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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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Flashé à 207 km/h

Publié à 19:30 par fandeloup Tags : photo chevaux cadeau rose papier
Flashé à 207 km/h

Flashé à 207 km/h, une semaine après avoir obtenu son permis

Un Marseillais de 18 ans a été contrôlé jeudi à 207 km/h sur une route initialement réglementée à 110 km/h, au volant de la berline allemande de son père.

Il n'aura gardé son permis de conduire qu'une semaine. Le chauffard a été contrôlé à la hauteur de l'aire de Ganagobie dans les Alpes de Haute-Provence, à 207 km/h

La vitesse fait tourner la tête, la vitesse est l'apanage de la jeunesse, "la vitesse est la forme d'extase dont la révolution technique a fait cadeau à l'homme", comme l'écrivait Kundera... Mais il n'y a pas que l'ivresse et le plaisir. Oui, la vitesse tue.

Elle est aussi accessoirement réglementée à 130 km/h, sur les autoroutes françaises ! Jeudi dernier, un Marseillais de 18 ans, très jeune conducteur, a voulu voir ce que la berline de son père avait sous le capot.

L'Allemande et ses nombreux chevaux ont été lâchés sur l'autoroute A 51, entre Gap et Sisteron (Alpes-de-Haute-Provence). Le jeune chauffard, une semaine d'expérience de conduite en poche, a poussé l'engin à 207 km/h.

Il passera par la case tribunal Mais le pied au plancher n'aura pas fait long feu. Il a été contrôlé à la hauteur de l'aire de Ganagobie dans les Alpes de Haute-Provence. Adieu papier rose chèrement acquis. Son permis lui a été suspendu.

Pourtant le chauffard avait prévu un stratagème. Il avait mis du scotch sur les plaques d'immatriculation pour éviter de se faire prendre. Rien n'y a fait?! Il devra se présenter le 8 décembre devant le tribunal de Manosque pour s'expliquer.

donneur

Publié à 16:54 par fandeloup Tags : enfant cadre vie monde enfants france photo mort
donneur

L'émouvant hommage d'une équipe de chirurgiens devant un enfant donneur d'organes

C’est une simple photo, mais pourtant très chargée en émotion. Une scène poignante face à laquelle nous ne pouvons rester de marbre. Ce cliché a fait le tour du monde. Il montre une équipe de médecins dans la salle d’opération d’un hôpital chinois, s’inclinant pour rendre hommage à un petit garçon de 11 ans, Liang Yaoyi. Une mère effondrée en arrière-plan, et une armée de blouses bleues, debout dans le cadre aseptisé et froid de l’hôpital, se confrontent au corps allongé de l’enfant que l’on devine sous le drap central. Liang Yaoyi était malade d’un cancer et se savait mourant. Mais avant de rendre son dernier souffle, l’enfant avait fait part à son entourage de son vœu de faire don de ses organes. C’est à l'école que le petit garçon avait pris conscience de l’importance de ce geste.

Atteint d’une tumeur maligne au cerveau depuis ses 9 ans, Liang Yaoyi n’avait cependant jamais baissé les bras. Son combat à lui était devenu celui d’aider les autres. Après cette réflexion à l’école, il a donc convaincu sa mère de faire don de ses organes après sa mort. Cette dernière a expliqué que son fils lui avait déclaré :

« Il y a beaucoup de gens qui ont fait de grandes choses dans le monde. Ce sont des personnes bien et je veux aussi être un enfant bien ».

Liang Yaoyi est décédé des suites de son cancer le 6 juin dernier. Les médecins ont alors respecté ses vœux et prélevé certains de ses organes, après avoir procédé à ce salut rituel pour rendre hommage au défunt.

Le petit garçon, qui voulait devenir médecin pour sauver de vie, serait fier de savoir que ses reins et son foie ont été transplantés avec succès sur des petits patients.

Le don d’organes en France .Les Français restent frileux par rapport au don d’organes. Sujet souvent tabou, cette pratique, en légère hausse depuis quelques années, pourrait permettre de sauver la vie de nombreux malades.

Mais près d’une famille sur trois s’oppose au prélèvement d’organes sur leur défunt. Les enfants, eux aussi, peuvent être donneurs, la décision revenant aux parents ou aux tuteurs légaux. En 2013, 3,5% des prélèvements d'organes ont eu lieu sur des mineurs de moins de 17 ans.

