiflette.
Histoire de mettre la gravité de votre côté avant d’aller dévaler les pistes. Maîtres de l’apéro, maîtres du fromage fondu : on s’incline. spécialités : bouchon lyonnais, charcuteries lyonnaises, quenelles, marrons de l’Ardèche, spécialités savoyardes
Daniel Rudenko, un artisan de 44 ans, a été mis en examen et écroué ce jeudi pour le meurtre de son ex-compagne, dont le cadavre démembré a été retrouvé mardi enterré dans la cave de son domicile de Ramonchamp (Vosges).
Le suspect a reconnu devant le juge d'instruction que le corps exhumé dans sa cave était bien celui de son ex-compagne, avec qui il vivait toujours sous le même toit, laquelle était portée disparue depuis début septembre, a indiqué son avocate Me Emeline Aquino.
L'homme a ajouté «qu'il n'avait pas voulu ce qui s'était passé», selon l'avocate. Le quadragénaire avait été interpellé et placé en garde à vue mardi matin, les enquêteurs ayant constaté de nombreuses incohérences dans son récit.
Il a fait un malaise lorsque ces derniers lui ont annoncé qu'un cadavre avait été retrouvé dans sa cave, enterré à environ 30 cm de profondeur, nu et enveloppé d'une bâche. Selon l'Est Républicain, la veille de la disparition de Laëtitia Delecluse, Daniel Rudenko avait appris que son ex-compagne avait signé un bail pour vivre seule dans un nouveau logement.
«Cet homme a menti»
Le corps, dont les jambes avaient été coupées, était dissimulé sous une chape de mortier, sur laquelle se trouvait un meuble, à un endroit qui avait été immédiatement «marqué» par les chiens spécialisés des gendarmes à leur arrivée dans la maison.
La victime, Laëtitia Delecluse, une aide-soignante de 38 ans mère de deux fillettes âgées de 7 et 9 ans, ne s'était pas présentée à son travail dans une résidence pour personnes âgées de Saint-Maurice-sur-Moselle, le 3 septembre au matin.
L'une de ses collègues, qui avait connaissance du climat orageux au sein du couple, avait immédiatement prévenu la gendarmerie, qui avait ouvert une enquête. D'abord entendu comme simple témoin, l'ancien compagnon, un artisan spécialisé dans les travaux d'isolation, avait expliqué qu'il dormait lorsque Laëtitia Delecluse était rentrée la veille de son travail , et pensait qu'elle avait été enlevée pendant la nuit.
«Mais il est apparu que cet homme a menti, en donnant des circonstances différentes à ses proches, ses voisins ou les enquêteurs. Il a, en tout, donné cinq versions», a expliqué le procureur d'Epinal, Etienne Manteaux.
Un coup de couteau dans la région du thorax L'examen des téléphones portables a également permis d'orienter les enquêteurs vers le principal suspect.
«Les mémoires des portables de l’ex-compagnon et de Laëtitia Delecluse ont été purgées à des heures identiques. Cela démontre que c’est une personne qui, à la même minute, les a effacées», a expliqué le procureur, selon les informations de l'Est Républicain. Les premières constations médico-légales ont fait apparaître un coup de couteau dans la région du thorax, mais les résultats exhaustifs de l'autopsie, en cours jeudi après-midi, ne seront connus que dans les prochains jours.
«Jusqu'au bout, le suspect a démontré une capacité à rester maître de ses émotions au-delà de la moyenne. Il a tout fait pour dissimuler, avec talent, qu'il était l'auteur de cet homicide», a indiqué le procureur.
Paradoxe wallon: moins vous consommez l’eau de ville, plus elle vous coûtera cher
Un ménage qui consomme 100 mètres cube d'eau par an paie désormais 476,57 euros.
) Une vaisselle à la main. C’est une petite économie très utile. L’eau que Liliane Lemaire utilise de plus en plus souvent est ailleurs. Dans une citerne que Liliane remplit régulièrement, elle y puise tout ce dont elle a besoin pour le jardin.
"L’eau est chère.
