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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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récit

Publié à 11:10 par fandeloup Tags : france moi homme travail femmes animaux
récit

ON EST FIER DE TOI DIDIER TALOU !

Témoignage de Didier Talou concernant une manifestation pacifique à laquelle il a participé contre la corrida à Maubourguet (65) le samedi 23 Août 2014 : Didier a été évacué par les pompiers sur l’hôpital de Tarbes, où il a été opéré du coude pour une fracture de la tête radiale. il a également subi une fracture du bassin. Le médecin a déclaré une Incapacité Temporaire de Travail de 45 jours minimum.

Voici pourquoi : Association "Vénus" Communiqué Officiel :

Je suis Didier Talou le président de l’association « Vénus », association de Protection et de Défense des animaux sur Bordeaux. Dévoué aux animaux depuis mon enfance, je faisais partie des militants anti-corrida présents à Maubourguet (65) le samedi 23 Août 2014.

En arrivant à l’entrée de l’arène, j’ai été désagréablement surpris de constater la présence d'autant d’aficionados alcoolisés mais ravi d’entendre certains dire qu’ils ne viendraient plus à cause de la présence des CRS (contraintes de fouilles, contrôles d’identité…)

J’ai payé mon ticket pour rentrer dans les gradins alors que certains militants se faisaient refouler. Au moment où nous avons sauté sur la piste de l’arène, j’ai senti une main me pousser violemment, me faisant ainsi perdre l’équilibre. Je suis tombé sur le bras gauche après une chute de 2 mètres.

Sonné, j’ai d’abord pu me relever mais j’ai aussitôt réalisé que je ne pouvais pas avancer. J’ai alors ressenti de fortes douleurs qui me paralysaient dans le dos et les jambes. Un CRS m’a attrapé violemment par le T-shirt pour me trainer à genoux alors que je le suppliais de m’aider en lui expliquant que je ne pouvais plus bouger.

Il n’a rien voulu entendre et m’a poussé sur le dos en me laissant lâchement derrière un « burladero ». Une militante s’est rendu compte de ma présence par hasard. Elle a eu du mal à trouver des secours qui sont venus s’occuper de moi après s’être occupés d'un militant avec une plaie ouverte qui perdait beaucoup de sang (m’a-t-elle rapporté).

Pendant l’attente des secours, un aficionado parlant espagnol portant un béret et un foulard rouge est venu profiter de ma vulnérabilité au sol pour me donner des coups de pied; ce dont pourra témoigner cette militante, car c’est elle qui a tenté de calmer la violence de cet homme alors que je ne pouvais plus bouger.

D’autres me crachaient dessus ou criaient « laissez le crever ». J’ai été énormément choqué par autant de violences y compris sur les femmes qui se faisaient insulter ou malmener. L’une d’elle a pris un coup de râteau pour niveler le sable dans la tête. Des militantes restées enchaînées dans les gradins appelaient au secours pour me venir en aide, en vain.

Elles sont témoins des crachats, des insultes et menaces, des coups de pied que j’ai subit et des coups de râteaux que prenaient les militantes. A l’arrivée des secouristes, un médecin en civil spectateur de la corrida, avant de s’occuper correctement de moi m’a dit: « Vous êtes contre, nous sommes pour, et voilà ce qui arrive. Mais on n'est pas là pour débattre… ».

Où est son devoir de réserve?

J’ai ensuite été évacué par les pompiers sur l’hôpital de Tarbes, où j’ai été opéré du coude pour une fracture de la tête radiale. J’ai également subi une fracture du bassin. Le médecin a déclaré une Incapacité Temporaire de Travail de 45 jours minimum, avec une longue rééducation et probablement une réintervention ultérieurement.

Sans compter le traumatisme psychologique car je revois sans cesse ces images de violence totalement injustifiées de la part des aficionados et des CRS. Contrairement à d’autres manifestations en France pour d’autres « causes », nous sommes pacifistes et non violents et défendons des êtres vivants.

Nous n’avons, nous, rien à gagner, nous nous battons contre la torture pratiquée sur des animaux sans défense. Cela ne mérite pas les coups et blessures subis. Jamais encore un aficionado n’a été gravement blessé, mais les victimes sont bel et bien les anti-corridas, après les taureaux qui meurent pour le plaisir de quelques pervers…

 

Didier Talou ON EST FIER DE TOI DIDIER !

lanvin

Publié à 19:14 par fandeloup Tags : solidarité monde homme france mort soi
lanvin

Lettre de Gérard Lanvin !

Quand on vit de la naissance à la mort avec de l’argent public, comme M. Hollande, Ayrault, Sapin et quelques millions d’autres, que l’on ne paie pas ou peu de cotisations sociales, qu’on bénéficie d’un système de retraite réservé à sa seule catégorie, d’un système de placement financier défiscalisé, et qu’on n’a jamais investi un euro dans une entreprise mais tout placé dans des résidences secondaires, on doit a minima avoir l’honnêteté de ne jamais prononcer le mot Égalité, ni d’exiger des autres fussent-ils devenus riches, plus de solidarité qu’on ne s’en impose à soi-même.

38 ministres et ministres délégués qui se goinfrent (le mot est faible) à nos frais, n’est-ce pas cela qui est VRAIMENT minable ?

Demander aux contribuables de payer plus d’impôts pour financer 4 personnes au service de la concubine de Hollande,n’est-ce pas minable ?

• Duflot et Filippetti qui bradent des Légions d’Honneur à tous leurs copains, n’est-ce pas minable ? • Un premier ministre qui veut un nouvel aéroport plus grand, à sa gloire, alors que personne ne prend l’avion à Nantes grâce au TGV.