Un calvaire de seize ans

Publié à 15:55 par fandeloup Tags : fille monde bonne chez 2010 travail cadre nuit automne éléments revenu
Un calvaire de seize ans

Patricia manifeste seule devant l'Hôtel-de-Ville, depuis dix mois Pour sa fille handicapée, cette aide-soignante est en bagarre avec l'AI et la caisse de pension de l’État depuis 2004. Une petite porte s'ouvre enfin.

Patricia Lacour ne manque pas de ténacité. Ou d'entêtement. Cette Genevoise travaille de nuit à l'Hôpital cantonal. Elle est aide-soignante aux urgences. Et passe

– «quand je ne suis pas trop crevée», dit-elle – des heures devant l'Hôtel-de-Ville, assise sur une chaise en plastique. La fille de Patricia a aujourd'hui 43 ans. Sourde de naissance, elle souffre de spondylarthrite ankylosante, une maladie rare et évolutive «qui ne se voit pas, mais qui l'empêche de travailler ».

Entre 2006, fin de son arrêt maladie, et octobre 2010, date de sa première rente AI à 100%, Nadia n'a eu aucun revenu . Sur sa chaise, Patricia dit réclamer ses droits: Que l'AI reconnaisse l’invalidité de sa fille depuis 2006 et que la caisse de retraite des fonctionnaires lui verse la rente invalidité auquel elle a droit.

«Ma fille s'est battue pour travailler, proclame-t-elle, elle n'a pas à recourir à l'aide sociale.» Aux dernières nouvelles, la caisse de pension de l'Etat va la recevoir. Au cœur de son combat, une grosse différence d'interprétation entre les médecins qui l'ont mis en arrêt de travail dès 2004 et les experts de l'AI qui n'ont décrété l'invalidité à 100% qu'à partir de la fin 2010.

Députés distraits, fonctionnaires formalistes Des députés se sont arrêtés devant la manifestante solitaire. Quelques-uns ont demandé des explications. Mais rien. Depuis novembre 2013, date à à laquelle elle a repris son combat, sa pancarte n'agite pas la République. L'Hôtel-de-Ville semble aveugle et sourd.

L'Office cantonal des assurances sociales répond régulièrement à ses lettres. La dernière date du 28 juillet 2014. La réponse ne varie guère d'une missive à l'autre. L'AI a refusé le 8 mai 2007 l'octroi d'une rente, lit-on, parce que le degré d'invalidité évalué à l'époque était de 20%, bien inférieur au 40%, le seuil qui déclenche l'octroi d'un quart de rente.

Cette décision suffit à la caisse de pension CEH, devenue CPEG, pour refuser l'octroi d'une rente invalidité au titre du 2e pilier. «Un degré d'invalidité de moins d'un tiers n'est pas pris en considération par la Caisse, de sorte que nous ne sommes pas tenus de verser une pension d'invalidité rétroactive pour la période s'écoulant de février 2006 à février 2009.»

La lettre précise encore que la Caisse de pension n'a pas à verser une rente invalidité au titre de la prévoyance professionnelle, puisque l'aggravation de la situation de Nadia est intervenue après sa cessation d'activité et son affiliation à la Caisse de pension le 31 juillet 2006. Un trou de trois ans Patricia Lacour n'en démord pas.

Pour elle, c'est un scandale. Pourquoi ma fille a-t-elle été mise en arrêt maladie dès 2004, c'est bien déjà en raison de sa maladie évolutive. Et pourquoi a-t-il fallu attendre fin 2011 pour que l'AI lui accorde une rente, laissant un trou de trois ans entre la fin des rapports de travail et le début de la rente?

Pas de réponse. Or c'est ce trou qui permet à la Caisse de pension de ne rien nous accorder? «Mauro Poggia connaît bien notre dossier, indique celle que la Tribune a appelé mère Courage le 22 novembre 2011 quand, au terme de sa longue course d'obstacles, elle a reçu la lettre de l'AI accordant à Nadia une rente d’invalidité complète avec effet rétroactif au 1er octobre 2010.

Mauro Poggia connaît bien le dossier L'avocat Mauro Poggia, devenu conseiller d'Etat l'automne dernier, confirme. «L'action de cette mère est admirable. Nous avons obtenu, avant que je sois au Conseil d'Etat, une victoire avec l'AI, qui reconnaît maintenant le droit à une rente entière.