Il faut faire attention à ce que l’on fait. Il ne faut pas passer son temps à prendre une douche le matin, un bain le soir… C’est énormément cher", dit Lillane. Comme elle, les Wallons sont de plus en plus nombreux à récupérer l’eau de pluie. On constate que la consommation des ménages diminue.
De 132 litres par jour, on est aujourd’hui à 120 litres par habitant. Or, les coûts de distribution sont toujours les mêmes. Thierry Jehasse, directeur des Finances Société Wallonne des Eaux, explique: "80% de nos charges sont fixes.
Quelle que soit la consommation des clients, on une quantité de charges à faire supporter. Plus le nombre de mètres cubes sur lequel on répartit est faible, plus c’est cher au mètre cube." Autrement dit, moins vous consommez l’eau de ville, plus elle vous coûtera cher.
Un paradoxe qui se vérifie dans les courbes de prix : 100 m3 d’eau (consommation moyenne d’un ménage sur une année) coûtaient 389 euros en 2010, c’est 477 euros aujourd’hui, soit 20% de plus. Promesse
Depuis le 23 septembre, le prix du mètre cube d'eau a augmenté pour toutes les personnes connectées au réseau de la Société wallonne des eaux (SWDE), qui alimente 65% des ménages wallons dont les villes de Tournai, Mons, Charleroi ou encore Namur. Il s'agit de la troisième hausse des prix depuis le mois de janvier, révèle ce vendredi Sudpresse. La SWDE promet qu’il n’y aura pas d’augmentation en 2015
Ordinateur, tablette et smartphone : vers une nouvelle redevance ?Vers une redevance élargie aux possesseurs d'ordinateurs, de tablettes ou de smartphones?
François Hollande a évoqué cette hypothèse, ce jeudi, lors d'une intervention devant le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA).
Notant que l'«on peut regarder les chaînes du service public sur d'autres instruments que la télévision», le président de la République a indiqué que «l'objectif est qu'à rendement constant, sans que ça ne coûte rien de plus à personne, il puisse y avoir une assiette plus large et plus juste» pour la redevance.
«La seule détention du poste de télévision ne peut pas être exclue de cette réflexion», a-t-il souligné. «L'objectif n'est pas d'accroître les recettes» «Je rassure, l'objectif n'est pas d'accroître les recettes», a toutefois tempéré François Hollande, alors que le budget 2015 prévoit une augmentation de 3 euros du montant de la redevance, à 136 euros.
La redevance, officiellement dénommée «contribution à l'audiovisuel public» (CAP), sert à financer des groupes comme France Télévisions, Radio France ou Arte. La ministre de la Culture Fleur Pellerin a fermé la porte cette année à l'élargissement de son assiette, mais indiqué dernièrement qu'une réflexion était en cours.
«On est en droit de se demander pourquoi, à terme, la redevance ne pèserait que sur les détenteurs de télévision», a-t-elle ainsi déclaré.
Budget participatif: Les Parisiens ont voté pour «la végétalisation et le rapport à la nature»..
Les Parisiens ont fait leur choix. Appelés à se prononcer dans le cadre du premier budget participatif de la ville, ils ont placé «les jardins sur les murs» en tête , juste devant «cultiver dans les écoles» (, comme l'a révélé Anne Hidalgo, ce jeudi matin.
La maire de Paris a souligné que les Parisiens avaient pour l'essentiel retenu «des projets qui concernent la végétalisation et le rapport à la nature».Parmi les quinze projets proposés, cinq devaient initialement être retenus. Ils sont finalement neuf, avec également «la reconquête urbaine» , «trier ses déchets au plus près» , «coworking étudiants-entrepreneurs», «des kiosques pour faire la fête», «rendre la rue aux enfants» , «sport urbain en liberté» et «les œuvres d’art investissent la rue»
. «Ces neuf projets seront inscrits au budget 2015 de la ville de Paris qui sera voté en décembre, précise Pauline Véron, adjointe à la maire chargée de la démocratie locale et la participation citoyenne. Ils seront mis en chantier en 2015.»
Combien de murs végétalisés?