• Des ministres sans aucune exemplarité dont certains ont été condamnés ou devraient l’être…, un gouvernement incompétent et non coordonné qui gesticule au gré du vent, n’est-ce pas minable ?

• Insulter un homme qui a choisi de s’expatrier, alors que nous sommes censés être libres de nos mouvements dans ce pays, n’est-ce pas minable ?…, sachant que Depardieu a rapporté à la France des centaines de millions d’euros, directement et indirectement !

• Combien coûtent ces donneurs de leçon du gouvernement et du PS, qui passent leur temps à nous culpabiliser mais ne veulent surtout pas réduire leur train de dépenses, alors qu’ils détruisent la France, ses emplois et ses valeurs ? N’est-ce pas minable ?

• Comment osent-ils parler de patriotisme alors qu’ils ne rêvent que de brader la nationalité française en la donnant contre un bulletin de vote…

• Ce "président" et ses "ministres" sont la honte de la France. Ce pays qu’ils sont en train de détruire est devenu la risée du monde entier.

Gérard Lanvin

la composition du nouveau gouvernement Valls

Publié à 16:32 par fandeloup Tags : photo annonce homme mer femme travail femmes fleur
la composition du nouveau gouvernement Valls

Découvrez la composition du nouveau gouvernement Valls..

Les membres du gouvernement Valls II ont été annoncés ce mardi. Avec seize ministres, dix-sept secrétaires d'Etat et une parité respectée. Six nouveaux visages font leur entrée.

Huit hommes et huit femmes ministres, six nouveaux entrants :

le secrétaire général de l'Elysée Jean-Pierre Jouyet a annoncé ce mardi après-midi la composition du gouvernement Valls II.

Parmi les nouveaux, deux ministres : Emmanuel Macron à l'Economie et Patrick Kanner aux Sports.

La plupart des grands ministères ne changent pas de visage : Laurent Fabius reste chargé des Affaires Etrangères, Christiane Taubira de la Justice, Michel Sapin des Finances, Jean-Yves Le Drian de la Défense, et Ségolène Royal de l'Environnement. La Culture et l'Education nationale sont respectivement confiés à deux jeunes femmes : Fleur Pellerin et Najat Vallaud-Belkacem

 

Ceux qui entre

Emmanuel Macron fait son entrée au gouvernement. Le jeune homme(36 ans) est nommé ministre de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique. Homme de l'ombre jusqu'à présent, il occupait la fonction de secrétaire général adjoint auprès de la présidence de la République. Il faisait également partie du cercle restreint des conseillers du Président, chargé de l'économie.

Patrick Kanner, élu du Nord, est également un visage nouveau de ce gouvernement. Il est nommé ministre de la Jeunesse et des Sports à la place de Najat Vallaud-Belkacem.

Myriam El Khomri est secrétaire d'Etat chargée de la politique de la Ville. Pascale Boistard est secrétaire d'Etat chargée des Droits des femmes.

Alain Vidalies est secrétaire d'Etat chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche.

Thomas Thévenoud est secrétaire d'Etat chargé du Commerce extérieur, de la Promotion du Tourisme et des Français de l'étranger.

 

Ceux qui changent..

C'est l'une des grosses surprises de cette nouvelle équipe Valls :

Najat Vallaud-Belkacem est désormais en charge du ministère de l'Education nationale. A 36 ans, celle qui était jusqu'ici ministre des Droits des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports remplace donc l'un des frondeurs, Benoît Hamon.

Revanche pour Fleur Pellerin. Jusqu'ici secrétaire d’État chargée du Commerce extérieur, la jeune femme remplace Aurélie Filippetti à la Culture, alors que les deux femmes entretiennent des rapports tendus

 

Ceux qui sortent..

Pas de miracle pour Arnaud Montebourg. Celui qui était ministre de l'Economie jusqu'à lundi matin paie ses critiques à l'égard de la politique économique décidée par l'exécutif. Lors d'une conférence de presse lundi après-midi, il a dénoncé "une série de choix politiques erronés" et expliqué qu'il "reprenait sa liberté".

Idem pour Benoît Hamon, qui aura été l'un des rares ministres de l'Education nationale à ne pas vivre une seule rentrée en poste. "Il aurait été incohérent, alors que j'ai exprimé un désaccord avec un point important de la politique économique et sociale du gouvernement, que je reste au gouvernement", a-t-il expliqué lundi soir.

Aurélie Filippetti, plus tôt dans la journée de lundi, avait choisi de publier une lettre ouverte à François Hollande et Manuel Valls. L'ancienne ministre de la Culture et de la Communication y expliquait qu'elle n'était pas "candidate à un nouveau poste ministériel".

Autre partant : Frédéric Cuvillier. Le secrétaire d'Etat aux Transports a annoncé ce mardi, juste avant l'annonce officielle, qu'il ne souhaitait pas participer au gouvernement Valls II. "Dans la configuration qui m'a été proposée, j'estime ne pas disposer de la capacité d'action et de l'autonomie nécessaire à la réussite d'une politique cohérente porteuse d'espoir pour nos territoires et nos concitoyens, confrontés à une crise profonde", a-t-il expliqué dans un communiqué.

 

Ceux qui ne changent pas..

La plupart des responsables des ministères régaliens ne change pas. Laurent Fabius reste en charge des Affaires Etrangères et du Développement international, Christiane Taubira sera toujours Garde des Sceaux.

Statu quo également du côté de la Défense, où Jean-Yves Le Drian reste en poste, tout comme Michel Sapin aux Finances et aux Comptes Publics et Bernard Cazeneuve à l'Intérieur.

Au ministère de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie, Ségolène Royal est confirmée.