Toutefois, la LPP refuse d'intervenir, car l'AI a laissé un «trou» d'un peu plus de deux 2 ans, entre la fin des prestations perte de gain maladie de l'assureur de son dernier employeur, et le début de la rente.» Et, se souvient le magistrat, cela en raison d'expertises hautement discutables, qui ont considéré, à un moment donné, que l'invalidité n'atteignait pas 40%, seuil nécessaire pour ouvrir le droit à la rente. Mauro Poggia promet de rencontrer la manifestante.

«Mme Lacour devrait agir par une procédure contre la caisse de pension, pour obtenir la reconnaissante de son droit à une rente d'invalidité selon la LPP», conclut provisoirement le conseiller d'Etat. Le Dr Bertrand Buchs, dont l'expertise avait ouvert le droit à une rente AI à Nadia, est un peu plus circonspect. En Suisse, les décisions de l'AI déterminent l'ouverture des droits aux autres assurances sociales et au 2e pilier. Le montant versé par la caisse de retraite dépend de la durée de cotisation. Ensemble, la rente AI et la pension ne peuvent pas excéder 80% du dernier salaire. L'expert médical rappelle que si ces montants sont inférieurs aux minima sociaux, la personne peut obtenir une rente complémentaire de l'Etat, une allocation logement et la prise en charge de sa caisse maladie. Une réponse que Patricia connaît par cœur. Le droit qu'elle réclame pour sa fille, c'est la reconnaissance que son invalidité remonte à 2006.

«Mon combat je le mène pour Nadia, explique longuement cette citoyenne assise sur sa chaise, mais aussi pour tous ceux qui sont dans la même situation. Si l'AI revenait sur l'avis de ses experts pas mal de monde pourrait récupérer des droits.» Depuis novembre 2013, Patricia fait donc à nouveau le siège des institutions.

«Si j'obtiens gain de cause, ma fille touchera un petit supplément qui devrait lui permettre d'habiter son propre logement», espère Patricia. Actuellement mère et fille vivent sous le même toit.

«Elle n'a rien fait; ce n'est pas de sa faute; elle a le droit de vivre comme vous, comme moi», dit la Perlysienne. Petite ouverture du côté de la caisse de pension

Du côté de la caisse de pension de l'Etat, sa porte-parole Fabienne Bouvier, ouvre une légère porte: «Si la reconnaissance d’une invalidité par l’assurance invalidité intervient après la fin de l’affiliation d’un assuré à sa caisse de pension, un examen approfondi de son dossier s’impose. Il s’agit en particulier de déterminer si la cause de l’incapacité de travail est survenue pendant la durée d’affiliation et si elle est à l’origine de l’invalidité reconnue par l’assurance invalidité au sens des dispositions légales et de la jurisprudence en la matière. Cet examen se fonde sur les éléments médicaux du dossier AI et, si nécessaire, sur l’avis du médecin-conseil de la caisse de pension.»

Un calvaire de seize ans Patricia raconte inlassablement le combat qu'elle mène pour sa fille; une hallucinante course d’obstacles. Qui commence en 1995 par un premier IRM et se conclut seize ans plus tard par une décision de l’AI datée du 16 novembre 2011. Dans cette lettre on peut lire: «Vous n’aurez plus besoin de vous geler devant chez nous, la rente de votre fille a été acceptée et sera payée depuis 2008.» En prime l'AI écrit: «Nous vous devons aussi des excuses pour la durée de la procédure.» Enfin une bonne nouvelle. Mais pour Patricia et Nadia, la victoire n'est pas totale. L'AI n’accepte pas de reconnaître l'incapacité de travail de Nadia entre 2006 à 2009. Ce qui entraîne un malencontreux refus d’entrer en matière sur ses droits au 2e pilier. Nadia aurait contracté la maladie à la suite d'un vaccin contre l'hépatite B qui était obligatoire dans le cadre de sa formation d'aide familiale à domicile. Un soupçon que Patricia ne peut pas démontrer. L'invalidité de Nadia était patente dès 2004, affirme sa mère sur la foi d'expertises contestées par les médecins de l'AI. Longtemps l’AI a accusé ma fille de feindre. Une accusation qui frappe Patricia au cœur. «Je peux certifier que ma fille s'est battue comme peu de personnes l'auraient fait pour garder son poste d'assistante à domicile jusqu'en 1999, date où l'hôpital lui a dit qu'elle ne pouvait plus continuer cette activité. Ma fille serait la première à troquer sa place, son vaccin, ses douleurs et sa jeunesse foutue. Stop, crie Patricia, je suis fatiguée, fatiguée!»