Combien de potager dans les écoles?
Combien d'espaces de coworking?
Les détails ne sont pas encore connus, dit Anne Hidalgo : «Des concertations seront menées à la mairie de Paris, en interne, pour étudier la mise en place de ces projets». «21.562 Parisiens nous ont laissé leurs coordonnées pour être informé du suivi de ces projets», précise Pauline Véron.
C'est dans le 20e qu'on a le plus voté Au total, 40.745 personnes se sont exprimées lors de ce vote, qui s'est déroulé sur une semaine jusqu'au 1er octobre. Ils sont 24.002 à avoir voté par internet et 16.743 à l'avoir fait dans l'une des 180 urnes disposées à Paris (mairies d'arrondissement, espaces publics, urnes mobiles...). Au petit jeu de l'arrondissement qui s'est le plus mobilisé, c'est le 20e
qui décroche la première place avec 4.382 votants, devant le 11e (3.577), le 18e (3.502) ou encore le 12e (3.488). Quant aux 3e et 4e arrondissements, «ils enregistrent le plus fort taux de participation au regard de leur nombre d'habitants», signale Pauline Véron. Aux Parisiens de soumettre leurs projets l'an prochain Reste à savoir si ce chiffre de 40.745 votants constitue un bon score.
«Cela représente 2% des Parisiens, indique François Guichard, directeur du service «démocratie, citoyens et territoires» à la ville de Paris. L'objectif était de dépasser au moins les 1%.» «Mais au regard des premières expériences de budgets participatifs menés par d'autres grandes villes mondiales, nous pouvons être satisfaits, note Anne Hidalgo. Il n'y avait que 3.000 votants la première fois à Lisbonne et 13.000 à New-York.»
A confirmer l'an prochain pour la deuxième édition du budget participatif. L'enveloppe annoncée sera plus importante avec 71 millions d'euros de budget à dépenser. Cette fois-ci, les Parisiens soumettront eux-mêmes leurs projets. «Un site internet dédié sera ouvert en janvier pour récolter les idées, explique François Guichard. Le vote devrait intervenir soit en juin, soit en septembre.»
Sofie, traumatisée à 5 ans dans l’arène !
C’est le hasard qui nous a amené à faire la connaissance de Sofie. D’origine espagnole et installée dans le sud de la France, Sofie, jeune femme de 34 ans, consacre sa vie professionnelle à l’assistance aux personnes handicapées moteur. En passant devant un stand d’information anti-corrida, Sofie a voulu en savoir plus sur les actions des opposants à la corrida. Au fil de la conversation qui s’est alors engagée elle a souhaité nous faire part de son expérience enfant, lorsqu’elle a été confrontée à l’âge de 5 ans à cette pratique ultra-violente.
Nous lui avons proposé de recueillir son témoignage et de le publier. Elle a accepté sans hésiter, espèrant que son récit puisse ainsi servir à d’autres.
- Quel âge aviez-vous lorsque vous avez été confrontée à une corrida ? J’avais 5 ans.
- Avez vous été entrainée à y assister par un ou une proche ? C’est ma tante qui vit en Espagne depuis toujours qui a eu cette « excellente » idée pour passer un après-midi !
- Pouvez vous nous décrire ce que vous y avez vu, du moins vos souvenirs ?
Évidemment je ne me souviens pas de tout. J’ai des images flash de ce qui m’a le plus choqué. Il faisait très chaud, il y avait beaucoup de monde, c’était compliqué de s’asseoir… Un taureau est entré dans l’arène. Moi, tout ce que je comprenais, c’était qu’un homme le poursuivait… Lorsqu’il a planté la première banderille, je me suis mise à hurler et à pleurer. Ma tante a été obligée de me sortir et de me ramener à la maison.
- Vous a-t-on expliqué à l’époque ce qui se passait dans l’arène ? Ce qu’il en était du taureau ? Les raisons de ce spectacle ? Oui on ma dit « tu vas voir c’est très joli, c’est un beau spectacle. Les enfants s’amusent beaucoup »…
- Quel impact cela a-t-il sur vous ensuite ?