Tout comme François Rebsamen au ministère du Travail , de l'Emploi et du Dialogue social, Marisol Touraine aux Affaires sociales et à la Santé, et Stéphane Le Foll à l'Agriculture.

George Pau-Langevin, enfin, reste maître de l'Outre-mer. Seules pièces rapportées de l'extérieur du PS, les trois ministres radicaux restent au gouvernement.

Le président du Parti radical de gauche (PRG), Jean-Michel Baylet, l'a annoncé lui-même dans l'après-midi. "Sylvia Pinel sera maintenue dans sa responsabilité de ministre du Logement et des Territoires,

Thierry Braillard restera secrétaire d'Etat des Sports et Annick Girardin reste dans ses responsabilités de secrétaire d'Etat à la Francophonie", a-t-il déclaré.

Du côté des 17 secrétaires d'Etat, peu de mouvement puisque quatre seulement d'entre eux ont changé. Jean-Marie Le Guen est toujours secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le parlement, Thierry Mandon chargé de la Réforme de l'Etat et de la simplification, Harlem Désir chargé des Affaires européennes, Geneviève Fioraso chargée de l'Enseignement supérieur et de la recherche.

Christian Eckert continuera de s'occuper du budget, Laurence Rossignol de la Famille, des personnes âgées et de l'autonomie, Ségolène Neuville des Personnes handicapées et de la luttre contre l'exclusion.

Enfin, Carole Delga sera toujours en charge du Commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire, Axelle Lemaire du numérique, André Vallini de la réforme territoriale et Kader Arif chargé des Anciens combattants et de la mémoire.

18 migrants meurent en mer

Publié à 14:31 par fandeloup Tags : femmes vie mer enfants
18 migrants meurent en mer

Italie : 18 migrants meurent en mer au large de Lampedusa

Au large des côtes italiennes, le 18 août. La marine italienne vient en aide à des migrants.

Au large de Lampedusa (Italie), 18 cadavres de clandestins, tous des hommes, et 73 survivants, ont été découverts dimanche matin par la Marine de guerre italienne à bord d'un canot pneumatique immobilisé en mer, selon plusieurs médias italiens.

Migrants de Lampedusa : le reportage qui choque les Italiens Le bâtiment Sirio, après avoir repéré l'embarcation en difficulté, l'a rejointe et a trouvé les cadavres. On ignore les raisons des décès.

Des rescapés ont parlé de 99 personnes au départ du bateau, affirmant que huit autres passagers auraient disparus en mer. Mais le capitaine du navire qui leur a porté secours a expliqué que son équipage n'avait trouvé aucune trace en mer de ces disparus.

De nombreux migrants tentent régulièrement de rejoindre Lampedusa, située au sud de l'Italie. Nombreux aussi sont ceux qui n'y parviennent pas et perdent la vie en mer.

Plus de 3 500 hommes, femmes et enfants ont été sauvés depuis vendredi dans le canal de Sicile (entre la Sicile et les côtes de la Libye et de la Tunisie) par la Marine de guerre, les garde-côtes et les navires marchands.

Samedi a été une journée particulièrement chargée avec de nombreuses interventions de la Marine et des garde-côtes. Un autre sauvetage, dimanche matin, a permis de secourir 215 immigrés, dont 55 femmes et 38 enfants.

La marine italienne relaye ce bilan sur son compte Twitter.

Maison hantée à Amnéville:

Publié à 13:18 par fandeloup Tags : photo google enfants france divers fleurs jardin éléments
Maison hantée à Amnéville:

Maison hantée à Amnéville: le mystère s’épaissit, une enquête en cours Un pavillon d’Amnéville (Moselle) aurait été dévasté pour des raisons inconnues selon son propriétaire. D’après de nombreux témoignages, des objets se sont envolés à l’intérieur même de la maison présentée comme «hantée» par la presse locale.  Les explications autour de l’étrange phénomène qui a secoué une maison à Amnéville (Moselle) restent floues. Pour son propriétaire, il n’y a aucune explication «logique» à ce stade de l’enquête. Après la chute spectaculaire de dizaines d’objets dans sa maison, il a porté plainte pour «dégradations volontaires».

Les curieux et les médias se pressent dans la maison de Dominique Hachette à Amnéville (Moselle) après un mystérieux phénomène qui a dévasté son mobilier. Son propriétaire, incapable d’expliquer l’origine de cette dévastation évoque un «phénomène paranormal». Professionnels de l’informatique à la recherche d’une assurance adaptée à vos besoins?

Professionnels de l’informatique à la recherche d’une assurance adaptée à vos besoins?

 Dominique Hachette, propriétaire d’un petit pavillon à Amnéville (Moselle) dans un quartier résidentiel calme n’en revient toujours pas. Ce mercredi, l’intérieur et l’extérieur de la maison aurait été le théâtre d’une incroyable activité inexplicable à ce jour.

Des objets se seraient mis à voler autour des occupants rapporte ce vendredi Le Républicain Lorrain, n’hésitant pas à titrer sur «la maison hantée d’Amnéville».

«Dans la buanderie toutes les affaires sont tombées par terre (…), puis selon M. Hachette le phénomène s’est propagé à l’ensemble des pièces de la maison».

«Partout on entendait des bruits d’objets qui tombaient au sol, des coups de poing, des bruits de fusil (…)» rapporte-t-il encore très choqué. Un fer en fonte aurait même brisé une vitre en double-vitrage dans une chambre du couple occupant le pavillon «hanté». Un membre de la famille Hachette affirme même «avoir été frappé par des coussins tandis que le beau-frère aurait reçu des coups de téléphone dans le dos».