écotaxes

Publié à 13:59 par fandeloup Tags : france cadre argent
écotaxes

Nouvelle écotaxe : les automobilistes mis à contribution ?

Opérationnelle depuis 2005, l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF) a été créée afin de palier le recul des investissements dans les infrastructures de transport. C’est cette fameuse agence qui devait recevoir le produit de l’écotaxe poids lourds enterrée par le gouvernement après l’épisode des Bonnets rouges de l’automne 2013.

L’écotaxe première version a été remplacée par un péage de transit poids lourds censé être expérimenté avant une entrée en vigueur le 1er janvier prochain.

Rendement brut de ce prélèvement : près de 550 M€. Nettement moins que les 800 M€ par an escomptés grâce à la précédente formule.

Le hic, c’est que cet argent devait servir, entre autres, à rénover un réseau ferroviaire vieillissant qui en avait bien besoin. Où trouver la différence?? Manuel Valls a indiqué qu’elle serait compensée par l’Etat de manière pérenne.

Sans plus de détails. L’une des solutions, selon un bon connaisseur du dossier, consisterait à relever les taxes sur l’essence, notamment sur le gazole, le prix des carburants pouvant être alors relevé de 1 ou 2 centimes par litre. Une mise à contribution des automobilistes est déjà prévue dans le cad

re de la contribution climat énergie visant à diminuer les émissions de CO2 à partir de 2015. Interrogé par notre journal, le ministère n’a fait aucun commentaire. Enfin, à des journalistes qui l’interrogeaient sur cette question, Ségolène Royal a répondu « ne pas être au courant ».

cycliste

Publié à 11:34 par fandeloup Tags : image homme photo divers
cycliste

Un cycliste qui circulait sur la piste réservée aux modes doux, rue Nationale (13e), a été roué de coups, jeudi soir, avant d’être délesté de son portable et de son portefeuille.

Quatre adolescents ont été interpellés. L'homme circulait sur la piste cyclable de la rue Nationale, dans le 13e

Le cycliste est tombé dans un petit guet-apens. Jeudi soir, alors qu’il circulait sur la piste cyclable de la rue Nationale, dans le 13e arrondissement de Paris, un homme a vu débouler sur lui quatre personnes qui l’ont obligé à poser pied à terre, rapporte, ce samedi, Le Parisien.

Là, l’homme a vécu un véritable calvaire. Il a été roué de coups par ses agresseurs, qui lui ont dérobé son portefeuille et son téléphone portable. Les suspects retrouvés à proximité

Les policiers, rapidement alertés, sont parvenus à retrouver les quatre suspects dans un immeuble tout proche et les ont interpellés. Les agresseurs, quatre adolescents âgés de 12 à 17 ans, ont été placés en garde à vue. Le plus jeune d’entre eux a passé, lui, quelques heures en retenue judiciaire.

découverte du plus grand dinosaure

Publié à 08:51 par fandeloup Tags : mort animal histoire
découverte du plus grand dinosaure

Patagonie : découverte du plus grand dinosaure jamais exhumé

«Dreadnought», c'est son nom, pesait près de 60 tonnes, soit le poids d'une dizaine d'éléphants. «Dreadnought», c'est son nom, pesait près de 60 tonnes, soit le poids d'une dizaine d'éléphants. | (Carnegie Museum of Natural History.)

Son nom, «Dreadnought», signifie «qui n'a peur de rien» en vieil anglais. Et pour cause, le mastodonte, dont des paléontologues ont révélé jeudi avoir découvert le squelette en Patagonie, a des mensurations à faire pâlir un gros mammouth :

26 mètres de long, dont 11 pour le seul cou, et près de 60 tonnes. Soit le poids de sept Tyrannosaurus Rex, la star des reptiles géants, ou de dix éléphants.