Une hypersensibilité par rapport à tous les actes de cruauté envers les animaux. Ça a été la source de nombreux cauchemars durant toute mon enfance. Et j’ai aussi ressenti de la colère… envers les hommes qui pratiquent cette barbarie. Et de l’incompréhension.
- Quelles sont vos impressions aujourd’hui quand vous repensez à cette expérience ?
Je pense que c’est un endroit totalement inadapté pour un enfant. Cela peut créer de graves traumatismes ou rendre les enfants avides de combats et de maltraitance animale. Tous les actes de cruauté envers les animaux représentent des images difficiles à effacer.
- Que pensez-vous des parents qui emmènent leurs jeunes enfants assister à une corrida ?
Je n’aime pas juger les gens. Mais je pense quand même qu’il y a des sorties beaucoup plus adaptées… Si la barbarie et la souffrance ne posent pas de problèmes aux parents… voir agoniser un animal qui n’a rien demandé… pour quoi faire ? Pour le plaisir ! L’enfant doit en retenir quoi ? Que le sadisme fait partie de la nature humaine ? Pitié…
- Certains aficionados incitent publiquement (notamment via une émission de radio) les parents à emmener leurs enfants voir des corridas, en expliquant qu’il s’agît là d’un geste de prosélytisme pour l’avenir de la tauromachie et que la corrida est une école de la vie pour les enfants. Trouvez-vous cette attitude responsable ? Non pour les raisons que j’ai évoquées plus haut. Je suis Catalane : en Catalogne les corridas sont interdites. On ne les justifie plus par le folklore ou la tradition. C’est fini. « Une école de la vie »… Ces gens sont fous.
- Récemment, une commission de l’ONU a émis une recommandation (à destination du Portugal, mais le tour de la France viendra…) visant à éloigner les enfants des corridas ainsi que des écoles taurines. Pensez vous qu’une initiative émanant d’une organisation reconnue et aussi importante que l’ONU puisse faire évoluer les mentalités sur ce sujet ?
Oui. Je le souhaite de tout coeur. Je trouve aberrant et lamentable qu’il y ait des corrida en france, ainsi que des écoles taurines. Nous ne sommes pas en Espagne ; si, là bas, on peut éventuellement parler de tradition, je ne vois pas le rapport en France ! J’espère que les mentalités changeront, mais je suis consciente qu’il y a beaucoup de chemin à parcourir.
Merci Sofie.
Si la préservation des enfants face à la violence et aux images de grande cruauté parait être une valeur partagée par tous, dès que l’on en vient à aborder la problématique de l’accès des enfants à la corrida, nombre d’afiocinados (pourtant eux mêmes concernés, père, mère, grand-père ou grand-mère) oublient immédiatement toutes ces considérations pour faire de la barbarie tauromachique une « exception » qui n’aurait pas à être concernée par ces considérations de morale, d’éthique et de respect de la sensibilité des enfants. Bien au contraire, certains aficionados mettent en avant une valeur éducative apportée par le spectacle de veaux ou jeunes taureaux torturés, battus et mis à mort ! Là où tout voudrait que l’on éloigne les personnalités les plus fragiles et influençables de spectacles faisant l’apologie de la violence, ces valeurs de simple bon sens éducatif sont balayées du revers de la main par certains aficionados dès que l’on aborde la présence des enfants dans les arènes. Dans une interview accordée au Midi Libre, le professeur Hubert Montagner (membre du comité d’honneur de la FLAC) abordait ce sujet et déclarait :
« Il est évident que le spectacle de la corrida est une forme de violence pour les plus vulnérables, pour les plus fragiles, pour ceux qui sont dans l’insécurité affective. Avec mes collaborateurs, au cours d’une partie de nos recherches sur les interactions entre l’animal familier et l’enfant, nous nous sommes rendu compte à quel point un enfant peut être en détresse, inconsolable, dès lors qu’il voyait que son animal était maltraité. (…)
L’enfant est spectateur des blessures et des souffrances qui sont infligées au taureau qui n’a rien demandé. Cela trouble beaucoup d’enfants. C’est très destructeur en ce qui concerne la perception que l’enfant a des animaux et aussi la perception qu’il peut avoir des relations entre les hommes et les animaux. Ce n’est pas cela qui peut lui donner confiance dans les relations humaines. Je ne vois pas ce que cela peut lui apporter dans son développement vers l’âge adulte. (…) Il est du devoir de la société humaine de soustraire les enfants aux spectacles de violence.