Hallucinant pour des élus de la ville d’Amnéville qui confirment l’état de la maison complètement secouée. Même les éléments décoratifs du jardin ont volé en éclat. Comme si un orage ou une tornade avaient traversé le petit pavillon de 100m2.

Le propriétaire longuement entendu par la police "ne comprend pas" La police ne comprend pas le phénomène. Une main-courante a été déposée par la famille au commissariat d’Hagondange afin de faire constater les dégâts par la police.

«Personne ne s’est introduit dans la maison, la famille se trouvait à l’intérieur» note-t-elle. Phénomène sismique ?

Ondes électromagnétiques ?

Rien n'est à exclure, et l'enquête ne fait que commencer. Pour la famille touchée il s’agirait bien d’un phénomène paranormal alors qu’elle a déjà fait bénir sa maison par un prêtre l’année dernière.

La piste d’un poltergeist ?

La piste d’un «poltergeist» ? Un poltergeist, de l'allemand Poltergeist, dérivé de poltern «faire du bruit» et geist «esprit», est un phénomène paranormal consistant en des bruits divers, des déplacements, apparitions ou disparitions d'objets et autres phénomènes a priori inexplicables.

Les poltergeists sont, en général, considérés comme des phénomènes de «petite hantise» qui seraient liés à la présence d'un(e) adolescent(e) perturbé(e), par opposition aux phénomènes de «grande hantise» qui supposent l'intervention de l'esprit d'un ou plusieurs morts, bien que la séparation ne soit pas toujours évidente» écrit l’encyclopédie en ligne Wikipédia. Des cas inexpliqués de ce type ont été relevés aux Etats-Unis, en Allemagne ou encore en France.

Déjà un cas inventé de toute pièce à Montpelier. Et si le cas d’Amnéville était inventé par le propriétaire de la maison ? En 1996, une habitante de Montpellier, vivant seule avec ses quatre enfants, demande à l'office des HLM de lui trouver un nouvel appartement, celui qu'elle occupe étant le siège de «phénomènes paranormaux effrayants de type poltergeist».

Ayant obtenu de déménager, il apparaît que les manifestations recommencent dans le nouvel appartement. Une enquête, réalisée a posteriori par Jacques Exertier et Laurent Puech du Cercle Zététique, conduit à trouver une explication rationnelle aux rares manifestations récentes et à noter la très grande fragilité des témoignages concernant les manifestations passées, qui n'ont jamais été constatées par des tiers, et semblent, à l'évidence, imaginaires. Des cas de maisons hantées» scientifiquement expliqués.

En France , plusieurs maisons seraient hantées affirment leurs propriétaires certains que les bruits ou les phénomènes étranges s’y produisant sont liés à des esprits. Pourtant, il s’agit souvent d’explications naturelles et scientifiques. Une rivière souterraine par exemple ou des puits provoquant des bruits sourds. Une plainte pour "dégradations volontaires" Une plainte déposée pour «dégradations volontaires».

La police enquête. Si les investigations ne ressemblent pas (encore) à un épisode de SOS Fantôme, la police prend très au sérieux cette affaire ultra-médiatique. Le propriétaire de la maison affirme avoir déposé une plainte contre X pour «dégradations volontaires» alors qu’à ce stade de l’enquête, aucune personne n’est concrètement soupçonné de ces chutes d’objets.

«Les objets se sont mis à voler et tomber tout seul dans la maison» répète l’habitant d’Amnéville. La police d’Hagondange, ville voisine, a procédé à l’audition de M. Hachette «pendant deux heures».

Un élu de la ville a assisté à la scène. Créditant les propos du propriétaire, un adjoint au maire d’Amnéville a assisté à une partie de la scène. «On a immédiatement vu des pots de fleurs renversés et aperçu le désordre dans la maison par la porte d'entrée vitrée» affirme dans le Républicain Lorrain l’adjoint à l’urbanisme de la ville appelé sur place mercredi soir vers 21h30.

«Quand nous étions près de la véranda, à deux mètres de nous, j'ai entendu un craquement, un bruit sourd puis j'ai vu la sculpture tomber» explique-t-il.

erreur

Publié à 10:14 par fandeloup Tags : afrique femme
erreur

En Adrique du Sud, une femme opérée du cœur par erreur

Insolite

- Admise à l'hôpital pour une simple infection respiratoire, une patiente de 80 ans s'est retrouvée au bloc pour une chirurgie du cœur.

L'opération a bien eu lieu, même si elle était destinée à une autre…L'erreur ne lui a pas été fatale, même si l'opération ne lui était pas destinée. Un hôpital sud-africain a récemment fait parler de lui pour avoir opéré une patiente du cœur... par mégarde.

La raison??

Son médecin s'est trompé sur les noms des malades. "Un malentendu entre les deux spécialistes a fait que le mauvais patient a été opéré", a reconnu l'hôpital privé Mediclinic de Kimberley dans un communiqué, sans rien vouloir dire de l'identité du patient.

Plus de peur que de mal C'est le quotidien national Beeld qui a révélé l'incroyable confusion. Rita du Plessis, 83 ans, s'est retrouvée sur la table d'opération pour le drainage d'un épanchement du péricarde alors qu'elle était traitée pour une infection des voies respiratoires.

Ce n'est pas loin, mais ce n'est pas la même chose. Un membre du personnel remarque alors la disparition de la patiente de sa chambre et alerte son médecin, qui réalise aussitôt son erreur au moment où l'opération avait déjà commencé.

"Après avoir été informés de l'incident par le médecin traitant, l'hôpital et les médecins ont entamé des discussions constructives avec le patient et sa famille", a déclaré la porte-parole de l'hôpital, Denise Coetzee

. Mediclinic a précisé que Mme du Plessis avait "bien supporté l'opération" et, bien sûr, qu'elle ne devrait rien payer. Il ne manquerait plus que ça.

une histoire de suicide

une histoire de suicide

À midi, je serai morte (une histoire de suicide, encore)..