Dreadnoughtus Schrani devient ainsi le plus gros animal terrestre ayant jamais vécu sur Terre et dont on ait pu estimer aussi précisément le poids.

Il détrône un autre titanosaure argentin, Elaltitan, à qui la presse scientifique attribuait 43 tonnes en 2012. Dans la balance, l'animal supplante même le modeste Boeing 737, qui revendique une cinquantaine de tonnes.

Et l'étude que la revue «Scientific Reports» lui consacre suggère qu'il était encore en croissance au moment de sa mort... Pas besoin de se déplacer S'il n'était la proie d'aucun autre animal, Dreadnought n'était pas non plus un prédateur :

il était herbivore, ce qui explique son long cou. Pour atteindre sa taille impressionnante, il devait avaler chaque jour des quantités phénoménales de végétaux. Kenneth Lacovara, le paléontologue qui a découvert le «Dreadnought» en 2005 et supervisé les fouilles, imagine un quotidien fait de quasi surplace :

«Vous avez un cou de 11 mètres de long équilibré par une queue de 9 mètres. Sans bouger d'un pas, vous avez accès à une gigantesque réserve de nourriture (...). Vous passez une heure à la nettoyer (...), puis vous faites trois pas à droite et passez l'heure suivante à nettoyer la zone d'à côté».

«Les plus grands titanosaures restent un mystère parce que, dans presque tous les cas, leurs fossiles sont très incomplets», a souligné de son côté Matthew Lamanna, du Musée Carnegie d'Histoire naturelle de Pittsburgh (Etats-Unis).

C'est donc une chance que le fossile de Dreadnought ait été découvert en si bon état. Au cours de quatre campagnes de fouilles, entre 2005 et 2009, les paléontologues ont réussi à retrouver plus de 70 % des ossements, en excluant les os de la tête, soit plus de 45 % de l'ensemble du squelette.

Les scientifiques disposent notamment de pratiquement tous les os des membres inférieurs et supérieurs, dont un humérus et un fémur d'1,80 mètre, à côté duquel le «papa» du Dreadnought a posé fièrement.

VIDEO. Des paléontologues révèlent l'existence d'un dinosaure gigantesque

une fillette tuée, son frère dans un état grave

Publié à 20:32 par fandeloup Tags : image article divers cadre texte nuit jeux actualité homme écran
une fillette tuée, son frère dans un état grave

Haut-Rhin : une fillette tuée, son frère dans un état grave

Le frère aîné mis en examen

5 septembre 2014, 7h45 - L'adolescent de 15 ans en garde à vue depuis mardi après le drame de Moernach, en Alsace, a été mis en examen hier soir pour avoir assassiné sa soeur de 11 ans et tenté d'assassiner son frère de huit ans.

Le jeune garçon, qui avait dans un premier temps attribué le meurtre à un rôdeur, est passé aux aveux lors de sa garde à vue. "On a un jeune homme qui donne maintenant une description cohérente du déroulement des faits" a expliqué le procureur de Mulhouse, Dominique Alzeari.

Le profil de l'adolescent

L'une des hypothèses avancées pour expliquer ce terrible passage à l'acte serait liée à une addiction à des jeux vidéo violents. Selon son meilleur ami, qui avait l'habitude de jouer avec lui, l'adolescent passait plus de six heures par jour devant son écran.

Toutefois, le procureur nuance cette piste : "Il ne semblerait pas que le vécu du jeune homme, lié notamment à ses pratiques de jeux (vidéo), etc., soit directement à l'origine (des faits), c'est plus global que ça, ça ressemble plutôt à un mal-être".

Des problèmes relationnels avec son frère et sa soeur pourraient constituer "un des éléments", a-t-il ajouté. Le jeune garçon doit être soumis à des expertises psychiatriques et psychologiques. Les faits Le soir du drame, l'adolescent avait lui-même alerté les voisins auxquels il s'était présenté hagard et ensanglanté, en évoquant l'agression d'un rôdeur qui se serait introduit dans la maison située dans un lotissement du village.

Les parents étaient alors absents. Les deux cadets ont été frappés à l'aide d'un instrument tranchant, qui pourrait être une machette. Le plus jeune frère est toujours hospitalisé dans un état critique.

 L'adolescent de 15 ans mis en examen jeudi soir pour l'assassinat de sa soeur de 11 ans et la tentative d'assassinat de son frère de 8 ans à Moernach (Haut-Rhin) a été écroué dans la nuit.