Le témoignage de Sofie est là pour confirmer les propos du professeur Montagner. Il renforce encore notre détermination à obtenir l’interdiction de la corrida aux enfants de moins de 16 ans, et notre dénonciation des scandaleuses écoles taurines, où l’on enseigne aux enfants à torturer et mettre à mort des animaux. Nous vous invitons à lire également le témoignage de Marina.
Longvic : un python au centre de tri postal..Un leiopython albertisii d'un mètre cinquante environ a été retrouvé mercredi vers 16 heures dans un conteneur du centre de tri postal situé au niveau de la commune de Longvic.
Rapidement sur place, les sapeurs-pompiers du centre Est de Dijon ont prévenu la société Tropicalis, spécialisée dans la prise en charge de ce type d'animal. L'entreprise a ainsi pu déterminer le type de serpent.
Ensuite, les soldats du feu ont capturé le python et l'ont disposé d'un sac en toile prévu à cet effet, avant de le transporter dans un endroit sûr. Le serpent, qui n'est pas venimeux, était recouvert de nombreuses cicatrices et parasites externes. Son coût à l'achat serait de 500 à 600 €.
Décès à la maternité d'Orthez : l'anesthésiste en garde à vue Le centre hospitalier d'Orthez accueille une maternité dans laquelle une femme est morte fin septembre.
Le centre hospitalier d'Orthez accueille une maternité dans laquelle une femme est morte fin septembre. La jeune femme victime d'un accident d'anesthésie le 26 septembre lors de son accouchement à la maternité d'Orthez (Pyrénées-Atlantiques), fermée depuis lors par les autorités sanitaires, est finalement décédée mardi soir.
La médecin-anesthésiste, qui assistait la patiente âgée de 28 ans lors de son accouchement, a été placée en garde à vue mardi, a indiqué le procureur de la République de Pau, Jean-Christophe Muller.
Parallèlement, une perquisition était en cours dans la clinique privée où l'accident s'est produit. La maternité d'Orthez relève de l'hôpital public, mais le bloc chirurgical et le personnel d'anesthésie sont mis à disposition par une clinique privée de la ville.
L'accident est survenu dans la nuit lors de l'accouchement par césarienne sous anesthésie générale de la jeune parturiente, victime d'un arrêt cardiaque.
Les autorités sanitaires avaient décidé la suspension immédiate de l'activité de la maternité à la suite de cet accident qualifié de «grave» par l'Agence régionale de santé (ARS).
Orthez: après un accident d’anesthésie pendant son accouchement, une jeune femme décède Cette affaire intervient alors que la maternité d'Orthez est en sursis faute de gynécologues-obstétriciens suffisants.
Environ 800 personnes ont encore manifesté samedi pour réclamer son maintien. Selon l’Agence régionale de santé, l’enquête ne porte pas sur «l’activité obstétrique» de la maternité mais sur «la sécurité anesthésique qui relève de l’établissement privé» et donc de la clinique. Une «excuse» pour accélérer la fermeture, selon Eric Delteil, qui s'est exprimé au micro de France Info, coprésident du collectif de soutien à la maternité du Centre hospitalier.
En effet, depuis l'accident, les femmes inscrites à la maternité d'Orthez sont renvoyés vers Pau ou Bayonne. La jeune femme, victime d'un arrêt cardiaque, avait été transférée à l'hôpital de Pau où elle est décédée. Son bébé est lui sain et sauf.
Le parquet a ouvert une enquête pour «homicide involontaire», a indiqué Jean-Christophe Muller, précisant que le mari de la victime avait déposé plainte pour «homicide involontaire» contre X.