Lundi, à midi, une femme de 85 ans s’est tuée plutôt que de devenir démente et finir ses jours comme une carcasse vide à l’hôpital.

Gillian Bennett avait 85 ans au moment de son suicide et en était aux premières étapes de la démence. Parce qu’elle ne voulait pas finir comme un légume dans un décor d’hôpital, à « manger l’argent du pays, sans avoir la moindre idée de qui elle était », cette mère de deux enfants, grand-mère de six et arrière-grand-mère de deux, a décidé d’en terminer avec la vie alors qu’elle était encore assez lucide pour le faire.

Lundi dernier, comme le rapporte le Vancouver Sun, un peu avant midi, Gillian a tiré un matelas de mousse depuis sa maison à Bowen Island, en Colombie-Britannique, jusqu’à son lieu préféré, sur l’herbe, face à une falaise. L’endroit où elle avait choisi de mourir. Elle avait avec elle un bon whisky, une dose de Nembutal mélangée à de l’eau et Jonathan, son mari depuis 60 ans.

« J’ai tenu sa main. J’étais d’accord avec son choix, a expliqué l’ancien professeur de philosophie. Elle ne voulait pas que je l’aide et je ne le souhaitais pas non plus. Je ne sais pas où elle s’est procuré le Nembutal ou les instructions, elle ne me l’a pas dit ».

Gillian ne l’a pas laissé non plus tirer le matelas à l’extérieur, même si c’était là un effort difficile pour elle. Elle savait que si quelqu’un l’aidait en quoi que ce soit, sa mort deviendrait illégale. « Elle n’avait pas peur. Pas du tout. Elle était aussi calme et paisible comme peut imaginer » a confié son mari. Quand elle est morte, Jonathan a laissé sa main et a appelé son médecin, qui est venu confirmer le suicide avant d’appeler la RCMP.

« Gillian et moi nous n’aimions pas et désapprouvions les lois qui font qu’il est impossible d’aider quelqu’un que l’on aime dans quelque chose d’aussi important que la mort ».

Deadatnoon.com Depuis deux ans, celle qui a eu une fructueuse carrière de psychothérapeute a écrit sur son site web, deadatnoon.com (morte à midi) pour expliquer sa décision d’en finir avec la vie dans un texte qui n’est devenu public qu’après sa mort. « Ce n’est pas seulement qu’elle ne voulait pas être un poids pour les autres, dit Jonathan.

Elle pensait aussi au genre de vie qu’elle aurait. Ç’aurait été dur pour nous et pas assez bon pour elle ». Le dernier week-end, Gillian l’a passé en famille, avec ses deux enfants, Sara, 56 ans, et Guy, 55 ans. Tous deux étaient au courant de sa décision.

Je partage cette histoire avec vous, parce qu’elle m’a énormément touchée. Parce que mon père souffre de démence et qu’il n’est plus que l’ombre de celui qui fut mon père. Parce qu’un jour, ce sera moi qui verserai tranquillement, mais sûrement vers la démence. Ou mon chum. Ou ma meilleure amie. J’écris démence, mais on peut remplacer par bien d’autres maladies dégénératives, de celles qui ne laissent pas place à l’espoir. Parce que je crois comme Gillian que les lois doivent être changées, que l’on doit pouvoir disposer de notre vie comme on l’entend quand on sait que l’horizon n’est plus que la perte de soi-même, j’ai décidé de traduire le texte de Gillian.

Il est long. Vous pouvez le sauter si vous voulez et partir cliquer ailleurs. Si vous le lisez par contre, ne vous gênez surtout pas pour commenter ensuite… Parce que, moi, il m’a noué la gorge.

Au revoir et bonne chance ! par Gillian Bennett

« Je vais me tuer aujourd’hui vers midi. Il est temps. La démence poursuit ses dégâts et je me suis presque perdue. J’ai presque perdu “moi”. Jonathan, le plus droit et le plus intelligent des hommes, sera à mes côtés comme un témoin aimant. Je sais que je suis atteinte de démence, une perte progressive de mémoire et de jugement, depuis trois ans.

C’est une maladie furtive, entêtée et oh combien fiable. J’aurais préféré une affection exotique dont le nom trébucherait sur la langue, mais non, ce que j’ai est tout à fait typique. Je trouve que c’est une maladie ennuyante et malgré la gentillesse et la politesse de ma famille, je suis assez intelligente pour comprendre qu’ils trouvent ça ennuyant aussi.

C’est tellement difficile pour mon mari, Jonathan. Je ne pense pas que ma jolie chatte a remarqué, mais je ne suis pas certaine. La démence ne fait pas de quartier et ne laisse place à aucune négociation. Les recherches nous disent que c’est une “maladie silencieuse”, une maladie qui peut se terrer pendant des années ou même des décennies avant que ses symptômes ne deviennent évidents. Je trouve ça difficile de me rappeler que ma petite-fille vient dans trois jours et pas aujourd’hui.

“Où mettons-nous le X?” (Café/machine à milkshake/la touche espace sur mon clavier/le livre que je suis en train de lire) survient tout le temps. Je dois toujours surveiller ce que je dis pour tenter de ne pas faire de grosse erreur de jugement.

Vient un moment, dans le cours de la démence, où l’on ne peut plus gérer ses propres affaires. Je veux partir avant le jour où je ne pourrai plus évaluer ma situation, ou agir pour finir ma vie. Il viendra peut-être aussi un moment où je devrai tout simplement prendre une décision basée sur ma santé physique qui se détériore. Je n’aime pas les hôpitaux — ce sont des endroits sales. Tout médecin vous dira d’en rester loin si vous le pouvez.