Le juge des libertés et de la détention devant lequel il a comparu dans la nuit a décidé son placement en détention provisoire, conformément aux réquisitions du procureur de Mulhouse, Dominique Alzeari.  

Drame familial dans le Haut-Rhin Face aux enquêteurs qui l'entendaient depuis mardi soir dans le cadre de sa garde à vue, l'adolescent a fini par avouer qu'il avait «décidé» de tuer ses frère et soeur à l'arme blanche, profitant d'une absence des parents qui les avaient laissés seuls à leur domicile pour suivre un cours de yoga.

Il a déclaré avoir préparé le crime, même si le mobile restait jeudi soir toujours inconnu. L'adolescent avait, dans un premier temps, attribué le meurtre à un rôdeur, avant de donner «une description cohérente du déroulement des faits», indiquait jeudi le procureur.

Il y avait «préméditation, parce qu'il explique qu'il a décidé de le faire», a souligné le magistrat. le garçon est décrit par des voisins comme un adolescent normal, plutôt réservé et passant beaucoup de temps devant son ordinateur à jouer à des jeux vidéo.

Le procureur de Mulhouse estimait jeudi que le passage à l'acte s'expliquait plutôt par «un mal-être» que par une éventuelle addiction aux jeux vidéo. Drame familial dans le Haut-Rhin : le parquet requiert la mise en examen du frère aîné Le drame s'est déroulé dans un pavillon coquet d'un lotissement de Moernach, village de 600 habitants situé près d'Altkirch, à une quarantaine de km au sud de Mulhouse, près de la frontière suisse, où la famille s'est installée il y a huit ans.

Une cellule de soutien psychologique a été mise en place pour les élèves de l'école locale où est scolarisé le frère de 8 ans, qui se trouvait toujours jeudi soir dans un état critique dans un hôpital de Strasbourg. Le collège voisin de Ferrette, où était scolarisée la soeur de 11 ans, a prévu une cellule d'écoute pour accueillir les élèves le souhaitant.

C'est l'adolescent lui-même qui avait donné l'alerte mardi soir après avoir quitté la maison dans un état de choc. Les parents n'avaient découvert le drame qu'après l'arrivée des secours. Le parquet avait indiqué jeudi que son placement en détention se ferait «dans des conditions de détention spécifiques et spécialement protectrices, avec certainement un suivi médical en milieu carcéral».

Le marché de Rungis va investir

Publié à 17:57 par fandeloup Tags : bonne france
Le marché de Rungis va investir

Le marché de Rungis va investir 6 millions d’euros pour construire un pavillon bio

 Rungis, le plus important marché grossiste de France , se développe en construisant un nouveau pavillon exclusivement dédié aux produits biologiques. Dans une stratégie de rationalisation et de modernisation, un pavillon entièrement bio de 6.000 mètres carrés verra le jour courant 2015 dans le marché de Rungis.

Il regroupera les produits biologiques autrefois éparpillés dans les différents halls. Ce projet est évalué à 6 millions d’euros et surfent sur l’engouement actuel des Français pour la cuisine saine et traditionnelle. Il fait suite à la rénovation du carreau des fruits et l’ouverture d’un pavillon de la gastronomie.

Le marché international de Rungis, plus grand marché de gros de France qui alimente les professionnels de toute la région parisienne et fait travailler 12.000 salariés, est en bonne santé. “Bien sûr il y a toujours quelques execptions, mais grosso modo, les secteurs vont bien” avoue au site lesechos.fr Stéphane Layani, président-directeur général du marché.

Le futur marché biologique sera majoritairement dédié à la vente. Il possédera également des bureaux et un restaurant 100% bio, l'ensemble du bâtiment étant construit selon la norme de Haute Qualité Environnementale (HQE). Bien que la surface du futur espace bio est importante, elle reste très faible (moins de 1%) face au million de mètres carrés du marché entier de Rungis. 

Une famille sauve l'école du village

Publié à 13:26 par fandeloup Tags : merci enfants article belle travail histoire rose air vie
Une famille sauve l'école du village

Une famille sauve l'école du village grâce à ses 8 enfants

A Fontpédrouse, petite commune des Pyrénées Orientales, la famille Garcia a sauvé l'école qui ne comptait que 5 enfants en y inscrivant les siens... au nombre de 8. "Il ne restait que cinq élèves et l'école était en sursis", raconte une habitante. Pour la maire de la ville : "Les enfants c'est la vie […] sans eux il n'y aurait plus que des personnes âgées".