Je ne veux pas qu’une chute, une attaque ou toute autre complication imprévue vienne perturber ma décision de coûter le moins cher possible au Canada durant mes années de déclin. Chacun d’entre nous est né unique et meurt unique. Je pense à la mort comme à une aventure finale avec une fin abrupte prévisible. Je sais quand c’est le temps de partir et je ne trouve pas ça effrayant. Nous obsédons à propos de tant de choses.

Nous semblons avoir besoin de faire les choses comme il faut. Devrait-on apporter une bouteille de vin ou des fleurs au party?? Est-ce que des jeans et des bottes, ça ira ou est-ce que c’est trop relaxe?? Comment je fais pour trouver un nouveau compagnon?? On ne parle PAS beaucoup de la façon dont on meurt.

Pourtant, faire face à la mort est complètement intéressant, absorbant et stimulant. J’ai fait le tour de mes choix, j’en ai choisi, j’en ai rejeté. Je crois que j’ai trouvé le bon choix pour moi. J’en ai parlé avec mes amis et ma famille. Ce n’est pas un sujet interdit. Loin de là. Chaque jour, je perds un peu de moi-même et il est évident que je me dirige vers l’état que tous les patients souffrant de démence atteignent : ne pas savoir qui je suis et avoir besoin de soins constants. Je sais alors que j’écris ces mots que d’ici six, neuf ou douze mois, moi, Gillian, je ne serai plus ici.

Qu’est-ce qu’on fera de ma carcasse?? Elle sera vivante physiquement, mais il n’y aura plus personne à l’intérieur. J’ai fait mes devoirs. J’ai examiné mes options :

1. Avoir quelqu’un qui s’occupe de mon corps vide d’esprit. Ce qui veut dire des difficultés financières pour ceux que je laisse derrière, ou encore un tourbillon incessant de corvées qui pourraient éroder jusqu’à leurs meilleurs souvenirs de moi.

 

2. Demander n’importe quel soin que le gouvernement est prêt à offrir. (L’endroit s’attendra à ce que mon mari, mes enfants et mes petits-enfants me visitent souvent pour remercier ceux qui s’occupent si bien de ma carcasse. C’est juste, mais ce n’est pas ce que je souhaite à ma famille. )

 

3. Finir ma propre vie en avalant des barbituriques qui feront le travail avant que ma tête soit toute partie. Éthiquement, ça me semble la bonne chose à faire. Je peux vivre ou végéter pendant peut-être dix ans dans un hôpital aux frais du Canada, pour un coût annuel de 50 000 $ à 75 000 $. Ce n’est que le début des dommages. Les infirmières, qui pensaient se lancer dans une carrière qui aurait un sens, se retrouvent à perpétuellement changer mes couches et à rapporter mes changements physiques, ou une coquille vide.

C’est ridicule, inutile et injuste. Ma famille, tous des gens rationnels, ne me visiterait pas à l’hôpital, parce qu’elle sait que je ne le voudrais pas. Le monde est mis à dure épreuve sous le poids d’une population vieillissante. Nous vivons plus longtemps, et notre espérance de vie s’allonge de plus en plus.

En 2045, le ratio des citoyens en âge de travailler et des personnes âgées deviendra de plus en plus lourd dans presque toutes les régions du monde. Au Canada et aux États-Unis, on s’attend à ce que le ratio soit de 16 travailleurs pour dix personnes âgées.

C’est un désastre social et économique en devenir. Pourtant la plupart des gens disent qu’ils veulent vivre jusqu’à 90 ou 100 ans, et même au-delà. Il y a plusieurs problèmes d’éthique ici : la prolongation de la vie altère les idées des gens sur ce qu’est être humain — et pas pour le mieux.

Tandis que nous, les vieux, subissons de nombreuses opérations et devenons gaga tout en occupant un lit d’hôpital, l’éducation de nos enfants, leurs opportunités éducatives, athlétiques et culturelles sont comprimées. Le coeur du problème est arithmétique.

L’État d’assistance sociale qui a suivi la Deuxième Guerre mondiale, créé à un moment où la génération des baby-boomers était en gestation, est basé sur un schéma générationnel à la Ponzi. Alors que la durée de vie allonge et que le taux de natalité décline, la pyramide de la population s’inverse — et dans certains pays, cela fait que toute l’économie bascule.

Chaque personne vers l’âge de 50 ans et qui est mentalement compétente devrait faire un Testament de vie dans lequel serait écrit comment elle veut mourir, les circonstances sous lesquelles elle ne veut pas être ressuscitée, etc. Avec l’ajout d’une déclaration telle que : “Si je suis malade et faible et que j’ai une infection comme une pneumonie, n’essayez pas de me ramener à la vie avec des antibiotiques. Svp, laissez-moi aller.

Je ne donne à aucune personne de ma famille, ou docteur ou psychiatre, le droit d’annuler cette décision”. Le médecin de famille devrait en avoir une copie. Légalement, tout le monde devrait être obligé à faire un tel Testament, qui serait conservé électroniquement, ne pourrait pas être détruit et serait immédiatement disponible pour tout hôpital dans le monde.

Et si une personne refusait de faire un tel testament?? Il devrait y avoir un testament par défaut qui s’appliquerait à chaque personne qui n’aurait pas rempli son devoir de citoyen. Je n’ai pas toutes les réponses, mais je crois que je soulève des questions qui doivent l’être.

Il y a trois immenses institutions : la profession médicale, la loi et l’église, qui défieront et combattront tout changement. Pourtant nous entendons tous parler de changements dans chacune des ces professions qui suggèrent une approche plus large, guidée et instruite par l’empathie.

Mon espoir est que toutes ces institutions continueront à se transformer et que la profession médicale aura pour mandat, grâce à des protocoles sensibles et appropriés, d’administrer une dose létale pour terminer les souffrances d’un patient en phase terminale, en accord avec son Testament vivant. La vie semble un peu comme une fête dans laquelle j’ai été plongée. Au début, j’étais timide et maladroite et je ne sais pas ce qu’étaient les règles. J’avais peur de faire la mauvaise chose.

Il s’est avéré que j’étais là pour avoir du plaisir et je ne savais pas comment. Quelqu’un de gentil m’a parlé et m’a fait rire. J’ai commencé à comprendre qu’en fait je devais faire mes propres lois et vivre selon elles. J’ai compris que je devais savoir quand partir et c’est maintenant. Tous les membres de ma famille immédiate sont à Vancouver: fille, fils, deux petites-filles et quatre petits-fils. Tous savent que ce qui m’importe c’est de ne pas devenir un poids pour eux, ou pour le Canada.

J’ai discuté de ma situation avec eux. Dans notre famille, il est établi que tout adulte a le droit de prendre sa propre décision. Juste au cas où quelqu’un serait tenté de croire que je suis brave de me tuer, vous devez savoir que j’ai peur d’être seule dans l’obscurité. J’ai peur que quelque chose m’attaque. Je ne veux pas mourir seule.

Si ma chatte défaillait de la manière dont je le fais, je mélangerais des somnifères dans du boeuf de première qualité et quand elle serait endormie, je la transporterais amoureusement au jardin où je ferais le reste.

Qui veut mourir entouré d’étrangers, peu importe l’excellence de leurs soins et de leurs compétences??

J’ai eu un mari incomparable, et des enfants et des petits-enfants qui m’ont dépassée sur bien des plans. Depuis que j’ai sept ans, j’ai des amis merveilleux, que j’ai adorés et que j’adore encore. C’est beaucoup plus difficile qu’il n’est nécessaire pour Jonathan et j’aurais aimé qu’il n’ait pas à être seul avec le cadavre de sa femme. Les lois canadiennes font un criminel de quiconque aide une personne à se suicider, et Jonathan par conséquent ne pourra pas m’aider.

Nos enfants, Sara et Guy, voudraient bien être avec leur père, mais les lois étant ce qu’elles sont, nous ne voulons pas les mettre en danger. Aujourd’hui, maintenant, je vais de bon coeur et avec reconnaissance vers cette bonne nuit. Jonathan, le courageux, le fidèle, l’authentique et le gentil, m’entoure de sa présence. Je n’ai pas besoin de plus. Il est presque midi. »

Et moi, je m’en vais suivre le conseil de Gillian. Je m’en vais préparer mon Testament de vie. Peut-être que si tout le monde faisait ça, sans attendre le go du gouvernement, la force du nombre deviendrait force de loi ? Qu’en pensez-vous ?

 

Photo, Gillian Bennett avec sa chatte Cosmo, en 2013.

Pourquoi

Publié à 18:59 par fandeloup Tags : éléments vie chez femme mort nature fille nuit enfant
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Pourquoi la mère de Fiona reste en prison

Enquête.

La justice a refusé de libérer Cécile Bourgeon, soupçonnée d'être impliquée dans la mort de sa fille. Elle s'appuie notamment sur le trouble de la personnalité de cette mère, révélé par les experts.

Sans l'affaire de la petite Fiona, il y a plus de mystères que de certitudes. L'instruction n'a toujours pas permis de connaître la vérité sur la date et les circonstances du décès de la fillette de 5 ans et demi, ni sur l'endroit où sa mère et son beau-père prétendent l'avoir enterrée, le 12 mai 2013, en lisière d'une forêt du Puy-de-Dôme.

L'enquête n'a pas davantage pu déterminer le rôle exact de Cécile Bourgeon et de son compagnon Berkane Maklouf, tous deux mis en examen principalement pour coups mortels aggravés, et écroués. Détenue depuis le 26 septembre 2013, Cécile Bourgeon, qui venait à l'époque d'avouer avoir inventé la disparition de sa fille aînée, en réalité décédée, veut sortir de prison.

Elle aimerait vivre chez sa mère à Perpignan (Pyrénées-Orientales), où ses avocats, M es Gilles-Jean et Renaud Portejoie, ont suggéré qu'elle soit assignée à résidence avec un bracelet électronique.

Or, cet été, sa demande de remise en liberté a été rejetée par le juge des libertés et de la détention, puis en appel par la chambre de l'instruction, le 12 août.

Pour motiver son refus, celle-ci a notamment estimé que le risque de réitération de trouble grave du comportement n'est pas à exclure chez Cécile Bourgeon, même si elle ne présente aucune dangerosité immédiate. Un argument puisé dans une expertise psychiatrique de la jeune femme de 26 ans.

Premier constat des médecins :

Cécile Bourgeon ne souffre d'aucune maladie mentale ou d'insuffisance intellectuelle. Ils relèvent, en revanche, un trouble de la personnalité lié à une immaturité psychoaffective, ainsi que d'autres défaillances psychiques.

Autant d'éléments qui, en substance, sont de nature à faciliter l'émergence de gestes violents envers l'autre. Les psychiatres envisagent même un risque de réitération d'infraction.

L'expertise psychologique ordonnée par le juge d'instruction confirme cette immaturité affective et note la propension de Cécile Bourgeon à s'ériger en victime.

Les praticiens ont également examiné l'amnésie invoquée par la mère de Fiona, qui assure, entre autres oublis, ne plus se rappeler du lieu où elle et son compagnon ont inhumé l'enfant.