Installée depuis le 1er août, la famille aux 8 enfants, bientôt 9, a repeuplé la classe unique de Fontpédrouse dans les Pyrénées-Orientales !

Le rose aux joues, merci au grand air de la montagne, Guillem ne verse pas une larme. Entouré de cinq de ses frères et sœur déjà écoliers, le benjamin de la famille Garcia découvre l'école.

Cette petite classe unique de Fontpédrouse qui accueille les enfants de la maternelle au CM2. Et aurait fermé ou ouvert ses portes avec juste cinq enfants du village, sans l'arrivée bienfaitrice de Stéphanie et Guillaume Garcia, parents de la fratrie aux huit bambins.

On leur reproche leur "trop" nombreux enfants

Or, l'aubaine ne doit rien à la chance. "J'ai été sensible à l'article de l'Indépendant qui leur était consacré, et j'ai tout de suite cherché une possibilité de les loger et de leur trouver un emploi", raconte Arlette Bigorre, maire de la commune.

Emue comme bien d'autres lecteurs par l'histoire de ce jeune couple sommé de quitter une location à Canet et refusé de partout, agences, banques, courtiers et particuliers, à cause de leurs "trop" nombreux enfants.

Sortir de la galère

L'édile s'avère d'une efficacité remarquable. En 48 heures, l'élue des 130 habitants trouve solution aux deux problèmes. "Elle nous a gentiment téléphoné pour nous proposer une habitation HLM de 180 m2 avec six chambres, deux grands garages, vue sur l'école… Et en plus un travail en CDI aux bains de Saint-Thomas pour Guillaume.

C'était génial, on allait enfin sortir de la galère. On est vite monté la rencontrer", acquiesce Stéphanie, aujourd'hui comblée. De retour de cette visite à Fontpédrouse, les époux ne perdent plus un instant.

Papa, employé aux transports scolaires, donne sa démission pour être en poste le 1er août "là-haut".

Maman, en congé parental elle, s'affaire aux cartons.

Le déménagement est fixé au 31 juillet. "On n'oubliera jamais l'accueil reçu", confie Stéphanie Garcia. "Nous nous en réjouissons. Pour nous, c'est une belle opportunité sur tous les plans, travail, logement, démographie, école…", se félicite Arlette Bigorre, ravie de leur avoir ouvert les portes du village. D'autant que, côté classe, la relève est assurée.

"drogue du violeur"

Publié à 11:19 par fandeloup Tags : nuit
 "drogue du violeur"

Nancy : la "drogue du violeur" ferait son retour dans les discothèques*

Un médecin généraliste de Nancy (Meurthe-et-Moselle) affirme que plusieurs de ses patientes ont consulté après avoir consommé à leur insu la "drogue du violeur" lors de soirées en discothèque dans la côté ducale.

Le professionnel de santé affirme à "L'Est Républicain" que la "drogue du violeur", le GHB pourrait faire son retour dans les soirées nancéiennes en boîte de nuit ou dans les bars d'ambiance.

Quatre jeunes patientes l'aurait consulté "la même semaine" après avoir, disent-elles, consommé du GHB à leur insu lors de soirées alcoolisées en boîte de nuit à Nancy.

Selon le médecin, les patientes n'ont pas été violées mais affirment ne plus se souvenir de rien après avoir bu plusieurs verres dans des discothèques de la ville. En se réveillant le lendemain dans un état "d'amnésie", elles ont tout oubliées ou presque.

La police de Nancy quant à elle se veut "prudente" alors qu'aucune de ces présumées victimes n'ait porté plainte. "Il arrive qu'il n'y ait aucune drogue ingérée par les jeunes filles.

Elles sont juste trop ivres et finissent le lendemain avec d'importants trous de mémoire de leur soirée passée" rassure une source qui assure toutefois que les services de police sont "en veille" pour éviter ce genre d'affaires. Les policiers conseillent toutefois de "ne pas laisser son verre sans surveillance" dans les établissements de nuit mais appelle à ne pas "céder à la panique" autour de faits non avérés.