Alors que retrouver cet endroit serait, selon ses dires, son souhait le plus cher. Selon les psychiatres, les troubles de mémoire de Cécile Bourgeon ne relèvent d'aucune pathologie. Et ils formulent l'hypothèse d'une stratégie de défense.

L'expert psychologue, lui, avance que cette amnésie peut être un moyen de se protéger, voire d'échapper à un sentiment de culpabilité. Le risque de réitération de trouble grave du comportement avancé par la chambre de l'instruction « est assez inquiétant », réagit M e Patrice Reviron, conseil de l'association Innocence en danger, partie civile.

« Cécile Bourgeon, qui n'a certes pas un parcours de vie facile, n'est manifestement pas hyperéquilibrée. Quant à ses pertes de mémoire, je doute de leur réalité. Nous sommes clairement dans une affaire de maltraitance. J'attends juste que Cécile Bourgeon nous dise la vérité, et, pour l'instant, on ne l'a pas », ajoute l'avocat, pour qui le décès de Fiona est antérieur à la nuit du 11 au 12 mai 2013, date avancée par le couple.

Les avocats de Cécile Bourgeon indiquent, eux, avoir demandé et obtenu une contre-expertise psychiatrique, jugeant ce risque de réitération invraisemblable.

« Il n'y a jamais eu envers Cécile Bourgeon la moindre suspicion de maltraitance sur Fiona. Elle nie toute violence, et rien dans le dossier ne la contredit. Lui imputer des coups mortels est insupportable », insistent M es Gilles-Jean et Renaud Portejoie, qui contestent la mise en examen pour coups mortels aggravés de leur cliente.

Devant les juges, Berkane Maklouf a déclaré que sa compagne a, la veille du décès de Fiona, donné un coup de pied aux fesses et deux gifles à la fillette sans que ces violences aient pu entraîner la mort. Cécile Bourgeon, elle, accuse son compagnon de violences répétées sur Fiona, ce qu'il nie.

En laissant croire à la disparition de sa fille, la mère de Fiona avait déclenché la mobilisation de nombreuses personnes, s'attirant beaucoup de compassion. Son mensonge a, depuis, dressé une partie de l'opinion publique contre elle. C'est donc aussi pour la protéger que la chambre de l'instruction a confirmé son maintien en détention.

elle est remplie de vers

Publié à 13:53 par fandeloup Tags : bébé fille femme
elle est remplie de vers

Une jeune fille arrive à l’hôpital le ventre ballonné: elle est remplie de vers

Une femme a amené sa fille à l’hôpital. Elle avait le ventre ballonné et éprouvait des douleurs.

« J’ai d’abord cru qu’elle était enceinte, raconte Maricar Cabral-Osorio. Mais à l’échographien, on n’a pas vu de bébé».

La jeune fille s’est rendue aux toilettes et a poussé un cri. Quand l’infirmière est allée voir ce qui se passait accompagnée de la mère de la jeune fille, elle a été horrifiée. « Les WC étaient remplis de ténias. Certains essayaient de sortir de la cuvette », raconte-t-elle encore dégoûtée

 La question est maintenant de savoir comment ces vers sont arrivés dans le corps de la jeune fille. La mère a admis avoir donné à sa fille des pilules faites à base d’œuf de ténias.

l'employé avait « oublié » de se rhabiller

Publié à 10:46 par fandeloup Tags : femme chez article texte travail
l'employé avait « oublié » de se rhabiller

Nanterre : l'employé avait « oublié » de se rhabiller

L'avocat était très déterminé à prouver l'innocence de son client lorsqu'il a brandi un sous-vêtement devant la présidente du tribunal correctionnel de Nanterre, jeudi.

Objectif : montrer que le caleçon de Jean-Luc, 50 ans, qui comparaissait pour « exhibition sexuelle », pouvait tout à fait laisser sortir son sexe « par accident ».

Selon l'employée qui a porté plainte, la chose s'est produite sur son lieu de travail, l'Urssaf de Nanterre, le 7 juin. Jean-Luc l'a appelée pour lui demander des conseils sur un dossier. Dans sa déposition à la police, elle raconte qu'en arrivant au bureau de son collègue, situé dans un espace ouvert, celui-ci était assis avec l'entrejambe découvert.

La jeune femme se précipite alors en larmes chez sa supérieure pour lui relater les faits, et Jean-Luc est immédiatement licencié. La relaxe prononcée En jean et veste de costume, l'intéressé ne reconnaît pas les faits.

En présence de sa compagne, de son fils et de sa soeur à l'audience, il assure que c'était « un accident » : « Je ressentais une pression sanguine à la tête, et j'ai bu beaucoup d'eau, explique-t-il. Je suis donc allé très souvent aux toilettes. Vers midi, ma collègue est venue pour aller déjeuner.

J'ai alors réalisé que quelque chose n'allait pas au niveau de ma braguette. » « Mais elle n'a pas rêvé ! Elle n'a pas vu un sexe en lévitation quand même ! » intervient la présidente. Jean-Luc ne répond pas directement, et évoque un éventuel « oubli ». « Et bien, s'est exclamée la magistrate, heureusement que tous les hommes dans les bureaux n'oublient pas comme vous de fermer leur braguette. » La démonstration de l'avocat de la défense avec le caleçon « du jour J » -- « Je vous rassure, il a été lavé au préalable », a-t-il assuré -- a laissé la juge de marbre.

La victime ne s'étant pas constituée partie civile, et Jean-Luc ayant retrouvé son emploi dans un autre service, la procureur a estimé que l'affaire était « finie » et n'a pas requis de sanction. Une réquisition confirmée par la présidente, qui a prononcé une relaxe.